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 Pensez à votre santé (un peu de tout)

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MessageSujet: Pensez à votre santé (un peu de tout)   Pensez à votre santé  (un peu de tout) Icon_minitimeJeu 17 Nov - 11:31

Retour historique sur les plantes sauvages


Retour historique sur les plantes sauvages


Chère lectrice, cher lecteur, 

La cueillette de plantes sauvages pour se nourrir paraît incongrue et dépassée. 

Pourtant, ce n’est qu’à une date toute récente, à l’échelle de l’histoire de l’humanité, que nous avons commencé à manger des légumes cultivés. Il y a 4 000 à 5 000 ans seulement, en Europe occidentale, 10 000 ans dans le Croissant fertile (actuelle Syrie, Irak). 

Nous aurions donc passé 5 000 ans à manger des végétaux domestiqués, contre 5 millions d’années (mille fois plus) des herbes sauvages… 

La cueillette devrait donc faire partie de nos réflexes les plus profonds, ne serait-ce que pour notre survie. Et pourtant, à quelle vitesse avons-nous perdu tout souvenir de ces gestes indispensables ! 

Alors permettez-moi de me glisser aujourd’hui dans la peau d’un professeur ennuyeux pour faire un petit « retour historique » sur les plantes sauvages dans notre alimentation et nos pharmacies. 

Installez-vous confortablement dans un fauteuil si vous le pouvez. Le récit est librement adapté et résumé du livre de Bernard Bertrand, célèbre herboriste et auteur de Cueillettes sauvages, aux éditions Plume de Carotte, que je vous invite à vous procurer si ce n’est pas encore fait. 

Nos instincts originels ne sont pas aussi éloignés que nous le pensons

Nos instincts vitaux originels ne sont pas aussi éloignés que nous le pensons. 

Jusqu’au milieu du XIXe siècle, nous avons continué à pratiquer la cueillette, parallèlement à l’agriculture. 

L’agriculture est restée longtemps archaïque et ses rendements faibles. Ce n’est qu’au XXe siècle qu’elle est parvenue à couvrir tous les besoins de certaines populations (en Occident), se trouvant même localement en surproduction (Europe, Amérique du Nord). 

Autrefois, les accidents de culture étaient fréquents : météo, guerres, maladies. Les récoltes étaient régulièrement détruites ou pillées. 

Au cours des siècles, le même scénario se répète, immuablement : c’est, à chaque fois, grâce aux herbes sauvages que les populations, ou une partie d’entre elles, survivent jusqu’à la récolte suivante. 

(la suite ci-dessous) 

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Suite de la lettre de ce jour : 

Dans ces moments de grande difficulté, l’homme fabriquait de la farine avec diverses écorces. Il concoctait des soupes de lichen, du potage avec de la paille. Dans les cas les plus extrêmes, il tentait de mâcher, comme dans Lucky Luke, le vieux cuir tanné des chaussures pour tromper sa faim. Et ce n’est pas une blague [1]. 

Le célèbre agronome Parmentier rédigea en 1771 une première thèse pour prévenir les crises alimentaires : Recherches sur les végétaux nourrissants qui, dans les temps de disette, peuvent remplacer les végétaux ordinaires. Il y cite les racines d’aristoloche, arum (plusieurs espèces), bardane, fumeterre bulbeuse, bryone, mandragore, pivoine, renouée bistorte, renoncule bulbeuse. 

Sauriez-vous les reconnaître si vous en aviez besoin un jour ? Et transmettre cette connaissance élémentaire à vos enfants et petits-enfants ? 

Assurer la jonction

Mais même en temps de paix, un phénomène de disette se produisait chaque année aux transitions saisonnières, en particulier aux mois de mars et avril. 

Ces mois sont les pires de l’année. Les réserves de l’hiver sont épuisées, mais les premières récoltes (premiers oignons, pois, épinards) ne sont pas encore sorties. Les variétés tardives de fruits qui dépassent Pâques sont rares, elles ne peuvent suffire à alimenter des familles souvent nombreuses, vivant sur de petits lopins de terre. 

Les réserves de céréales sont épuisées, et il faut résister à la tentation de manger la part réservée pour les semences. C’est aussi le cas des légumineuses, comme les haricots. 

C’est alors que les « dons de la nature », les plantes sauvages, gratuites, accessibles à tous quand on sait où les chercher, permettent de traverser ces disettes passagères. 

La mauvaise réputation

Dès le milieu du XIXe siècle cependant, on observe des symptômes d’un rejet de la nature : les nourritures sauvages sont jugées « tout juste bonnes à être données aux poules et aux cochons ». 

À cette époque, en effet, ces animaux de ferme vivaient des productions spontanées, mauvaises herbes, déchets considérés comme immangeables ou médiocres par rapport aux produits issus des cultures, fruits du labeur du paysan et de son savoir-faire, et donc alimentation noble. 

Chicorées sauvages, laiterons, orties, pissenlits furent principalement utilisés pour nourrir les lapins et engraisser les canards, oies et cochons. Rares étaient ceux qui en mangeaient par goût. 

La rupture totale sera consommée après la Seconde Guerre mondiale et l’avènement de l’agriculture scientifique, chimique et mécanisée. C’est le triomphe de l’ingénieur agronome, formé dans les hautes écoles des préfectures et, de préférence, à Paris, puis dépêché par le ministère de l’Agriculture aux quatre coins du pays pour « éduquer » les paysans « ignorants » et les faire entrer dans l’ère moderne et glorieuse de l’agro-industrie. 

Tous ceux qui, par tradition, perpétueront les gestes de cueillette sauvage seront alors montrés du doigt, accusés d’être de piètres cultivateurs

Côté médical, ce fut encore pire, avec l’invention du « délit d’exercice illégal de la médecine et de la pharmacie ». Tout herboriste, tout guérisseur habitué à utiliser, recommander ou, pire encore, vendre des herbes médicinales se retrouvait dans le collimateur de la justice – qui ne s’est pas privée de « faire le ménage ». 

« S’ils en sont réduits à ça, c’est qu’ils sont incapables de passer leur diplôme de médecin ! » devint le lieu commun. Le sous-entendu était à peine voilé : « Ce sont des bons à rien. » 

Une terre nue est une terre propre

Il n’en fallait pas plus pour que les plantes des périodes difficiles soient considérées comme de mauvaises plantes. Cela justifiera la chasse aux mauvaises herbes qui sera ouverte après guerre, avec son dramatique corollaire : le recours irréfléchi aux herbicides. 

Il faudra des années d’empoisonnement des cours d’eau et des nappes phréatiques, d’érosion des sols, de disparition des espèces indigènes d’abeilles, de coccinelles, d’escargots, pour qu’enfin les populations finissent par se poser des questions et comprendre que, peut-être, une tragédie silencieuse était en train d’avoir lieu. 

À force de consommer des aliments insipides, chargés de poisons et de métaux lourds, de constater des cancers, des maladies auto-immunes et neurodégénératives (Parkinson, sclérose en plaques, Alzheimer), certains citoyens ont fini par ne plus accepter d’être les dindons de la farce. 

Un incontestable engouement pour les savoirs ethnobotaniques et ethnopharmaceutiques a eu lieu. 

Ce sursaut de conscience citoyenne a provoqué un regain d’intérêt inattendu pour les disciplines « douces » qui semblaient, il y a peu, condamnées à disparaître. 

Renouveau inattendu

On voit, par exemple, en Corse le retour de la soupe aux herbes corses, désormais enseignée dans de nombreux stages et qui se généralise dans les festivités locales. Le principe en est simple : aux légumineuses sèches cultivées (fèves, haricots), la cuisinière ajoute une belle variété de plantes sauvages, comme la bourrache, la menthe aquatique, le plantain, le pourpier, le mouron, le chénopode, l’armoise, la blette sauvage, l’oseille et l’ortie blanche. 

Aujourd’hui, les adeptes de la cuisine sauvage sont nombreux, ils se retrouvent lors de stages de plus en plus pointus. Il ne faut jamais oublier non plus que le monde ne se limite pas à l’Europe, et encore moins à la France. 

