marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Quelques photos d'animaux Dim 2 Aoû - 10:38 | |
| Le yak du Tibet est le mammifère qui vit à la plus haute altitude. Il grimpe parfois à plus de 6.000 m.( GUINNESS DES RECORDS.)Il faut que le loup meurt de faim pour attaquer l'homme. Ou que l'homme soit blessé, qu'il saigne et que le fauve ait goûté son sang sur la roche.Le loup est blanc. Allongé contre le caribou qu'il a éventré, il se remet à manger. Ses canines énormes déchirent la viande. La femme tient toujours son javelot levé. Elle avance à peine plus vite qu'une plante rampante entre les pierres. Sans cesser de manger, le loup ne la quitte pas des yeux. Elle ne lit aucune menace dans le regard du loup. Elle n'a encore jamais vu de loup aussi blanc. ( B.CLAVEL: Maudits sauvages.)Lors de nos périples à travers la France, nous avons eu l'occasion de visiter le "Safari de Peaugres" dans le département de l'Ardèche.Magnifique Safari, avec quelques surprises!!La chienne Rita nourrit deux bébés tigres du cirque Bouglione dont la mère n'a pas de lait.( GUINNESS DES RECORDS.)Très beau chamois lors de notre passage dans les "Ecrins"Le rhinocéros noir est menacé d'extinction parce que ses cornes réduites en poudre entrent dans la composition de certains médicaments orientaux. Une corne de rhinocéros noir se vend 4.400 dollars le kilo en Corée du Sud.( Le saviez-vous ? Reader's Digest.)Le cheval peut jouer un rôle essentiel dans le traitement de handicaps physiques ou mentaux. Tel est le principe de l'hippothérapie.( Science & nature.)Le vieux est allé droit vers les pâturages où sont les bêtes, les longues vaches flamandes aux yeux tristes, qui viennent en ronflant de plaisir manger parfois l'avoine au creux de sa main. Aucune n'a seulement levé la tête, aucune d'elles perdues dans leurs songes. Mais leur humble présence est juste ce qu'il lui faut, et lui non plus ne les regarde guère! Il écoute leur souffle tranquille, et tout autour de leurs grands corps couchés, l'herbe est tiède et douce, avec une vague odeur de lait.( G.BERNANOS: Monsieur Ouine.)Une intempestive chauve-souris qui faisait son entrée, tournoyant comme une folle autour des flambeaux...( P.LOTI: Le roman d'un enfant.)Le premier veau que je rencontrai était un jeune animal d'un an, dont les cornes commençaient juste à pointer à travers une fourrure de velours sombre.( M.CONSTANTIN-WEYER: Manitoba.)De délicieuses petites chèvres qui grelottaient comme des émigrantes sous leurs châles de laine.( H.LAVEDAN: Emotions.)C'était un grand chien blanc et feu, coiffé de longues oreilles noires. Ses babines roses saignaient un peu, déchirées par les broussailles. Il marchait vite, sans courir, tenant sa truffe haut dans le vent.Le chien qui l'accompagne a des poils blancs autour des yeux, des flancs maigres où se dessinent les côtes; mais sa poitrine est large et profonde, et ses pattes sont infatigables.( M.GENEVOIX: La dernière harde.)...Ses oreilles s'ouvraient aux bruits divers: rugissement lointain d'un lion, miaulement d'une panthère, jappement des chacals, ricanement des hyènes, glissement soyeux et continu d'un long python qui...dévalait vers le marigot.( E.PEROCHON: Le Livre des quatre saisons.)J'avais aussi passé sous silence l'usage que nous faisions, avec l'Insensé(son copain), des cochons qui occupaient la porcherie de la petite ferme. Assis à califourchon sur le dos, qui de la truie, qui d'un goret, nous le cravachions à coups de sureau, et les faisions dévaler un talus qui longeait la route. Mes cuisses nues sur la peau rose et drue de la bête, je chevauchais le gros animal qui couinait et reniflait, imbécile, soumis.( P.LABRO: Le petit garçon.)Il y avait aussi les chevreuils, mais ceux-là il les connaissait déjà, ces diables roux qui bondissent dans la cépée ou se glissent sous les fougères, fauves véritables malgré leur gracieuse apparence et poutant viandant avec délicatesse, se nourrissant de baies, de feuilles, de bourgeons, des jeunes pousses des arbres, même des pommes tombées sous les pommiers de la grande allée.