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| Astrologie - Signe - Poissons - Mythes - Décans -+ autres | |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Astrologie - Signe - Poissons - Mythes - Décans -+ autres Lun 14 Sep - 13:21 | |
| Les Poissons du 19 Février au 20 Mars Les symboles et mythes des poissons L’écrevisse du signe du Cancer vit à fleur d’eau, en quête d’un peu de fraîcheur, ou si le crabe en analogie avec ce même signe et qui porte son nom, vit sur les plages, dans les rochers, au creux des vagues, à la surface des mers. Le Scorpion, quant à lui, vit dans les eaux chaudes de la terre, dans les mares et les marais. Aux Poissons, il faut l’océan, le ciel, l’espace. L’océan n’est-il pas un immense et splendide miroir dans lequel se reflète l’immensité du ciel constellé, apparemment immuable, en réalité toujours en mouvement ? Le ciel et l’océan sont les deux symboles naturels, pourrait-on dit, du signe des Poissons. [size=16][/size] En effet, en contemplant la surface de l’océan, on ne soupçonne pas les innombrables courants qui le traversent, ni la richesse, l’infinie variété des formes de vie qui grouillent dans ses eaux. De même en contemplant le ciel, on n’imagine mal les mouvements et les attractions des astres, la puissance des masses et des éléments qui sont en jeu, les formidables forces créatrices et destructrices œuvrant à tout instant. Ainsi, on comprend mieux comment le signe des Poissons, dernier signe du zodiaque, mais aussi le signe qui précède le premier signe du printemps, le Bélier du renouveau, de la plante qui sort de la terre pour se tourner vers la lumière, vers le soleil, vers le ciel, a été assimilé au chaos primordial, au stade de la vie intra-utérine, coïncidant avec les derniers jours de la grossesse, juste avant que l’enfant voit le jour. On pourrait dire que tout natif des Poissons pressent que le jour va venir, que la lumière est là, toute proche. [size=16][/size] C’est pourquoi la prémonition, l’art d’anticiper les événements, la connaissance intuitive du déroulement des circonstances sont, chez les natifs de ce signe, une seconde nature, un don inné. Mieux que quiconque, ils savent se placer dans les courants continus, dans les vagues toujours recommencées du temps qui se perpétue, au cœur de ce que nous appelons aujourd’hui le continuum espace-temps. Connaissant le commencement, ils pressentent la fin. Voilà pourquoi ils ont parfois tant de mal à vivre le présent. Abondance, fécondité, richesse, multiplicité, infini, éternité, le signe des Poissons est celui de la démultiplication, de la générosité sans borne, de l’ouverture totale, de la dissolution de tout ce qui divise et sépare, isole et contraint, de la dilatation et de la fusion. Selon Anaximandre, astrologue et philosophe grec du VIème siècle avant notre ère, qui affirmait que l’univers était un ensemble chaotique et indéterminé contenant en lui-même tous ses contraires, dans certaines régions d’Asie Mineure, la consommation de poisson était proscrite et tabou, car on le vénérait à la fois en tant que père et mère de tous les hommes. Selon une légende mythique romaine, qui s’inspire de la mythologie grecque, mais qui puise aussi aux sources plus anciennes des mythes assyriens, Cupidon (Eros) et Vénus (Aphrodite) furent surpris dans leurs ébats sur les bords de l'Euphrate, par Typhon, le monstre mi-fauve, mi-humain, enfanté par Gaïa, la Terre, dont la tête touchait les étoiles. [size=16][/size] Typhon, peinture murale etrusque Pour le fuir, ils se jetèrent à l’eau et se changèrent en poissons. Au fond du fleuve, ils trouvèrent un œuf merveilleux qu’ils ramenèrent sur le rivage. De cet œuf, naquit une déesse d’une grande sagesse, dont la réputation ne tarda pas à se répandre. Elle put alors intercéder auprès de Jupiter (Zeus) pour qu’il accorde l’immortalité aux deux poissons. C’est ainsi qu’est née la constellation des Poissons. Les décans Trois couples de poissons figurent les trois décans du dernier signe du zodiaque. Chacun d’eux symbolise à sa manière, selon son style, l’ambivalence propre à ce signe subtil. Les Poissons du premier décan, dit décan de Clairvoyance, dont le maître est Saturne du 20 fevrier au 29 fevrier D’un point de vue figuratif, les trois couples de poissons représentant les trois décans du dernier signe du zodiaque se ressemblent. Seules diffèrent la direction dans laquelle ils nagent et leurs postures. Le premier couple de poissons apparaissant au début de ce signe se compose de deux poissons en tout point semblables. Il s’agit d’un autre point commun aux trois figures symbolisant les décans de ce signe. [size=16][/size] Toutefois, les deux premiers poissons se distinguent des deux autres couples, par leurs postures. Le premier se trouve dans une position parfaitement horizontale, la tête dirigée vers la gauche. Le second se situe juste au-dessous de lui, la tête à droite. Leurs têtes et leurs corps se trouvent inversés, chacun d’eux semblant s’orienter dans une direction diamétralement opposée. En effet, ces deux poissons que rien ne distingue n’offrent aucun lien apparent entre eux. D’une certaine manière, ce dessin suggère que celui du haut aurait pu tout aussi bien se trouver en bas, et inversement. Dès lors, en quoi figure-t-il symboliquement la clairvoyance, nom que porte ce trente-quatrième décan du zodiaque ? On attribue communément au natif de ce décan un caractère cyclothymique, tantôt lucide ou clairvoyant, tantôt angoissé ou désespéré. Il passe ainsi d’un extrême à l’autre, sans transition, parfois du matin au soir, ou d’un instant à l’autre. Déchiré entre ses deux états opposés, il n’en est pas moins pourvu d’une grande réceptivité psychique qui peut le rendre étonnamment clairvoyant. Les Poissons du deuxième décan, dit décan de Grandeur d'âme, dont le maître est Jupiter du 1er mars au 10 mars Ce dessin met en scène le plus beau, le plus harmonieux des trois couples de poissonsfigurant dans le dernier signe du zodiaque, d’un point de vue esthétique s’entend. Il s’agit en effet de deux longs poissons, pourvus de superbes écailles, d’une tête fine, comme ciselée, de deux nageoires ventrales et dorsales, et d’une nageoire caudale bien développées, mais heureusement proportionnées par rapport au corps. [size=16][/size] De ces deux poissons positionnés l’un au-dessus de l’autre se dégagent une certaine tranquillité empreinte d’assurance, de la finesse, et de la force, toutes qualités en rapport avec la beauté plastique aussi bien qu’intérieure. Celui qui se trouve en haut se dirige vers la gauche, le corps droit, relié par la nageoire caudale à son congénère ou frère jumeau, qui se dirige sous lui dans la direction opposée. Chacun semble chercher ou choisir une voie tandis qu’un lien les rassemble, les unit, les soude littéralement l’un a l’autre. Ce lien symbolise des éléments subtils qui relient deux tendances ou deux comportements apparemment contradictoires, en réalité complémentaires, que l’on retrouve fréquemment chez le natif de ce décan. Ici, le corps et l’âme se trouvent sinon en osmose, du moins en relation constante l’un avec l’autre. Les Poissons du troisième décan, dit décan de Réceptivité, dont le maître est Mars du 11 mars au 20 mars Les deux poissons figurant le dernier décan du zodiaque sont tout en mouvement et en puissance. Leur corps pourvu de très grosses écailles brillantes, leurs nageoires dorsales, ventrales et caudales semblant écrasées par les flots révèlent qu’ils nagent à grande vitesse. Celui du haut ne se trouve pas dans une position horizontale comme dans les deux précédents décans. La tête dirigée vers la droite, son corps forme un angle à quarante-cinq degrés au-dessus l’horizon. Sa tête, dirigée vers le ciel, émerge des flots. [size=16][/size] L’autre poisson, jumeau du premier, la tête dirigée vers le bas, son corps formant également un angle de quarante-cinq degrés, mais au-dessous de l’horizon, plonge dans les profondeurs. L’un émerge, l’autre plonge. Néanmoins, ils sont reliés par un cordon dont chacun tient une extrémité dans sa gueule. Ainsi se trouve figurée l’ambivalence caractéristique du natif de ce décan qui tantôt aspire à sortir de l’ombre pour exprimer et montrer ce qu’il pressent et perçoit, tantôt cherche à se retirer du monde, à s’isoler, à plonger en lui-même, à nager dans les ultimes profondeurs de l’âme et de la conscience. Astrologie - Signe - Poissons - Présentation Les Poissons du 19 Février au 20 Mars Présentation des Poissons Le signe des Poissons est le douzième et dernier signe du zodiaque. C’est un signe féminin, mutable, c'est-à-dire le dernier signe d'une saison, ici, en l'occurrence, le troisième signe d’hiver, correspondant à la période du dégel. Le Soleil fait son entrée dans ce signe le 19 ou le 20 février. Il y séjourne jusqu’au 20 ou 21 mars, selon les années. Sa saison est l’hiver. En cette période de l’année, c’est le dernier stade de la vie souterraine pour les plantes qui surgiront de terre au printemps prochain. Sous l’effet de la chaleur, qui revient peu à peu, la neige et la glace fondent, la terre est humide et réceptive. [size=16][/size] Son élément est l’Eau. La fonte des neiges, et des glaces engendre un déferlement des eaux qui renouvellent les nappes phréatiques, préparant la régénération des eaux de sources filtrées par le limon de la terre. Les rivières et les fleuves grossissent, débordent parfois. [size=16][/size] Ses maîtres sont Jupiter et Neptune, Zeus et Poséidon, les dieux grecs du ciel et de l’océan. [size=16][/size] Ses couleurs sont les diverses nuances du bleu, du vert et du violet, comme le bleu marine et le vert d’eau, par exemple. [size=16][/size] Ses pierres sont l'aigue-marine, le corail et le jade. [size=16][/size] (Aigue Marine) Son métal est l’étain. Son signe opposé et complémentaire est la Vierge [size=16][/size] Ses correspondances anatomiques sont les pieds, les veines, et la glande pinéale ou épiphyse. Les pays en analogie avec le signe des Poissons sont la Cote d’Ivoire, la Gambie, le Ghana, la Guadeloupe, la Guyane Française, le Portugal, le Sahara, Saint-Domingue, Taiwan, la Tunisie. Les villes qui lui correspondent sont Alexandrie, Compostelle, Ratisbonne, Séville. Ses mots clés sont réceptivité, intuition, inspiration, émotion, communion, compassion, bonté. Quel que soit le rôle qu’il joue ou la place qu’il tient, le natif des Poissons a de hautes aspirations. Il est idéaliste et inspiré. Les grandes caractéristiques des Poissons Vous avez un tempérament émotif, cyclothymique, angoissé, flou, mais plein de ressources insoupçonnées, pouvant dès lors vous rendre plus résistant que vous n'en avez l'air. En effet, votre grande réceptivité psychique vous confère un pouvoir d’adaptation subtil aux circonstances les plus variées, un don naturel pour deviner les états d’âme et les sentiments d’autrui, anticiper les événements ou profiter des situations agréables. Vos aspirations spirituelles ou mystiques sont latentes, et votre imagination créatrice est potentiellement riche. Vous avez un certain goût pour les arts, le romanesque, le lyrisme, la poésie. Vous vous attachez alors aussi bien au fond, qu'à la forme. Votre caractère est empreint d’une grande bonté naturelle. Vous êtes compatissant, compréhensif, tendre, affectueux, perméable, influençable, impressionnable. Votre esprit baigne dans la sensibilité émotionnelle. Vous êtes perceptif, imaginatif. Vous pouvez totalement vous abstraire de la réalité matérielle, car vous en êtes en proie à de multiples impressions qui vous rendent tantôt confus, ou incohérent, tantôt génial, ou inspiré. Vous avez tendance à nourrir des angoisses irrationnelles, à vous réfugier dans l’auto-illusion, à fuir le contact ou l’affrontement. Par compensation, vous développez un sens du défi ou de l’absolu, un don de soi pouvant aller jusqu'au sacrifice. Vous êtes idéaliste. Vous ressentez le besoin instinctif de participer aux joies et aux souffrances d’autrui, avec un sens inné de la communauté. En amour, vous aspirez à une totale fusion charnelle et spirituelle avec l’autre. Vous sublimez vos sentiments et vos désirs. Astrologie - Signe -Verseau - Mythes - Décans Le Verseau
du 20 Janvier au 18 Février
