marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Films des années 60 : Le chevalier des sables Dim 8 Juin - 14:40 | |
| Le chevalier des sables Le Chevalier des sables source Wikipédia Le Chevalier des sables
Elizabeth Taylor et Richard Burton
Données clés[th]Titre original[/th]The Sandpiper | [th]Réalisation[/th]Vincente Minnelli | [th]Scénario[/th]Martin Ransohoff Dalton Trumbo Michael Wilson | [th]Acteurs principaux[/th]Elizabeth Taylor Richard Burton Eva Marie Saint Charles Bronson | [th]Sociétés de production[/th]Filmways Pictures Venice Picture MGM | [th]Pays d’origine[/th] États-Unis | [th]Genre[/th]Mélodrame | [th]Sortie[/th]1965 | [th]Durée[/th]118 min | [size] [/size] [size] Le Chevalier des sables (The Sandpiper) est un film américain réalisé par Vincente Minnelli et sorti en 1965. Distribution[/size]
- Elizabeth Taylor : Laura Reynolds
- Richard Burton : Edward Hewitt
- Eva Marie Saint : Claire Hewitt
- Charles Bronson : Cos Erickson
- Robert Webber : Ward Hendricks
- Morgan Mason : Danny Reynolds
- Tom Drake : Walter Robinson
- James Edwards : Larry Brant
- Torin Thatcher : le juge Thompson
- Douglas Henderson : Phil Sutcliff
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- Paul Genge : l'architecte
[size] SynopsisLe jeune Danny Reynolds et sa mère Laura, une artiste-peintre beatnik, vivent une vie de rêve sur les plages de Big Sur en Californie. Laura, mère célibataire et libertaire, s’occupe elle-même de l’éducation de son fils jusqu’au jour où il tue un faon « dans un but expérimental ». À son grand désespoir, Laura est alors contrainte de confier l’éducation de Danny au collège paroissial de San Simeon dirigé par le pasteur Edward Hewitt et son épouse Claire. Edward est à la fois surpris et ébloui par cette belle jeune femme aux mœurs très libres et ils ne tardent pas à être irrésistiblement attirés l’un par l’autre…Thèmes et contexteLe Chevalier des sables, bel et indompté animal des plages : si l’intrigue n’est pas des plus originales, une mère célibataire belle et libre tourneboulant un homme coincé dans son carcan marital et paroissial, la débauche, dans ce film, est surtout picturale grâce notamment au travail effectué sur les couleurs par Milton R. Krasner, René Guissart Jr. et Nelson Tyler. Outre la vue sur le travail de Laura, l’héroïne artiste-peintre, on a droit à la vision de son buste dénudé sculpté sur bois (censé être scandaleux, « œuvre » du sculpteur beatnik incarné par Charles Bronson), d'images de plages blondes sur ciels bleus et de couchers de soleil sur la mer plus enchanteresses les unes que les autres.On peut rester dubitatif sur la probabilité de l’existence de cette beatnik « très classe » qui semble s’habiller chez les grands couturiers face à la représentation antédiluvienne du couple Hewitt et de son école paroissiale. Finalement, tout est luxe, mini scandale et volupté. Un bel objet volatil comme l’oiseau auquel son titre se réfère… Ce que j'ai aimé dans ce film: Inconditionnelle de Liz Taylor j'avais vu ce film il y a très longtemps et j'ai voulu le revoir parce que la première fois, j'étais trop jeune pour en apprécier l'histoire et le jeux des acteurs . C'est un film ors du commun pour l'époque Eternel dilemme des passions à vivre dans le temps imparti.On est plongé dans une histoire d'adultère .Mais surtout dans une histoire d'amour entre un pasteur et une femme qui élève son fils seule . Le charme général vient des paroles prononcées, des expressions et de l'interprétation des deux monstres sacrés (Burton et Taylor) derrière le dos de la plus que parfaite épouse (Eva Marie Saint)Bref c'est un film d'atmosphère et l'on y découvre une très belle plage . (Big sur)Je ne peut que vous le conseiller pour vous dépayser et plonger dans les yeux violets de Liz taylor Ninnenne[/size] | |
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