Le mystère des géoglyphes Nazcas (Pérou) + autres

Le mystère des géoglyphes Nazcas

C'est au Pérou, en Amérique du sud, entre Pacifique et Cordillères des Andes, que s'étendent sur environ 520 Km2, des dessins gigantesques (avoisinant les 350) appelés sous le nom de géoglyphes. Ses dessins géométriques recouvrent le sol comme un interminable réseau de sentiers.

Se sont les fameux dessins et lignes Nazcas, qui représentent un mystère pour de nombreux spécialistes en tout genre.

Ses lignes passeront inaperçues durant de nombreux siècles. Les indiens nazcas vivaient entre 300 av J-C et 800 ap J-C. Ils étaient présents bien avant les incas, sur cette cote sud du Pérou. Leur civilisation à laisser de nombreux vestiges, dont ses fameux dessins qui sont figuratifs (animaux, humains...) ou complètement abstraits (spirale, trapèze...).

La conservation, à travers les siècles, de ces géoglyphes, est du à un microclimat et une situation "adaptés" : Le plateau est l'une des régions les plus sèches au monde, le sol sans végétation réchauffe l'air, et la composition de la terre, du gypse, fixe le sable et la poussière. Mais il y a d'autres avis.

Les lignes et les dessins ont été obtenus simplement en enlevant des pierres, faisant apparaitre un sol jaune. On notera que d'après les spécialistes, les lignes ont été tracées par dessus les dessins....

Les questions que tous se posèrent furent innombrables : Pourquoi ils furent tracés, pourquoi ils sont si grands et les lignes si droites. Ces dernières ne sont pas des routes (elles s'arrète souvent brusquement où ne mènent nulle part..). Les géoglyphes Nazcas sont un puit d'enigmes.

Julio Tello (fondateur de l'archéologie péruvienne) a été le 1er à mentionner ces dessins dès 1926. L'avion avait permis de découvrir ces glyphes géants. C'est en prenant de la hauteur, que l'on pouvait contempler ces merveilles de l'Histoire (elle sont entrée au patrimoine mondiale de l'UNESCO en 1994).

L'intérêt intervint avec la passage à Nasca en 1941 de l'archéologue américain Paul Kosok. Celui-ci avançait l'idée que les lignes étaient "le plus grand livre d'astronomie du monde". C'etait tout simplement un calendrier astronomique (et c'est cette hypothèse qui m'a convaince).

Maria reiche, astronome et mathématicienne allemande (elle voua toute sa vie au site archéologique de Nasca, jusqu'a sa mort), qui arriva au Pérou en 1945, approuva cette idée avec différente nuance. Pour elle, cet ouvrage a été fait pour que les dieux puissent voir d'en haut et aider les nascas dans leurs activités de la vie en générale. Mais, elle était aussi persuadée que c'était bien un calendrier astronomique : par exemple, le singe est le symbole indien de la grande ourse, qui représentait la pluie.

Gerald Hawkins (astrophysicien américain), en 1968, va contester la théorie de ces 2 derniers grâce à l'informatique. Mais sa solution fut démolie par une erreur de méthodologie grave pour un chercheur (il a "rejoint" les lignes nazcas avec Stonehenge, qui se trouve dans l'hémisphère nord où l'on ne voit pas le ciel de la même façon....).

Il y eu des explications d'ordre religieuse, émises par l'historien péruvien Hans Horkheimer et l'écrivain anglais Tony Morrison.

Et bien sur, voici venir l'hypothèse des extraterrestres, émise par Erich Von Daniken, en 1968, qui pense que cette terre est un vestige de certaines pistes d'atterissage pour les vaisseaux de ceux venus de l'espace.... Cela fait partie de la théorie des "Anciens Astronautes".

Des tas d'hypothèse pour expliquer ces géoglyphes furent souvent complèment farfelues ou impossibles à envisager : Les nazcas pouvaient volés ou étaient les descendants de Atlantes, c'étaient des routes, des canaux d'irrigation, un souvenir du déluge (Robert Bast), des pistes pour des sortes de "jeux olympiques" (Von Breunig)....

Cette avalanche d'opinions "scientifiques", venues de toute la planète, n'explique pas tout et tout n'est pas explicable. Même si je pense que ces dessins et lignes pourraient être un calendrier astronomique, on pourrait y voir aussi mille et une autres explications.

A vous de voir.

Un vrai mystère de plus à élucider.

La photo représente le singe.

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L'endroit où se trouve le site archéologique au Pérou.

Nazca : Maria Reiche

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Celle qui voua sa vie au site.

Nazca : plan des dessins

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Nazca : L'araignée

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Nazca : le colibri

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Nazca : le cactus

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Nazca : l'Austronaute

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Nazca : le trapèze

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marileine blog de partage

Jérusalem

Et si vous essayiez : LA PAIX

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Je suis passionnée d'histoire, ça je le repète sans arrêt. L'histoire contemporaine me touche aussi, surtout le problème israélo-palestinien.