Symboles et mythes du Verseau Ici tout est renversé. Nous assistons à un total renversement de situation. C’est le symbole qui saute aux yeux lorsqu’on observe les images figurant ce onzième signe du zodiaque. Le plus souvent, il est représenté par un homme ou par une femme portant une ou deux amphores, une ou deux urnes, dont il ou elle renverse le contenu. C’est le Verseau, littéralement celui qui verse de l’eau. [size=16][/size] Cependant le latin versare, dont est issu notre verbe verser, a d’abord signifié tourner ou faire tourner et, au sens figuré, remuer, dans le sens d’émouvoir, c’est-à-dire remuer l’esprit de quelqu’un pour l’induire à réagir, ou pour agir sur lui, autrement dit l’influencer. C’est ce même versare qui a donné également versatilis, qui tourne aisément, qui est mobile. Enfin, versare dérivant de vertere, versum signifie encore tourner, retourner, renverser au propre comme au figuré, qui a donné aussi convertir (conversion), et converser. Signalons enfin que vertèbre est aussi un mot issu de vertere. Par ailleurs, en jouant avec la consonance des mots, on est aussi tenté de relever queVerseau et cerveau sont deux noms dont les vibrations sont très proches. Or symboliquement, ce que fait notre verseur d’eau, c’est bien cela. Il renverse le cours des choses. Il vide le contenu de son cerveau représenté par l’amphore ou l’urne, ses pensées, ses idées, et son inspiration, figurées par l’eau qui s’écoule, le long de sa colonne vertébrale, pour remuer, émouvoir, convertir. Il fait se rejoindre les eaux d’en-Haut aux eaux d’en-Bas. [size=16][/size] L’esprit et la conscience de l’homme ne siègent-ils pas dans son cerveau ? Dès lors, en en vidant le contenu le long de la colonne vertébrale, il se libère des maillons de cette chaîne qui composent l’arbre vertébral. Houlyah en hébreu signifie aussi bien vertèbre que maillon. Mais cet arbre, c’est lui qui, désormais, veut en planter les racines. En libérant son esprit et sa conscience, il se met dans la situation du Pendu, le douzième arcane du Tarot divinatoire, ou du yogi dans la shirshâsana, ou posture sur la tête, dite encore du poirier. Pourtant, il reste debout. C’est à l’intérieur de lui-même qu’il se retourne, qu’il renverse le contenu de son esprit et de sa conscience, pour devenir un être libre de toute attache et créer lui-même ses propres racines, non pas dans la terre de matière, nourricière, matricielle et maternelle, mais dans sa terre intérieure, nouvelle. Ce renversement des valeurs, c’est ce que la tradition hébraïque nomme le « Retournement des Lumières », qui se produit en l’homme lorsque celui-ci sème un nouveau germe dans sa terre intérieure et inférieure, pour qu’il engendre une nouvelle lumière qui libérera sa conscience. [size=16][/size] Pour comprendre ce que signifie ce « Retournement » en lequel on retrouve le goût du paradoxe et de la relativisation des natifs du Verseau, il faut imaginer que l’on pourrait faire demi-tour tout en restant sur place, et que notre visage serait placé derrière notre tête, sans que pour autant rien n’ait changé en nous. Autrement dit, de face, nous serions de dos. Pourtant, notre face et notre dos seraient toujours notre face et notre dos. En cela, le Verseau, c’est l’homme - zodiaque, c’est-à-dire l’homme debout au cœur du zodiaque, incarnant toutes ses composantes, les diffusant, les transmettant jusqu’au « Retournement des Lumières », qui libérera l’homme des déterminismes et des influences révélés par le zodiaque. Les décans Originalité, Inspirations, Utopies, tels sont les 3 noms magiques des 3 décans du Verseaudont les symboles vivants mêlent le rêve à l’ambiguïté, le réalisme à l’imagination. Le Verseau du premier décan, dit décan d'Originalité, dont le maître est Vénus du 20 janvier au 30 janvier Le premier « verseur d’eau » figurant en lieu et place des dix premiers degrés de ce signe est un personnage pourvu d’une certaine grâce. Son physique, son allure, son attitude, lui confèrent un aspect quelque peu efféminé, androgyne, ou angélique. Pourtant, il s’agit bien d’un jeune homme. Il se tient debout, la jambe droite en avant, le pied droit posé à terre, le genou droit très légèrement plié, la jambe gauche plus en retrait, la pointe de son pied gauche posée sur le sol, mais le talon levé, et le genou gauche plus nettement plié que le droit. Sur son costume rappelant celui d’un page du Moyen Age, il porte une cape, qui l’enveloppe jusqu’au milieu du corps, flottant au vent derrière lui. [size=16][/size] Le buste légèrement penché en avant, dans la main droite, il tient l’anse d’une cruche d’eau dont il verse le contenu dans une bassine pleine d’eau, posée devant lui. Le vent et l’eau présents dans cette image, le premier suggéré par les mouvements de sa cape, et sa chevelure ébouriffée, la seconde par le flot qui coule de sa cruche renversée, correspondent aux deux Éléments primordiaux en analogie avec le signe du Verseau : l’Air, l’Élément de ce signe, et l’Eau, celui qui domine l’hiver, sa saison. La main droite posée sur le fond de la cruche, qu’il fixe du regard, il semble indifférent à tout ce qui l’environne. Le pouvoir de concentration, la capacité à fixer son attention, et la faculté d’abstraction constituent en effet autant de qualités attribuées à Saturne, qui demeure le maître incontesté de ce onzième signe du zodiaque. Mais pour quelle raison verse-t-il l’eau d’une cruche dans une bassine contenant déjà de l’eau, posée à terre, juste devant lui ? D’un point de vue symbolique, ce geste figure ses pensées originales et ses sentiments singuliers qu’il déverse, pour les agiter, sans les disperser. La bassine contient l’eau de ses pensées, idées et sentiments, qu’elle préserve, dans un but utilitaire. En effet, le natif de ce premier décan se distingue souvent par son inspiration, l’originalité de sa pensée, mais aussi son pragmatisme. Le Verseau du deuxième décan, dit décan d'Inspirations, dont le maître est la Lune noire du 31 janvier au 8 février L’atmosphère qui se dégage du dessin figurant ce décan apparaît beaucoup moins ambiguë que celle du premier décan, mais s’y ajoute un caractère primitif qui n’en souligne pas moins son originalité. En effet, le personnage représenté au cœur du signe du Verseau se tient debout, nu comme un ver, ou plus exactement, comme un homme préhistorique. Son corps rappelle celui d’un enfant ayant grandi trop vite, ou d’un adulte aux membres quelque peu difformes, avec les rondeurs et les attitudes d’un corps juvénile, paradoxalement recouvert d’une dense toison de poils sous les bras, sur le torse et les cuisses. [size=16][/size] Ce jeune garçon au corps d’homme adulte et velu figure symboliquement un être aux instincts très développés, prédominants, chez qui l’animalité affleure encore. Sa chevelure, très dense elle aussi, hirsute, flotte au vent. Dans la main droite, située juste devant son visage, il tient une vasque renversée, d’où coule à flot une eau semblable à celle d’un fleuve au parcours sinueux au creux d’une vallée. En réalité, ses ondulations sont sans doute dues aux bourrasques de vent qui l’agitent. L’aspect primitif du personnage figurant ici, d’où se dégage un mélange de douceur et de brutalité, d’innocence et de bestialité, est typique de la Lune Noire, qui gouverne ce décan. Quant à l’eau ondoyante sous l’effet du vent, elle souligne les qualités d’inspiration, d’imagination, et d’innovation que l’on attribue au natif de ce décan. Le Verseau du troisième décan, dit décan d'Utopies, dont le maître est Neptune du 9 février au 18 février Le dernier dessin figurant le troisième décan, synthétise l’ensemble des symboles et des caractéristiques se rattachant au signe du Verseau. On le choisit fréquemment pour représenter ce signe dans le zodiaque. [size=16][/size] Il met en scène un personnage sans âge, à l’allure quelque peu intemporelle, le genou droit posé à terre, le pied gauche à même le sol, la jambe gauche repliée. Il se tient dans cette position au bord d’un fleuve tumultueux, portant une lourde et imposante amphore sur l’épaule gauche, qu’il encercle de ses bras puissants, d’où se déverse un flot dense, apparemment sans fin, inépuisable, comme si l’amphore dénuée de fond possédait une capacité illimitée. Telle une corne d’abondance, l’amphore symbolise ici les ressources infinies de l’imagination et du psychisme. En effet, ce décan gouverné par Neptune révèle que le natif de la fin du signe du Verseause distingue par sa charge émotionnelle d’une grande richesse, source d’inspiration, à l’origine d’un foisonnement de rêves et d’utopies dont les hommes se nourrissent pour espérer, croire et évoluer. L’espoir, la foi et l’utopie se rejoignent dans ce décan, pour annoncer, produire ou provoquer un renouveau. [size=24]Astrologie - Signe - Verseau - Présentation [/size] Le Verseau
du 20 Janvier au 18 Février
Présentation du Verseau Le Verseau est le onzième signe du zodiaque. C’est un signe masculin, fixe, c'est-à-dire celui qui apparaît au cœur d'une saison, ici, en l'occurrence, le deuxième signe de l’hiver coïncidant avec la période de l’apparition des racines. Le Soleil fait son entrée dans ce signe le 20 ou le 21 janvier. Il y séjourne jusqu’au 19 ou 20 février, selon les années. Sa saison est l’hiver. Des vents froids balayent la surface de la terre recouverte par le gel, tandis que l’air givrant pénètre les eaux se transformant en glace. Mais dans la terre, les premiers signes de la germination apparaissent, et les racines poussent. [size=16][/size] Son élément est l’Air. Il s’agit de l’air pur et froid du cœur de l’hiver. Comme le symbole de ce signe l’indique, on le voit ondoyer, onduler, vibrer au-dessus des surfaces gelées, sous les effets conjugués des vents glacés, et de la réverbération du soleil. [size=16][/size] Ses maîtres sont Saturne et Uranus, ou Cronos et Ouranos, les dieux grecs du temps et du ciel. [size=16][/size] Saturne [size=16][/size] Uranus Sa couleur est le lie de vin, mais on lui attribue aussi toutes les nuances du gris ou des tons argentés. [size=16][/size] Ses pierres sont le saphir, et la perle noire. [size=16][/size] Perles noires Son métal est le plomb. Son signe opposé et complémentaire est le Lion. [size=16][/size] Ses correspondances anatomiques sont les jambes, les chevilles, les talons, et les nerfs. [size=16][/size] Les pays en analogie avec le signe du Verseau sont l’Australie, le Chili, Chypre, la Gambie, la Suède, le Vatican, le Venezuela. Les villes du monde qui lui correspondent sont Brême, Hambourg, Salzbourg. Ses mots clés sont indépendance, communication, solidarité, humanisme, sympathie, progrès, originalité. Le natif du Verseau est un être à l’esprit libre et souple, un travailleur indépendant, un technicien ou un savant. Les grandes caractéristiques du Verseau Vous avez un tempérament impulsif, nerveux, dynamique, stimulé par d’excellents réflexes. Vous êtes prompt à réagir, à vous adapter aux circonstances les plus diverses, à vous emparer des idées, des modes, des courants, et des valeurs du moment, à saisir les opportunités. Vous avez le goût de l’aventure à vivre dans l’instant, de l’engagement immédiat. Vous aimez la nouveauté, l’originalité, les techniques modernes, les courants idéologiques progressistes. Votre caractère est indépendant, souple, compréhensif, diplomate, tolérant ou permissif, altruiste, sociable, fraternel, mais aussi instable, indomptable, indiscipliné parfois, insoumis ou révolté, dénué d’amour-propre, et de loyauté. Vous êtes spontanément solidaire d’autrui, mais vous avez aussi besoin de réconfort, de collaboration, d’entretenir de nombreuses relations amicales, dissimulant ainsi votre difficulté d'aimer, ou compensant l'absence de sentiments exclusifs ou constants dont vous faites preuve. Votre esprit est très ouvert, non-conformiste, épris de liberté, parfois rebelle, toujours curieux, aventureux, expérimental, inventif, habile à cultiver l’art du paradoxe et sachant relativiser les situations. Vous aimez bien surprendre, contredire, vous faire l’avocat du diable, ou réaliser des démonstrations par l’absurde. Le plus souvent, votre unique ambition est d’acquérir ou de préserver votre liberté. Libéral ou libertin, indulgent pour vous-même comme pour autrui, en amour, vous êtes sincèrement solidaire de ceux que vous aimez, mais peu apte aux engagements. | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Astrologie - Signe - Poissons - Mythes - Décans -+ autres Lun 14 Sep - 13:21 | |
| Suite Astrologie - Signe -Capricorne - Mythes - Décans - Le Capricorne du 22 Décembre au 19 Janvier Symboles et mythes du capricorne Pour les Grecs, la chèvre, qu’ils nommaient plus simplement Aïx, était une créature effrayante, créée par Hélios, le Soleil. Quand Zeus fut devenu adulte, et qu’il lutta contre les Titans, il se confectionna une armure avec la peau de cette chèvre mythique. Cette armure devint l’Égide, le bouclier de Zeus, forgé par Héphaïstos - Vulcain, le dieu du feu, dont il fit don à Apollon, puis à Athéna - Minerve, sa fille, la déesse de la guerre. La tête de la Gorgone Méduse, entourée de serpents, objet d’épouvante et d’effroi, figurait au centre de ce bouclier magique, rendant invulnérable celle ou celui qui le dressait devant lui. [size=16][/size] Enfin, en gage de reconnaissance, Zeus fit don d’une corne de chèvre à Amalthée, sa nourrice, en lui promettant qu’elle se remplirait éternellement de toutes les fleurs et de tous les fruits de la terre. C’est ainsi que Zeus - Jupiter créa la corne d’abondance. On trouve dans cette légende mythique relative à Amalthèe et Zeus - Jupiter, tous les symboles figurant dans la représentation du signe du Capricorne. [size=16][/size] En effet, ce signe apparaît fréquemment sous l’aspect d’un animal hybride, chèvre à queue de poisson, ou de monstre marin, ou sous celui d’une chèvre dont l’arrière train figure une corne d’abondance. Dans le premier cas, il s’agit de la chèvre, que l’on pourrait dire athénienne, en analogie avec la partie de la légende se rattachant à Athéna et à son bouclier au centre duquel se trouve la tête de la Gorgone Méduse. Ici figure symboliquement le principe d’autodéfense du signe du Capricorne. En effet, l’aspect horrible et terrifiant de la Gorgone Méduse, pétrifiait ceux qui la voyaient. Or la lucidité des natifs du Capricorne est parfois terrifiante de réalisme, et implacable par sa logique incontournable. Toutefois, si la chèvre est parfois pourvue d’une queue de poisson, c’est aussi pour évoquer les qualités spirituelles propres à ce signe. La queue de poisson symbolise les eaux nourricières d’où l’être est sorti pour s’élever au plus haut degré spirituel, à l’instar de la chèvre qui vit à flanc de montagne. Dans le deuxième cas, la chèvre à queue en forme de corne d’abondance, nous renvoie au don que fit Zeus à Amalthée. Nous sommes dès lors en présence des richesses potentielles que contient ce signe coïncidant avec la période de l’année où la terre, vue de l’extérieur, semble stérile, mais qui contient en son sein les graines qui ont été semées, qui sont bien sûr les promesses d’une récolte abondante, et dont ce signe est le gardien. En effet, le Soleil entre dans le signe du Capricorne à l’instant où se produit solstice d’hiver, c'est-à-dire la nuit la plus longue de l'année, qui est, symboliquement, l’avènement de la renaissance du Soleil et du jour. Ce n’est pas un hasard si ce jour fut celui, réel ou mythique, de la naissance de Jésus, et s’il fut considéré longtemps comme le premier jour de l’année avant que, arbitrairement, et pour des raisons plus économiques, que spirituelles, cette fois, il fut décidé que celle-ci commencerait quelques jours plus tard et systématiquement, le 1er janvier. Les décans Deux chèvres nourricières à queue de poisson et un bouquetin fécondant figurent les trois décans du signe du Capricorne. Le Capricorne du premier décan, dit décan d'Organisation, dont le maître est Jupiter du 22 au 31 décembre