En Pologne, en Roumanie, en Ukraine, en Russie, la cueillette sauvage continue à faire partie du quotidien de nombreuses populations rurales, et pas seulement pour les myrtilles, les framboises et les champignons. 

En Afrique, ainsi que chez les derniers peuples qui survivent dans les rares jungles préservées d’Amazonie, de Bornéo et d’Océanie, l’exploitation des ressources naturelles, gratuites et renouvelables reste la base du mode de vie. 

Plus près de chez nous, il suffit de fréquenter les marchés locaux des pays méditerranéens, au printemps, pour s’apercevoir que beaucoup sont abondamment et régulièrement approvisionnés en herbes sauvages (herbes à pots et à salades). Le fameux mesclun, ce mélange de salades sauvages et cultivées, les tourtes et les soupes aux herbes, dites paysannes, sont des recettes vivaces. Il n’y a, d’ailleurs, pas une recette de ces salades, soupes ou tourtes aux herbes : on utilise ce qu’on a sous la main, l’opportunisme de situation est ici la règle. 

Néanmoins, ces pratiques traditionnelles régressent évidemment sous le coup des efforts d’uniformisation des comportements et de la réglementation. 

Tout ce qui est gratuit semble condamné à disparaître de notre société. Les pissenlits qui poussent sur la pelouse ne sont soumis ni à une redevance alimentaire ni à la taxe sur la valeur ajoutée (vous savez, la très fameuse TVA). 

Une bulle de liberté

Réaliser une soupe aux orties ou une tourte aux blettes sauvages, croquer des asperges ou des poireaux sauvages, c’est non seulement se faire plaisir, mais c’est aussi revendiquer le droit de s’alimenter comme on l’entend. 

Ce n’est donc pas un geste anodin. C’est une forme de résistance au consumérisme exclusif qui tente de s’imposer comme la seule règle d’échange possible entre membres de nos communautés. 

Les plantes sauvages, pour se soigner comme pour s’alimenter, sont à même de satisfaire ceux qui refusent la généralisation d’habitudes alimentaires standardisées et mondialisées dont le fast-food est la caricature. 

Ainsi, tenter de reconquérir ce qui peut l’être de notre autonomie constitue une bulle de liberté individuelle appréciée par un nombre croissant d’individus. 

Réveiller nos sens endormis

Cueillir des herbes sauvages peut aussi être motivé par une recherche de goûts, odeurs et textures plus riches, variés et intéressants que les produits souvent insipides, trop salés, sucrés ou chimiques de nos supermarchés. 

Les plantes sauvages offrent des chemins de traverse originaux pour surprendre nos papilles et nos amis. 

La saveur sucrée (douce), la plus agréable pour nos sens, se trouve dans les mûres, fraises des bois, framboises et myrtilles des montagnes, mais pas seulement. Dans nos Pyrénées, la racine du bizarrement nommé « trèfle des Alpes » offre une douce saveur de réglisse, comparable à celle du polypode, une petite fougère abondante sur les vieux murs ou les rochers, dont le goût rafraîchissant en surprendra plus d’un. Les racines charnues (betteraves, carottes et panais sauvages) sont le siège d’une importante fabrication de sucre. Il faut aussi parler des fleurs, naturellement sucrées puisque riches en nectar, ce concentré naturel de sucre avec lequel les abeilles font leur miel. Les cœurs de tiges de nombreuses graminées sont également succulents : du dactyle de la canne à sucre aux pousses de bambou. 

Certaines plantes sont acides, comme l’oseille, au point d’être impropres à la consommation. L’acidité est, en effet, une défense naturelle pour la plante, antibactérienne. 

Mais l’homme a su en profiter en faisant fermenter les fruits acides pour en faire des vinaigres, ou en provoquant une fermentation acide des feuilles, qui se conservent alors de longs mois (lactofermentation). Ainsi la choucroute ou les préparations équivalentes à base de plantes sauvages comme la berce. À dose normale, la saveur acide stimule la digestion, mais de nombreux acides sont néfastes pour la santé : acide oxalique, par exemple, qui favorise la formation de calculs rénaux, acide phytique qui empêche l’absorption des minéraux. C’est pourquoi il ne faut pas en abuser. 

La saveur amère agit de façon puissante et positive sur le foie et la vésicule biliaire. Elle stimule la digestion. De plus en plus souvent exclue des préparations modernes, on peut la réintroduire grâce aux plantes sauvages : ajout de plantes goûteuses à nos salades (roquette, cardamine), nos plats cuisinés (épilobe), voire à nos boissons (gentiane). 

La saveur piquante, elle, nous est apportée par la moutarde, les crucifères, la roquette sauvage. Cette saveur indique la présence de composés soufrés, aux propriétés désinfectantes. Parmi les autres sauvageonnes piquantes, il faut signaler la saveur épicée des orpins (poivre des pauvres). Les aliments piquants jouent un rôle bénéfique dans le transit intestinal et agissent favorablement sur la sphère pulmonaire. 

Il existe ensuite de nombreuses saveurs secondaires : salée, aillée, anisée, mentholée, qui souvent se combinent. C’est tout l’art gastronomique que d’équilibrer ces saveurs pour en profiter au mieux. 

Qualités nutritionnelles des sauvageonnes

D’une manière générale, les plantes sauvages sont riches en principes actifs et nutritifs. Ainsi un crambe maritime, ancêtre de nos choux cultivés, est-il plus riche en magnésium et en vitamine C qu’un chou de Milan. Les choux cultivés non pommés, génétiquement plus proches de nos espèces sauvages, contiennent deux fois plus de magnésium qu’un chou cabus et trois à quatre fois plus de vitamine C. 

Les feuilles de mauve, de consoude, d’amarante ou de chénopode, abondantes dans nos jardins, sont aisément qualifiées d’épinards sauvages, parce qu’elles se consomment « à la manière de ». Mais elles contiennent trois à quatre fois plus de protides que l’épinard cultivé. 

L’onagre, la berce, l’oxalis et le plantain sont trois à six fois plus riches en calcium que les pois cassés, les lentilles ou les haricots verts. Et pour rester dans les clichés, rappelons que l’ortie, l’amarante, la mauve et la prêle contiennent des doses de fer assimilable deux à trois supérieures à celle contenue dans l’épinard. 

Quelles parties de la plante récolter ? Quand le faire ?

Les feuilles doivent être jeunes et tendres, les racines celles de l’année, les fruits à complète maturité. La plante ne doit être ni souillée ni nécrosée d’aucune façon. 

Maintenant, on trouve dans la nature, comme dans les jardins, tout le panel des organes comestibles des plantes : feuilles, fleurs, fruits, racines, tubercules, et rien ne remplace une pratique régulière de la cueillette. 

C’est pour cela qu’au-delà d’un intérêt de surface, il est nécessaire, pour vraiment découvrir les plantes sauvages, alimentaires et médicinales, d’investir un minimum de temps et d’attention. 

Certes, cet effort est en contradiction avec l’esprit du « tout, tout de suite » qui caractérise notre époque. Il faut accepter d’écouter, d’être attentif, et d’être accompagné par un maître compétent… On voudrait tout savoir en dix minutes, un quart d’heure tout au plus, avec un « Powerpoint » et quelques diapos. Ce n’est malheureusement pas possible. 

Il va falloir lire, étudier, puis pratiquer. Sortir dans la nature. Faire preuve d’esprit d’observation et de patience. Apprendre – c’est capital – à distinguer les plantes comestibles et/ou médicinales de toutes les espèces qui leur ressemblent, qui se confondent avec elles… mais qui sont toxiques. 

Si vous souhaitez vous lancer, je vous recommande la publication Plantes & Bien-Être, rédigée par les meilleurs experts en phytothérapie. En souscrivant une offre à l’essai, vous recevez en cadeau Les 7 remèdes naturels à base de plantes et le Guide de la PhytothérapieCliquez ici pour demander vos cadeaux. 



