» FRAGILE » comme un » CHEF » … !!!

» FRAGILE » comme un » CHEF » … !!!

                                  Un poste de chef, aussi rémunérateur et stimulant soit-il, peut avoir pour conséquence d’affecter le bien-être physique et mental de celui qui l’occupe. Alors qu’il existe des données abondantes sur la fréquence élevée des maladies cardio-vasculaires, des affections chroniques, décés précoces et même suicides dans pas mal de grandes entreprises très connues, chez les personnes des catégories sociales les moins qualifiées, jusqu’ici le fait d’occuper un poste à responsabilité n’avait pas été associé à des problèmes de santé.
                                  En fait, il existe un lien entre le degré de responsabilité dans une entreprise et les éventuels troubles physiques et psychologiques dont les travailleurs, toujours plus sollicités, manipulés au gré de leur supérieur hiérarchique, se plaignent : Maux de tête, Brûlures d’estomac, Troubles du sommeil ou de la Concentration. Tout cela pour permettre à un supérieur de faire son trou, de peur, lui aussi, d’être mis au placard.
                                  Le fait d’encadrer, d’embaucher, de renvoyer et de décider des salaires d’autres employés va de pair avec une augmentation de la fréquence des conflits avec les collègues et un empiètement plus marqué du travail dans la vie personnelle et familiale. Ce phénomène peut affecter le bien-être physique et mental engendrant un stress chronique. Mais les salaires plus élevés et la plus grande indépendance de certains de ces emplois peut contrebalancer les aspects négatifs en terme de santé. C’est justement parce que les bénéfices et les risques associés aux postes de pouvoir s’équilibrent qu’ils semblent n’avoir aucun effet sur la santé.
Autrement dit, il vaut mieux être   «   GRAND CHEF » que » PETIT CHEF «  !!!

Ninnenne