Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
Sujet: Le mal de vivre de Barbara (vidéo et paroles) Sam 7 Mar - 15:25
Le mal de vivre de Barbara
Le syndrome de fatigue chronique (abréviation : SFC), est constitué par un état de fatigue répété et récurrent qui, même après le repos, ne disparaît pas.
Ce syndrome a été identifié dans les pays anglo-saxons au milieu des années 1980. L'Organisation mondiale de la santé le considère comme une maladie neurologique grave et il figure sur la liste américaine des maladies infectieuses nouvelles, récurrentes et résistantes aux médicaments.
Il porte plusieurs noms, dont l'« encéphalopathie myalgique ».
Fatigue chronique, dépression, fibromyalgie .........Qu'importe le nom, je n'ai plus l'envie meme pas celui d'avoir envie, mais ce [size=13]blog.htm">blog m'aide.[/size]
Pardon à vous qui venez me voir et à qui je ne rends pas visite. Comme souvent je suis sur ma planète avec mon petit Prince et les étoiles mais je reviens petit à petit pour surement redisparaitre un jour.
Ça ne prévient pas quand ça arrive Ça vient de loin Ça s'est promené de rive en rive La gueule en coin Et puis un matin, au réveil C'est presque rien Mais c'est là, ça vous ensommeille Au creux des reins.
Le mal de vivre Le mal de vivre Qu'on doit bien vivre Vaille que vivre
On peut le mettre en bandoulière Ou comme un bijou à la main Comme une [size=13]fleur en boutonnière Ou juste à la pointe du sein C'est pas forcément la misère C'est pas Valmy, c'est pas Verdun Mais c'est larmes aux paupières Au jour qui meurt, au jour qui vient.
Le mal de vivre Le mal de vivre Ue l'on doit bien vivre Vaille que vivre
Qu'on soit de Rome ou d'Amérique Qu'on soit de Londres ou de Pékin Qu'on soit d'Egypte ou bien d'Afrique Ou de la porte Saint-Martin On fait tous la même prière On fait tous le même chemin Qu'il est long quand on doit f le faire Avec son mal au creux des reins
Ils ont beau vouloir nous comprendre Ceux qui nous viennent les mains nues Nous ne voulons plus les entendre On ne peut pas, on n'en peut plus Et tous seuls dans le silence D'une nuit qui n'en finit plus Voilà que soudain on y pense A ceux qui n'en sont pas revenus.
Du mal de vivre Leur mal de vivre Qu'ils devaient vivre Vaille que vivre