Aussurucq le vingt huit mars 2OI5de MarcelleLemesle
Être près de toi.
Près de moi tu es allongée
Je sens ton souffle me caressé
Tes cheveux sont d’une légèreté
Que mes mains viennent effleurer
Des murmures de ta bouche se sont envolés
Beaucoup de je t’aime à fusés
Sur ce lit aux draps froissées
Recouvrant ta nudité
Je n’avais qu’un désir, te touchée
Et surtout t’embrassée
Mes mains descendirent sur tes reins cambrés
A ce moment tu te mis à frissonner
Puis nous nous sommes rapproché
A cet instant nos corps se sont touchés
Toi tu étais belle comme une poupée
Des heures et des heures je t’ai admiré
A cet instant je me suis levé
Venant t’apporté ton déshabillé
Afin de recouvrir ce corps dénudé
Mais qu’il était beau à regarder
Ce ne fut pas un rêve mais la réalité
Maintenant nous sommes unis pour l’éternité.abmirable poéme de Marcelle Lemesle