Le 29 11 2009 Lemesle Jean Claude
Le chemin qui même au bonheur
Telle une plume qui m’effleure
J ‘entends battre ton cœur
Qui m’enveloppe d’une douce chaleur
Ainsi qu’un immense bonheur
Tu es là,
Je suis tout a toi
Tes paroles je bois
De tes lèvres je suis aux aboies
Cet ainsi que nos lèvres s’unissent
Nos deux corps frémissent
Dans le bruit des draps qui crissent
Que cette nuit jamais ne finisse
D’un coup se rêve s’achève
Le matin se lève
Car c’est au goût de tes lèvres
Que je ressens encore l’odeur de ta sève.