Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
Sujet: BEAUX TEXTES(suite) Jeu 20 Aoû - 14:24
ARBRE A SOUCIS
*~* Arbre à soucis *~* Un jour, j'ai retenu les services d'un menuisier pour m'aider à restaurer ma vieille grange. Après avoir terminé une dure journée au cours de laquelle une crevaison lui avait fait perdre une heure de [size=16]travail, sa scie électrique avait rendu l'âme, et pour finir, au moment de rentrer chez lui, son vieux pick-up refusait de démarrer, je le reconduisis chez lui et il demeura froid et silencieux tout au long du trajet. Arrivé chez lui, il m'invita à rencontrer sa famille. Comme nous marchions le long de l'allée qui conduisait à la maison, il s'arrêta brièvement à un petit arbre, touchant le bout des branches de celui-ci de ses mains.
Lorsqu'il ouvrit la porte pour entrer chez lui, une étonnante transformation se produisit. Son visage devint rayonnant, il caressa ses deux enfants et embrassa sa femme. Lorsqu'il me raccompagna à ma voiture, en passant près de l'arbre, la curiosité s'empara de moi et je lui demandai pourquoi il avait touché le bout des branches de cet arbre un peu plus tôt. « C'est mon arbre à soucis, » me répondit-il. « Je sais que je ne peux éviter les problèmes, les soucis et les embûches qui traversent mes journées, mais il y a une chose dont je suis certain, ceux-ci n'ont aucune place dans la maison avec ma femme et mes enfants. Alors, je les accroche à mon arbre à soucis tous les soirs lorsque je rentre à la maison. Et puis, je les reprends le matin ».
« Ce qu'il y a de plus drôle », il sourit, « c'est que lorsque je sors de la maison le matin pour les reprendre, il y en a beaucoup moins que la veille lorsque je les avais accrochés.[/size]
[size=24]LES YEUX DE L'ÄME
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LES YEUX DE L'ÄME
Deux hommes, les deux sérieusement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. Un des deux hommes pouvait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les fluides de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer des journées couché sur son dos. Les hommes parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, leurs maisons, leurs emplois, leur participation dans le service militaire et où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il pouvait voir dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où sonmonde était élargi et égayé par toutes les activités et couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants naviguaient leurs bateaux modèles. Les jeunes amoureux marchaient bras sous bras parmi des fleurs de chaque couleur de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et une belle vue de la ville pouvait être vue dans la distance. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tout ceci dans le détail exquis, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait ses yeux et imaginait la scène pittoresque. Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme ne pouvait pas entendre l'orchestre, il pouvait la voir avec l'oeil de son imagination tellement son compagnon l'a dépeint avec des mots descriptifs.
Les jours et les semaines passèrent. Un matin, l'infirmière de jour est arrivée pour apporter l'eau pour leurs bains et trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, qui est mort paisiblement dans son sommeil. Elle était attristée et appela les préposés pour prendre son corps. Dès qu'il senti que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière était heureuse de le transérer et après s'être assurée qu'il était confortable, elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, il se monta vers le haut sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de le voir lui-même. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Tout ce qu'oeil vu, fut un mur. L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé avait décrit de si merveilleuses choses. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Elle dit: "Peut-être, il a juste voulu vous encourager."
Epilogue... Il y a un bonheur énorme à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres situations. La peine partagée est la moitié de la douleur, mais le bonheur une fois partagé, est doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter toutes les choses que vous avez que l'argent ne peut pas acheter. Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi il s'appelle le présent
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LE JOUR DE LA JONQUILLE /HISTOIRE VRAIE
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Jours de la Jonquille
Du 21 au 24 mars 2013 des milliers de bénévoles couvriront le Québec de jonquilles. Le grand succès de la vente de fleurs fraîches a fait de cette fleur l’emblème officiel de la Sociétécanadienne du cancer, ainsi qu’un symbole d’espoir et de courage.
Pour appuyer ceux et celles qui luttent quotidiennement contre cette maladie, voici l'histoire d'Adam.