En même temps, rien de plus passionnant et utile que de découvrir ce monde illimité et merveilleux des plantes. Vous le savez, c’est toute ma vie, ou presque. À votre disposition, si vous le souhaitez, pour continuer ce dialogue, dans de prochaines lettres. 

À votre santé ! 

Jean-Marc Dupuis (d’après Bernard Bertrand) 




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MessageSujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout)   Pensez à votre santé  (un peu de tout) Icon_minitimeJeu 17 Nov - 11:40

La petite protéine gardienne de votre santé


Chère amie, cher ami, 

Il y a quelques années lorsque j’ai reçu mon premier bilan de stress oxydant, j’ai téléphoné à la biologiste en charge de ces examens au centre hospitalier universitaire de Grenoble. 

Très étonnée, elle me demanda: 


  • Vous êtes bien Dominique Rueff ? 


  • Oui, pourquoi ? 


  • Parce que je pensais que vous étiez décédé… 


  • Ah bon, pourquoi ? 


  • Parce que vous n’avez pas de glutathion ! 



Elle a alors essayé d’en savoir plus sur mon état de santé, mes antécédents, etc. Avais-je eu une hépatite ? Un cancer ? Étais-je fatigué ? 

C’est à ce moment que j’ai appris qu’en théorie, on ne peut vivre sans glutathion. J’aurais dû être très malade ou très fatigué ou très âgé, ou mort… (ce qui démontre bien que parfois de la théorie à la réalité il y a, heureusement pour moi, quelques écarts !). 

Pourquoi ce glutathion peut-il être une question de vie ou de mort ? 

C’est une petite protéine [1] que notre organisme produit normalement dans le foie, quand nous sommes en bonne santé.

Dans l’alimentation, le glutathion est présent dans les fruits et légumes, les poissons et les viandes. Les asperges, l'avocat, les noix et les framboises en sont aussi de bons précurseurs. 

Il est présent dans quasiment toutes nos cellules et on le trouve en abondance à l’intérieur des hépatocytes, dans les cellules rénales et cardiaques, et au niveau du cerveau. 

Pourquoi est-ce important ?

Le glutathion est l’antioxydant intracellulaire le plus important de l’organisme. Il va permettre à d’autres vitamines antioxydantes, comme la vitamine C et E, d’agir pleinement en recyclant les formes oxydées, en se régénérant et en restaurant leur potentiel antioxydant.  

Il intervient dans la régulation du système de défenses naturelles, en particulier sur la première ligne de défense antioxydante, et constitue une « nourriture essentielle » des acteurs de nos défenses naturelles. 

Le glutathion permet de « recycler » les autres antioxydants comme la vitamine C hydrosoluble et la vitamine E liposoluble. 

Et vous, en avez-vous assez ?

Si nous avons un mode de vie et un environnement sains et une nourriture adaptée nous ne devrions pas, en principe, avoir besoin de supplémentation. 

En réalité, il en est tout autrement… 

Avec les années, le tabac, l’alcool, les médicaments, la pratique intensive d’activités physiques et certaines maladies chroniques comme le diabète et les maladies de dégénérescence, les taux de glutathion dans l’organisme ont tendance à diminuer. 

Un autre ennemi du glutathion : le paracétamol. La prise en continu et à fortes doses (supérieures à 3 grammes par jour) de paracétamol fait chuter le taux de glutathion et peut même vous tuer [2]. 

De toute façon, après la cinquantaine et quel que soit notre état de santé, notre taux de glutathion est susceptible de chuter. 

Il faut donc être plus attentif à la présence de certains aliments dans notre assiette, soit prendre des « précurseurs de glutathion » soit se supplémenter régulièrement en R-glutathion. 

En réalité je vous conseille de combiner ces trois méthodes. 

Pour évaluer votre statut en glutathion, il faudra réaliser un bilan biologique de stress oxydant. C’est ce bilan précis qui pourra mesurer votre propre déséquilibre en antioxydants (voir la lettre que j’ai écrite sur le stress oxydant) et vous donner les moyens de le corriger. 

Le cadeau papal du professeur Luc Montagnier

Le 31 août 2002, Claire Chazal annonçait au sommaire du journal de 20 heures de TF1 : «Le professeur Luc Montagnier, codécouvreur du virus du sida, et prix Nobel de Médecine, aurait prescrit à Jean-Paul II, qui souffre de la maladie de Parkinson, un « traitement miracle » qui pourrait avoir permis d'améliorer l'état de santé du pape». 

Le journal Le Monde du 1er septembre complétait : «Mais sachant, comme tout le monde, que Jean Paul II souffrait d'une forme évoluée de la maladie de Parkinson, le professeur Montagnier en a profité pour proposer au pape un traitement original. Il est en effet persuadé que le «stress oxydant» - l'ensemble des phénomènes induits par le métabolisme de l'oxygène au sein des cellules et des tissus des organismes vivants - joue un rôle pathogène et favorise de nombreuses maladies chroniques, à composantes infectieuses ou non - comme celle de Parkinson ou d'Alzheimer - ainsi que certains cancers. » 

Ce mystérieux traitement qui visiblement améliora l’état de santé du souverain pontife pendant quelques temps contenait deux antioxydants majeurs : la papaye fermentée et le glutathion réduit, encore appelé « glutathion-R ». 

La papaye n’est pas le sujet ici, mais qu’est-ce exactement que ce mystérieux glutathion-R ? 

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Il existe des lieux où les habitants ne connaissent pas le cancer. Alimentation, style de vie mais aussi les dernières avancées de la recherche scientifique, voici une vidéo qui vous en dit plus sur « l'île où les hommes oublient de mourir ». Rendez-vous ici pour la regarder


La particularité du glutathion-R

Le glutathion réduit (ou R) est la forme optimisée d'absorption du glutathion telle que la préconise le professeur Luc Montagnier. [3] 

On a longtemps cru que l’absorption du glutathion ne pouvait se faire par foie digestive et qu’il fallait soit l’injecter en intraveineux, soit le prendre en dehors des repas par voie perlinguale. Cette forme de glutathion est dite « réduite » car la molécule de glutathion est combinée à la vitamine C qui permet son absorption. 

Que veut dire un taux diminué de glutathion réduit ?

Un taux bas de glutathion réduit peut être le signe d'un stress oxydatif plus ou moins important. 

Dans ce cas, il montre un stress oxydatif plutôt ancien et/ou chronique, et un défaut par « consommation » d'un antioxydant majeur de l'organisme. 

Le taux de glutathion réduit baisse avec l’âge. 

Il a été démontré récemment que, dans le « syndrome métabolique » (adiposité abdominale + anomalies des lipides circulants [4] + hypertension artérielle + troubles de la glycémie), la baisse du taux de glutathion réduit était corrélée au nombre de facteurs du syndrome. 

Et si votre taux de glutathion réduit est important ?

Seuls les taux très élevés de glutathion réduit peuvent être le signe d'un stress oxydatif plus ou moins important. 

Il s'agit le plus souvent de stress oxydatifs débutants ou d'adaptation à une agression oxydative passagère. 

Le signe le plus évocateur de stress oxydatif est l'association d'un taux de glutathion réduit bas avec un taux de glutathion oxydé élevé, le rapport glutathion réduit sur glutathion oxydé est alors bas voire effondré. 

Les taux élevés de glutathion oxydé

Le taux élevé de glutathion oxydé est l’un des marqueurs les plus importants de stress oxydatif. Il est le résultat d’une agression oxydative et du fait de l'utilisation du glutathion réduit par les cellules pour se défendre d’une agression oxydative plus ou moins intense, prolongée ou répétée. 

Cette oxydation du glutathion réduit permet la neutralisation des radicaux libres en excès. 

C’est exactement ce type de profil que l’on peut et doit rechercher lorsqu’un traitement spécifique comme une antibiothérapie ou une chimiothérapie prolongée ou une radiothérapie laisse la personne dans un état de grande fatigue et de grande fragilité immunitaire. Mais attention à ne jamais supplémenter pendant ou trop près du traitement au risque d’en contrarier les effets. 