La première image symbolique du signe du Capricorne met en scène un animal fabuleux pourvu d’une tête et d’un corps de chèvre, et d’une queue de poisson. Cette chèvre étrange, singulière, n’en possède pas moins une forme de grâce, de la finesse. Couchée, les pattes repliées sous son corps svelte, la tête droite, anguleuse, immobile, dégageant une certaine force, de la fierté, de la noblesse, elle semble fixer un point sur l’horizon. [size=16][/size] En suivant la pointe de sa gueule jusqu’au bout de ses cornes lisses et légèrement recourbées vers le bas, au-dessus de son corps mince, derrière son cou large et puissant, se devine un demi-cercle soulignant l’aspect délicat, avenant de cette chèvre. Son corps est de plus en plus fin de sa nuque à son arrière-train. Sa superbe queue de poisson forme une espèce de boucle passant elle-même sous son corps posé à terre, dont la nageoire caudale, dirigée vers le ciel, ressemble à une fleur pourvue de trois superbes pétales orientées vers le ciel. Sa position couchée, ses pattes avant pliées sous son corps dépourvu de pattes arrière, peuvent s’interpréter, symboliquement, comme autant de signes d’humilité, d’attente, de patience, d’expectative. Sa tête immobile, ses yeux fixés sur l’horizon figurent la lucidité, l’acuité du regard pénétrant d’un être qui ne se fie pas aux apparences. Néanmoins, sa queue de poisson laisse supposer que cet animal fantasmagorique se trouve encore relié au principe fécondant, généreux, expansif, que la présence de Jupiter, le maître de ce premier décan, se fait sentir à côté de l’austère et lucide Saturne, le maître de ce signe. Le Capricorne du deuxième décan, dit décan de Persévérance, dont le maître est Mars du 1er au 10 janvier
Dans l’univers de Mars, qui maîtrise ce décan, s’impose la figure d’un être hybride, moitié chèvre, moitié poisson, plus primaire et complexe à la fois. Il s’agit peut-être d’une chèvre sauvage dont le corps fût coupé en deux parties égales, la deuxième moitié de son corps remplacée par une queue de serpent ou de dragon. [size=16][/size] À moins que cet animal fantasmagorique soit le fruit des amours coupables d’une chèvre et d’un serpent des mers, ou d’un dragon. Ses pattes projetées en avant, sa tête tendue, ses cornes recourbées vers le haut, les pointes légèrement menaçantes, les poils hirsutes de son cou, sa longue queue de poisson formant une boucle passant au-dessous de son corps, ondoyant comme le corps d’un serpent, donnent ensemble une impression de force impulsive et déterminée, de puissance active et concentrée, qualités représentatives de la présence conjuguée de Mars, le maître de ce décan, et de Saturne, le maître de ce signe. Le Capricorne du troisième décan, dit décan de Courage, dont le maître est Uranus du 11 au 20 janvier Le dessin figurant le troisième décan du signe du Capricorne, dépouillé de tout caractère fantasmagorique, est beaucoup plus moderne. Il s’agit d’une chèvre des montagnes, plus précisément d’un chamois, du moins si l’on en croit ses pattes hautes, fines et musclées, dont on devine la souplesse, la puissance et l’agilité. Sa posture confirme qu’il possède bien de telles qualités. [size=16][/size] En effet, il se présente dressé sur ses deux pattes arrière, comme s’il s’apprêtait non pas à bondir, à sauter, à grimper, ou à surmonter un obstacle, mais comme s’il se trouvait sur le point de se tenir debout, d’adopter la position verticale, attitude lui conférant un caractère humain. De plus, le mouvement de sa tête légèrement inclinée vers l’avant et sur le côté, ainsi que ses yeux très expressifs laissent envisager qu’il possède une autre caractéristique propre à l’homme, l’intelligence. Mais à mieux y regarder, la forme de ses longues et fortes cornes annelées révèle sans ambiguïté qu’il ne s’agit ni d’une chèvre, ni d’un chamois, mais d’un bouquetin, vivant lui aussi sur les massifs montagneux, dont l’agilité à sauter d’un roc à l’autre à flan de montagne, en fit un animal légendaire. Depuis que l’historien grec Hérodote rendit compte du culte sexuel rendu en Égypte, dans la ville de Mendès notamment, à un dieu figuré par cet animal, le bouc a très mauvaise réputation. Pourtant, les peuples d’Europe centrale et d’Asie quant à eux virent dans le bouquetin un animal sacré, le gardien du monde. Jadis en effet, les montagnes, frontières naturelles, délimitaient fréquemment un territoire ou un pays, qu’elles protégeaient des invasions toujours possibles. Ces peuples croyaient au pouvoir du bouquetin de chasser les sortilèges. [size=16][/size] Vivant à flan de montagne, il se trouvait près du ciel, en relation avec les puissances célestes. Ces dernières correspondent bien à l’univers d’Ouranos ou Uranus, maître de ce troisième décan, personnification du Ciel en tant qu’élément fécondant. Selon les légendes de la mythologie grecque qui se rattachent à ce dieu de l’Olympe, Uranus, époux de Gaia, la Terre, la couvrait comme le bouc couvre la chèvre, pour la féconder. En révélant que les particules célestes percutant constamment la surface du globe terrestre se trouvent sans doute à l’origine de la vie sur terre, les astrophysiciens donnèrent une nouvelle dimension au mythe d’Uranus, le Ciel, fécondant Gaia, la Terre. Astrologie - Signe - Capricorne - Présentation -Le Capricorne du 22 Décembre au 19 Janvier Présentation du Capricorne Le Capricorne est le dixième signe du zodiaque. C’est un signe féminin, cardinal, c'est-à-dire le premier signe d'une saison, en l'occurrence, ici, le premier de l’hiver, correspondant, dans la nature, à la période de l’année où les nuits sont plus les longues. Le Soleil entre dans ce signe le 20 ou le 21 décembre. Il y séjourne jusqu’au 19 ou 20 janvier, selon les années. Sa saison est l’hiver. Le froid s’installe peu à peu sur la terre, en surface. Mais sous la terre, les semences travaillent, s’isolent, se protègent. Les arbres n’ont plus leur feuillage. Les animaux hibernent. Les hommes se réfugient dans leurs maisons, pour être à l’abri du froid. [size=16][/size] Son élément est la Terre. Il s’agit de la terre qui donne toute l’apparence de l’austérité et de la stérilité, mais qui garde en son sein des richesses pour le futur. C’est une terre froide et morte à l’extérieur, mais chaude et vivante à l’intérieur, repliée sur elle-même. [size=16][/size] Son maître est Saturne, c'est-à-dire Cronos, le dieu du temps des Grecs. [size=16][/size] Sa couleur correspond à toutes les nuances de violet et de brun, et notamment le violet de cobalt, le brun de cachou ou de sépia. [size=16][/size] Ses pierres sont l’ambre et l’onyx. [size=16][/size] Ambre jaune [size=16] Onyx[/size] Son métal est le plomb. Son signe opposé et complémentaire est le Cancer. [size=16][/size] Ses correspondances anatomiques sont les genoux, la peau, les articulations, et les os. [size=16][/size] Les pays en analogie avec le signe du Capricorne sont l’Albanie, l’Afghanistan, la Bosnie, la Bulgarie, l’Inde, le Mexique. Les villes du monde qui lui correspondent sont Bruxelles, Capri, Constance, Mexico, Oxford, Port-Saïd. Ses mots clés sont prudence, persévérance, ténacité, sang-froid, esprit logique et rationnel, sagesse, discipline. Le natif du Capricorne est un être réaliste, ambitieux, conscient de son devoir, capable d’assumer de lourdes ou de hautes responsabilités. Les grandes caractéristiques du Capricorne Vous êtes pourvu d'un tempérament froid. Votre rythme et vos réflexes sont lents. Vous compensez votre vitalité restreinte, et vos mauvais réflexes par un système d’autodéfense très élaboré, une volonté de se suffire à soi-même, de ne compter que sur soi. Vous avez une forte tendance à la méfiance à l’égard de tout ce qui n’est pas rationnel ou cohérent. Vous exercez votre pouvoir de concentration sur le présent. Vous vous appliquez à une planification rigoureuse de l’avenir, vous consacrant à une ambition, poursuivant un but unique ou un objectif à long terme, pour vous prévenir contre l’imprévu. Vous avez le sens du devoir, des responsabilités, de l’autodiscipline. Votre nature est dure, rigide, exigeante, sélective. Votre caractère est introverti, intègre, sérieux, rigoureux, prudent, orgueilleux, enclin au pessimisme, parfois égocentrique, misanthrope ou imperméable aux sentiments et aux besoins d’autrui, d’autres fois très diplomate. Vous avez besoin d’avoir des convictions et des certitudes acquises par l’expérience, d’être confronté à des principes ou des valeurs qui ont fait leurs preuves. Votre esprit est logique, avisé, lucide, synthétique, prudent, sceptique, stoïque, rationnel. Psychologiquement, votre signe correspond à la prise de conscience de l’indépendance, révélée par la faculté de discernement. Cette faculté vous incline à vous isoler afin de pouvoir exploiter toutes vos ressources intérieures. En amour, vous n'êtes pas très expansif, mais vous êtes sincère, droit et constant. Vous pouvez aussi vous révéler particulièrement sélectif et tenace, dans l'expression comme dans la manifestation de vos sentiments. Astrologie - Signe -Sagittaire - Mythes - Décans - Le Sagittaire - du 22 Novembre au 21 Décembre
Symboles et mythes du Sagittaire
Sagittaire signifie flèche. Selon l'astrologie traditionnelle, les trois décans du signe du Sagittaire sont figurés par trois centaures. Le premier centaure, le torse tourné, bande son arc, et dirige sa flèche derrière lui. Le deuxième pointe sa flèche droit devant. Le troisième, le buste légèrement penché en arrière, sa tête et son arc fixés vers le ciel, s'apprête à lancer sa flèche dans les étoiles. Ces trois directions symbolisent le passé, l'avenir, et la vie future.
Elles nous donnent un aperçu de la triple nature, psychique et pulsionnelle, charnelle et matérielle, religieuse et spirituelle, du Sagittaire, en correspondance avec les trois éléments qui constituent l'arc, la branche ou corps de l'arc, la corde et la flèche. La branche de l'arc, c'est la partie inférieure et animale du centaure, la bête qui sommeille dans le Sagittaire, dont l'instinct fait corps avec la terre.
C'est ainsi que le Sagittaire du premier décan qui pointe sa flèche derrière lui, est encore tourné vers les pulsions de vie et de mort en relation avec le signe du zodiaque précédant, le Scorpion. La corde représente la tension du désir qui permet de se projeter dans l'avenir, d'aller de l'avant. Elle représente le dynamisme et l'enthousiasme, deux qualités inhérentes aux natifs de ce signe.
C'est ainsi que le centaure figurant dans le deuxième décan du Sagittaire dirige sa flèche droit devant, vers l'horizon qu'il veut franchir pour sortir de ses limites et explorer un nouveau territoire. Enfin la flèche est le symbole du destin. Elle est en relation avec l'éclair et la foudre, dont nous savons qu'ils sont des attributs de Jupiter, l'astre maître de ce signe. L'éclair, c'est la flèche de feu.
L'Amoureux, le sixième arcane majeur du Tarot divinatoire, présente une analogie certaine avec le signe du Sagittaire. En effet, l'ange qui plane au-dessus des trois personnages présents sur cet arcane tient un arc en main et s'apprête à décocher sa flèche. Cet arcane faisant bien sûr allusion à l'amour, il s'agit là d'une métaphore de ce que l'on nomme communément le « coup de foudre ».
Or, la foudre ou l'éclair, c'est la flèche, autrement dit l'arrêt du destin. Ici, la notion de choix qu'illustre cet arcane majeur s'apparente au destin.
Ainsi, si le bas du corps du centaure est celui d'un animal, le haut de son corps possède un caractère angélique. Le centaure, être légendaire et mythique assimilé à un génie de la montagne et de la forêt, est simultanément en relation avec les couches les plus profondes de la nature terrestre, et les zones élevées et supérieures du monde céleste. Il porte en lui la terre et le ciel.
Le mythe du Sagittaire est le centaure mi-homme, mi-animal, ou plus exactement mi-ange, mi-bête. L'ange étant un génie de la nature, et la bête faisant corps avec elle, le centaure est placé au cœur de la vie terrestre et matérielle.
Mais Sagittaire signifie flèche. Ainsi, en la lançant, il manifeste son pouvoir et sa volonté de choisir son destin, de maîtriser ses désirs, et d'atteindre une cible qui n'est autre que lui-même, le centre de son être. Sagitta dérive du verbe latin sagire qui signifie percevoir rapidement. Vif comme l'éclair, le Sagittaire a du génie.
