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| Petites citations diverses | |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Petites citations diverses Lun 28 Sep - 13:13 | |
| "Il est mort mais j'ai eu le sort le plus terrible: j'ai dû survivre".N. Ferlut.Lu dans:Nathalie Ferlut. Conte cruel de Manhattan. Eve sur la Balançoire. Casterman. 2013. 178 pages.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ - Citation :
- "Je me suis réveillé, un morceau de rêve entre les mains,
et n’ai su que faire de lui J’ai cherché alors un morceau de veille pour habiller le morceau de rêve, mais il n’était plus là. J’ai maintenant un morceau de veillle entre les mains et ne sais que faire de lui." Roberto Juarroz Etourdis par la folle journée de samedi qui vit la destitution puis la fuite de leur président, la sortie de prison et le retour pathétique d'une rivale affaissée, une foule d'Ukrainiens soudain silencieux prend conscience qu'après avoir tenu en main leur "morceau de rêve" ils se retrouvent avec "leur morceau de veille" sans trop savoir que faire de lui. Le loup en déroute, soudain que de bergers. Lu dans:Roberto Juarroz, Poésie verticale (VI, 64). Traduction de l'espagnol par Roger Munier----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Quel sera mon dernier soupir
de désespoir ou de désir?" Charles Dumont Lu dans :Charles Dumont, cité par Gabriel Ringlet. Effacement de Dieu. Albin Michel 2013. 297 pages.-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Tant de douceur au coeur de l'hommese peut-il qu'elle faille à trouver sa mesure?"Saint-John PerseLu dans:Philippe Mathy. Sous la robe des saisons. L'herbe qui tremble. 2013. 140 pages. Extrait p 22.---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Je suis intrigué. De quoi vivent-ils ces animaux, dans le désert? (..) Je ne résiste pas à mon désir et je suis les traces de l'un d'eux. Elles m'entraînent vers une étroite rivière de sable où tous les pas s'impriment en clair. J'admire la jolie palme que forment trois doigts en éventail d'un fenech, le petit renard des sables. J'imagine mon ami trottant doucement à l'aube, et léchant la rosée sur les pierres. Ici les traces s'espacent: mon fénech a couru. Ici un compagnon est venu le rejoindre et ils ont trotté côte à côte. J'assiste ainsi avec une joie bizarre à cette promenade matinale. J'aime ces signes de la vie. Et j'oublie un peu que j'ai soif ...
Enfin j'aborde les garde-manger de mes renards. II émerge ici au ras du sable, tous les cent mètres, un minuscule arbuste sec de la taille d'une soupière et aux tiges chargées de petits escargots dorés. Le fénech, à l'aube, va aux provisions. Et je me heurte ici à un grand mystère naturel. Mon fénech ne s'arrête pas à tous les arbustes. Il en est, chargés d'escargots, qu'il dédaigne. II en est dont il fait le tour avec une visible circonspection. Il en est qu'il aborde, mais sans les ravager. II en retire deux ou trois coquilles, puis il change de restaurant. Joue-t-il à ne pas apaiser sa faim d'un seul coup, pour prendre un plaisir plus durable à sa promenade matinale? Je ne le crois pas. Son jeu coïncide trop bien avec une tactique indispensable. Si le fénech se rassasiait des produits du premier arbuste, il le dépouillerait, en deux ou trois repas, de sa charge vivante. Et ainsi, d'arbuste en arbuste, il anéantirait son élevage. Mais le fénech se garde bien de gêner l'ensemencement. Non seulement il s'adresse, pour un seul repas, à une centaine de ces touffes brunes, mais il ne prélève jamais deux coquilles voisines sur la même branche. Tout se passe comme s'il avait la conscience du risque. S'il se rassasiait sans précaution, il n'y aurait plus d'escargots. S'il n'y avait point d'escargots, il n'y aurait point de fénechs. " A. de Saint Exupéry. Dans un pays dénué, on a rencontré des habitants pauvres et fiers, sages et amicaux comme celui du Petit Prince et qui ont retenu la leçon des fennecs. Alioune qui me lit sourira en observant que sa leçon portant sur le reboisement progressif de la mangrove et de ses palétuviers a franchi le désert et l'océan pour finir dans ce modeste billet. Je retrouve pour ma part avec un bonheur non-dissimulé ma ville, mon quartier, sa froidure, ses senteurs hivernales et sa grisaille, impatient aussi de retrouver les patients et leurs vies si diverses. Rencontrer un guide touristique amoureux de son pays nous fait paradoxalement (encore) mieux aimer le nôtre. Lu dans:A. de Saint-Exupéry. Terre des hommes. Gallimard 1939. Folio 21. 