Je vais assumer aussi cet article et une solution que j'ai dans ma petite tête depuis fort longtemps. J'en ai parlé autour de moi, à des personnes d'horizons très divers, et, à mon grand étonnement certains m'ont fait comprendre que cette idée n'était pas si idiote que ça.

Je répète encore et toujours que je n'appartiens à aucune religion, ni parti politique....

Le problème est que là-bas, ni les israéliens ni les palestiniens n'accepteront ma petite idée toute simple, à cause de Jérusalem que tout le monde veut. Mais cette ville n'est un jouet. Elle ne se prête pas, ne s'échange pas et on ne se l'approprie pas, du moins, pas de cette façon ci.

D'abord, sachez je suis pour la création d'un état palestinien, l'abolition de ce mur honteux qu'Israel battit autour de ces derniers au nom du terrorisme... et l'arrêt de création de colonies juives en terres palestiniennes.

Tout cela doit s'arréter et tout les personnages consernés doivent "s'intaller" autour d'une table de négociation et ne sortir de la pièce que lorsque le "vrai" problème sera posé et que la solution sera considérée comme viable et accepter par tous. Et peut importe le temps qu'il faudra ensuite pour que la nouvelle donne se mette en place.

Plus de guerre, de morts innocents, d'attentats furent les seuls buts auxquels je n'ai cessé de penser lorsque cette "idée" a fait son chemin dans mon esprit au cours de ces années.

Jérusalem, ville sainte parmi les villes saintes, mérite, il est vrai un "traitement" particulier. Pouquoi ? Simplement, c'est là que sont nées toutes les religions, israélite, chrétienne, musulmane, qui aujourd'hui font parties de la vie de milliard d'humains. Cette ville est la base, le socle des religions qui permettent à de nombreuses gens de soutenir une vie, une soufrance et plus que cela.

La religion est, à mon humble avis, une histoire personnelle dans la vie d'un humain. Chacun fait son "choix" et il n'appartient qu'a lui. Pas question de prosélytisme ou d'endoctrinement. Et aux autres de respecter ce choix. Il se fait dans la discretion ou les édifices religieux battis à cet effet. Pas de guerre, d'attentat au nom d'un Dieu, dont on m'a toujours dit, que de n'importent quelles religions qu'il soit, son but unique est l'Amour et encore, ce qui à beaucoup de valeur à mes yeux le respect d'où nait la tolérance.

Je vais d'abord me débarrasser de ce qui "m'énerve" et risque d'en fâcher plus d'un : Jusqu'à quand l'Israel va-t-il se servir de la Shoah pour batir sa politique, et condamner l'autre ? C'est passé, fini. La page doit enfin être tournée. Et cela est pareil avec l'Allemagne que l'on n'arrète pas de culpabiliser pour cette même Shoah. L'histoire est censée être une référencepour avancer dans de meilleurs conditions, et normalement servir à ne pas commettre les même erreurs ou crimes du passé. Alors n'oublions pas mais avançons, en paix.

Venons en à "mon idée" : pourquoi ne pas contruire ces deux états, l'Israel et la Palestine (il y a suffisamment de place) et faire de la ville de Jérusalem, ville religieuse entre toute, une terre neutre, et les deux nouveaux pays, ainsi créer, choisiront une autre ville comme capitale. La neutralité de Jerusalem et sa sécurité seraient "surveillées" par différents états à tour de role ou pourquoi pas des soldats de l'ONU ? A charge, pour Israel et La Palestine de protéger les autres "territoires religieux" de cette terre dite sainte (Béthléem, le mont des Oliviers......). Chaque autre lieu religieux, étant censé être un endroit de paix, de prières, de recueillement, de tolérance et de respect, ne devrait pas connaitre de problème....

Voila ce qui me vient à l'esprit pour la paix de notre terre. Maintenant, je cherche une idée pour faire prendre conscience aux humains, dont je fais partie, que notre planète Terre est en danger : "aux armes citoyens". Ne soyons plus égoïstes.

Et puis j'écrirais un article ou je vous révèlerais combien j'ai sérieusement envi de me présenter aux élections présidentielles de 2012, car pour moi ils sont tous nuls, pas un pour rattraper l'autre, surtout pas l'autre petit agité et sa poupée Barbie mais qui sera certainement réélu car en face ce n'est guere mieux.

Alors pourquoi pas une inconnue, originale, handicapée, moche et grosse pour représenter tous les laissés pour compte dont je connais trop bien la vie, la douleur et tout le reste.

Et je ne suis pas bête du tout, comme le croit ma gentille maman. J'en ai dans le cabochon, quoiqu'on en dise, des idées pour nous sortir de cette M....

Le problème sera les 500 signatures et bien sur l'argent....

L'illustration est une carte du vieux Jérusalem et des quartiers de ses différentes religions.

