marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: A NE JAMAIS OUBLIER(animaux) + autres Jeu 23 Avr - 14:11 | |
| A NE JAMAIS OUBLIERDes leçons à ne jamais oublier 1 . Ne m’ignore jamais trop longtemps. Mon espérance de vie n’est que de 10 ou 15 ans. Quand tu pars, c’est toujours trop long et ça me fait toujours quelque chose quand tu n’y es pas. 2-. N’hésite pas à me présenter des nouvelles connaissances, des humains comme d’autres pitous. Je peux avoir l’air craintif de prime abord mais... je vais m’y faire. Dans le fond, j’adore faire de nouvelles rencontres.
3. Ne m’enferme pas dans une pièce à part quand la famille débarque. Ils font aussi partie de ma famille et, moi aussi, j’ai le droit des les aimer tout comme toi.
4. Ne te fâche pas si je sautille. Je t’aime beaucoup et, quand tu réapparais, c’est plus fort que moi, j’ai envie de te donner un gros hug !
5. Apprends moi des trucs nouveaux. J’adore te voir fier de moi quand je réussis des nouveaux trucs. Apprendre est un exercice extraordinaire pour moi, ça me garde en forme comme si j’aillais courir pendant 10 minutes !
6. Fâche toi pas si je ne maitrise pas tout du premier coup. Je ne connais pas ton langage mais je fais mon gros possible pour l’apprendre. Donne moi un peu de temps et rappelle toi : je veux avant tout te plaire et te rendre heureux.
7. S’il te plaît, ne me transmet pas ton stress. Même si tu as vécu une journée de misère, je suis content de te voir et vais tout faire pour tout te faire oublier.
8. Parfois j’ai peur, réconforte moi. Si tu n’es pas trop loin quand je suis apeuré par l’inconnu, je vais me calmer et maitriser ma peur beaucoup plus rapidement.
9. Je sais que tu es très occupé mais, je t’en prie, accorde moi un peu de temps à chaque jour. Chaque minute que tu me consacreras compte énormément pour moi. Dans ce temps-là, j’ai l’impression que l’on forme une équipe.
10. Ne me laisse pas dehors quand il fait trop froid ou trop chaud. Dehors, il n’y a pas assez d’options pour se garder au chaud ou à la fraicheur. Laisse-moi entrer dans la maison, je vais m’organiser pour me trouver un coin.
11. Ne néglige pas les petits détails pour me garder en santé. Fais moi couper les griffes, brosse mon poil, fais moi nettoyer les dents. Je me sens tellement mieux quand je suis propre.
12. Fais-moi confiance. Moi je te fais confiance, n’hésite pas à faire pareil pour moi. Je ferai TOUT pour ne pas te décevoir.
13. Ne te fâche pas pour de trop longues périodes. Toi, tu as tes amis, ton travail, tes loisirs pour te changer les idées, moi, je ne compte que sur toi.
14. Parle-moi. Souvent... Je ne comprends peut-être pas ton langage mais ton timbre de voix et ton langage corporel m’en disent suffisamment.
15. Sois toujours gentil avec moi. C’est plus fort que moi, j’ai la mémoire longue. Pour le meilleur et pour le pire... Plus tu m’aimes, plus je vais me sentir choyé d’être avec toi.
16. S’il te plaît, ne me frappe pas. N’oublie pas que ma mâchoire peut aisément te broyer les os de la main mais que je ne veux pas le faire car je t’aime trop. Si quelque chose ne va pas, je suis prêt à recommencer mais aide moi à mieux comprendre.
17. Si je fais quelque chose de bien, souligne le ! Il n’y a rien de plus valorisant pour moi que de te voir heureux quand je fais quelque chose de bien. Et promis, je vais le refaire encore et encore et encore...
18. Si tu vois que je suis dans un drôle d’état, n’hésite pas à investiguer. Avant de me traiter de paresseux, vérifie donc si mon cœur va bien, si ma digestion fonctionne et si mes articulations sont toujours en bon état.
19. Quand je serai vieux, j’espère que tu t’occuperas de moi comme aux premiers jours Tu te souviens combien tu t’occupais de moi quand j’étais tout petit ? Mon poil est peut-être moins soyeux et je suis sûrement moins mignon mais je suis toujours le même...
20. Quand viendra pour moi le moment de partir, reste près. Je sais que ça sera difficile pour toi, ça le sera pour moi aussi. Mais reste avec moi jusqu’à la fin. Tout est tellement plus facile quand tu es tout près.