Adam En convalescence à la suite de sa deuxième intervention à coeur ouvert à l'hôpital pour enfants, ma fille de six ans quitta l'unité des soins intensifs pour l'étage de la pédiatrie. Comme une partie de l'étage était fermée, Kelly se retrouva dans l'aile réservée aux enfants atteints de cancer. Dans la chambre voisine, Adam, un garçon de six ans, se battait contre la leucémie. Il passait la moitié du mois à l'hôpital pour recevoir des traitements de chimiothérapie. Chaque jour, Adam venait se promener dans la chambre de Kelley, poussant la perche qui soutenait son soluté. En dépit de l'inconfort des traitements, Adam était toujours souriant et enjoué. Il nous distrayait pendant des heures en nous racontant ses nombreuses histoires. Adam réussissait toujours à trouver un aspect positif et humoristique à toute situation difficile. Un jour en particulier, j'étais très fatiguée et anxieuse de voir Kelley quitter l'hôpital. La journée grise et sombre ne faisait qu'alimenter ma mélancolie. Pendant que je regardais le ciel pluvieux par la fenêtre, Adam arriva pour sa visite quotidienne. Je lui dis à quel point je trouvais la journée déprimante. Avec son sourire immuable, Adam se tourna vers moi et me répondit d'un ton enjoué : "Chaque journée est belle pour moi." Depuis ce jour-là, je n'ai jamais connu un jour sombre. Même les jours les plus gris m'apportent un sentiment de joie, chaque fois que je pense avec reconnaissance aux sages paroles prononcées par un brave petit garçon de six ans qui portait le nom d'Adam. - Patti Merritt -
Ayez une bonne pensée cette semaine pour tous les «Adam» de ce monde.
Pour en connaître d'avantage sur les Jours de la Jonquille, consultez le site officiel de laSociété Canadienne du Cancer Merci pour eux.
Un [size=16]sourire, c'est peu de chose,mais ça ressemble à une rose.
Heureux celui qui le reçoit, car, dans son cœur, volète la joie.[/size]
Un [size=16]sourire, c’est peu de chose, mais ça ressemble à une rose.
Il est un don de celui qui sait l’offrir,même si le vent est en train de nordir.[/size]
Un [size=16]sourire, c’est peu de chose, mais ça ressemble à une rose.
Il apaise la mélancolie quand elle fait larmoyer la vie.[/size]
Un [size=16]sourire, c’est peu de chose, mais ça ressemble à une rose.
On le donne avec plaisir à celui qui a peur de l’avenir.[/size]
Un [size=16]sourire, c’est peu de chose, mais ça ressemble à une rose.
Il fait oublier beaucoup de choses,car l’existence n’est pas toujours rose.[/size]
Serge LÉONARD (BRIVE)
Merci à son auteur
Le monde est à l'envers ! Camille Labrecque
[ltr] [size=32]Lor[size=13]rsque l'on perd un de ses amis que l'on aime par-dessus tout, Le monde est à l'envers Lorsque des milliers de gens innocents meurent à cause de terroristes fanatiques, Le monde est à l'envers Lorsque nos politiciens envoient nos soldats se faire tuer et en tuer d'autres, Le monde est à l'envers Lorsque des milliers d'enfants meurent de faim, Le monde est à l'envers Lorsque des [size=13]femmes sont battues, violées, tuées, Le monde est à l'envers Si on ne fait rien, si on ne change rien, Le monde est à l'envers Et il le sera à tout jamais ![/size][size=32]Le monde est à l'envers[/size][/size][/ltr][/size]
Camille Labrecque
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BEAU MESSAGE
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On ne pourra jamais revenir en arrière pour que l'on puisse dire: "Bye, je t'aime".
Un jour, l'époux d'une dame meurt, et en ce matin clair et froid, dans la chaleur de leur chambre à coucher, la femme est frappée soudainement par la douleur d'apprendre que parfois, il n'y a plus de "tantôt" plus de caresses, plus de moments spéciaux à célébrer ensemble...plus d'appels téléphoniques... "juste pour jaser"... plus de "attends une minute"... Des fois, tout ce qui nous tient à coeur est complètement utilisé il n'y en a plus...On ne pourra jamais revenir en arrière pour que l'on puisse dire: "Bye, je t'aime".
Donc, pendant qu'on les a encore, on est mieux de les aimer, de les réparer quand ils sont brisés et de les aider à guérir quand ils sont malades.