Les décans
Le Sagittaire, dont le nom signifie flèche, est un être mythique et fantastique dans toute sa splendeur. Avec lui, on peut dire : dis-moi où tu veux lancer ta flèche, je te dirai qui tu es. Le Sagittaire du premier décan, dit décan de Sagesse, dont le maître est Mercure du 22 novembre au 1er décembre Le corps de cheval du premier Centaure figurant ce décan semble se diriger vers la gauche, tandis que son buste humain opère manifestement un mouvement en arrière, vers la droite, tenant son arc bandé, sa flèche, dont la pointe se place précisément dans l’axe de ses reins et de sa queue en panache, visant une cible se trouvant derrière lui. Immobile, prêt à décocher sa flèche, une tension extrême, une force de concentration intense se dégagent de cet être mythique mi-animal, mi-homme.
Chez le Centaure en effet, le cheval et l’homme font corps, ne formant qu’un seul et même être. Toutefois, en le contemplant dans cette posture, on a beaucoup plus le sentiment que c’est avec son arc, sa flèche, et sa cible invisible, sauf pour lui, qu’il fait corps. Sa cible se trouvant située derrière lui, cela signifie qu’il se tourne vers le passé.
Mais alors, on perçoit une certaine ambition chez cet être fantastique, puisque, le passé qui l’intéresse peut se considérer comme celui des origines, qu’il désigne et veut atteindre de la pointe de sa flèche. Ce Centaure évolue dans l’univers de la sagesse dont le premier décan du signe du Sagittaire porte le nom, et qui a pour maître Mercure.
Sous la double influence de Jupiter, et de Neptune qui, ensemble, gouvernent ce signe, le natif de ce décan aspire à la simplicité et témoigne d’une certaine forme d’inspiration illuminée pouvant éventuellement le conduire sinon à la sagesse, du moins à une certaine philosophie de vie.
Le Sagittaire du deuxième décan, dit décan d'Aventures, dont le maître est la Lune du 2 décembre au 11 décembre Le Centaure figurant le deuxième décan du signe du Sagittaire va résolument de l’avant. Il court au grand galop, son arc bandé, qu’il tient à bout de bras devant lui. À moins de faire preuve d’une adresse remarquable, exceptionnelle, il ne pourra sans doute pas atteindre sa cible.
Mais tout laisse à croire qu’il décoche plusieurs flèches d’affilée, puisqu’il porte un carquois tenu par une lanière de cuir entourant son torse nu, rempli de pointes effilées, et empennées. L’ardeur, la fougue, la puissance se dégagent du corps de cheval en mouvement, tandis que les muscles saillants du torse de l’homme tronc renforcent l’impression de force combative.
Si le Centaure du décan précédent semblait résolument tourné vers le passé, celui qui occupe ce décan paraît bien fixé dans le présent. Mais il s’agit d’un présent dynamique, actif, en mouvement, en expansion, pas d’un instant figé ou fixé à tout jamais. Ici, le temps ne s’arrête pas, il court. Il va de l’avant.
C’est le décan de l’aventure, mais aussi des aventures, symbolisées par les nombreuses flèches que contient le carquois que porte le centaure, qu’il décoche de-ci de-là, partout où il passe, au petit bonheur la chance, selon l’inspiration du moment révélée par la Lune, maître de ce décan, élargissant ainsi son champ d’action au fur et à mesure qu’il progresse.
Le Sagittaire du troisième décan, dit décan de Connaissance, dont le maître est Saturne du 12 décembre au 20 décembre À l’instar du Centaure figurant le premier décan de ce signe, celui-ci est immobile. Ses sabots solidement, pesamment fixés sur le sol, ses jambes fixes, bien droites ne présentent pas ce caractère de fragilité fréquent chez le cheval.
Quant à l’homme tronc, il s’incline légèrement en arrière, le bras gauche tendu vers le ciel, les yeux fixés dans l’axe de sa flèche pointée elle aussi vers le ciel. La flèche symbolisant les idées, les aspirations, le destin, ceux du Centaure figurant ce décan procèdent assurément d’une grande noblesse d’esprit, et d’une forte ambition.
Et en effet, le natif de ce décan lance fréquemment ses flèches plus loin qu’il ne pourra jamais les atteindre. Dès lors, dans cette image, la cible correspond à un idéal. Il s’agit des solides convictions, représentées par les sabots du Centaure qui fait ainsi corps avec la terre, sur lesquelles le natif de ce signe se repose pour approfondir sa connaissance du monde et de la vie, et lancer sa flèche pour atteindre un objectif qui le dépasse, réaliser une vocation, se dévouer corps (le corps du cheval) et âme (le buste de l’homme) à une cause noble et généreuse. Astrologie - Signe - Sagittaire - Présentation Le Sagittaire - du 22 Novembre au 21 Décembre
Présentation du sagittaire
Le Sagittaire est le neuvième signe du zodiaque. C'est un signe masculin, mutable, c'est-à-dire clôturant une saison, en l'occurrence, ici, le dernier signe de l'automne, coïncidant avec la période de la première germination. Le Soleil y fait son entrée le 21 ou le 22 novembre. Il y séjourne jusqu'au 20 ou 21 décembre, selon les années.
Sa saison est la fin de l'automne. À la surface de la terre, l'humidité et le froid augmentent. Mais la terre a su préserver en son sein un peu de la chaleur de l'été favorisant la croissance des graines qui ont été semées, au cours du mois précédent. Ces graines sont des promesses pour le futur.
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Son élément est le feu. Il s'agit du feu intérieur, secret et sacré, du feu de la terre qui jaillit parfois des volcans en éruption, mais aussi du feu produit par la main de l'homme ou domestiqué par lui pour se protéger contre le froid : brasero, feu de bois ou de cheminée, feu du foyer.
Son maître est Jupiter, le Zeus grec, le dieu suprême de l'Olympe.
Sa couleur est le bleu cobalt ou turquoise, mais on lui attribue aussi les couleurs jaune clair du feu, et blanche de l'éclair.
Ses pierres sont la turquoise, l'escarboucle, et le lapis-lazuli.
Son métal est l'étain
Son signe opposé et complémentaire est les Gémeaux
Ses correspondances anatomiques sont les hanches, les cuisses, et les fesses.
Les pays en analogie avec le signe du Sagittaire sont l'Arabie Saoudite, l'Australie, l'Espagne, la Hongrie, Madagascar. Les villes qui lui correspondent sont Avignon, Budapest, Cologne, Naples, Narbonne, Stuttgart, Tolède.
Ses mots clés sont optimisme, dynamisme, générosité, sagesse, enthousiasme, bonne volonté, extériorisation, expansion. Le natif du Sagittaire est un aventurier, un explorateur, un voyageur qui aspire à élargir son horizon social, géographique ou spirituel.
Les grandes caractéristiques du Sagittaire
Vous avez un tempérament dynamique, didactique, mais sain, serein, plein de ressources énergétiques. Vous aspirez, plus ou moins clairement, ou consciemment, à vivre dans de nouvelles conditions, dans un nouveau contexte, dans un milieu différent de celui dans lequel vous avez grandi, et auquel vous saurez vous adapter facilement. Vous avez tendance à simplifier les choses, à les voir sous un angle résolument optimiste, parfois même à ignorer ou à occulter les problèmes.
Vous manifestez un goût prononcé pour les rapports physiques avec la nature, la compétition, l'aventure, l'exploration, les voyages. Vous avez besoin de vous sentir dépaysé, de vous extérioriser, de faire corps avec le contexte dans lequel vous évoluez, pour en profiter pleinement. Votre caractère est sympathique, généreux, jovial, tantôt honnête, naïf ou ingénu, tantôt joueur, immoral, instable, avide de changements constants, tantôt généreux, moraliste, bienveillant.
Quoi qu'il en soit, votre bonne volonté est indéniable, quand bien même vous êtes enclin à fuir les complications. En effet, votre esprit est empreint d'une certaine philosophie de la vie, parfois même religieux, soucieux de renouveler, de rénover ou de réactualiser une tradition, sans jamais renier totalement le passé.
En amour, vous êtes très chaleureux, affectueux, démonstratif, enveloppant. Votre cœur s'emballe. Vos sentiments sont francs, loyaux, sans détour. Cependant, vous vous laissez souvent aveugler par eux, et votre besoin de contact physique, de corps à corps, vous rend parfois très exigeant.[/size] Astrologie - Signe -Scorpion - Mythes - Décans - Scorpion - du 23 octobre au 21 novembreSymboles et mythes du ScorpionLe scorpion est un animal étrange, dont la paire de pinces portées en avant, et l’aiguillon venimeux, parfois mortel, nous font penser à une véritable machine de guerre ambulante. On dit des natifs dont cet arachnide des régions chaudes figure sur leur signe zodiacal, qu’ils sont très résistants et pleins de ressources. Or le scorpion est pourvu de quatre paires de poumons pour respirer, et sa réputation de relative invulnérabilité n’est plus à démontrer. On prétend qu’il échappe même aux radiations ionisantes, particulièrement destructrices.C’est pourtant un animal nocturne évoluant dans les régions chaudes. L’espèce qui vit dans le désert, par exemple, ne s’anime vraiment qu’à une température ambiante de 45 degrés, pas moins, tandis qu’à 20 degrés, il est pétrifié de froid. Son aspect agressif, ses déplacements furtifs, silencieux, rapides, énergiques, son venin mortel ne l’ont évidemment jamais rendu sympathique. Toutefois, son caractère combatif et courageux a induit les Anciens a faire de lui le « porteur de vérité », celui qui se bat jusqu’au bout pour une cause juste, ou afin de faire triompher la vérité.Ainsi, avant l’avènement de la première Dynastie des pharaons d’Égypte, c’est-à-dire au début du IVème millénaire avant notre ère environ, un roi mythique Égyptien, premier unificateur de l’empire, fut surnommé Selek, le scorpion, et représenté par cet animal. Selket, son épouse, figurée par une tête d’Isis à coiffe de vautour, surmontée d’un scorpion, était la déesse honorée par une importante corporation de sorciers et de guérisseurs qui a longtemps régné sur l'Égypte antique.Selon une légende de la mythologie grecque, Artémis, la sœur jumelle d’Apollon, qui deviendra la Diane chasseresse des Romains, envoya un scorpion à Orion, le chasseur géant, qui avait tenté de la violer. Le scorpion le piqua au talon et le tua. En reconnaissance du service rendu à Artémis, le scorpion, qui lui avait permis d’assouvir sa vengeance, fut transformé en constellation. Orion, après sa mort, devint lui aussi une constellation. C’est ainsi que depuis lors, Orion s’enfuit à l’Ouest, et descend sous l’horizon, dès qu’apparaît à l’Est le Scorpion.ArtémisLa fable célèbre, d’origine orientale, du scorpion qui demande à la grenouille de lui faire passer un cours d’eau sur son dos, lui jurant ses grands dieux qu’il ne lui ferait aucun mal, puis qui, finalement, la pique et, bien sûr, se noie avec elle, pour être révélatrice des pulsions instinctives irrépressibles, que les natifs de ce signe éprouvent parfois, n’en est pas moins excessive et sujette à caution.En effet, il n’existe aucun signe du zodiaque, dont les qualités seraient systématiquement et définitivement sombres et négatives, ou lumineuses et positives. Les forces symbolisées par le signe du Scorpion sont celles de la régénération, principe sans lequel la vie ne pourrait pas se renouveler. Or toute régénération implique une forme de mort, de sacrifice, ou de destruction. Toutefois, elle n’est pas définitive. Elle est nécessaire au renouvellement de la vie.Ainsi, la symbolique et les mythes qui se rattachent au signe du Scorpion sont empreints d’une certaine intensité qui frappe l’imagination, pour réveiller les consciences engourdies. Ici-bas, tout a un commencement et une fin. Mais une fin implique nécessairement un autre commencement, car en réalité, rien ne meurt jamais, tout se transforme. C’est là le grand principe de la vie, dont le signe du Scorpion est une des représentations symboliques.Les décansLe natif du premier décan de ce signe est pulsionnel, celui du deuxième est indomptable et celui du troisième est sentimental, comme nous le démontrent ces 3 symboles vivants.Le Scorpion du premier décan, dit décan de Pulsions, dont le maître est Mars du 23 octobre au 2 novembreLe premier des trois arachnides qui s’offre au regard est parfaitement représentatif de Mars, l’astre maîtrisant ce décan et ce signe. Il s’agit d’un scorpion bien sûr, au corps tout en longueur, pourvu de huit pattes. Ses pinces tendues en avant, légèrement surélevées par rapport à son corps, témoignent de son agressivité.Sa queue formant un demi-cercle, son dard pointé en avant renforcent son aspect menaçant. Toutefois, tout dans l’attitude de ce scorpion révèle une posture plus défensive, intimidante, qu’agressive. Sans doute vaut-il mieux ne pas s’y frotter au risque de se faire piquer.Il figure symboliquement les pulsions et répulsions irrépressibles, instinctives, vitales, que ne peut commander la raison, impliquant une certaine primarité animale qui, le plus souvent, fait peur, suscitant des sentiments de rejet, en même temps qu’une étrange fascination, et parfois une irrésistible attirance. Le natif du premier décan de ce signe se trouve souvent en proie à de telles contradictions, qu’il exprime et vit fréquemment dans les affres de la passion.Scorpion du deuxième décan, dit décan d'Anticonformisme, dont le maître est Uranusdu 3 novembre au 11 novembreLes traits stylisés du dessin représentant le scorpion figurant le deuxième décan de ce signe possèdent un caractère enfantin. Ce n’est plus l’agressivité qui s’en dégage, mais un aspect fuyant, insaisissable. Le scorpion ne semble plus se figer, prêt à se défendre en attaquant, mais apparemment, il court.Sa rapidité, son agilité se perçoivent à ses huit pattes aussi grandes que ses deux pinces fermées, elles-mêmes parallèles à ses pattes, et de la même taille qu’elles, donnant ainsi l’illusion d’un dédoublement de ses pattes. De plus, son corps frustre, et mince, suggère la légèreté et la mobilité.Enfin sa queue est courte, et son dard ne se présente pas levé, par dessus sa carapace, menaçant, prêt à piquer, mais replié sur le côté, formant une boucle dirigée vers la droite du corps. Ce scorpion symbolise l’anticonformisme, l’esprit de révolte, provocateur, le caractère indomptable, déroutant, dérangeant, du natif de ce deuxième décan, impulsif, indépendant, toutes qualités attribuées à Uranus, le maître de ce décan.Le Scorpion du troisième décan, dit décan de Force psychique, dont le maître est Vénus du 12 novembre au 21 novembrePour symboliser le dernier décan de ce signe fixe et intense, voici l’image d’un scorpion sans aucune agressivité, mais qui, par bien des aspects, rappelle l’écrevisse figurant le premier décan du signe du Cancer.Son corps ovoïde, proéminent, sa tête dirigée vers la droite, ses pattes repliées vers l’arrière, de plus en plus courtes le long de son corps, sa queue longue et mince, repliée sur le côté elle aussi, dénotent une certaine passivité. Quant à son dard, il paraît totalement inoffensif.Enfin, ses deux pinces dont les pointes inférieures effleurent ses yeux ronds, tels des bras ouverts, ne se présentent manifestement pas dans une attitude offensive ni même défensive. Ce scorpion apparemment immobile et réceptif est tout à fait représentatif du natif de ce décan pourvu d’une intense force psychique, dont le maître, Vénus, implique qu’il accorde une place importante à ses sentiments et à ses émotions.Astrologie - Signe - Scorpion - Présentation - Le Scorpion - Du 23 Octobre au 21 Novembre Présentation du ScorpionLe Scorpion est le huitième signe du zodiaque. C’est un signe masculin, fixe, c'est-à-dire le deuxième signe d'une saison, en l'occurrence, ici, le deuxième signe de l’automne, coïncidant avec la période des semailles. Le Soleil fait son entrée dans ce signe le 22 ou le 23 octobre. Il y séjourne jusqu’au 21 ou 22 novembre, selon les années.
