« Il y a dans la forêt des bruits qui ressemblent à des paroles. » (Jean Giono)
Les femmes sont inexplicables…..
Quand elles sont aimées à la folie, elles veulent être aimées raisonnablement..
Et quand on les aime raisonnablement, elles vous reprochent de ne pas savoiraimer.
(Honoré de balzac)
Rien n’imprime si vivement quelque chose à notre souvenance que le désir de l’oublier. (Montaigne.)
Vauvenargues a dit: « C’est un mauvais parti pour une femme que d’être coquette:
Il est rare que celles de ce caractère allument de grandes passions;
et ce n’est pas à cause qu’elles sont légères, comme on le croit communément,
mais parce que personne ne veut-être dupe, la vertu nous fait mépriser la fausseté, et l’amour -propre nous la fait haïr. »
Emil Michel Cioran: « On s’endort toujours avec un contentement qui ne se laisse pas décrire,
on glisse dans le sommeil et on est heureux de s’y enfuir.
Si on se réveille à contrecoeur,c’est qu’on ne quitte pas sans déchirement l’inconscience, véritable et unique paradis.
Autant dire que l’homme n’est comblé que lorsqu’il cesse d’être homme. »
N’ayez jamais peur de la vie, n’ayez jamais peur de l’aventure, faites confiance au hasard, à la chance, à la destinée.
Partez, allez conquérir d’autres espaces, d’autres espérances.
Le reste vous sera donné de surcroît. (Henry de Monfreid)
André Gide a dit:
« Il me semble toujours que c’est dans la gourmandise que l’égoïsme se manifeste le plus honteusement. »
A une jeune fille
Vous qui ne savez pas combien l'enfance est belle,
Enfant ! n'enviez point notre âge de douleurs,
Où le cœur tour à tour est esclave et rebelle,
Où le rire est souvent plus triste que vos pleurs.
Votre âge insouciant est si doux qu'on l'oublie !
Il passe, comme un souffle au vaste champ des airs,
Comme une voix joyeuse en fuyant affaiblie,
Comme un alcyon sur les mers.
Oh ! ne vous hâtez point de mûrir vos pensées !
Jouissez du matin, jouissez du printemps ;
Vos heures sont des fleurs l'une à l'autre enlacées ;
Ne les effeuillez pas plus vite que le temps.
Laissez venir les ans ! Le destin vous dévoue,
Comme nous, aux regrets, à la fausse amitié,
A ces maux sans espoir que l'orgueil désavoue,
A ces plaisirs qui font pitié.
Riez pourtant ! du sort ignorez la puissance
Riez ! n'attristez pas votre front gracieux,
Votre œil d'azur, miroir de paix et d'innocence,
Qui révèle votre âme et réfléchit les cieux !
Victor Hugo
N'essaie pas de décrocher la lune. elle doit encore servir.
être chez soi, c’est regarder la lune se lever sur la vaste terre endormie,
et pouvoir appeler quelqu’un à la fenêtre pour la contempler ensemble.
(Stephen King)
Ninnenne