Ceci est vrai pour le mariage, les enfants avec de mauvais bulletins, les parents et grands-parents qui vieillissent trop vite, nos animaux de compagnie, nos amis, la vieille bagnole, la maison.
Nous les gardons dans notre vie parce qu'ils sont importants pour nous et qu'ils en valent la peine.
Quelques fois, on garde l'amour et l'amitié, tel que les meilleurs amis qui déménagent au loin, ou encore, une belle-soeur après un divorce. Ce sont des choses qui continuent de nous rendent heureux.
La vie est importante, tout comme les gens que nous connaissons, des gens si précieux, que nous gardons près de nous. J'ai reçu ceci de quelqu'un qui a jugé qu'il voulait "me garder". Et moi, il est sur mon site pour faire partager ceux et celles et celles que je veux garder.
Maintenant, partage le c'est à ton tour. Envoie-le à tous ceux que tu veux "garder" Suppose qu'un matin, tu ne te réveilles plus....
Est-ce que tes amis savent combien tu les aimes? Je pensais justement, je pourrais mourir aujourd'hui, demain ou la semaine prochaine. Et je me demandais si j'avais des blessures à guérir, des amitiés à reprendre ou juste deux mots à dire. « Je t'aime ».
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"LE FAUTEUIL ROULANT"
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Chacun de nous pourrait avoir aussi Une vie qui nous prive de moyens De vivre comme tout le monde De faire des gestes aussi simple De savoir que la terre est encore ronde Et de rendre cette vie impossible C'est un lot de frustrations, de privations Rien que pour ces regards des autres Certains de pitié, d'autre de répulsion Quand on sort ou qu'on rentre Tout devient obstacle à franchir Un parcours du combattant On peut y arriver ou fléchir Car sur un fauteuil roulant On ne peut pas partout aller Sur un fauteuil roulant On ne peut pas partout rouler Sur un fauteuil roulant Rien n'est prévu pour ces hommes et ces femmes A la maison, dans la rue et lieux publics Tous les jours ainsi, ils vivent ce drame Pourtant pour tous, enfants de la République Avec les mêmes droits, les mêmes égards Ne pas se sentir ni oublier, ni exclus De ne pas avoir honte de ces regards Qui vous donne envie de vivre reclus Ton âme sombre dans la mélancolie Et passer à l'acte de mettre fin à ses jours Non! Ce ne serait que pure folie Oui, on peut vivre avec pour toujours Malgré sur un fauteuil roulant On ne peut pas partout aller Sur un fauteuil roulant On ne peut pas partout rouler Sur un fauteuil roulant C'est au prix de mille efforts que nous sortons C'est au prix de souffrances que nous rentrons Dans la rue parmi les voitures et les piétons Avec nos fauteuils roulants Ils vous bousculent au passage Ou interdisent le passage On fait comme si on existait pas Pourtant chacun peut-être dans ce même cas D'être sur un fauteuil roulant On ne peut pas partout aller Sur un fauteuil roulant On ne peut pas partout rouler Sur un fauteuil roulant. Ahmed Ndao 20/07/2007 Texte écrit pour sa fille MERCI
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"MATIN BONHEUR"
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Matin bonheur
Si je suis satisfait avec moi-même Si je vis en accord avec ma nature Je ne sens aucun conflit en moi Et je ne veux que vivre à cent pour cent.
Créer, être heureux avec mes semblables. Je n'ai pas envie de combattre. De faire la guerre.. De conquérir... Je veux simplement vivre en harmonie avec les autres et la nature. Pour changer le monde, il faut changer l'individu....? Le monde en tant que tel n'existe pas. Il est fait d'individus.... On ne peut pas changer le monde, on ne peut que changer ce qui le compose.
Il faut encourager l'individu à se réaliser. À se trouver.... Car un individu équilibré heureux ne peut que créer de l'équilibre...
De la paix, du bonheur, car c'est cela qu'il a trouvé en lui.
Nous vivons dans un monde misérable, car l'individu en lui-même est misérable
Il n'est pas en harmonie avec lui-même. Il n'est pas satisfait.
Le contentement est une chose intérieure. Le contentement n'a rien à voir avec le matériel.
Plus je possède et plus je suis content... Non! Plus je possède et plus je veux! ! !