Sa saison est l’automne. Les arbres se dépouillent, la terre fermente, l’humidité croît, les nappes de brume s’épaississent. C’est l’époque des semailles. En la semant, on sacrifie la meilleure graine en vue de s’assurer la meilleure récolte, lors du prochain cycle de la nature.
Son élément est l’Eau. Il s’agit des eaux stagnantes, croupissantes, opaques, des mares, des marais, des marécages, des chotts et des lagunes, à l’intérieur desquelles la vie grouille, fourmille, bouillonne, mais aussi de l’eau du puits, ou de l’oasis.
Ses maîtres sont Mars ou Arès, le dieu de la guerre, et Pluton ou Hadès, le dieu des morts.
Mars
Hadès
Ses couleurs sont le vert des pigments minéraux, le vert émeraude ou le vert de cobalt, par exemple, mais aussi le rouge et le noir.
Emeraude
Ses pierressont la cornaline, l’hématite et la topaze.
Hématite
Son métal est le fer.
minerai de fer
Son signe opposé et complémentaire est le Taureau.
Ses correspondances anatomiques sont le nez, les organes génitaux, le pubis, l’anus et la vessie.
Les pays en analogie avec le signe du Scorpion sont l’Algérie, le Maroc, la Norvège. Les villes du monde qui lui correspondent sont Baltimore, Cincinnati, Fez, Liverpool, Newcastle, Valence, Washington.
Ses mots clés sont régénération, instinct de vie et de mort, force destructrice, et puissance créatrice, anticonformisme, passion, pulsion, curiosité expérimentale, sens de l’absolu. Le natif du Scorpion est un chirurgien du corps ou de l’âme, un spéléologue ou un chercheur patient et tenace, soucieux d’aller au fond et au bout des choses, de reculer les limites du possible.
Les grandes caractéristiques du Scorpion
Vous êtes pourvu d'un tempérament instinctif, pulsionnel, agressif, mais plein de sang-froid. Votre intense curiosité est stimulée par votre soif de fouiller la réalité, de découvrir et connaître ses racines les plus insoupçonnées. Vous avez un goût prononcé pour les mystères, les secrets, les énigmes à résoudre, les études et les analyses approfondies. Votre vie psychique est dense, bouillonnante. Elle vous confère une espèce de sixième sens, une résistance passive, irréductible et indestructible, une volonté tenace et agressive de parvenir à vos fins en prenant, toutefois, des risques calculés.
Vous avez un caractère passionné, exigeant, intransigeant, rancunier, sauvage, ne supportant pas les demi-mesures, ni les compromis, toujours très déterminé à aller jusqu’au bout, quitte à vous sacrifier vous-même. Votre esprit est pénétrant, provocateur, critique, agressif, machiavélique, parfois même manipulateur. En effet, vous aimez à pousser votre interlocuteur jusqu’en ses ultimes retranchements, manœuvrer, intriguer, ruser, dominer intellectuellement, sans en avoir l’air.
Vous pouvez avoir des réactions violentes ou brutales lorsque vos sentiments sont en cause ou lorsque vous vous sentez trahi, lésé ou rejeté. Votre ambition est peu apparente, intériorisée, mais elle est essentielle, vitale, parfois obsessionnelle.
Chez vous, l’amour est viscéral, absolu, passionné, complexe, mystique ou mystérieux. Il a toutes les caractéristiques de l'envoûtement. Vous aspirez à être séduit par les sens et par l’esprit, à la possession du corps et de l’âme de l’autre, dont vous vous nourrissez. | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Astrologie - Signe - Poissons - Mythes - Décans -+ autres Lun 14 Sep - 13:31 | |
| Astrologie - Signe - Balance - Mythes - Décans - [size=16]Balance du 23 septembre au 22 octobre[/size] [size=16]Les symboles et mythes de la Balance[/size] [size=16]Vénus, maître du signe du Taureau, est aussi celui du signe de la Balance. Dans l’un et l’autre cas, il s’agit d’Aphrodite, la déesse de l’amour. Cependant, Vénus en Taureau se rattache à la nature fécondante de ce signe, et à la phase de la reproduction qui lui correspond. Dans le signe de la Balance, nous avons affaire à la déesse de l’amour pur, irrésistiblement belle, dont la robe était ceinte d’une ceste, autrement dit d'une ceinture magique qui envoûtait les hommes qui l’approchaient.Par ailleurs, les légendaires colères d’Aphrodite et son extrême possessivité sont des caractéristiques qui conviennent mieux au natif du Taureau, qu’à celui de la Balance, toujours en quête d’harmonie.[/size] [size=16]Pour la Vénus - Aphrodite du Taureau, il s’agit d’aimer pour féconder, conserver, communier avec la nature, avoir. La Vénus - Aphrodite de la Balance conjugue le verbe aimer pour être aimée, vivre, communier avec elle-même et avec autrui, être belle. L’attrait pour les nourritures terrestres rend la Vénus - Aphrodite du Taureau intensément sensuelle. La Vénus - Aphrodite de la Balance, quant à elle, aspire à goûter aux nourritures spirituelles, sans pour autant renier les nourritures terrestres. Elle est hésitante, inconstante, légère, aérienne, mais elle n’en est pas moins sincère, exigeante, sélective et exclusive. Elle vit un peu entre deux mondes. Elle balance ![/size]
Ce qui nous amène tout naturellement à une autre figure mythique se rattachant au signe de la Balance, dont l’histoire est une superbe illustration des compromis dont sont capables les natifs de ce signe. Il s’agit de Perséphone, la fille de Zeus et de Déméter, qui, tandis qu’elle cueillait des fleurs avec des nymphes dans la plaine d’Enna, en Sicile, se fit enlever par son oncle, Hadès - Pluton, le dieu des Enfers, du monde souterrain, et des morts. Ayant perdu sa fille, Déméter partit à sa recherche. Durant neuf jours et neuf nuits, sans boire ni manger, sans repos ni répit, tenant deux flambeaux dans les mains, elle parcourut le monde en quête de Perséphone. Persephone Au dixième jour, elle rencontra Hélios, le Soleil, qui l’informa de l’enlèvement de sa fille. Furieuse, Déméter, la déesse maternelle de la terre nourricière, décida de s’exiler jusqu’à ce que sa fille lui soit rendue, laissant derrière elle la terre stérile. Pour mettre fin à ce désastre, Jupiter - Zeus exigea d’Hadès - Pluton qu’il libère Perséphone, ce qu’il fit aussitôt. Mais entre-temps, lors de son séjour forcé aux Enfers, Perséphone avait rompu son jeûne, et mangé un grain de grenade. Cela signifie symboliquement que si Hadès - Pluton avait succombé à sa beauté, elle avait, pour sa part, cédé à son amour et à ses avances, et que, désormais, elle était liée, corps et âme, au dieu des Enfers de la mythologie grecque. Il fallut trouver un compromis. Perséphone vivrait six mois de l’année au royaume des morts, auprès d’Hadès - Pluton, et les six autres mois sur terre, au royaume des vivants, auprès de sa mère, Déméter. Ainsi, selon la légende, chaque année, à l’équinoxe de printemps, au moment où naît la floraison, Perséphone quitte le monde souterrain, et remonte sur la terre. Mais quand vient l’équinoxe d’automne, et la période des semailles, elle quitte le monde des vivants pour rejoindre celui des morts. Dans la hiérarchie du zodiaque, le signe de la Balance suit celui de la Vierge, auquel est rattaché le mythe de Déméter, et précède le signe du Scorpion, en analogie avec Hadès - Pluton. Qui plus est, le signe de la Balance commence le jour de l’équinoxe d’automne, six mois après celui du printemps, coïncidant avec l’entrée du soleil dans le signe du Bélier. Les décans Indécision, hésitation, irrésolution, ce sont souvent les termes que l’on emploie à propos des natifs de la Balance. Les figures des 3 décans de ce signe nous tiennent un langage bien différent. Le Balance du premier décan, dit décan de Sociabilité, dont le maître est la Lune du 23 septembre au 2 octobre L’image illustrant le premier décan de ce signe présente des analogies flagrantes avec la figure mythique de Proserpine ou Perséphoné, dont la légende se rattache à la dialectique du natif de ce signe soucieux de trouver des compromis et un juste milieu en toute circonstance. Il s’agit d’une belle femme, entièrement nue, pas du tout provocante. L’innocence et la pureté se dégagent de son corps dénudé. Elle se tient penchée sur le côté droit, son bras gauche tendu le long du corps, sa main ouverte, plaquée contre sa cuisse. Elle tient son bras droit légèrement replié, écarté de son corps et, du bout des doigts, elle effleure ou caresse la colonne horizontale d’une balance assez grossière, sans fléau, suspendue au bout d’une corde, composée uniquement de deux plateaux en forme de coupelles en bois. L’absence de décor entourant cette femme et sa balance ne permettent pas de savoir comment ni pourquoi la première se tient ainsi penchée sans tomber ni à quoi la seconde est accrochée. Quoi qu’il en soit, les éléments composant ce dessin correspondent bien à l’univers du premier décan de ce signe dont les maîtres sont la Lune et Vénus, aux qualités sensibles, aux vertus féminines de douceur et de réceptivité. Cette Balance ne pèse ni ne juge. Elle estime, ce qui, selon les racines étymologies du mot latin estimare dont dérive ce verbe, signifie à la fois aimer et mesurer. Le Balance du deuxième décan, dit décan de Libre arbitre, dont le maître est Saturne du 3 octobre au 13 octobre Ici figure une vraie Balance dont les deux plateaux en métal sont parfaitement stables et se trouvent au même niveau. Elle possède son fléau ainsi que les trois couteaux ou prismes d’acier qui la traversent perpendiculairement. De cet instrument, se dégage un sentiment d’équilibre parfait que rien ne devrait pouvoir troubler. Il ne fait aucun doute que cette balance est un authentique outil de mesure, servant à comparer des grandeurs, fonction première d’une balance. Toutefois, rien n’indique ce qu’elle va peser. Il s’agit d’une balance, rien de plus, un symbole à l’état brut. Il ne faut surtout pas y voir celui de la Justice, mais celui de la quête de l’équilibre parfait, assortie d’une volonté de le maintenir et de le préserver à tout prix. Il ne faut pas tenter non plus de faire pencher l’un des deux plateaux de cette balance, au risque d’engendrer un grand désordre, de remettre en cause les acquis, la paix, l’équilibre. Rien n’apparaît derrière cette balance figée, immobile. Ce vide illustre l’univers du dépouillement dans lequel évolue Saturne, le maître du deuxième décan de ce signe. Le Balance du troisième décan, dit décan de Justice, dont le maître est Jupiter du 14 octobre au 22 octobre Le symbole illustrant le troisième décan de ce signe, bien qu’il porte le nom de Justice, inspire une plus grande légèreté. Il s’agit toujours d’une balance présentée dans un décor entièrement dépouillé, mais d’une balance animée, le plateau de gauche penchant nettement vers la droite tandis