marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: L'HIVER EST CAUSÉ PAR UN MAUVAIS MARIAGE(chez les Grecs)HISTOIRES À MÉDITER Ven 28 Aoû - 13:07 | |
| L'HIVER EST CAUSÉ PAR UN MAUVAIS MARIAGEL'HIVER EST CAUSÉ PAR UN MAUVAIS MARIAGE La mythologie grecque raconte que la véritable cause de l'hiver est la tristesse de Déméter, déesse de l'agriculture. À la suite d'un conflit relié au mariage de sa [size=18]fillePerséphone avec Hadès, le dieu des enfers, une entente a été conclue: Perséphone n'habiterait avec son mari que six mois par année. Durant cette période Déméter, terrassée par le chagrin, cesse tout effort pour fertiliser les champs, laissant l'hiver s'installer petit à petit. Le printemps marquerait le retour de Perséphone et de la joie de sa mère.[/size] [size=18]
[/size] Perséphone et Hadès
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[/size] Déméter, déesse de l'agriculture HISTOIRES À MÉDITERDEUX BÉBÉS DISCUTENT.. Steve Dallaire - Coach de vie Dans le ventre d’une mère, deux bébé discutent . - Bébé 1 : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ? - Bébé 2 : Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Nous sommes ici pour devenir forts et nous préparer pour ce qui nous attend après. . Bébé 1: Pffff… tout ça, c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement ! À quoi ressemblerait une vie hors du ventre ? - Bébé 2 : Eh bien, il y a beaucoup d’histoires à propos de « l’autre côté »… On dit que, là-bas, il y a beaucoup de lumière, beaucoup de joie et d’émotions, des milliers de choses à vivre… Par exemple, il paraît que là-bas on va manger avec notre bouche. . Bébé 1 : Mais c’est n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Tout le monde le sait. On ne se nourrit pas par la bouche ! Et, bien sûr, il n’y a jamais eu de revenant de cette autre vie… donc, tout ça, ce sont des histoires de personnes naïves. La vie se termine tout simplement à l’accouchement. C’est comme ça, il faut l’accepter. - Bébé 2 : Et bien, permet moi de penser autrement. C’est sûr, je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler, et je ne pourrais rien te prouver. Mais j’aime croire que, dans la vie qui vient, nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous. . Bébé 1 : « Maman » ? Tu veux dire que tu crois en « maman » ??? Ah ! Et où se trouve-t- elle ? -Bébé 2 : Mais partout, tu vois bien ! Elle est partout, autour de nous ! Nous sommes faits d’elle et c’est grâce à elle que nous vivons. Sans elle, nous ne serions pas là. . Bébé 1 : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas. -Bébé 2 : Je ne suis pas d’accord, ça c’est ton point de vue. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante… On peut sentir quand elle caresse notre monde… Je suis certain que notre Vraie vie va commencer après l’accouchement… POURQUOI LES FEMMES PLEURENT-ELLES?Un petit garçon demanda à sa mère : - Pourquoi pleures-tu ? - Parce que je suis une femme, lui répondit-elle. - Je ne comprends pas, dit-il. Sa mère le prit dans ses bras et lui dit : - Et jamais tu ne comprendras. Plus tard le petit garçon demanda à son père : - Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas ! - Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père pu lui dire. Devenu adulte, il demanda à Dieu : - Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ? Et Dieu répondit : - Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale.« J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde ; et assez douces pour être confortables. »« Je lui ai donné la force de donner la vie, et celle d'accepter le rejet qui vient souvent de ses enfants. »« Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne, et celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue. Je lui ai donne la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel, même quand ces derniers l'ont blessée durement.« Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et de demeurer à ses côtés sans faiblir. Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin. »« Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux. La beauté d'une femme réside dans ses yeux. car c'est la porte d'entrée de son cœur - le lieu où réside l'amour. Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son cœur. »« Toutes les femmes sont belles, et nous devons les encourager à s'aimer telles qu'elles sontLA CITHARE DU BONHEURLa cithare du bonheur