Vous pouvez regarder tous ces soi-disant stars ou millionnaires... Ils ne sont pas heureux. La clef de la vie se trouve dans l'homme. Cette clef ouvre les portes du bonheur.
Un bonheur illimité. Un bonheur qui satisfait. Un bonheur qui aime... Qui crée...Qui accepte, Qui donne... Qui chante et qui danse.
Matin bonheur
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SUPERBE PHILOSOPHIE
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SUPERBE PHILOSOPHIE !
Un maître de l'Orienta vu un scorpion en train de se noyer. Lorsqu'il décida de le tirer de l'eau, le scorpion le piqua.
Par l'effet de la douleur, le maître lâcha l'animal qui, de nouveau, tomba à l'eau encore en train de se noyer.
Le maître tenta de le tirer nouvellement et l'animal le piqua encore.
Quelqu'un qui était en train d'observer se rapprocha du maître et lui dit : Excusez-moi, mais vous êtes têtu! Ne comprenez vous pas qu'à chaque fois, que vous tenterez de le tirer de l'eau il va vous piquer?
Le maître répondit: La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d'aider.
Alors, à l'aide d'une feuille, le maître tira le scorpion de l'eau, sauva sa vie et continua.
Ne change pas ta nature si quelqu'un te fait mal. Prends seulement des précautions.
Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent.
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons de sourire.
Préoccupe-toi plusde ta conscience que de ta réputation.
Parce que ta conscienceest ce que tu es, et que ta réputation, c'est ce que les autres pensent de toi...
Et ce que les autres pensent de toi... c'est leur problème.
Mon super bas de Noël
Pour Noël, c’est un bas de Noël que je fabriquerai Avec de la feutrine que je colorerai Il sera beau, ce sera un bas géant J’aurai tellement de choses à mettre dedans
Il est bien sur que je n’en ferai qu’un Mais il y aura des choses pour chacun Mon bas sera oui, rempli à craquer Il vaudrait mieux bien sur, le renverser
Chacun aura de quoi vraiment se souvenir Je voudrais que tous y prennent du plaisir Vous ne trouverez pas n’importe quoi Dans mon bas, il y aura surtout des joies
Il sera aussi, plein de nouvelles amitiés De sourires, qu’on vous fera toute l’année De moments, qui seront tellement délicieux Qu’ils seront des instants vraiment précieux
Puis, je n’oublierai pas votre santé Un compte en banque triple fois multiplié Des p’tits bonheurs dont vous vous rappellerez Et plein de choses qui combleront vos journées
Mais tout au fond, vous trouverez un joli poème Pour vous rappeler, que bien des gens vous aiment
Texte Claude Marcel Breault
PRIERE DU CHEVAL DE CAMARGUE
SOUVENIRS DE NOËL /BEAU TEXTE DU REGRETTE MARCEL BREAULT/
Autrefois à Noël, il y avait moins de lumières Mais on créait une meilleure atmosphère Je me rappelle, on arrivait chez mes Grands-parents Puis on se disait Joyeux Noël en nous embrassant
On voyait la table, qui était déjà mise Puis une maison qui était pleine de surprises Même leur chat devenait tout excité C’était d’ailleurs pareil à chaque année
On déposait nos habits sur leur lit Là ou se coucheraient les plus p’tits Mon Dieu, que ça sentait bon chez Mamie Cette odeur de chocolats et de pâtisseries
Nous les enfants on criait pourtant bien fort Mais à Noël tout semblait insonore On nous laissait nous amuser C’était notre manière de fraterniser
Nos oncles, nos tantes, les cousins On sentait tous notre coté humain Puis après avoir fêté, nous être amusé On devait encore, tous nous embrasser
Ou parfois, une cousine câliner Elle était tellement belle cette année Les lumières de Noël, étaient dans nos yeux A Noël, on était tous tellement heureux
Texte Claude Marcel Breault
L'OISEAU BLEU/EDDIE CONSTANTINE ET TANIA
Par Eddie Constantine et Tania
TANIA: Dis monsieur, bon monsieur est-ce que la terre est ronde? Si c’est vrai l’oiseau bleu où est-il dans le monde? Tous les jours je suis là et pleure en l’attendant Pleurais-tu comme moi quand tu étais enfant? Que devient le soleil quand il tombe à la mer? Et pourquoi le matin le ciel est si clair? Pourquoi donc je ne peux m’envoler dans le vent? Et pourquoi, dis monsieur tu pleures en l’écoutant?