Ce « stress oxydant » chronique est majoré lorsque, sur ces mêmes bilans, on trouve des taux bas de sélénium, assez rares (sauf chez les sportifs), de zinc très fréquents, dus à d’insuffisants apports alimentaires : fruits de mer (huîtres et coquillages), abats, viandes, fromages, céréales complètes, graines oléagineuses, légumes secs, œufs… 

Les conséquences sur notre santé et notre vieillissement

Le vieillissement accéléré, le stress intensif et prolongé, qu’il soit musculaire ou psychologique et toutes les maladies chroniques, auto-immunes (thyroïdites, pancréatites…) et inflammatoires (arthrites), qu’elles soient d’origine auto-immune ou infectieuse (virale ou bactérienne) sont en relation avec un trouble du métabolisme du glutathion, un stress oxydant excessif et autoentretenu, que l’on ne peut que dépister sur des bilans biologiques spécifiques. 

Il en est de même avec les maladies d’Alzheimer et de Parkinson. Dans ce dernier cas, j’ai constaté que la régulation du stress oxydant augmentait ou prolongeait l’effet des traitements spécifiques. 

Le déficit en glutathion en cas de cataracte sénile [5] est moins connu. Le glutathion et son enzyme, la glutathion peroxydase, contribuent à protéger la transparence du cristallin. 

Il y a toujours une relation entre la régulation du métabolisme du glutathion et l’amélioration et/ou la stabilisation de toutes ces affections. 

Il détoxifie l’organisme

Le glutathion est le principal outil de votre foie [6] pour neutraliser les agents toxiques et polluants. Le glutathion est impliqué dans la détoxification parce qu'il se lie à des toxines comme les métaux lourds, les solvants et les pesticides et les transforme en composés hydrosolubles susceptibles d'être facilement éliminés dans la bile ou les urines. 

Le glutathion est un constituant que l’on trouve dans plusieurs enzymes : la « glutathion-S-transférase-mu-1 » (GSTM1), et la glutathion-S-transférase un puissant détoxiquant, lors de la phase II [7] de détoxication cellulaire, vis-à-vis de nombreux métabolites tels les pesticides, les benzènes, des carcinogènes chimiques et des métaux lourds comme le mercure, le plomb, le cadmium. 

Avant d’envisager des procédés complexes de chélation de métaux lourds ou d’agents toxiques, il est, à mon avis, préférable de s’assurer d’abord d’un bon métabolisme du glutathion et de tout faire pour que ce dernier puisse être maintenu par une alimentation saine et éventuellement une complémentation 

Ce qu’il faut prendre pour augmenter son niveau de glutathion

Le chardon marie est généralement considéré comme l’un des principaux éléments contribuant à une bonne santé hépatique et une détoxification de l’organisme. Son pouvoir est tel qu'il a été recommandé (avec d'autres substances comme la vitamine C, le charbon végétal et les antibiotiques) dans le cadre des traitements des intoxications aux champignons dont l'amanite phalloïde. 

Une étude sur les rats a démontré que l’’extrait actif du chardon marie, la silymarine, augmentait significativement non seulement le taux de glutathion réduit (GSH) mais également d’une enzyme antioxydante, la super oxyde dismutase (SOD). 

Je recommande d’en prendre 250 milligrammes par jour et en deux prises pendant trois mois pour se protéger d’un environnement particulièrement polluant ou en cures au moins deux fois par an. 

Des études [8], indiquent que la N-Acetyl-Cystéine (NAC) est capable de stimuler la biosynthèse du glutathion. Elle augmente les niveaux de glutathion intracellulaire dans les érythrocytes ainsi que dans les cellules du foie et des poumons et restaure les stocks de glutathion après qu'ils aient été expérimentalement diminués. On la dose sur les bilans et j’ai remarqué qu’une supplémentation par voie orale pouvait, à elle seule, normaliser les taux de glutathion. C’est un antioxydant peu coûteux que je conseille, en cours de repas, à au moins 600 milligrammes par jour. Il faut savoir que, comme tous les radicaux soufrés, il n’est pas toujours bien toléré au plan intestinal provoquant des odeurs…soufrées. 

La protéine de petit lait en poudre, « Whey Proteine Isolate » (WPI) contribue à élever et maintenir les taux de glutathion. Il en a donc les mêmes propriétés, antioxydantes, immunostimulantes, antivirales et antibactériennes (Helicobacter Pylori) et il préviendrait la régression de certains cancers [9] par inhibition des hydrazines et la présence d’autres agents anti-cancer. 

En pratique ?

Comme le professeur Montagnier, j’ai tendance à recommander de réaliser régulièrement un bilan de stress oxydant. Le coût peut en limiter l’accès et la régularité : suivant les techniques et les laboratoires il est rarement inférieur à deux cents euros. Mais je pense qu’un bilan tous les deux ans est un minimum acceptable. Seul ce bilan permet de ne pas se supplémenter à l’aveugle et surtout de s’assurer des bénéfices de son traitement et de sa supplémentation. 

Il faut absolument tenter d’identifier les causes du déséquilibre oxydatif (infection, intoxication, maladie auto-immune) afin de réduire en amont l'excès d’oxydation, certains risques de maladie, leur passage à la chronicité et le vieillissement accéléré. 

Évitons les supplémentations « en aveugle » qui peuvent aboutir au résultat contraire de celui que l’on recherche et aggraver nombre de problèmes. 

Le bilan permettra d’identifier les déficits. 

Comme cela, vous pourrez choisir et doser les supplémentations nécessaires : 


  • Très souvent en zinc, de préférence du bisglycinate de zinc, à raison de 5 à 30 milligrammes par jour en augmentant la consommation de fruits de mer 


  • Très souvent en « thiols » donc en Acétyl Cystéine : 300 à 600 milligrammes par jour sous forme de gélules (en compléments) ou de sachets que l’on trouve dans toutes les pharmacies 


  • Souvent en vitamine E naturelle, notamment en gamma E tocophérol 


  • Parfois en cuivre, en sélénium, en vitamine A (huile de foie de morue) 


  • Dans tous les cas, je conseille au moins 500 milligrammes par jour de silymarine 


  • Parfois en vitamine C à effet prolongé (AP) à raison de 500 à 1 500 milligrammes par jour. Notons que l’excès souvent constaté en cas de supplémentation n’a pas de conséquences. 


  • Le glutathion-R, que je recommande, est une combinaison dans des gélules gastro-résistantes de 240 milligrammes de glutathion et de 17 milligrammes d’acide L-ascorbique. Normalement la prise d’une gélule matin et soir est suffisante, mais elle peut être augmentée à quatre voire six par jour. 



Dans l’alimentation, voici ce que je recommande : 


  • Augmentez votre consommation de fruits rouges (framboises), de cresson, d’asperges, de noix, d’avocats, d’épices anti-inflammatoires comme le curcuma, le gingembre et le poivre 


  • Fuyez les huiles de piètre qualité, souvent rances et donc hydrogénées.Privilégiez les huiles pressées à froid (colza et olive) 


  • Consommez régulièrement un bol de thé vert, deux ou trois fois par jour, particulièrement en hiver car il a une action préventive sur les virus 



En combinant toutes ces méthodes, vous disposerez d'un véritable « bouclier » capable de contribuer à vous protéger contre les agressions extérieures oxydatives en excès (comme le soleil) et les agressions intérieures dues à vos propres défenses contre les maladies inflammatoires et chroniques. 

Surveillez donc bien votre glutathion et surveillez aussi votre messagerie ! 

Dr Dominique Rueff 


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MessageSujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout)   Pensez à votre santé  (un peu de tout) Icon_minitimeJeu 17 Nov - 11:48

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Suite de la lettre de ce jour : 

[size=30]Hérodote découvre par hasard le secret pour avoir des os solides[/size]

Chère lectrice,
Cher lecteur, 

Il était utilisé dans la Grèce antique et en Arabie pour maîtriser les microbes… 

Dans les années 1950, il servait à traiter la tuberculose… 

Comment ce remède à tout faire a-t-il été soudain déclaré cancérogène de classe 1 par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) ? 