183 pages. Extrait pp 133-134--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- «Toutes les vicissitudes de notre vie sont des matériaux dont nous pouvons faire ce que nous voulons.»NovalisLu dans:Kitty Ferguson. L'incroyable Stephen Hawking. Flammarion. 2012. 452 pages. Extraits pp 60, 68, 69Stephen Hawking, Trous noirs et bébés univers. Odile Jacob. 2010. 208 pages. Extrait p. 26ABC , 20/20, émission de 1989.Emmanuelle Laborit. Le Cri de la mouette. Pocket Jeunesse. 2003. 212 pages.---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------«Qu’il est terrible de savoir là où savoir ne sert à rien à celui qui sait.»Sophocle. Tirésias dans Oedipe-Roi.----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Elles, pas fières,Sur leurs escabeaux en l'air,Regard implorant, et ne comprenant pas tout,Rétines et pupilles,Les garçons ont les yeux qui brillentPour un jeu de dupes :Voir sous les jupes des fillesEt la vie toute entière,Absorbés par cette affaire,Par ce jeu de dupes :Voir sous les jupes des filles,La, la, la, la, la..."A. SouchonLu dans:Alain Souchon. Extrait de l'album : C'est Déjà Ça. 1993. Label : Virgin---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Hâte-toihâte-toi de transmettreta part de merveilleux."René Char . Commune présence----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------«Tu sais ... le Dieu des Français ... Il est plus généreux pour les Français que le Dieu des Maures pour les Maures! » A de Saint-ExupéryLu dans:A. de Saint-Exupéry. Terre des hommes. Gallimard 1939. Folio 21. 183 pages. Extrait pp 86-87---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Aujourd'hui je n'ai rien fait.
Mais beaucoup de choses se sont faites en moi. Des oiseaux qui n'existent pas ont trouvé leur nid. Des ombres qui peut-être existent ont rencontré leurs corps. Des paroles qui existent ont recouvré leur silence. Ne rien faire sauve parfois l'équilibre du monde, en obtenant que quelque chose aussi pèse sur le plateau vide de la balance." R. Juarroz Lu dans:Robert Juarroz. Treizième poésie verticale. Edition bilingue, traduction Roger Munier. José Corti 1993. Extrait pp.120/121---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"L'homme bon est celui qui gardetelle l'auberge du cheminl'eau pour l'assoiffépour l'ivrogne le vin." Antonio Machado----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Si je fais couler du sable
De ma main gauche à ma paume droite, C'est bien sûr pour le plaisir De toucher la pierre devenue poudre, Mais c'est aussi et davantage Pour donner du corps au temps, Pour ainsi sentir le temps Couler, s'écouler Et aussi le faire Revenir en arrière, se renier. En faisant glisser du sable, J'écris un poème contre le temps." Guillevic Lu dans:Eugène Guillevic. Art Poétique 1985-1986. Gallimard. 1989. 192 pages.---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------«Un vol d’oiseauxLe monde continueDéjà sans moi.» Eric ChevillardLu dans :Collectif. Eric Chevillard. Minuit. 2014. 118 p.---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- "Il ou elle écrit autrement. Pour l'observer, avec admiration, envoyer, plus rapidement que je ne saurai jamais le faire de mes doigts gourds, des SMS avec les deux pouces, je les ai baptisés, avec la plus grande tendresse que puisse exprimer un grand père, Petite Poucette et Petit Poucet."M. SerresLu dans:Michel Serres. Petite Poucette. Editions le Pommier. 2012. 84 pages-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Main tenant, adverbe de temps désignant, à la lettre, "la main" : maintenant, "tenant en main" et si je saisis mon portable, mon téléphone ou ma tablette je peux même dire : maintenant, tenant en main le monde."Michel SerresLu dans:Michel Serres. Petite Poucette. Editions le Pommier. 2012. 84 pages---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Le rassurant de l’équilibre, c’est que rien ne bouge.