Un long trajet

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Le mur

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Guernica

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Guernica est une ville espagnol (Guernica y luno et Gernika-Lumo en basque) dans la région de Biscaye, non loin du golfe de Gascogne.

La ville était renommée pour son "chêne sacré". Depuis le moyen-age, les représentants du peuple basque se réunissaient à son pied. Tous les 2 ans, d'Isabelle de Castille jusqu'en 1876, les souverains espagnols venaient renouveller, à cet endroit, leur serment de respecter les libertés basques. Cet arbre était le symbole de Guernica que les franquistes voulaient "supprimer". En cette moitié de XXème siècle, la ville est essentiellement une cité industrielle et d'armement de 7000 habitants environ.

La veille du drame, elle est traversée par des combattants républicains basques, les gudaris, qui fuient l'avancée des troupes de Franco, vers Bilbao, pour y organiser une nouvelle ligne de défense. Pour "arreter" cette fuite, il est décidé de détruire la pont de Renteria, au nord de Guernica qu'il n'est officiellement pas prévu de détruire. Certains républicains restent dans la ville.

Le bombardement de Guernica, le 26 avril 1937, fut l'un des évènements majeurs de la guerre d'Espagne. Cette guerre civile opposait la république espagnole, au camp nationaliste de Franco, qui c'est fait aidé par des volontaires étrangers (tout comme la république) dont les nazis. D'ailleurs ce criblage de bombe sur la ville fut planifié et dirigé par un officier allemand, le lieutenant-colonel baron Wolfram Von Richthofen, héros de la 1ère GM, et celle qui est la fameuse "légion Condor", acquerrant une sinistre réputation.

Hitler avait décidé que la guerre était la seule solution pour assouvir ses ambitions, il utilisa donc la guerre d'Espagne comme un terrain d''essai pour ses nouvelles armes et pour "l'entrainement" de ses aviateurs (le traité de versailles de 1919 l'en empêchant). C'est ainsi qu'en 1936, il créa une unité d'aviation spéciale "la légion Condor", sous le commandement du général Hugo Speerle, aidé par Richthofen.

C'est la 1ère fois dans l'histoire moderne qu'une population civile est massacrée par l'aviation. Cette boucherie aurait été voulu par Hitler, allié de Franco, pour "seulement" terroriser des personnes innocentes....

Le lundi 26 avril 1937, jour de marché donc plus de population, la ville basque est bombardée et incendiée par la "légion Condor" et par le "corpo truppe voluntarie", des volontaires italiens. L'attaque commence vers 16 heures 30 aux bombes explosives, à la mitrailleuse puis enfin aux bombes incendiaires. Les avions repartent, après avoir laché presque 50 tonnes de bombes, vers 19 h45. La cité est détruite par les armes et le feu qui se propage sur 70% de Guernica, sauf "l'arbre sacré" et le pont de Renteria... Leurs nouvelles armes sont donc testées !!! Les anti-franquistes dénoncent cet acte comme "terroriste", vue la disproportion entre la "défense" de la cité matyre et la violence de l'attaque. Il y eu environ entre 800 et 1000 morts.

Chacun se rejeta la responsabilité. Les nationalistes affirmèrent que les républicains avaient eux même mis le feu aux dépots de munitions des usines d'armement. Comme personne ne les croyait, ils assurèrent que ce bombardement était un acte de guerre à cause de la présence des opposants à Franco et de ces fameuse usines d'arme, qui furent pourtant peu touchées.... Et bien sur, on rejeta tout sur les nazis. Par contre Franco était-il au courant de cette attaque ? Et aurait-il fait quelque chose pour l'empêcher ?

Le 29 avril, entrant par le pont de Renteria, les franquistes découvrent les "dégats" et certains sont "choqués" par ce qu'ils voient.. Cet acte monstrueux entrainera les démocrates américains à retirer leur soutien à Franco. En 2004, à la demande d'un député basque, le gouvernement espagnol reconnait officiellement la responsabilté des nationalistes de Franco.

Dans les semaines qui suivirent la tragédie, l'opinion internationale s'émeut. Le gouvernement espagnol (républicain) commanda et paya à Pablo Ruiz Picasso, peintre espagnol vivant à Paris, une oeuvre hommage, pour perpétué le souvenir. Le tableau du peintre, "Guernica", médiatisa le sort tragique réservé aux habitants de cette ville et la guerre d'Espagne. Cette oeuvre est aujourd'hui exposée au musée "reina Sofia" de Madrid, non loin de la gare d'Atocha (cf : 11 mars 2001)....

Voir le livre de Gordon Thomas et Max Morgan-Witts : "Les dernières heures de Guernica".

La photo représente Guernica en ruine.

"Guernica" par Pablo Ruiz Picasso, artiste peintre

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Peint peu après la destruction de la ville de Guernica par les allemands et les italiens, par Pablo Picasso, en hommage aux victimes et pour que l'on n'oublie jamais. Souvent c'est le tableau qui amène à l'histoire tragique de cette ville et non l'inverse....

bonne après midi 1

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