Le Dr Wunsch, un photobiologiste allemand, a décidé d’explorer cette affaire. 

Pourquoi le soleil est-il nécessaire pour une santé optimale

Qui peut m’expliquer la chose suivante ? 

Le soleil était vu par certaines cultures comme une force divine et bienfaitrice. Comment en est-on arrivé à déclarer qu’il donne le cancer ? C’est l’avis des spécialistes de l’OMS qui l’ont classé comme carcinogène de classe 1. 

Les associations anticancer et de nombreux dermatologues applaudissent des deux mains. 

Le Dr Wunsch a raison de poser la question en ces termes. Cela souligne l’opposition entre les cultures antiques et modernes. 

Nos ancêtres vénéraient le soleil pour son pouvoir de guérir. 

Aujourd’hui, on reproche au soleil de donner des maladies (en particulier le cancer). Nous sommes encouragés à nous en protéger le plus possible. L’utilisation des solariums est interdite ou alors surveillée de près. 

Certains experts en santé publique militent pour interdire le bronzage. Et les fabricants de crèmes solaires se frottent les mains. 

Pourquoi ce revirement si brusque ? 

L’étonnante découverte d’Hérodote

Dans l’Égypte ancienne, elle servait à contenir les microbes. 

Dans la culture grecque antique et arabe, la lumière du soleil constituait une thérapie en soi. 

Le premier témoignage sur l’efficacité thérapeutique du soleil se trouve dans Hérodote, VIe siècle avant J.-C. 

Alors qu’Hérodote inspectait des crânes retrouvés sur un champ de bataille entre Égyptiens et Perses, il fut frappé par un détail. 

Le secret des guerriers égyptiens

Hérodote remarqua que les crânes des Égyptiens étaient plus épais et solides que ceux des Perses. 

Il se souvint alors que les Égyptiens avaient l’habitude de se raser entièrement le corps, y compris la tête, de découvrir leurs bras et leurs jambes… et de prier en direction du soleil. 

À l’inverse, les Perses évitaient le soleil. Ils se couvraient la tête et le corps autant que possible. 

C’est ainsi qu’Hérodote émit l’idée que le soleil contribuait à renforcer les os. Plus tard, son hypothèse sera confirmée avec la découverte de la vitamine D. 

Jusque dans les années 50, on faisait prendre des bains de soleil aux tuberculeux et aux rachitiques. 

Cette technique avait été mise en évidence par le Dr Niels Finsen (prix Nobel 1903). Ce Danois utilisait des lentilles pour concentrer la lumière sur une zone de la peau afin de soigner le Lupus vulgaris, une forme de tuberculose. 

Le problème était que cette thérapie nécessitait des rayons de soleil puissants, ce qui n’est pas fréquent au Danemark. 

Plus tard, le Dr Niels Finsen allait être à l’origine d’un traitement par lampes à arc carbone qui a permis le développement de la photothérapie et de la luminothérapie pour traiter les maladies physiques et mentales. 

Le médecin suisse qui soignait le cancer de la peau grâce au soleil !?

En Suisse, le Dr Auguste Rollier s’inspira des travaux du Dr Niels Finsen pour développer des thérapies utilisant les rayons du soleil (héliothérapie). 

Grâce à son protocole d’exposition au soleil, il fut le premier à guérir des cas de tuberculose généralisée. 

Dans ses ouvrages, le Dr Auguste Rollier s’intéressa aux effets des différentes longueurs d’ondes contenues dans la lumière du soleil : ultraviolets A et B (UVA et UVB). 

Il comprit très vite les avantages et les inconvénients de ces rayons ultraviolets. 

Il s’aperçut que les UVB permettaient de synthétiser de la vitamine D, mais qu’ils pouvaient aussi modifier la structure de l’ADN. De leur côté, les UVA peuvent abîmer certains tissus. 

Pour contrer ces effets indésirables, votre peau utilise le reste du spectre de la lumière (notamment la lumière rouge et « infrarouge proche » (0,78 – 3 µm) pour donner de l’énergie à vos cellules. 

En 50 ans de pratique, le Dr Auguste Rollier n’a jamais vu un seul cancer de la peau provoqué par l’héliothérapie. Au contraire même, il traitait les cancers de la peau grâce aux rayons du soleil

De plus en plus de personnes souffrent d’un manque de soleil !?

En 1928, Adolf Windaus reçut le prix Nobel pour avoir percé le secret de la synthèse de la vitamine D. 

Il identifia que ce sont les rayons UVB qui permettent la photosynthèse de la vitamine D dans les couches extérieures de la peau. 

Mais au delà des UVB, c’est tout l’ensemble du spectre lumineux du soleil qui est bon pour la santé. C’est pourquoi s’exposer au soleil est mieux que les lampes UV. 

Le Dr Wunsch explique : « Avant l’ère des antibiotiques, la photothérapie était utilisée comme traitement de pointe. […] La lumière naturelle (et artificielle) peut agir comme outil d’intervention majeur pour prévenir et guérir les maladies graves. » 

Et malgré toutes ces connaissances accumulées… le nombre de personnes en manque de soleil (et donc de vitamine D) augmente chaque année !!! 

C’est le mode de vie moderne qui en est la cause : 


  • Moins d’agriculteurs, plus d’employés de bureau qui passent leur journée à l’intérieur 

  • La télévision, les ordinateurs, les téléphones, les jeux vidéo qui incitent à rester à l’intérieur 

  • La vie en ville où il est possible de passer d’un sous-terrain à un ascenseur 

  • La généralisation de l’air conditionné qui fait qu’on supporte moins bien la chaleur extérieure. 

  • L’alimentation riche en sucre qui épuise les réserves de vitamine D [1] 

  • Les viandes d’élevages industriels moins riches en vitamine D que le bio 

  • La consommation énorme de médicaments et de pesticides – beaucoup ont pour effet indésirable de bloquer les bienfaits de la vitamine D. 

  • La peur généralisée du cancer de la peau et les crèmes solaires qui aggravent la situation [2]. 


Ce que vous risquez si vous manquez de soleil

Cette carence est liée à quantité de problèmes de santé : 


  • Fragilité des os et fibromyalgie [3] 

  • Douleurs chroniques (surtout musculaires) 

  • Douleurs articulaires et arthrite 

  • Faiblesse musculaire [4] et Parkinson 

  • Crampes 

  • Dysfonction érectile et infertilité 

  • Hypertension 

  • Mortalité à cause d’une maladie du cœur 

  • Problèmes de mémoire et Alzheimer 

  • Dépression (y compris dépression saisonnière) 

  • Insomnie 

  • Fatigue chronique 

  • Maux de tête 

  • Incapacité à se concentrer 

  • Schizophrénie [5] (!) 

  • Asthme chez les enfants 

  • Obésité 

  • Diabète 

  • Problèmes digestifs (constipation, diarrhée) 

  • Problèmes urinaires 

  • Sclérose en plaques 

  • Rachitisme 


Votre peau est faite pour être exposée progressivement au soleil

Les plantes et les animaux n’attrapent pas de coups de soleil. 

Ils savent exactement la quantité de soleil qui leur est nécessaire. Pour se protéger, « les plantes se referment ou retournent leurs feuilles » explique Dr Wunsch. « Les animaux recherchent l’ombre ou profitent de leur pilosité dense. » 

Le cochon rose pourrait théoriquement attraper un coup de soleil… mais on observe qu’il se couvre de boue pour se protéger. 

L’hippopotame a une autre stratégie : en suant, sa peau sécrète un écran solaire rouge – appelé acide hipposudorique. C’est pourquoi on dit qu’il « sue du sang » ! 