que, bien sûr, celui de gauche est surélevé. Cette balance entièrement taillée et assemblée à partir d’un morceau de bois, matériau lui conférant un aspect à la fois brut et chaleureux, ne donne plus cette impression de la rigidité et de la froideur du métal de la balance figurant le décan précédent. Ses deux plateaux sont suspendus à deux crochets en bois, situés au bout de la barre horizontale, et par trois courts filins. Par ailleurs, elle possède une importante particularité. La barre horizontale passe à l’intérieur d’un morceau de bois fendu et taillé à l’intérieur. Une aiguille verticale, surmontant ladite barre horizontale, suit le mouvement du plateau droit qui penche et pèse vers le bas, s’inclinant vers la droite. Cette aiguille pouvant ainsi balancer de droite à gauche, selon que le plateau de droite ou de gauche pèse, semble en tous points identique à celle d’un métronome qu’utilisent les musiciens pour marquer un rythme ou suivre le tempo. L’univers du troisième décan de la Balance repose ainsi sur un équilibre instable, sur un mouvement perpétuel balançant sans cesse de droite à gauche, de gauche à droite, celui du rythme, et par analogie, celui de la Justice. Astrologie - Signe - Balance - Présentation - [size=16]La Balance - Du 23 septembre au 22 octobre[/size] [size=16]Présentation de la Balance[/size] [size=16]La Balance est le septième signe du zodiaque. C’est un signe féminin, cardinal, c'est-à-dire que se trouve juste au début d'une saison, en l'occurrence, ici, le premier de l’automne, correspondant à la période de la juste répartition de la récolte. Le soleil entre dans ce signe le 22 ou le 23 septembre. Il y séjourne jusqu’au 22 ou 23 octobre, selon les années.[/size] Sa saison est l’automne. Le Lion a récolté les fruits de la terre. La Vierge les a engrangés. La Balance se charge de les distribuer avec équité. À ce moment, la nature hésite, balance entre l’air sec et l’humidité de l’air. La terre labourée repose, dans l’attente des prochaines semences. Son Élément est l’Air. Il s’agit de l’air encore imprégné des feux de l’été, mais qui commence à se charger d’humidité. Les matinées sont fraîches, mais les après-midi sont encore douces. Les feuillages adoptent des couleurs nuancées, subtiles, verdâtres, jaunâtres, orangées, rousses. Son maître est Vénus, l’Aphrodite grecque, déesse de l’amour. Sa couleur est le vert pâle, mais on lui attribue aussi toutes les couleurs pastels du début de l’automne, pleines de nuances profondes et harmonieuses. Ses pierres sont le diamant, le quartz, et le marbre. Diamant Son métal est le cuivre. Son signe opposé et complémentaire est le Bélier. Ses correspondances anatomiques sont les oreilles et les reins. Les pays en analogie avec le signe de la Balance sont l’Argentine, l’Autriche, la Chine, la Haute-Egypte, l’Indochine, le Tibet. Les villes qui lui correspondent sont Anvers, Copenhague, Francfort, Fribourg, Johannesburg, Lisbonne, Nottingham, Vienne. Ses mots clés sont équilibre, harmonie, justice et justesse, équité, sociabilité, raffinement, beauté. Les caractéristiques de la Balance Vous avez un tempérament sinon équilibré, du moins en quête d’un équilibre, de la juste mesure que vous souhaitez trouver en tout et pour tout. En effet, vous avez toujours tendance à vous méfier de tout engagement violent et définitif. D'emblée, vous vous refusez au rapport de forces. Chez vous, le sens du pouvoir est nuancé, axé sur une volonté subtile de faire votre loi en respectant les règles morales, les besoins et les sentiments d’autrui. Vous avez un sens inné de la loi et, plus précisément, de l’ordre social, mais avec un souci pointilleux de justice et d’équité. Vous êtes pourvu d'une nature raffinée, douce, compréhensive, délicate et affectueuse. Votre caractère est posé, sociable, aimable, parfois influençable, hésitant ou indécis. Vous aspirez à l’harmonie relationnelle, à établir des échanges sereins, basés sur le respect et l’estime mutuels. Votre esprit est critique, perfectionniste et pointilleux, mais vous êtes très sensible aux arts, à la parure, à la beauté plastique, à l'esthétisme. Psychologiquement, votre signe correspond à la prise de conscience de l'indépendance, et aux choix qu’elle implique. Dès lors, chez vous, tout se passe comme si vous deviez vous préparer à devenir un être indépendant, sans remettre en question et tout en préservant vos acquis. Votre recherche du compromis est toujours présente. De même, selon vous, les préparatifs de l’acte sont prédominants à l’acte lui-même. De ce fait, en amour, vous êtes enclin à exclure toute relation passionnelle. Vos sentiments sont soumis à votre esprit lucide, à des sensations esthétiques, à votre besoin vital, fondamental, essentiel, d’harmonie. Astrologie - Signe - Vierge - Mythes - Décans - [size=13]Viergedu 24 Août au 23 Septembre[/size] Les symboles et mythes de la Vierge Le mythe de la Vierge, c’est avant tout Céres - Déméter, la déesse maternelle de la Terre, de la fécondité, des mystères de la vie, des moissons et du blé dont les épis fauchés et couchés sur le sol forment comme un tapis sur lequel elle marche, ou qu’elle tient en bouquet entre ses mains ou ses bras croisés. La culture et la moisson du blé étaient les attributs de Déméter, dont elle fit don aux hommes, selon la mythologie grecque. Le blé, le grain, la farine, le pain sont chargés d’une riche symbolique, et représentent le cycle magique ou divin que l’on retrouve présent dans de nombreuses croyances, cosmogonies et mythologies, un peu partout dans le monde. Des blés, dons des dieux, fruits de la grande déesse Terre - Mère, mais aussi du labour, du labeur produit par l’homme, on sélectionne le grain. L’enveloppe qui entoure le grain est alors souvent comparée au corps qui contient l’âme. Ce grain est choisi pour devenir une nouvelle semence, ou pour être utilisé comme nourriture. Dans l’un ou l’autre cas, il doit subir une transformation, une métamorphose. Pour que celle-ci s’accomplisse, c’est à la Vierge qu’il revient de sélectionner le grain avec parcimonie et discernement. Le grain de blé est né dans le sein maternel de la terre. Il y retournera pour produire une nouvelle semence. Ou bien il sera broyé, purifié, réduit en farine. La farine sera à son tour régénérée par l’eau. On y adjoindra le principe actif du levain qui fut lui aussi souvent comparé au principe divin de l’âme. Enfin on fera cuire le pain. Du grain au pain, en passant par la farine, et la pétrification, on comprend comment nos ancêtres virent une analogie saisissante entre la préparation du pain, les mystères de la conception et de la naissance, et ceux de la transformation spirituelle. Le blé et le pain furent toujours considérés comme les aliments de base, les nourritures essentielles de l’être humain passé du stade nomade, à la vie sédentaire, les groupes de chasseurs et de cueilleurs étant devenus agriculteurs. Or, un autre mystère plane autour du blé, car on ne connaît pas son origine. Le mot blé, dont la racine est indo-européenne, signifie aussi bien fleur et feuille que récolte, produit de la terre. De la culture du blé à la fabrication du pain, il y faut la main de l’homme ou de la femme. Cependant, le mystère qui entoure la création du blé est comparable à celui de la création de l’homme et de la femme. Le fait que le blé puisse être transformé par la main, l’action et le pouvoir de l’homme ou de la femme en une nourriture essentielle, le pain, présente également une analogie avec la transformation spirituelle à laquelle l’être humain semble voué, pour devenir l’égal des dieux ou un dieu lui-même. Ici, il faut faire allusion au mythe chrétien de la mère de Jésus, Marie, surnommée La Vierge, dont les qualités se rapprochent par bien des aspects aux attributs du sixième signe du zodiaque. N’oublions pas que c’est à Bethléem « la Maison du Pain », que Marie, La Vierge, dont le nom hébreu était Myriam, c’est-à-dire Merim, qui signifie « Celle qui élève », qui peut se lire aussi Mi-Ram, soit « la question de l’identité qui s’élève à son plus haut niveau », que Marie donc, se réfugie et donne naissance à Jésus. Or la quête de l’identité qui pousse l’être à se différencier de ses semblables, à prendre conscience qu’il est unique pour devenir un individu à part entière, c’est celle que les astrologues ont toujours attribuée au signe de la Vierge. Ainsi, le mythe chrétien de La Vierge Marie, c’est moins celui de la virginité miraculeuse d’une femme enceinte, que celui d’une matrice, du lieu de naissance d’un être divin ou d’un homme - dieu, dont l’identité s’est élevé au plus haut niveau. Les décans Vierge sage ou Vierge folle, demande-t-on souvent à propos de ce signe ? Au fil de ses 3 décans, nous allons de la sagesse à la folie, mais tout cela très raisonnablement. Le Vierge du premier décan, dit décan d'Habileté, dont le maître est le Soleil du 23 août au 1er septembre L’image figurant ce premier décan du signe de la Vierge présente des analogies avec le quatorzième arcane majeur du Tarot divinatoire, la Tempérance, puisqu’elle est représentée par un ange. Si l’on admet ou croit communément que les anges ne possèdent pas de sexe, cette représentation symbolique du premier décan de la Vierge semble démontrer le contraire. En effet, le personnage qui s’offre au regard apparaît sous les traits d’une femme pourvue d'une superbe chevelure tressée. [size=16][/size] Au vu de sa morphologie et de ses attributs féminins ne subsiste aucune ambiguïté quant à son sexe, malgré ses deux ailes magnifiques et déployées lui conférant bien sûr un caractère angélique. Cette femme qui est aussi un ange se tient assise par terre, les jambes sans doute repliées sous sa robe ample dont les pans ondulent telles des vagues autour d'elle, dans un champ recouvert de gerbes de blé. Dans la main gauche, elle tient quelques épis de blé qu'elle vient de cueillir pour réaliser une gerbe qui prend forme dans son autre main. Le visage rayonnant, paisible, les yeux clairs, empreints d'une grande douceur, elle se tient dans cette position de moissonneuse, comme si elle posait pour un peintre ou un photographe. Cette femme habile de ses mains témoigne de son intelligence, soulignant la corrélation existant entre les mains et l'esprit, comme les verbes prendre, apprendre et comprendre nous le révèlent. De fait, on perçoit son caractère angélique et mercurien en cela qu’il s’agit d’une femme d’esprit, dont l’esprit apparaît en effet au premier plan, souligné, essentiel, vivant, rayonnant sur son visage, brillant dans ses yeux.