( P.VIALAR: La chasse de décembre.)A présent il savait, par le sol retourné sous les chênes, quand les sangliers étaient de passage. Il prévenait alors le fermier du "Haut Bout" avant que ceux-ci aient pu mettre à mal ses champs de pommes de terre ou ses maïs. On organisait aussitôt une battue avec les gens du pays. On défendait ainsi ce qu'il fallait protéger.( P.VIALAR: La chasse de décembre.)« Ce regard du chat, profond, mystérieusement investigateur, presque inquiétant par sa fixité, cet oeil ouvertsur vous comme un appareil qui prend votre image, doit faire penser que les chats sont de meilleurs jugeursdes gens qui les approchent que les chiens. »« On a calomnié les chats. Ils ont une tendresse, et une tendresse intelligente. Quand je suis bien portant, lachatte saute sur le pied de mon lit et s’y tient coite ; quand je suis malade, elle se couche contre ma poitrine,et comme elle a horreur de la barbe, elle me lèche de temps en temps le bout( E et J DE GONCOURT: Journal.)« Personne plus que moi n’a le droit de dire la vérité aux chiens. J’ai appartenu pendant dix années à un trèsbeau chien de Terre-Neuve ; entre nous, les relations ordinaires étaient renversées : j’étais soumis, humble,fidèle comme un chien ; il était capricieux, bizarre, ingrat comme un homme. C’était moi qui étais son ami.Eh bien ! après une liaison de dix ans, il a entrepris par deux fois de me dévorer, et m’a forcé de résumerainsi notre amitié : 1e les chiens ne valent pas mieux que les hommes; 2e mon chien m’aimait comme onaime le bifteck. »( A.KARR: Une poignée de vérités.)Quand je vois arriver la nuit, j'en ai les sueurs qui me prennent, comme l'âne de Capitou quand il voyait venir le bât.( A.DAUDET: Lettres de mon moulin.)Les chiens sont toujours pressés de sortir quand ils sont dedans et de rentrer quand ils sont dehors.( A.DUMAS fils: Le Régent Mustel.)En s'approchant, derrière Ernest, on percevait, chez les lions surtout, un souffle court, brûlant de brièveté, maléfique à force d'économie. La bête esquissait, avec ses mâchoires, un rugissement, et le deuxième rugissement, le vrai, ne venait qu'après comme la vague après la vague qui s'est d'abord fait les pattes sur le sable. C'était un rugissement d'une extraordinaire puissance.( P.GASCAR: Les bêtes.)Une bande de cerfs, au loin, bramait. Un barrit d'éléphant monta tout à coup ainsi qu'une fanfare, et sa sonorité cuivrée arracha un frisson à l'air immobile.( J.D'ESME: L'âme de la brousse.)Le chat était noir comme la nuit, et l'on ne voyait de lui que ses yeux lumineux et bombés comme deux lentilles de cristal vert.( M.LEY: L'Enfant dans la forêt.)La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal, qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats.( BUFFON.)Seuls les castors ont le droit de barrer les rivières. Eux seuls savent le faire sans tuer l'eau.( B.CLAVEL: Maudits sauvages.)Deux boeufs tranquilles, à la robe d'un jaune pâle, véritables patriarches de la prairie, hauts de taille, un peu maigres, les cornes longues et rabattues, de ces vieux travailleurs qu'une longue habitude a rendu frères, et qui, privés l'un de l'autre, se refusent au travail avec un nouveau compagnon et se laissent mourir de chagrin.( G.SAND: La Mare au diable.)La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal, qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats.( BUFFON: Histoire naturelle.)« Ce regard du chat, profond, mystérieusement investigateur, presque inquiétant par sa fixité, cet oeil ouvertsur vous comme un appareil qui prend votre image, doit faire penser que les chats sont de meilleurs jugeursdes gens qui les approchent que les chiens. »§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§« On a calomnié les chats. Ils ont une tendresse, et une tendresse intelligente. Quand je suis bien portant, lachatte saute sur le pied de mon lit et s’y tient coite ; quand je suis malade, elle se couche contre ma poitrine,et comme elle a horreur de la barbe, elle me lèche de temps en temps le bout du nez comme un baiser. »( E.etJ.de GONCOURT: Journal.) Ninnenne mon blog!!! | |
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