Le 19 11 2011 Lemesle Jean Claude
La valse des corps éperdus
Son joli corps ondule
Toute vêtue d’une robe en tulle
C’était pourtant la canicule
Je la contemple jusqu’au crépuscule
Cette image dans ma mémoire s’accumule
Dans ma tête tout se bouscule
Mais ai-je l’air ridicule
Je marche comme un somnambule
Sans dévier comme font les funambules
Mais hélas tournent les aiguilles de la pendule
Alors avec un petit air incrédule
Et sans aucun scrupule
Doucement je recule
Tout mon corps gesticule
Telle une pieuvre et ses tentacules
Alors vers toi je bascule
Nos lèvres s ‘ articules
Et par ce poème je formule
Mes désirs minuscules
En t’écrivant « JE T’AIME « en majuscule