Et nous, avec notre peau quasiment imberbe, nous avons développé un système de protection incroyablement complexe

Pour le décrire, je me permets de citer le truculent Michel Tournier : 

« Encouragé par Vendredi, Robinson commença à s'exposer nu au soleil. D'abord il avait été tout recroquevillé, laid et honteux. Puis il s'était épanoui. Sa peau avait durci et avait une teinte cuivrée. Il était fier maintenant de sa poitrine bombée et de ses muscles saillants. » 

En effet, en s’exposant progressivement au soleil, notre peau bronze… mais surtout, elle s’épaissit. 

En quelques semaines, les kératinocytes et les cornéocytes vont accumuler des pigments de mélanine jusqu’à saturation. Ce sont ces pigments de mélanine qui colorent la peau et la protègent des rayons ultraviolets [6]. C’est donc un écran solaire naturel. 

Arrêtez de respirer !

Nos chercheurs commencent à peine à identifier les multiples effets positifs du soleil sur le corps (et l’esprit). D’ailleurs, quand on voit la complexité du corps, on peut parier qu’ils n’auront jamais fini d’explorer ses interactions avec le soleil… 

Par exemple, on a découvert que notre système nerveux sympathique et parasympathique ainsi que notre horloge interne ajustent nos sécrétions hormonales et autres fonctions internes sur les cycles du soleil. 

Le Dr Wunsch explique : 

C’est absurde que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) déclare les rayons du soleil responsables du cancer (et recommande de s’en protéger). 

C’est aussi absurde que de dire « arrêtez de respirer ! », parce que l’oxygène est la molécule qui compose les radicaux libres du stress oxydatif

Pour que l’ensemble de la population soit dans un état de santé optimal, nous devons tous être exposés au spectre complet des rayons du soleil (ou, à défaut, se supplémenter en vitamine D). 

Nous ne sommes pas idiots !!!

Les autorités de santé partent du principe que la population est incapable de comprendre les réactions entre le soleil et la peau. 

C’est pourquoi elles répètent : « Mettez de la crème solaire pour éviter tout risque. » 

Mais enfants, adultes… nous sommes bien moins idiots qu’ils ne l’imaginent !

Tout le monde est capable de comprendre ce qu’est une dose optimale de soleil. 

Si vous ne deviez retenir qu’une chose de cette lettre

Une dose optimale de soleil, c’est 20 minutes sur chaque face (dos, ventre) l’été. 

Au delà, il faut se protéger avec des vêtements longs (mieux que la crème solaire). 

Et d’octobre à avril, si vous habitez au nord de Rome, vous devez prendre un complément de vitamine D. 

Tous les jours de l’été où vous ne prenez pas de bains de soleil, compensez avec un complément de vitamine D (365 jours par an si nécessaire). 

En altitude, considérez que c’est l’été toute l’année. En effet, chaque fois que vous grimpez de 1000 m, le rayonnement ultraviolet (UV) augmente de 10 % [7]. 

Il faut également savoir que : 


  • La neige réfléchit 40 à 90 % des rayons UV 

  • L’eau réfléchit 10 à 30 % des rayons UV [8] 

  • Le sable réfléchit 5 à 25 % des rayons UV (c’est pourquoi on bronze aussi sous un parasol). 


Voilà, vous savez tout.  

Maintenant, comment informer toute la population ? 

C’est très simple. J’ai calculé qu’il suffisait que vous en parliez à deux personnes de votre entourage et que vous les incitiez à en parler à deux personnes de leur entourage… et ainsi de suite 9 fois, pour que nous touchions 100 millions de personnes ! 

Maintenant, à vous de jouer. 

Bien à vous, 

Eric Müller 


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MessageSujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout)   Pensez à votre santé  (un peu de tout) Icon_minitimeMar 22 Nov - 14:06

Remèdes oubliés - à redécouvrir ici


Pensez à votre santé  (un peu de tout) Header-la-lettre-du-docteur-rueff

Chère amie, cher ami, 

Je vous fais suivre aujourd’hui un message de Jean-Marc Dupuis, que je trouve très intéressant. 

Restez en forme et surtout, surveillez bien votre messagerie ! 

Dr. Dominique Rueff 
 

Remèdes oubliés - à redécouvrir ici


Chère lectrice, Cher lecteur, 

Quand j'étais petit, j'avais toujours un peu peur de ce que ma grand-mère allait nous servir à manger. 

Tourte aux blettes, radis noir, bouillon de poule, potée au chou, c'était des goûts qui n'existaient ni à la maison, ni à la cantine – mes deux parents travaillaient et ils trouvaient « tellement pratiques » les raviolis en boîte. 

Mais ma grand-mère avait d'autres habitudes étranges :
 

Les remèdes étranges de ma grand-mère

Elle insistait pour nous laver les cheveux avec du vinaigre.  

Elle remplaçait nos bonbons par des amandes, de pruneaux et des graines d'anis.  

Sous notre oreiller, elle glissait toujours un sachet de lavande

Pour nous, c'était des manies vouées à disparaître. 

Et puis, il y a quelques années, j'ai commencé à me souvenir de notre vie, quand ma grand-mère était encore là : comme nos cheveux étaient doux, et brillants.  

Comme nous étions pleins d'énergie et de vitalité.  

Comme elle savait soulager nos petites « misères », sans produits ni médicaments chimiques.  

Ses tisanes au fenouil pour les maux de ventre. 

Ses bouts d'aubergine crue contre les verrues. 

Son élixir maison contre la grippe. 

Et ça marchait : nous n'avons jamais eu besoin d'antibiotiques jusqu'à son décès… 

Les scandales sanitaires qu’on nous cache

J’ai souvent repensé à ma grand-mère en découvrant tous les scandales sanitaires de ces dernières années. Sans arrêt on nous annonce le retrait en urgence d’un médicament, ou d’un produit chimique ou alimentaire… alors que la population les consommait depuis des années… 

Devant ces scandales en masse, j'ai commencé à me demander si ce que j'avalais aujourd'hui serait interdit demain

La presse nous alerte tous les jours sur les dangers que pose le mode de vie moderne… mais jamais elle n’offre de solution concrète au problème. 

Néanmoins, je connais une publication qui vous dise – de façon sincère – comment vous pouvez réagir de façon positive et améliorer votre santé :  

C'est la revue Plantes & Bien-Être. 

Plantes & Bien-Être est une revue mensuelle qui vous parle des façons de vous soigner par les plantes (phytothérapie) en respectant votre corps et la nature.  

En des termes simples, pratiques, terre-à-terre, elle vous indique : 


  • Les huiles essentielles qui remplacent des médicaments chimiques ; 

  • Les recettes qui renforcent le système immunitaire ; 

  • Les algues qui stimulent la thyroïde ; 

  • Les légumes de votre cuisine aux vertus insoupçonnées – par exemple pour protéger vos reins ; 

  • Les épices anti-cancer cachées dans vos placards ; 

  • Les plantes relaxantes pour combattre l'insomnie. 


Tout sur les plantes médicinales qui soignent

Dans Plantes & Bien-Être, vous trouvez des informations complètes et fiables sur toutes les plantes médicinales : remèdes d'antan, remèdes perdus enfin redécouverts, dernières études cliniques concluantes, découvertes nous venant d'autres continents, les plats qui vous font du bien, les plantes essentielles à cultiver dans votre jardin ou dans un bac à votre fenêtre, les « mauvaises herbes » qui sont en fait excellentes pour la santé, remèdes à préparer vous-même. 

Vous saurez quels résultats attendre de chaque plante. Face à tout problème de santé, vous serez dirigé vers une solution précise. Vos amis, vos proches sauront qu'ils peuvent compter sur vous pour les éclairer dans l'univers des plantes médicinales, complexe et riche. Complexe avec plus de 800 000 espèces connues. Riche de solutions alternatives pour la plupart des maux. 

Toutes les plus anciennes traditions médicinales

Mais Plantes & Bien-Être donne aussi la parole à des herboristes et des guérisseurs issus des plus anciennes traditions : usage des « simples », médecine ayurvédique d'Inde, médecine médiévale d'Hildegarde de Bingen, et même guérisseurs d'Afrique. 