Le Vierge du deuxième décan, dit décan de Diplomatie, dont le maître est Vénus du 2 septembre au 13 septembre Cette femme au torse nu, exposant sa poitrine généreuse, illustrant symboliquement un décan auquel on attribue pudeur et timidité surprend. Une femme pudique et timide ne s'exhibe pas à moitié nue dans la nature, au vu et au su de tous. À moins bien sûr qu’un tel comportement figure l'univers de la Vierge évoluant constamment de la sagesse à la folie, de l’ordre au désordre, de la maîtrise à l’incohérence. L’attitude très raisonnable dont témoigne le natif de ce signe, et plus particulièrement de ce décan, n’exclut pas en effet sa nature profondément, mais discrètement sentimentale, ni qu’il se trouve parfois en proie à des coups de folie qui lui font braver ses propres interdits, dont bien sûr il culpabilise après coup. Quoi qu'il en soit, cette femme, à la fois belle, sauvage, et frustre, semble se déplacer d'un pas sûr et rapide, les seins nus, le reste du corps recouvert d'un pagne moulant son corps bien charpenté, le visage souriant, agréable, avenant, tenant dans sa main droite le voile qui devait couvrir son torse, qu'elle vient d’ôter. Il ne s'agit pas d'un geste provocateur ou de défi de sa part, mais de dépouillement. En effet, le natif de la Vierge du deuxième décan qu'elle figure aspire à la simplicité, à se dépouiller, à se défaire de ses retenues, de sa lucidité critique et inhibitrice, pour s'abandonner à ses sentiments et donner libre cours à ses émotions. Le Vierge du troisième décan, dit décan d'Altruisme, dont le maître est Mercure du 14 septembre au 22 septembre En observant la figure symbolique apparaissant au troisième décan de ce signe, la question se pose une fois encore de savoir si l’on doit ou non se fier aux apparences. Difficile d’y répondre catégoriquement en contemplant cette femme qui se tient debout, légèrement de côté, présentant son profil droit. Elle est vêtue d'une très belle robe dissimulant tout son corps et ne laissant rien deviner de ses formes. En revanche, à l'arrondi de son ventre, mais aussi à la sérénité tranquille, au sentiment de plénitude qui se dégagent de son visage, on devine aisément que nous sommes en présence d’une femme enceinte. Nul épi, nulle gerbe de blé dans ses mains, les bras tendus devant elle, elle présente ses paumes ouvertes dans un geste de serviabilité, ou d'offrande. Coiffée d'une superbe couronne d'épis de blé aux grains épanouis, généreux, dont la blondeur se confond avec sa longue chevelure claire qui ondule, entourant ses épaules, descendant au-dessous de sa taille, ample et généreuse elle aussi, elle se tient immobile, mais pas figée. Tout dans son attitude et son expression souligne qu’elle fait corps avec son décor, qu’elle est attentive à son environnement, aux autres personnes évoluant autour d’elle, tout en demeurant présente à elle-même, soucieuse de préserver sa sécurité, et de l’avenir de sa progéniture. Toutes ses qualités correspondent traditionnellement au troisième décan du signe de la Vierge, dont le maître est Mercure et qui a pour nom Altruisme. Astrologie - Signe - Vierge - Présentation - Viergedu 24 Août au 23 Septembre Présentation de La Vierge La Vierge, sixième signe du zodiaque, est un signe féminin, mutable, adjectif que l'on attribue à chaque signe qui clôt une saison. C'est le troisième de l’été, correspondant à la période de la fin de la moisson et de la conservation des récoltes. Le Soleil y fait son entrée le 22 ou le 23 août. Il y séjourne jusqu’au 22 ou 23 septembre, selon les années. Sa saison est la fin de l’été, qui est une période de sécheresse. La terre y est aride et fatiguée, après avoir donné tout son suc et tous ses fruits. On termine la moisson. On engrange les récoltes. Le soleil décline. Les jours raccourcissent. On retourne la terre pour qu’elle respire et repose. Son élément est la Terre. Il s’agit de la terre vierge, de la terre brute, concentrée, riche et dépouillée à la fois, qui a donné ses plus belles richesses, ses plus beaux fruits, et qui, désormais, repose, s'épure ou se purifie. Pendant ce temps, on sélectionne, on trie le bon grain de l’ivraie. Son maître est Mercure, l'Hermès grec, assimilé au dieu Thot égyptien, l’inventeur de l’alphabet, de l'écriture et le créateur du système des poids et mesures. Sa couleur est le gris, la couleur de la terre sèche et de la cendre, des brumes de l’inconscient si cher aux natifs de ce signe. Ses pierres sont le jaspe, le silex, et la tourmaline. Jaspe Silex Tourmaline Son signe opposé et complémentaire est les Poissons. Ses correspondances anatomiques sont la rate, la vésicule biliaire, les intestins, et la région abdominale. Les pays et ses régions du monde en analogie avec votre signe sont le Brésil, la Croatie, l’Irak, le Kurdistan, la Silésie, la Thessalie, la Turquie, la Virginie. Les villes du monde qui lui correspondent sont Bagdad, Bethléem, Boston, Jérusalem, Los Angeles, Lyon, Paris, Toulouse. Ses mots clés sont sens du détail, serviabilité, conservation, économie, réserve, discrétion, besoin d’ordre et de méthode, autodiscipline. Le natif de la Vierge est un disciple, ou un serviteur. Il excelle dans les travaux délicats, exigeant du doigté, de la patience et de la perspicacité. Les grandes caractéristiques de la Vierge Vous êtes pourvu d'un tempérament calme, intériorisé, soulignant votre souci de vous préserver et d’économiser vos efforts. Vous avez un sens inné du présent immédiat, avec un intérêt marqué pour les détails pratiques de la vie matérielle, renforcé par des tendances au repliement sur soi, à la réserve, à ne pas exprimer vos sentiments et vos émotions, que vous compensez par votre grande serviabilité, votre besoin vital de vous rendre utile et de justifier le moindre de vos actes. Votre caractère est plutôt introverti, sobre, discipliné, tempéré, scrupuleux, mais il trahit un manque de spontanéité, et un subtil complexe de culpabilité. Vous avez l'esprit critique et autocritique, sceptique, ingénieux, méthodique, calculateur, perspicace, empreint d’un humour d’une grande finesse. Vous ressentez le besoin d’agir et de vivre dans un cadre strict, dans des limites bien définies au sein desquelles vous vous sentez plus ou moins en sécurité. Vous pouvez alors y exploiter votre sens de l’organisation et du commerce. Vous vous adonnez avec bonheur à l’analyse, aux travaux de précision, à la spécialisation. Vous êtes très attentif à votre bien-être, du fait même que vos doutes et vos inquiétudes, parfois aussi vos rancœurs, que vous ressassez sans cesse, peuvent engendrez des aigreurs, ou sont souvent à l’origine d’une très forte psychosomatisation fragilisant votre organisme. Paradoxalement, vos sentiments peuvent vous faire perdre toute raison et vous faire sortir largement de vos limites, même si une certaine pudeur affleure toujours dans vos relations affectives ou dans l'expression de vos émotions. Les doutes que vous nourrissez à propos de vos propres sentiments, et la curiosité dont vous faites preuve peuvent troubler votre aspiration sincère à la fidélité, qui, quant à elle répond à vos besoins d'intégrité et de sécurité. | |
| | | marileine moderateur
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| Sujet: Re: Astrologie - Signe - Poissons - Mythes - Décans -+ autres Lun 14 Sep - 13:35 | |
| Astrologie - Signe - Lion - Mythes - Décans -Lion, du 23 juillet au 23 août Les symboles et mythes du Lion Ayant toujours été perçu comme le roi des animaux, on comprend que le lion fut choisi par nos ancêtres pour être le symbole solaire de la force, de la puissance, de la souveraineté, de la royauté. Ce qui plus est, sa crinière majestueuse a souvent été comparée aux rayons du soleil. Ainsi, le lion est une figure dominante dans le panthéon mythologique Égyptien. Rê ou Râ, le dieu du Soleil, était figuré par un lion, sur la tête duquel reposait le soleil. « Jadis, sur le sombre océan du dieu Noun (la voûte céleste), était apparu, tout au début des temps primordiaux, le dieu solaire Rê, qui s’était emparé de la souveraineté du monde. (...) À partir de ce moment, il régna en paix, pour longtemps, en qualité de roi sur les hommes et les dieux ensemble, et nul ne porta atteinte à sa domination, tant qu’il se maintint en pleine possession de ses forces. » (Adolf Erman, Hermann Ranke : La civilisation Égyptienne, éditions Payot, 1952). En face de ce dieu solaire suprême, représenté par un lion, se trouvait Sekhmet, la déesse de la Guerre et de la Médecine, figurée par une lionne, dite déesse du Nord, car son Temple le plus réputé se trouvait à Thèbes, au nord de l’Égypte. On lui attribuait des pouvoirs prodigieux de destruction et de violence, mais aussi de régénération, d’où sa double nature de déesse de la Guerre et de la Médecine. A propos de l’ancienne Égypte, je me dois encore de faire allusion à Héliopolis, la cité du Soleil, où se trouvait « le Temple solaire de Ramsès, souverain d’Héliopolis, dans la maison de Rê », pour reprendre la formule consacrée, écrite en hiéroglyphes, sur ce sanctuaire. Mais en ce qui concerne le symbole mythique du lion, il faut surtout fixer notre attention sur l’image du Sphinx, bien sûr. Lion accroupi, pourvu d'un visage humain, dont le regard scrute en permanence le point de l’horizon où le soleil se lève, comme pour rappeler aux hommes que, si un nouveau jour ne succédait pas à la nuit, et si le soleil ne l’annonçait pas chaque matin, nulle vie ne serait possible sur Terre. C’est ainsi que le Sphinx fut considéré comme un symbole de régénération, de force, de maîtrise absolue des éléments de la vie et de la matière, car chaque soir, le Soleil meurt et disparaît pour renaître et réapparaître le lendemain matin, et c’est sur ce fait précis, ce principe éternel, que le Sphinx a fixé son regard et attire notre attention. Un autre mythe, égyptien toujours, est à rapprocher du lion et du sphinx : le phénix. Cet oiseau sacré en Égypte, d’origine éthiopienne, que l’on nommait l’oiseau Benou vivait plus longtemps que les autres oiseaux de ce pays. Sentant sa mort venir, il gagnait la ville d’Héliopolis, la cité du Soleil, à tire d’ailes, pour y rendre son dernier souffle. Selon Hérodote, au Vème siècle avant notre ère, et Plutarque, au Ier siècle avant Jésus-Christ, on lui attribuait le pouvoir de renaître de ses cendres après s’être consumé sur un bûcher. De là est née la légende mythique du phénix qui renaît de ses cendres. C’est un peu la même symbolique que l’on retrouve plus tard, à l’époque médiévale et au Moyen Age, où le Christ était souvent comparé au lion, figurant ainsi la sagesse, la force maîtrisée, la connaissance, le pouvoir de régénération et la justice. De même, à l’instar du phénix qui renaît de ses cendres, Jésus est mort crucifié, et le Christ est ressuscité. Enfin, La Force, le onzième arcane majeur du Tarot divinatoire, est en analogie avec le signe du Lion, en ce sens qu’elle symbolise le triomphe de la force maîtrisée, du courage et de la vérité sur la violence, la lâcheté et la tyrannie, qui sont leurs opposées. Les décans Trois lions superbes et généreux, majestueux et dominateurs, sauvages ou apprivoisés règnent dans le cinquième signe du zodiaque. Le Lion du premier décan, dit décan d'Extrémisme, dont le maître est Saturne du 23 juillet au 2 août La première image symbolique montre un lion dégageant une force tranquille, mais aussi une certaine pesanteur et de la tristesse. Il est beau, mais pas brillant. Solitaire, il marche dans la savane, la patte droite légèrement au-dessus de la terre ferme, ses trois autres pattes solidement posées à même le sol, ce qui indique qu'il avance sûrement d'un pas pesant. Pourtant, son corps ne présente aucun aspect lourd ou massif. Son allure empreinte de noblesse n’inspire pas vraiment la crainte, mais suggère plutôt une puissance contenue, intériorisée. Sa belle crinière tombe en quatre vagues distinctes sur sa nuque, débordant largement sur son dos, dégoulinant en longues boucles sur son corps et sous sa tête, balayant presque le sol. Et pourtant, on perçoit dans son attitude une impression de masse, de lourdeur. Sur sa tête penchée en avant, on discerne comme une moue triste, une sorte de grimace ou de crispation, et curieusement de paix, comme si ce lion portait tout le poids des dures réalités de la vie sur ses épaules, mais qu'il se résignait à son fardeau. Il s’agit bien d’un Lion saturnien, pouvant se révéler dominateur et égocentrique, le plus introverti des natifs de ce signe qui, sous un calme apparent, peut se comporter en allant jusqu'aux extrêmes. Le Lion du deuxième décan, dit décan d'Orgueil, dont le maître est Jupiter du 3 août au 12 août Après la figure d’un lion triste et concentré, voici celle d’un lion joyeux, jouisseur, joueur, jupitérien pour tout dire. Ce lion respire la joie de vivre. Son besoin de paraître, d'attirer l'attention, de susciter l'admiration se dégage de toute son attitude. En effet, il donne une impression de légèreté semblable à celle d’un grand chien faisant le beau pour obtenir la friandise qu'il convoite. Il se tient à demi dressé sur ses pattes arrière, les deux pattes avant levées et repliées, tout le corps tendu en avant, avec souplesse et dynamisme, sa queue levée formant un S parfait, pourvue d'un beau panache de poils à son extrémité. Sa superbe crinière, telle une étole, se compose de nombreuses vagues entourant sa tête, s'enroulant les unes aux autres et recouvrant tout son poitrail. Bien qu’il figure de profil, on sait que ses yeux sont grand ouverts, dirigés droit devant lui, comme s'il fixait une personne en particulier, ou un objectif précis. Et cet œil unique qu’il expose suffit pour percevoir l’intensité de son regard plus humain que félin. Enfin, un autre signe distinctif renvoie au chien faisant le beau pour attirer l’attention, il s'agit de sa langue émergeant de sa gueule pourtant fermée. Ce lion apparaît sous un aspect plutôt sympathique et enjoué. Il n'a rien du lion féroce, mais tout de l'animal apprivoisé, à l’instar du natif de ce décan, souvent plus docile ou plein de bonne volonté qu’on ne croit. Le Lion du troisième décan, dit décan de Pouvoir, dont le maître est Pluton du 13 août au 22 août Voici sans conteste le plus mystérieux, et sans doute le plus puissant des trois lions figurant les décans de ce signe d’été. Il se tient debout, immobile, la tête tournée vers la personne qui regarde ce dessin, comme s’il posait devant un photographe. Son regard semble à la fois fixer, scruter et interroger son spectateur. Toutefois, son corps se trouve dans la direction inverse des deux lions présents dans les deux précédents décans. En effet, il semblait se diriger vers la droite, juste avant de se figer dans cette attitude au regard fixe. Ses deux pattes avant écartées, sa patte arrière gauche presque centrée sous son corps, sa patte arrière droite loin derrière son arrière-train, toutes les quatre solidement implantées sur la terre ferme pour seul décor, il ne semble ni surpris, ni apeuré, mais intimidant. Sous son corps svelte et musclé, digne d’un félin, sa queue passe entre ses deux pattes arrière, semblant s’enrouler autour de son corps, formant ainsi une boucle dont l'extrémité