Et n’oublie pas, je t’aime gros gros gros...
[size=24]PILOTE/LA CHIENNE QUI A SAUVE MONTREAL[/size] PILOTE La chienne qui a sauvé Montréal! Peut-être l’ignorez-vous, mais si cela n’avait pas été du courage et de la témérité d’une brave chienne, Montréal n’existerait peut-être même pas.
En 1642, lorsque Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve fonde Ville-Marie, un des principaux problèmes auxquels il a à faire face est sans contredit les attaques répétées des Iroquois.
Chaque sortie aux champs devient une entreprise périlleuse pour les colons.
Afin de pallier à cette menace, la petite communauté d’une cinquantaine d’âmes retranchées derrière sa palissade de bois, utilisent tous les moyens à sa disposition, incluant les quelques chiens arrivés avec les colons et qui servaient à protéger le bétail. Comme le raconte le supérieur du Séminaire de Montréal, Dollier de Casson, en 1644
Les chiens faisaient, tous les matins, une grande ronde pour découvrir les ennemis et allaient ainsi sous la conduite d’une chienne nommée Pilote.
L’expérience journalière avait fait connaître à tout le monde cet instinct admirable que Dieu donnait à ces animaux, pour nous garantir de quantité d’embuscades que les Iroquois nous faisaient partout, sans qu’il nous fût possible de nous en garantir, si Dieu n’y eût pourvu par ce moyen.
C’est d’ailleurs grâce aux aboiements incessants des chiens, et en particulier d’une chienne nommée Pilote, que le 30 mars 1644, Maisonneuve fut averti que sa bourgade était encerclée par une horde de 200 Iroquois.
Prompt à réagir et brave au combat, Maisonneuve réussit, avec une trentaine de braves, à défendre Ville-Marie en mettant en déroute les attaquants et en tuant héroïquement leur chef.
Un carnage venait d’être évité!
Cette fameuse chienne Pilote, qui dirigeait les autres chiens, appartenait au sergent-major Raphaël Lambert Closse.
Au sujet de cette chienne exceptionnelle, le père Jérôme Lalemant écrivait en 1647 dans « Relations » :
Il y avait dans Montréal, une chienne qui jamais ne manquait d’aller tous les jours à la découverte, conduisant ses petits avec soi; et, si quelqu’un d’eux faisait le rétif, elle le mordait pour le faire marcher.
Bien plus !
Si quelqu’un retournait au milieu de sa course, elle se jetait sur lui, comme par châtiment, au retour.
Si elle découvrait, dans ses recherches, quelques Iroquois, elle tournait court, tirant droit au fort, en aboyant et donnant à connaître que l’ennemi n’était pas loin.
Sa constance à faire ronde tous les jours, aussi fidèlement que les hommes, commençant tantôt d’un côté, tantôt de l’autre; sa persévérance à conduire ses petits et à les punir quand ils manquaient de la suivre, sa fidélité à tourner court quand l’odeur des ennemis frappait son odorat et à aboyer de toutes ses forces, en faisant face au côté où les ennemis étaient cachés, tout cela donnait de l’étonnement.
En 1892, les citoyens de Montréal, pour célébrer le 250e anniversaire de la ville, firent une levée de fonds afin d’ériger sur la Place d’Armes une statue en l’honneur de Maisonneuve.
Au pied du monument, quatre sculptures représentent Jeanne Mance, un guerrier Iroquois Charles LeMoyne et, à l’angle sud-est, Lambert Closse accompagné de sa chienne Pilote.Ainsi, quand vous aurez l’occasion de vous rendre dans le Vieux-Montréal, faites un petit tour à la Place d’Armes (juste en face de la basilique Notre-Dame) pour aller saluer et rendre hommage à Pilote, notre premier héros québécois… à quatre pattes!
Auteur: Dr Michel Pepin Publié dans le Magazine Animal [size] LES 10 COMMANDEMENTS CANINS/VRAI[/size] UN [size=18]CHIEN DOIT FAIRE PARTIE INTEGRANTE DE VOTRE FAMILLE[/size] IL SERA VOTRE COMPAGNON DANS LES BONS COMME LES MAUVAIS MOMENTS ET PARTAGERA TOUT DE VOTRE [size=18]VIE..RESPECTEZ LE ET AIMEZ LE COMME IL LE FERA ENVERS VOUS[/size] Ninnenne
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