Le vrai de l’équilibre, c’est qu’il suffit d’un souffle pour tout faire bouger." Julien Gracq, Le rivage des Syrtes ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ "On s'était dit rendez-vous dans 10 ansMême jour, même heure, même pommeOn verra quand on aura 30 ansSur les marches de la place des grands hommes(..) C'est fou qu'un crépuscule de printempsRappelle le même crépuscule qu'il y a 10 ansTrottoirs usés par les regards baissésQu'est-ce-que j'ai fait de ces années?" Patrick Bruel - La place des grands hommes----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Voici que s'avance l'immobilisme, et nous ne savons pas comment l'arrêter."
Edgar Faure Lu dans :Franz-Olivier GIESBERT. Dictionnaire d'anti-citations pour vivre très con et très heureux. Cherche-Midi. 2013. 157 pages---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Adam Smith a mis en évidence un élément qui est au centre des théories récentes de la consommation, celles de sociologues comme Jean Baudrillard et Zygmunt Bauman : si celle-ci est motivée par des besoins, elle sera limitée, mais lorsqu'elle est mue par des désirs, elle est intarissable. La ligne d'arrivée ne se rapproche jamais. Vous ne serez jamais satisfait. "
Lars Svendsen Lu dans:Lars Svendsen. Work. Acumen Publishing 2008. Le travail. trad Léa Drouet. Autrement. 2013. 195 pages. Extrait p.161----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Ninnenne
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Petites citations diverses Mar 29 Sep - 12:53 | |
| Je me permets... De m'exprimer... c'est la clé de l'authenticité, Deme tromper... c'est un signe d'humilité, De risquer... c'est un pas vers la liberté, De dire non... c'est un gage de d'affirmation, De m'isoler... c'est le seuil de l'intériorité, D'écouter... c'est l'itinéraire de la vérité,
De m'interroger... c'est l'éclaircie de l'incertitude, De dire la vérité... c'est le miroir de la transparence, De m'émouvoir... c'est l'ouverture à l'émerveillement,
De pleurer... c'est l'éclosion de la sensibilité,
De rire... c'est l'apanage de la joie,
Dechanter... c'est le palliatif de la tristesse, De prier... c'est l'abreuvement à la source De pardonner... c'est l'ultime pas vers la libération,
De remercier... c'est l'amorce vers la gratitude,
De rêver... c'est l'ascension vers la réalisation. [size=18][size=16](Auteur inconnu)[/size][/size] [size=18][size=16]-------------------------------------------------------------------[/size][/size] "Cette graine que je tiens dans le creux de ma main qu'en naîtra-t-il demain un roseau ou un chêne quelque plante de jardin (..) pourvu que je lui trouve bonne terre qui la couve. Ainsi bonne graine attends
(..) Cet amour que tu tiens dans le creux de ta main, qu'en naîtra-t-il demain mon bonheur ou ma peine ou mes regrets sans fin. " E. Granek
Lu dans : Esther Granek. Portraits et chansons sans retouches. Préface de Flora Groult. Ed. Saint-Germain des Prés. 1976. 61 pages. Extrait p.20
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- "Par temps clair, hiver pur, été sec, la plus belle lumière est celle de la fin du jour, rasante, intense, dorée, sœur vive des ombres longues et promesse du repos de la vie. Rembrandt suggère qu'il peut y avoir des fins de vie éclairées de cette lumière-là, vies de vieux hommes « rassasiés de jours », et que douleur, joie et sagesse ont passées au tamis."