E.C.: Mon enfant, mon enfant, c’est vrai la terre est ronde Et longtemps j’ai cherché l’oiseau bleu dans le monde Comme toi j’ai pleuré en tendant mes deux bras Mais pour toi j’en suis sûr un beau jour il viendra N’ait pas peur le soleil ne meure pas sous les dunes Il s’en va pour t’offrir un beau clair de lune Et pourquoi voudrais-tu t’envoler dans le vent J’ai voulu moi aussi mais j’ai des cheveux blancs
TANIA: Ne pleure plus, bon monsieur, puisque la terre est ronde Pour t’offrir l’oiseau bleu je vais courir le monde
E.C.: Mon enfant ne pars pas, ne pars pas pour ailleurs L’oiseau bleu il est là cherche bien dans ton coeur
TANIA: Si c’est vrai, bon monsieur, j’irai dans le soleil Pour cueillir avec lui un morceau de ciel
E.C.: Mon enfant tu iras bien plus loin que le jour L’oiseau bleu c’est l’amour, l’amour.
Leçon de VIE
Peut-être que oui, peut-être que non!
Il était une fois un modeste paysan.
Il était veuf et n’avait qu’un fils.
Un jour , son cheval disparu.
Tous ses voisins le plaignirent, en disant qu’une bien triste chose était arrivée.
« Peut-être que oui , peut-être que non »répondit-il.
Trois jours plus tard,
son cheval revint accompagné de trois chevaux sauvages.
Les voisins l’envièrent et lui affirmèrent : « Quelle chance tu as ! »
À quoi il répondit:
« Peut-être que oui , peut-être que non »
Son fils tenta de monter l’un des chevaux sauvages,
tomba et se cassa une jambe.
Les voisins dirent : « Quelle malchance ! »
« Peut-être que oui , peut-être que non »
répondit une nouvelle fois le paysan.
Trois jours plus tard, les soldats vinrent chercher
tous les jeunes hommes valides pour les enrôler dans l’armée,
et le fils du paysan ne fut pas enrôlé.
La morale de cette histoire.
Nous ne savons pas ce que la vie nous réserve. Nous ne voyons qu’un tout petit bout de notre réalité.
Sagesse de LAO-TSEU
PRIERE AMERINDIENNE
[size=35]«À ceux que j’aime...[/size]
[size=35]et ceux qui m’aiment» [/size]
Quand je ne serai plus là, relâchez-moi, Laissez-moi partir, J’ai tellement de choses à faire et à voir Ne pleurez pas en pensant à moi, Soyez reconnaissants pour les belles années, Je vous ai donné mon amitié, Vous pouvez seulement deviner Le bonheur que vous m’avez apporté.
Je vous remercie de l’amour que chacun m’avez démontré, Maintenant, il est temps de voyager seul. Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous serons séparés pour quelque temps. Laissez les souvenirs apaiser votre douleur, Je ne suis pas loin, et la vie continue... Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai, Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là, Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement La douceur de l’amour que j’apporterai. Et quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir. Absent de mon corps, présent avec [size=21]Dieu.[/size]
N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas, Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière que traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la nuit, N'allez pas sur ma tombe pour pleurer,Je ne suis pas là,Je ne suis pas mort.
(prière indienne)
"JUSTE UN PETIT RIEN"
Un petit rien, c’est dire bonjour À la voisine et aux amis C’est presque rien et c’est facile Cela rend la vie plus jolie
Un petit rien, c’est dire merci À celui qui vous rend service C'est presque rien, un petit mot de courtoisie Qui rend heureux celui à qui il est dit
Un petit rien, c’est un sourire À distribuer sur son chemin C’est presque rien, mais c’est beaucoup Cela rend heureux et c’est contagieux
Un petit rien, c’est dire je t’aime
À la personne que l’on aime C’est presque rien, c’est important L’amour s’entretient chaque jour
Ces petits riens sont peu de choses, Mais ils illuminent la journée Ils donnent envie de partager le bonheur Et cela, ça n’a pas de prix.
Ninnenne blog de partage latanierededilou
BEAUX TEXTES(suite)
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