Quoi qu'en pensent les absolutistes de la médecine moderne, nos ancêtres ont été soignés durant des siècles par des personnes qui ont hérité de traditions millénaires, bâties sur les observations, l'expérience et la sagesse des anciens. 

Les cataplasmesinfusions et décoctions étaient utilisés couramment contre les brûlures, l'eczéma, l'herpès, les douleurs articulaires ou encore les névralgies. Le mélèze servait en cas d'infections récidivantes au niveau de la sphère ORL (otites, sinusites, laryngites…). La mélisse qui améliore la qualité de vie en cas de côlon irritable. 

Avoir voulu faire table rase de ces savoirs ancestraux a entraîné un gâchis colossal, qu'on commence seulement maintenant à mesurer. 

Aujourd'hui, le fil de la tradition et notre lien intemporel avec la Nature ont été coupés, en grande partie volontairement, ou du moins en profitant du fait que les patients étaient en train de regarder ailleurs. 

Mais le savoir n'est pas perdu : au contraire, les spécialistes d’aujourd’hui en savent plus qu'aucun de leurs prédécesseurs. Nous avons réuni les meilleurs d'entre eux dans le comité de rédaction de Plantes & Bien-Être : 

Les meilleurs experts

Plantes & Bien-Être étant la référence santé pour des dizaines de milliers de foyers, nous n'avons admis au comité de rédaction que les meilleurs experts : 

Le Docteur Franck Gigon ex-chargé de cours au diplôme universitaire de phytoaromathérapie de Paris XIII, est spécialiste des plantes, de l'aromathérapie, conférencier et auteur de nombreux livres de référence dont « Se soigner par les plantes pour les Nuls » et « La vérité sur les plantes qui soignent » ; 

Le Docteur Daniel Scimeca, spécialiste des plantes, président du syndicat de la médecine homéopathique ; directeur d'enseignement à la Société médicale de biothérapie, formateur de médecins et pharmaciens, et lui aussi auteur de nombreux ouvrages sur la santé naturelle ; 

Le Dr Danielle Roux, pharmacien, scientifique et rédactrice en chef de la revue « Revue de Phytothérapie Européenne » ;

Christophe Bernard, diplômé de la Southwest School of Botanical Medicine et créateur du « Jardin des Plantes Médicinales » ; 

Ainsi que le Dr Jacques Labescat (phytothérapeute), Alessandra Moro Buronzo et Nicolas Wirth (naturopathes). 

Malgré leurs diplômes, ces experts ont été sélectionnés sur leur capacité à parler des plantes de façon simple et compréhensible par tous, surtout si vous n'avez aucune connaissance en botanique actuellement. 

Dites non à la folie du « tout chimique »

Plantes & Bien-Être est fait par ces experts convaincus que, depuis quarante ans, on est allé trop loin dans le tout produits chimiques. 

Nous ne faisons la morale à personne : avec les antibiotiques et les rayons X, des médecins ont pu croire de bonne foi que le passé était « dépassé ». Ils ont fermé la porte sur des siècles d'expériences qui n'entraient pas dans leur schéma de pensée, sans en mesurer les conséquences. 

Mais quels sont les progrès réels qui ont été faits, ces trente dernières années, par la médecine officielle ? La réalité, c'est qu'on constate une progression inquiétante des cas d'arthrose, de diabète, de maladies cardiovasculaires, de dépression, de problèmes de peau, d'insomnie, de cancer. 

Ces maladies ne cessent de se développer mais les traitements piétinent. Les plus grands progrès dans nos hôpitaux ne concernent pas les solutions, mais les soins palliatifs, qui permettent d'atténuer les douleurs, souvent horribles, et souvent provoquées par... les traitements médicaux eux-mêmes ! 

Certes, nous consommons aujourd'hui plus de boîtes de médicaments que jamais auparavant. Mais cette surmédicalisation prépare une baisse de l'espérance de vie, et en particulier de l'espérance de vie en bonne santé, des nouvelles générations. 

Si vous avez entre trente et soixante-cinq ans, vous pouvez vous apprêter à vieillir plus vite et moins bien que la génération de vos propres parents. C'est une conséquence inéluctable de l'exposition au stress, aux polluants, aux produits chimiques, aux médicaments donnés avec trop peu de discernement. 

Gagner des années de vie en bonne santé

Et pourtant, un usage intelligent des plantes médicinales permet au contraire de gagner des années de vie en bonne santé. À condition de ne pas se couper volontairement des solutions qu'elles proposent : 


  • Face à une infection, on sait qu'il ne faut plus dégainer systématiquement les antibiotiques. Ceux-ci détruisent indifféremment bonnes et mauvaises bactéries, dérèglent votre flore intestinale, affaiblissent votre système immunitaire en et favorisent l'apparition de souches résistantes. Les médecines naturelles offrent au contraire des dizaines de solutions respectueuses de la nature qui renforcent votre organisme : probiotiques, extraits de pépin de pamplemousse, propolis (résine d'abeille), huile essentielle d'origan, de thym, découvrez les mille et une manières de lutter contre les infections sans antibiotiques avec Plantes & Bien-Être ; 

  • Contre les douleurs articulaires, la cortisone et les anti-inflammatoires (aspirine, diclofénac) ne font que masquer le problème. Et encore leur effet est-il seulement provisoire. Pourquoi ne pas vous tourner vers des substances naturelles comme le MSM (issue de la pulpe de pin), l'harpogophytum ou « griffe du diable », le thé vert, le curcuma, la reine-des-prés, boswéllie, liane du Pérou et la bétaïne glycine (issue de la betterave à sucre) qui diminuent la douleur et participent à la reconstruction du cartilage ? Les massages aux huiles essentielles peuvent eux aussi, être efficaces. 

  • Touché par la dépression, vous pouvez bloquer vos pensées négatives avec des médicaments. Mais souvenez-vous aussi que votre cerveau est un organe comme les autres. Peut-être a-t-il tout simplement manqué, depuis trop longtemps, de substances indispensables à son entretien, comme certains acides gras qu'on ne trouve plus dans l'alimentation moderne ?? Vous pourriez aussi essayer certaines l'aromathérapie, le millepertuis, la rhodiole, l'actée à grappes noires, et même explorer les plantes relaxantes et sédatives, comme la valériane, la passiflore, la mélisse, l'aubépine, et le houblon… 

  • Les maladies cardiovasculaires sont des maladies du mode de vie ; faire baisser votre hypertension ou votre taux de cholestérol avec des médicaments chimiques ne diminue pas le risque d'infarctus ni d'AVC (accident vasculaire cérébral). En revanche, vous pouvez réduire votre risque d'accident cardiaque en changeant d'alimentation, et par la phytothérapie, l'aromathérapie et l'Ayurvéda. Il se trouve que les chercheurs viennent de redécouvrir les fruits de l'alma, un arbre sacré, qui réduisent l'hypertension artérielle. 


Vous lirez tout cela dans Plantes & Bien-Être. 

Plantes & Bien-Être aborde également sans hésiter les thérapies complémentaires et alternatives contre le cancer. Elle donne la parole à des médecins qui s'attaquent aux maladies les plus graves, y compris celles qui ont été déclarées incurables par la médecine officielle. 

S'il existe une plante pour vous soigner, vous en serez informé dans Plantes & Bien-Être

Entrez dans un monde de nouvelles possibilités thérapeutiques

Au fond, la seule condition pour devenir lecteur de Plantes & Bien-Être est d'être ouvert à la nouveauté. Si la médecine moderne échoue, cela tient largement à l'esprit doctrinaire et borné qui règne dans certains milieux scientifiques, qui refusent de reconnaître les résultats de siècles ou de millénaires d'expériences réalisées par d'autres cultures. 

Nous n'avons pas cette approche. Pour nous, ce qui importe, ce sont les résultats. Et qui peut nier que les plantes médicinales ont des résultats ? 