Claude Roy Belle description de la lumière rasante de cette fin d'après-midi, par temps pur. Une poule faisane échappe sous nos yeux au tir croisé de cinq chasseurs, laissant leur chien rapporteur bredouille. On rit sous cape, en voilà une qui aura des choses à raconter à son faisan ce soir. La tempête a abattu un vieux sapin lui aussi "rassasié de jours", la tronçonneuse lui donne une seconde vie sous forme de bûches qui rougiront dans l'âtre. Une journée ainsi s'achève, comme l'année, tissée de récits et d'événements minimes qui ensemble forment la toile contrastée de nos vies.
Lu dans : Claude Roy. La fleur du temps. Ed Gallimard 1988. NRF. 357 pages. Extrait p.330 --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "En moi
ce besoin de poser l'oreille contre terre - Citation :
- D'écouter cogner
le coeur du monde - Citation :
- Pour entendre
le mien." L. de Groot Lu dans: Louisa de Groot. Le Parloir. Ed. Traces de vie. 2005. 100 pages. Extrait p.98------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Chacun apprend les répliques de son rôle
sans pouvoir lire la pièce en entier on joue mal on joue bien parce qu'on ne connaît pas le sujet ." Robert Mallet Une découverte du nouveau centre culturel de Dunkerke, battu par les embruns de la mer du Nord qui le borde, laisse rêveur. Entre un miroir que l'artiste a arrosé de son sperme pour l'immortaliser et une chaise Ikea oubliée dans un coin, l'esprit se repose. Mal nous en prend si nous tentons de nous y mettre, délogé aussitôt par un gardien hilare qui nous intime "qu'on ne s'assied pas sur une oeuvre d'art". Il en rit tant lui-même que je doute qu'il soit dupe, mais fait ce qu'on lui demande de faire et on le comprend bien. J'en sors avec l'impression d'un monde atteint d'une intense lassitude, ayant érigé l'insignifiant et le dérisoire en sublime, me récitant quelques phrases de Beckett ou de Marcel Marien pour qui "il manque au monde le commencement et la fin. Nous vivons dans le reste." Lu dans :Robert Mallet. L'ombre chaude. NRF. Gallimard. 1984. 110 pages. Extrait p.78Frac . Fond Régional d'Art Contemporain. 503 Avenue Bancs de Flandres, 59140 Dunkerque. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------« C’est la fièvre de la jeunesse qui maintient le monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents. "Georges BernanosEntendu à :O Positif 26/12/2013 - ADN - Comprendre les enfants difficiles http://www.rtbf.be/radio/player/lapremiere?id=1881353&e=-------------------------------------------------------------------------------------------------------------- "Ce n'est pas tant l'intervention de nos amis qui nous aide mais le fait de savoir que nous pourrons toujours compter sur eux."Epicure-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"La grandeur d'un métier est peut-être, avant tout, d'unir des hommes: (..) on n'achète pas l'amitié d'un Mermoz."A. de Saint Exupéry.Lu dans :Antoine de Saint-Exupéry. Terre des hommes. Gallimard 1939. Folio 21. 183 pages. Extrait pp 35-36--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Quand passent les canards sauvages à l'époque des migrations, ils provoquent de curieuses marées sur les territoires qu'ils dominent. Les canards domestiques, comme attirés par le grand vol triangulaire, amorcent un bond inhabile. L'appel sauvage a réveillé en eux je ne sais quel vestige sauvage. Et voilà les canards de la ferme changés pour une minute en oiseaux migrateurs. Voilà que dans cette petite tête dure où circulaient d'humbles images de mare, de vers, de poulailler, se développent les étendues continentales, le goût des vents du large, et la géographie des mers. L'animal ignorait que sa cervelle fût assez vaste pour contenir tant de merveilles, mais le voilà qui bat des ailes, méprise le grain, méprise les vers et veut devenir canard sauvage."A. de Saint-ExupéryLu dans :Antoine de Saint-Exupéry. Terre des hommes. Gallimard 1939. Folio 21. 