? C'était un homme droit et sincère qui cherchait le chemin du bonheur, qui cherchait le chemin de la vérité. Il alla un jour trouver un vénérable maître soufi dont on lui avait asuré qu'il pourrait les lui indiquer. Celui-ci l'accueillit aimablement devant sa tente et, après lui avoir servi le thé à la menthe, lui révéla l'itinéraire tant attendu : " C'est loin d'ici, certes, mais tu ne peux te tromper : au [size=13]coeur du village que je t'ai décrit, tu trouveras trois échoppes. Là te sera révélé le secret du bonheur et de la vérité. " La route fut longue. Le chercheur d'absolu passa maints cols et rivières. Jusqu'à ce qu'il arrive en vue du village dont son coeur lui dit très fort : " C'est là le lieu ! Oui, c'est là ! " Hélas ! Dans chacune des trois boutiques il ne trouva comme marchandises que rouleaux de fils de fer dans l'une, morceaux de bois dans l'autre et pièces éparses de métal dans le troisième. Las et découragé, il sortit du village pour trouver quelque repos dans une clairière voisine.La nuit venait de tomber. La lune remplissait la clairière d'une douce lumière. Lorsque tout à coup se fit entendre une mélodie sublime. De quel instrument provenait-elle donc ? Il se dressa tout net et avança en direction du musicien. Lorsque, stupéfaction, il découvrit que l'instrument céleste était une cithare faite de morceaux de bois, des pièces de métal et des fils d'acier qu'il venait de voir en vente dans les trois échoppes du village.A cet instant, il connut l'éveil. Et il comprit que le bonheur est fait de la synthèse de tout ce qui nous est déjà donné, mais que notre tâche d'hommes intérieurs est d'assembler tous ceséléments dans l'harmonie.Conte soufi UN PÈRE ET SON FILS[/size] Voici l’histoire d’un père et son fils
qui s’aimaient beaucoup et qui vivaient en parfaite harmonie sur leur terre à bois,
jusqu’au jour où… ... Un conflit éclata entre les deux.Le père et le fils vivaient du fruit de leurs labeurs. Ils travaillaient et récoltaient ensemble. Ils avaient tout en commun. Tout commença par un malheureux malentendu entre eux. Mais peu à peu, le fossé se creusa jusqu’au jour où il y eut une vive discussion entre les deux. Puis un silence douloureux s’installa et dura plusieurs mois. Un jour quelqu’un frappa à la porte du fils. C’était un homme à tout faire qui cherchait du [size=16]travail: - "Avez-vous quelques réparations à faire?". - " Oui, lui répondit-il, j’ai du travail pour toi.[/size] Tu vois, de l’autre côté du ruisseau vit mon père. Il y a quelques mois il m’a offensé gravement et nos rapports se sont brisés. Je vais lui montrer que je peux aussi me passer de lui. Tu vois ces pierres à côté de ma maison? Je voudrais que tu construises un mur de deux mètres de haut, car je ne veux plus le voir!". - L’homme répondit: "Je crois comprendre la situation...". Le fils aida son visiteur à réunir tout le matériel nécessaire. Puis, il partit en voyage le laissant seul pendant toute une semaine. Quelques jours plus tard, lorsqu’il revint de voyage, l’homme à tout faire avait déjà terminé son[size=16]travail.[/size] Mais quelle surprise! Le fils fut totalement bouleversé. Au lieu d’un mur de deux mètres de haut, il avait plutôt construit un magnifique pont. Au même instant, le père sortit de sa maison et courut vers son fils en s’exclamant: - "Tu es vraiment formidable! Construire un pont après ce que je t’ai fait! Je suis fier de toi et te demande pardon.". Pendant que le père et son fils fêtaient leur réconciliation, l’homme à tout faire ramassa ses outils pour partir. - "Non attends! Lui dirent-ils. Il y a ici du [size=16]travail pour toi!".[/size] Mais il répondit: - "Je voudrais bien rester, mais j’ai encore d’autres ponts à construire.".
Soyons des bâtisseurs de ponts entre les humains afin de faciliter leur réconciliation. Ne construisons jamais des murs de séparation. Soyons des hommes et des femmes qui unissent et réconcilient.
Que la vie vous récompense pour
TOUS LES PONTS QUE VOUS BÂTIREZ! Ninnenne blog monoasis | |
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