lemesle jc
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 | Sujet: a mon chien sam poeme de jcl  Dim 18 Mar - 6:57 | |
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le 17 12 1994
A MON CHIEN SAM .
Oh! toi mon chien Sam fidèle compagnon
Tu es parti à quatorze ans tu étais si bon
Tout les bons et les mauvais moments
Ensemblent nous avons passer, c'était le bon temps
Tantôt cabochard, tantôt doux et affectueux
A tes cotés j'étais heureux
Mais la vie est ainsi, toi mon chien
Je t'ai porter en terre avec chagrin
Tout la haut tu as retrouver ton maître et ta maîtresse
Pour elle, tu étais plein de gentillesse
Toi, au paradis des chiens
Moi, un regard au fond du jardin
Les yeux plein de pleurs
Je te promet mon chien de te déposer des fleurs
A l'endroit ou tu es coucher
Hélas pour l'éternité
Je pense t"avoir rendu heureux
Tu sais, je t"aimai bien mon pauvre vieux
Ton affection, ta présence
Il n'y a plus rien que le grand silence
Nous avons essayer de tout faire pour toi
Mais nous étions impuissant devant cette loi
Alors mon pauvre vieux
Repose en paix dans ce lieu
Tu me manques et me manqueras
Je me souvient quand tu sautais dans mes bras
Me griffant de tes grosses pattes,je ne te disais rien
Car je savais que tu voulais des câlins
Dans les durs moments a toi je me confiais
Je te parlais, cela me réconfortais
Pour moi, tu étais un enfant
Un grand jouet vivant
Tu n'étais qu'un chien, mais tu me comprenais
Quand j'étais seul et ennuyer, tu le savais
A plusieurs reprises tu as fais ta garde
Maintenant de toi il me reste des photos que je regarde
Adieu fidèle compagnon
Dans notre coeur nous te porterons
Nos pensées seront toujours a tes cotés
Pour toi mon chien que nous avons tant aimer
Ecoute ce petit discours
Toi qui nous à quitter pour toujours
Dans tes derniers moments tes gémissements de détresse
Ressemblaient a des S.O.S
Nous avons préfférer de soulager tes souffrances
Pour toi cela fut une délivrance
Pour tes maîtres cela est dur, mais nous sommes humain
Pour moi, tu étais un bébé et non un chien
De te voir souffrir et dépérir
Hélas sans aucun remède pour te guérrir
Je te revois quand tu étais un chiot
Tu étais comme ton maître , un gros pataud
Jusqu'au dernier jour
Ta conduite a été sans détour
Dans nos coeurs ton nom SAM est graver
Je te jure de jamais t'oublier
Alors maintenant veille sur tes bons vieux maîtres
Qui eux aussi le malheur les à appeler tu écoutais a la lettre
Alors la haut retrouve les je serais heureux ainsi
Et de ma part fait leurs de gros bibis
Voilà mon fidèle gardien
Le monde est cruel et je n'y peux rien
Reçoit mille grosses caresses
De la part de ton maître et ta maitresse.
Lemesle Jean Claude.
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cecelle64
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