183 pages. Extrait pp 169-167-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Nos souvenirs, on les garde, ils se baladent, ça flotte, ça traîne, ça s’échange… Puis, à un moment donné, on en attrape quelques-uns, on lie une image et une émotion [comme] pour en faire un petit gâteau. (..) Pour y arriver, il faut le faire avec des choses qui ont du sens pour vous. Quand on fait répéter des suites de chiffres à des personnes âgées, c’est d’une crétinerie absolue. Comment voulez-vous vous souvenir de chiffres qui n’ont aucun sens? Il faut que cela ait du sens, que cela apporte quelque chose. (..) L’oubli a ses vertus. Pour être créatif, il faut avoir oublié. L’oubli rend disponible à tout ce qui peut arriver, aux découvertes, aux surprises, à la curiosité, à l’innovation. "
Simon-Daniel Kipman. Lu dans:Simon-Daniel Kipman. L'oubli et ses vertus. Albin Michel. 2013.---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Il n’aurait fallu qu’un moment de plusPour que la mort vienneMais une main nue alors est venueQui a pris la mienne." Aragon------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "L'amour reste à l'épreuve du temps
Le trouver, c'est le chercher sans cesse L'attendre, le saisir un instant S'en souvenir pour qu'il reparaisse" Charles Dumont Lu dans :Gabriel Ringlet. Effacement de Dieu. Albin Michel 2013. 297 pages. Extrait p.196Elizabeth Connor. Charles Dumont: Monk-Poet: A Spiritual Biography. Cistercian Publications. 2007. p. 173-187. 229 pages. Extrait p 173-187---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Nous ne demandons pas à être éternels, mais à ne pas voir les actes et les choses tout à coup perdre leur sens, (..) semblables à un voilier en panne, sans vent, sur la mer." Antoine de Saint-Exupéry. Vol de Nuit.Lu dans:Antoine de Saint-Exupéry. Vol de Nuit. Préface d'André Gide. Prix Femina (1931). Gallimard 1931. 178 pages. Extrait p.156--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Il ne faut pas oublier de se souvenir."Sagesse des comptoirsLu dans:Jean-Marie Gourio. Le grand café des brèves de comptoirs. Laffont 2013. 925 pages.--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"J'étais si près de toique j'ai froid près des autres." Paul Eluard. Ma morte vivante.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- Comme l'araignée
tisse sa toile Quand la rosée s'égoutte sur ses fils goutte à goutte dès le premier soleil Sa toile devient étoile au lieu d'un piège à mouches Et je l'envie Louisa de Groot Lu dans: Louisa de Groot. Le Parloir. Ed. Traces de vie. 2005. 100 pages. Extrait p.42 --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------"Dans la guerre, le nombre seul ne procure aucun avantage."Sun TzuLu dans:Louis Ferrante. Les règles d'or de la Mafia. Les Editions de l'Homme. 2012. 270 pages. Extrait p. 193 Sun Tzu. L'art de la guerre. Flammarion Poche. 1999. 266 pages.------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- - Citation :
- "Les mendiants ne travaillent pas, dit-on. Mais alors, qu'est-ce que le travail? Un terrassier travaille en maniant un pic. Un comptable travaille en additionnant des chiffres. Un mendiant travaille en restant dehors, qu'il pleuve ou qu'il vente, et en attrapant des varices, des bronchites, etc. C'est un métier comme un autre. Parfaitement inutile, bien sûr - mais alors, bien des activités enveloppées d'une aura de bon ton sont elles aussi inutiles. [ ... ] Un mendiant, à voir les choses sans passion, n'est qu'un homme d'affaires qui gagne sa vie comme tous les autres hommes d'affaires, en saisissant les occasions qui se présentent. Il n'a pas plus que la majorité de nos contemporains failli à son honneur: il a simplement commis l'erreur de choisir une profession dans laquelle il est impossible de faire fortune".
George Orwell Lu dans:Lars Svendsen. Work. Acumen Publishing 2008. Le travail. trad Léa Drouet. Autrement. 2013. 195 pages. Extrait p.15George Orwel. Dans la dèche à Paris et à Londres (Down and out in Paris and London). Livre autobiographique de George Orwell (1933). Ed 10/18. 2003; 290 pages-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Ninnenne
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