coccinelle : pourquoi "bête à bon dieu" ?
Cela se passait au moyen-âge.
Un homme condamné à mort pour un crime qu' il n’avait pas commis, attend d’être décapité.
Comment prouver son innocence, quand tout et tous l’accusent ?
Sur le billot, il voit une coccinelle,
la recueille délicatement et la dépose plus loin.
Le bourreau s’approche pour lui lier les mains et procéder à son exécution.
Mais le Seigneur et sa Cour se récrient :
"il faut libérer cet homme, il faut lui rendre son honneur et sa vie.
Un homme qui épargne une si petite et humble bestiole ne peut avoir commis le crime horrible qui lui valait d’avoir la tête tranchée."
Et depuis ce jour, la coccinelle s’appelle la «Bête à Bon Dieu».
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acte courageux
pour une fois qu'une histoire finit bien autant la publier
un petit garçon de 10 ans sauve sa maman en prenant le volant
L'histoire aurait pu tourner au drame. Grâce au sang froid d'un petit garçon et aux bons réflexes d'un routier, elle s'est très bien terminée. Les faits se sont déroulés jeudi matin sur le périphérique Lyonnais à hauteur de Bron, comme le raconte [size=18]Le Progrès.
Ils est environ 8h15, le jeune Idris, 10 ans, voyage en voiture en compagnie de sa maman sur le périphérique dans la banlieue de Lyon, où la circulation commence à se densifier.[/size]
Soudain, alors qu'ils approchent de la sortie Bron-Centre, la maman fait un malaise et perd connaissance. La voiture continue sa course alors qu'Idris s'empare du volant.
«La voiture tapait contre le parapet»
C'est alors qu'un chauffeur-routier aperçoit l'Opel Corsa commencer à zigzaguer dangereusement. Il se place sur la voie du milieu et se porte à la hauteur de la voiture. Là, il voit le petit garçon tenter de maîtriser l'Opel, tandis que sa maman est inconsciente. «La voiture tapait régulièrement contre le parapet. Mais j’entendais que le moteur était au point mort, avec l’accélérateur à fond,» confie Johnny, le routier, au Progrès. Il décide alors de protéger la voiture en l'escortant.
L'Opel finit par ralentir et s'immobilise contre le parapet seulement quelques centaines de mètres avant un bouchon. Johnny saute de son camion, se précipite vers le petit garçon et appelle les pompiers. Une autre automobiliste s'arrête et s'occupe de la maman, dans l'attente des secours. Tout le monde est sain et sauf. La maman reprend connaissance avant d'être transportée à l'hôpital. Elle aurait été victime d'un malaise épileptique.
« Je tiens à rendre hommage à ce gamin. Il a été extrêmement fort et courageux, sans pleurer, sans rien. Il ne savait quand même pas trop où il en était. Je l’ai pris dans mes bras, je lui ai parlé. Moi-même j’étais au bord des larmes » relate le chauffeur du camion sur le site du [size=18]Progrès.[/size]
----------------------------------------------------------------------3ème âge en ballade
Il n'y a pas d'âge pour s'improviser une escapade romantique. La preuve avec l'histoire de ce[size=13]couple australien. Tom et Marian Foulkes, mariés depuis 38 ans, étaient sous latutelle de leurfils depuis le diagnostic de leur sénilité. Tom est âgé de 81 ans, Marian en a 87. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Ou presque.[/size]
Un jour, Marian découvre qu'on va lui retirer son permis de conduire. Son sang ne fait qu'un tour. Etre sous[size=13]tutelle, oui. Ne plus pouvoir conduire, certainement pas. Ni une, ni deux, elle embarque son Tom de mari pour une fugue de quinze jours sur la côteaustralienne. A bord de leur Ford rouge lecouple file vers le Nord.[/size]
Crainte d'une vie volée
De Melbourne, où leur[size=13]fils Paul avait déjà alerté la police, ils ont parcouru 1.200 km de la côte estaustralienne jusqu'à Lennox Head. Arrivés là, ils ont fait demi-tour. Quand ils sont Parvenus à Newcastle, dans le nord de Sydney, un policier leur a confisqué les clefs de la voiture, les trouvant manifestement trop désorientés pour les laisser conduire.[/size]
Mais le[size=13]couple fugueur n'a pas renoncé pour si peu à son rêve d'indépendance : il a attrapé un bus pour Canberra avant d'être reconnu par quelqu'un qui avait vu les avis de recherche couvrant les journaux. La police a annoncé jeudi les avoir retrouvés la veille en pleine santé et visiblement satisfaits de leur escapade.[/size]
"C'est difficile de dire à quel point ils se sont amusés mais ils ont certainement vécu une aventure extraordinaire", a reconnu leur[size=13]fils Paul venus chercher ses parents au poste de police. "Tout tournait autour de leurindépendance et de leur peur que leur vie soit sur le point de leur être volée", a-t-il déclaré au journal The Australian.[/size]
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anecdote
Le fermier écossais !Un paysan écossais du nom de Fleming peinait un jour dans son champ pour gagner la vie de sa famille lorsqu'il entendit un cri de détresse provenant d'une mare située tout près. Jetant ses outils, il y courut et vit un enfant qui se débattait en hurlant de terreur dans une mer de boue où il était déjà enfoncé jusqu'à la taille. Le fermier sauva l'enfant de ce qui aurait pu être une mort lente et horrible.Le jour suivant, un riche équipage s'arrêta devant l'humble demeure de l'Écossais. En descendit un gentilhomme élégant qui se présenta: c'était le père de l'enfant que Fleming avait sauvé. - Je veux vous dédommager pour votre peine. Vous avez sauvé la vie de mon enfant.- Non, répondit le fermier en repoussant l'argent que le père lui tendait, je ne peux pas accepter d'être rétribué pour ce que j'ai fait.À ce moment apparut un garçonnet à la porte de la pauvre masure.- C'est votre fils, demanda le gentleman?- Oui, répondit fièrement Fleming.- Eh bien, voici ce que je vous propose. Laissez-moi lui procurer le haut niveau d'instruction dont mon propre fils jouira et si le vôtre ressemble un tant soit peu à son père, il deviendra sans aucun doute un homme dont nous serons fiers tous les deux.Ce qui fut fait.Le fils du paysan fut inscrit dans les meilleures écoles, obtint son diplôme de St Mary's Hospital Medical School, à Londres et finit par être connu mondialement pour sa découverte de la pénicilline. On aura reconnu Sir Alexander Fleming.Plusieurs années passèrent: le fils du gentilhomme souffrit d'une pneumonie. Sa vie fut sauvée cette fois par la pénicilline. Le nom du gentilhomme? Lord Randolph Churchill.Le nom de son fils? Sir Winston Churchill. Qui donc a dit: n'arrive que ce qui doit arriver?Légende urbaine...------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Ninnenne