  • contre les lombalgies, des douleurs de dos souvent intolérables qui sont la première cause d'absentéisme au travail, prendre de la scrofulaire noueuse ; 

  • le ginkgo biloba et l'eleutherococcus senticosus (ginseng sibérien) améliorent le fonctionnement des neurones ; 

  • le plantain lancéolé est un traitement de fond naturel contre l'asthme ; 

  • la mélisse améliore la qualité de vie en cas de côlon irritable. 


Et il en va de même pour de nombreuses maladies très répandues : 


  • le fucus (algues) stimule la thyroïde ; 

  • le mélèze renforce votre système immunitaire, il est traditionnellement recommandé en cas d'infections récidivantes, surtout au niveau de la sphère ORL (otites, sinusites, laryngites…) ; 

  • le desmodium, le chardon-marie, le fumeterre réduisent les effets indésirables des médicaments chimiques sur le foie ; 

  • le radis noir, la piloselle, le curcuma protègent les reins. 


Mais si vous ne décidez pas de prendre vous-même votre santé en main maintenant... 

Vous pourriez avoir à attendre des années !

En effet, la triste réalité est que le « système de santé » est devenu une machine aveugle : les patients ne sont plus vraiment la priorité. Et vous pourriez donc attendre des années, ou des dizaines d'années avant qu'un médecin ne décide spontanément de vous parler de plantes qui soignent. 

Vous commencez à vous en apercevoir lorsque vous allez à l'hôpital. Certains médecins n'ont même plus le temps de vous écouter. Même l'auscultation, geste de base sans lequel aucun diagnostic sérieux n'est possible, est parfois « oubliée ». Une ordonnance griffonnée à la hâte, le tiroir-caisse, et vous vous retrouvez seul, face à votre maladie et à vos douleurs. Il n'y a parfois même plus de dialogue

Alors bien évidemment, cette hâte, souvent dictée par des impératifs financiers, conduit à vous priver de remèdes naturels, qui demandent du temps, une réflexion commune, de la curiosité pour aller chercher ailleurs, et le courage de sortir des sentiers battus de la médecine officielle. 

Et c'est pourquoi Plantes & Bien-Être a réellement une valeur inestimable

Plantes & Bien-Être vous en dit plus que votre médecin ne le peut (ou ne le veut...)

Il faut bien comprendre ceci : 

Même si votre médecin le pouvait, la probabilité est qu'il ne voudrait pas vous indiquer toutes les solutions qu'offrent peut-être les médecines alternatives à vos problèmes de santé. 

En effet, les médecins risquent toujours des poursuites s'ils proposent un traitement alternatif, y compris si ce traitement ne provoque aucun effet indésirable. Ils ne sont tranquilles que s'ils vous prescrivent les remèdes approuvés officiellement, même si cela tourne mal pour vous. 

Cela peut sembler incroyable mais prenez l'affaire Médiator : seuls sont inquiétés les médecins qui avaient prescrit le Médiator en dehors de son usage approuvé par les autorités sanitaires. Ceux qui avaient suivi les recommandations officielles (prescrire le Médiator pour le diabète) peuvent dormir sur leurs deux oreilles, même si leurs prescriptions ont causé des morts !! (je veux dire, « dormir sur leurs deux oreilles » du point de vue juridique bien sûr, car je ne doute pas que les milliers de médecins qui ont involontairement déclenché chez leurs patients de graves problème de cœur – ou la mort – en prescrivant du Médiator, éprouvent aujourd'hui un sincère repentir). 

Cette situation est absurde, mais c'est comme ça. Il ne faut pas s'étonner alors, que des centaines de milliers de patients passent des semaines, des mois, des années dans l'inquiétude, la maladie, la douleur, alors qu'une solution naturelle est peut-être à la portée de la main. 

À leur place, combien seriez-vous prêt à payer pour avoir cette information ?? 

Si vous me demandez à moi, je dirais des centaines d'euros

Mais la revue Plantes & Bien-Être ne coûte pas des centaines d'euros. Elle ne coûte même pas cinquante euros. 

L'abonnement au tarif normal est de 39 euros par an pour la version électronique. 

Mais aussi accessible que ce prix puisse paraître, vous n'avez même pas à débourser cela pour vous abonner pendant un an à Plantes & Bien-Être

En effet, vous pouvez bénéficier, pour une période limitée, d'une offre spéciale d'essai avec une réduction exceptionnelle, de plus de 50 %. 

Cela porte le montant d'abonnement d'un an à la revue Plantes & Bien-Être à seulement 19 euros, un prix dérisoire par rapport aux changements qu'elle peut apporter dans votre vie, et celle de vos proches. 

Plantes & Bien-Être existe aussi en format papier

La version électronique est l'option la moins chère que nous puissions vous offrir mais, moyennant un supplément, vous pouvez aussi recevoir chaque mois Plantes & Bien-Être chez vous en format papier, imprimé, par la Poste. 

Chaque numéro fait 32 pages. Cela peut donc être long et fatiguant à lire sur écran. L'imprimer peut coûter cher, à la longue, et il n'est pas toujours facile d'archiver des feuilles volantes. 

Nous vous envoyons donc, si vous le souhaitez, vos numéros de Plantes & Bien-Être en format papier, reliés, bien exécutés. Ce sera pour vous plus agréable à consulter et plus facile à conserver. 

Toutefois, l'imprimer, le mettre dans une enveloppe adressée à votre nom, et payer le timbre pour la France nous coûte 1,25 euro par numéro, ce qui nous oblige à vous demander une participation supplémentaire de 15 euros par an (douze numéros). L'abonnement papier coûte donc 19 euros (offre spéciale en format électronique), plus 15 euros, soit en tout 34 euros par an pour la France métropolitaine. 

Nous vous proposons aussi de recevoir Plantes & Bien-Être au format papier en Europe et dans le monde entier. Il faut alors compter un coût supplémentaire d'acheminement selon le pays dans lequel vous vous trouvez. 

Et pour rendre votre abonnement d'essai encore plus simple, et vous ôter toute arrière-pensée, vous avez la garantie suivante : 

Remboursement à 100 % sur simple demande

Je veux dire par là que si, après trois numéros de Plantes & Bien-Êtrevous jugiez que la revue ne vous apporte pas bien plus de solutions et de résultats que vous n'en attendiez, écrivez-nous simplement un petit mot, même par simple courrier électronique, ou téléphonez-nous et nous vous rembourserons votre abonnement. Intégralement. Sans poser aucune question. 

C'est aussi simple que ça. De votre côté, vous conserverez tout ce que vous aurez reçu de notre part, gratuitement, en remerciement d'avoir fait un essai à Plantes & Bien-Être

Vous admettrez que je peux difficilement faire plus. 

Comment pouvons-nous offrir une telle garantie de satisfaction ? Parce que nous savons qu'il est rarissime qu'une personne nous demande à être remboursée. En fait, nos lecteurs sont si contents de recevoir nos informations que beaucoup nous écrivent des mois avant la fin de leur abonnement pour s'assurer qu'ils seront bien renouvelés pour l'année suivante. 

Ils réalisent que, aujourd'hui, il est risqué de laisser sa santé entre les mains d'un système qui vous traite comme un numéro. Se priver du soutien de Plantes & Bien-Être serait pour eux un dangereux retour en arrière. 

Bien sûr, je pourrais continuer des heures sur le sujet, vous envoyer des témoignages émouvants de lecteurs, mais je veux respecter votre temps. 

Pour recevoir, chaque mois, dans votre boîte électronique, la revue Plantes & Bien-Être remplie de conseils de santé exclusifs, incluant les noms des produits naturels, leur prix, où les trouver, les dosages, et l'avis des meilleurs spécialistes dans chaque discipline, sans aucune publicité, cliquez maintenant sur le bouton « Continuer » ci-dessous. 

Et n'oubliez pas que vous bénéficiez d'une réduction sur le prix d'abonnement ET d'une garantie satisfait ou remboursé totale jusqu'à avoir reçu votre troisième numéro. Ensuite, vous pourrez toujours demander le remboursement de votre abonnement, mais il sera fait au prorata des numéros que vous n'aurez pas encore reçus. 

Sincèrement, 

Jean-Marc Dupuis 


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