empanachée s'élève fièrement vers le ciel. Quant à sa crinière, elle donne une impression surnaturelle. Constituant une espèce de bloc compact autour de sa tête, elle ressemble au masque réalisé par Jean Cocteau pour Jean Marais dans son film « La Belle et la Bête ». Ses yeux, son nez, sa bouche plutôt que sa gueule confèrent à ce lion un double aspect humain et animal, aussi fascinant qu’inquiétant, une physionomie étrange. Jusqu’au bas de sa crinière qui ressemble à s’y méprendre à une barbe bouclée. Cet animal fantastique semble sortir tout droit de l'univers plutonien de la bête humaine, du pouvoir et de la domination des instincts à l’état brut. Chez lui, la limite qui sépare l'homme de l'animal est mince, très mince. Astrologie - Signe - Lion - Présentation -Liondu 23 Juillet au 23 Août Présentation du Lion Le Lion, cinquième signe du zodiaque, est un signe masculin, fixe, c'est-à-dire celui qui apparaît en deuxième position au cours d'une saison, en l'occurrence, ici, le deuxième signe de l’été, coïncidant avec la période de l’année où les fruits de la nature abondent. Le Soleil fait son entrée dans ce signe le 22 ou le 23 juillet. Il y séjourne jusqu’au 22 ou 23 août, selon les années. Sa saison est l’été. Le soleil rayonne, illumine, domine. C’est la période la plus chaude de l’année, celle des blés dorés, gorgés de soleil, mûrs pour la récolte. La nature, aux couleurs chatoyantes, est généreuse, riche, foisonnante. Tout n’y est qu’abondance. Son élément est le Feu. Il s’agit du feu ardent du Soleil, générateur de toute vie sur Terre. Mais là, le feu est maîtrisé, dominé, employé à bon escient. C’est un feu généreux, car le soleil est une étoile qui produit sa propre énergie, aux rayons duquel, toutefois, il n’est pas bon de s’exposer imprudemment, car ils peuvent brûler, consumer, dessécher, rendre la terre stérile. Son maître est le Soleil, symbolisé par Apollon, le dieu grec, qui conduit le char du soleil. Ses couleurs sont le jaune orangé des levers et couchers de soleil en été, et le jaune d’or des blés, dont le méteil illumine les campagnes. Ses pierres sont le rubis, l’ambre jaune, et la chrysolite. Rubis Ambre jaune Son métal est l’or. Son signe opposé et complémentaire est le Verseau. Ses correspondances anatomiques sont le cœur, la colonne vertébrale, le plexus solaire. Les pays en analogie avec le signe du Lion sont la Bosnie, la France, l’Italie, la Roumanie, la Sicile. Les villes, qui lui correspondent sont Bombay, Bristol, Chicago, Crémone, Damas, Philadelphie, Prague, Rome. Ses mots clés sont domination, maîtrise de soi, force, générosité, chaleur humaine, franchise, sincérité, confiance en soi, ambition, ardeur. Le Lion aspire à la suprématie, au pouvoir, à diriger, à dominer. Il ne peut se satisfaire d’une situation médiocre. Il a besoin de jouer un rôle de premier plan. Les grandes caractéristiques du Lion [size=16][/size] Vous avez un tempérament ardent, passionné, dominateur. A priori, vous êtes pourvu d'une grande confiance en soi qui peut vous rendre présomptueux parfois, ambitieux toujours, et qui vous permet d’accomplir ou d’obtenir avec aisance et simplicité, du moins en apparence, ce qui semble compliqué ou impossible aux autres. Votre difficulté fondamentale à vous adapter aux circonstances, et à réagir opportunément sont compensés par votre volonté forte, affirmée, votre goût prononcé du pouvoir et une constante maîtrise de soi. Votre caractère est franc, loyal, autoritaire, audacieux et orgueilleux, magnanime ou intransigeant, selon le cas. Vous êtes parfaitement conscient de vos possibilités et de vos capacités, et vous avez un penchant naturel et spontané à les exploiter sans scrupule, en profitant pleinement de tous les atouts dont vous disposez. Vous pouvez même avoir tendance à vous approprier les richesses extérieures, dont vous prenez possession sans vergogne, ou auxquelles vous vous identifiez sans aucun complexe. Psychologiquement, le signe du Lion correspond au rayonnement et à la suprématie de la conscience, et à la manifestation de la volonté. Votre esprit est tourné vers les grandes idées, les sentiments nobles et généreux. Vous êtes très sensible aux concepts et aux théories qui élèvent l'esprit, que vous appliquez et incarnez si parfaitement, qu’on vous en attribue alors la création ou l'initiative. Vous avez besoin de paraître, de vous sentir aimé, admiré, estimé, approuvé inconditionnellement. Vous avez aussi le goût du luxe, du confort, de l’aisance matérielle. L’amour, en ce qui vous concerne, est vécu comme un sentiment réciproque, fondé sur une estime mutuelle et indéfectible. Plus exclusif que possessif, vous ne laissez aucune marge de manoeuvre à l’autre. Vous avez un sens aigu de votre territoire. Astrologie - Signe - Cancer - Mythes - Décans - Cancer du 21 juin au 22 juillet Les symboles et mythes du Cancer Il faut, tout d'abord considérer le crabe, l’animal qui symbolise le signe du Cancer. Le nom crabe est apparu dans la France médiévale au XIIème siècle, environ. Il fut emprunté par les pêcheurs du nord de la France au néerlandais crabbe, et s’employait au féminin. On disait « la crabe ». Ce nom d’origine germanique désignait tous les crustacés dont les pinces serrent, le homard, l’écrevisse, le crabe. Toutefois, le nom que porte le signe du Cancer provient du latin cancer ou cancri qui signifie à la fois cancre, ou cancrelas, chancre et crabe, lui-même issu du grec karkinos, crabe ou chancre, mais aussi pinces ou paire de compas. L’analogie entre les deux branches articulées du compas et les pinces du crabe sont évidentes. Les correspondances entre le crabe et le natif du Cancer sont, elles aussi, flagrantes. En effet, le crabe est un animal aquatique et amphibien, pourvu d’une solide carapace protectrice, de pinces bien développées, puissantes et tranchantes, d’un abdomen très réduit. Il se cramponne sur les rochers, vit au rythme des marées et des phases de la lune, se défend plus qu’il n’agresse, et marche de travers ou à reculons. L’écrevisse qui figure sur La Lune, le dix-huitième arcane majeur du Tarot divinatoire, présente une analogie avec le satellite de la Terre que les hommes de l’Antiquité ne manquèrent pas de relever. En effet, à l'instar de la lune, le crabe et l’écrevisse marchent tantôt en avant, tantôt en arrière. Par ailleurs, lorsqu'un crabe tient une proie, il préfère souvent perdre ses pinces, que lâcher prise. On trouve là de nombreux éléments qui rappellent le natif du Cancer, qui est à la fois fragile et tenace, sensible, doux, mais dont la pugnacité et la force d’inertie confèrent parfois au fanatisme. Les deux boucles entrelacées qui symbolisent le signe du Cancer font penser aux tourbillons, aux ronds dans l’eau, aux spirales des coquillages. Mais certains y ont vu aussi la représentation d’une inversion du mouvement solaire, puisque le signe du Cancer commence le jour du solstice d’été, annonçant la décroissance des jours, et la croissance de la nuit. Mais il pourrait s’agir tout aussi bien de deux croissants de lune entrelacés, ou encore une figuration du mouvement des vagues, de la marée qui monte et descend au rythme de la lune. Car le signe du Cancer est en correspondance avec tous les mythes se rattachant aux eaux-mères originelles, nourricières, protectrices, symboles de toute vie. Dès lors, à l’instar du crabe, tout ce qui est contenu dans une enveloppe, une coquille, une écorce, une coque est, bien sûr, du domaine de ce signe, ainsi que la matrice, le fœtus, l’œuf et le bourgeon. Enfin, la peur du futur, qui est une caractéristique fondamentale du signe du Cancer, engendre la nostalgie du passé, des origines, un esprit méditatif ou contemplatif, une inspiration poétique, une imagination artistique, une exaltation ou une idéalisation de la mémoire. Ici, il va sans dire que nous sommes plongés dans l'univers de Mnémosyné, la personnification mythologique grecque de la mémoire, fille d’Ouranos - Uranus, dieu du Ciel, et de Gaïa, déesse de la Terre, qui engendrèrent neuf filles, fruits de neuf nuits d’amour, les Muses ! Or que font les Muses ? Elles confèrent aux dieux et aux hommes douceurs, dons et inspiration, toutes qualités en analogie avec ce signe. Les décans Écrevisse ou crabe, le natif de ce signe vit à fleur d’eau. De ce fait, il est à fleur de peau. Mais, selon son décan, il n’est pas exactement le même. Le Cancer du premier décan, dit décan d'Emotions, dont le maître est Vénus du 21 juin au 1er juillet La première figure du signe du Cancer apparaît sous l’aspect d’une superbe écrevisse au corps gras, allongé. Sa nageoire caudale bien développée, révèle son aptitude à reculer promptement en cas de danger. Néanmoins, la rondeur de sa carapace, la douceur des courbes de son corps ne laissent entrevoir aucune agressivité chez ce crustacé. [size=16][/size] Qui plus est, ses pinces fermées dont on devine la puissance évoquent plutôt l’attitude d’un individu ouvrant les bras, prêt à recevoir, embrasser, étreindre, non celle d’un prédateur. Enfin, ses deux antennes très longues, allant de ses yeux jusqu’au bout de ses pinces qu’elles semblent effleurer en se recourbant, suggèrent deux boucles repliées sur elles-mêmes à leurs extrémités, révélatrices de la douceur, de la réceptivité, et de l’hypersensibilité, toutes caractéristiques attribuées au signe du Cancer. Tout dans l’attitude de cet animal souligne sa passivité, son immobilisme. On l’imagine volontiers se laissant porter par le courant, vivant tranquillement à fleur d’eau, respirant la douceur, le bien-être, ce mélange de chaleur et de fraîcheur d’un instant où le temps suspend son rythme. Il évolue dans l’univers de l’émotion, de la réceptivité à l’état pur qui se traduit chez lui par une espèce d’osmose avec son milieu environnant. Cette écrevisse immobile baigne dans les eaux du passé et, en demeurant sur place, elle retient le présent. Elle se garde bien de progresser, d’avancer vers le futur. Le Cancer du deuxième décan, dit décan de Révélations, dont le maître est Mercure du 2 juillet au 12 juillet Une autre écrevisse figure le deuxième décan de ce signe. Mais il s’agit d’un crustacé d’une taille beaucoup plus modeste, au corps mince et allongé. Il se distingue de la première écrevisse par sa tête n’offrant pas la même rondeur, mais un angle aigu. Ses yeux ne sont plus disposés sur le devant de sa tête, mais sur les côtés, ses antennes beaucoup plus courtes et repliées vers l’intérieur. Ses deux pattes avant, pourvues de pinces fermées et dirigées vers l’avant, suggèrent une attitude plus offensive. [size=16][/size] Ces dernières forment un angle ouvert à quatre-vingt-dix degrés. Enfin, sa nageoire caudale plus élaborée, composée de trois branches, un peu comme les trois pétales d’un trèfle à quatre feuilles ou comme trois demi-lunes collées les unes aux autres indiquent les grandes capacités défensives de cette espèce de crustacé. En effet lorsqu’elle se sent en danger, cette écrevisse est réputée activer sa nageoire pour reculer. Son attitude suggère moins de réceptivité, d’osmose avec son milieu environnant, plutôt une certaine intériorisation, une activité cérébrale peut-être, comme si notre animal était sur le point d’agir, qu’il réfléchissait, qu’il méditait, qu’il attendait un signe, une révélation, fidèle en cela au surnom attribué au deuxième décan de ce signe, dont le maître est Mercure. Le Cancer du troisième décan, dit décan de Sensibilité, dont le maître est la Lune de 13 au 22 juillet Le troisième symbole animalier du signe du Cancer n’est plus figuré par une écrevisse, mais par un crabe. La plupart des espèces d’écrevisses vivant dans les eaux douces des rivières, tandis que les crabes vivent dans l’eau salée des mers, cette différence présente ici le plus grand intérêt. [size=16][/size] Toutefois, la carapace du crabe occupant ce secteur du zodiaque offre un aspect moins angulaire que celle des crabes que l’on rencontre le plus souvent sur nos plages, mais une forme résolument arrondie ou plus exactement ovoïde. Ses huit pattes courbées en forme de lune croissante, ses pinces ouvertes, celles de l’avant d’une taille assez disproportionnée, menaçantes, suggèrent là encore une attitude plus offensive que défensive. Sa tête petite et ronde, ses yeux dissimulés par des antennes courtes, recourbées sur le côté, sa nageoire caudale comme ajoutée, soudée à sa carapace, pourvue de six extensions collées les unes aux autres, telles les plumes de la queue d’un oiseau, tout cela évoque un crabe étrange, comme on en voit peu. La rondeur de sa carapace suggère beaucoup de douceur, mais son aspect singulier souligne une grande puissance, une forme d’agressivité défensive très élaborée. Il illustre parfaitement les caractéristiques du troisième décan de ce signe qui a nom Sensibilité, dont le maître est la Lune, au sein duquel les qualités réceptives du natif du Cancer sont exaltées, engendrant des attitudes défensives et agressives. Astrologie - Signe - Cancer - Présentation - Cancer du 21 juin au 22 juillet Présentation du Cancer Le Cancer est le quatrième signe du zodiaque. C’est un signe d’Eau, féminin, Cardinal, c'est-à-dire le premier signe d'une saison, ici, en l'occurrence, le premier signe de l’été, en correspondance avec l’époque des fruits mûrs, qui démarre le jour du solstice d’été, le 21 ou le 22 juin, et qui se termine le 22 ou le 23 juillet, selon les années. Sa saison est l’été. Le Soleil est à son zénith. L’air est chaud. La terre a soif. Elle est en gestation. En cette période de l’année, les eaux chaudes de la terre rappellent les sèves nourricières. Les fruits sont mûrs, prêts à être cueillis ou à tomber de l’arbre. [size=16][/size] Son élément est l’Eau. Il s’agit de l’eau de la source, des eaux-mères d’où toute vie a surgi, des eaux des rivages de la mer rythmée par les marées, des eaux tièdes des ruisseaux et des rivières à la surface desquelles les insectes grouillent, en quête d’un peu de fraîcheur. [size=16][/size] Son maître est la Lune, la déesse de la nuit et de la fécondité. [size=16][/size] Sa couleur, c’est à la fois le blanc cassé de la coquille et le jaune de l’œuf de la poule. [size=16][/size] Ses pierres sont la perle, la pierre de lune, bien sûr, et l’opale. [size=16][/size] Pierre de lune Son métal est l’argent. [size=16][/size] Gouttes métal argent Son signe opposé et complémentaire est le Capricorne. [size=16][/size] Ses correspondances anatomiques sont les seins, l’estomac, les fonctions glandulaires et digestives. [size=16][/size] Les pays en analogie avec le signe du Cancer sont l’Afrique du Nord et les pays du Maghreb, la Hollande, l’Ile Maurice, La Nouvelle-Zélande, le Paraguay, la Rhodésie. Les villes qui lui correspondent sont Alger, Amsterdam, Berne, Cadix, Constantinople, Gênes, Milan, New York, Tunis, Venise. Ses mots clés sont douceur, réceptivité, sensibilité, exaltation des sens, fécondation, gestation, rêverie, imagination, créativité, conservation. Le natif du Cancer est un poète, un traditionaliste, un homme ou une femme enfant, un papa poule ou une mère de famille, un mémorialiste ou une sage-femme. Les grandes caractéristiques du Cancer [size=16][/size] Vous êtes pourvu d'un tempérament réceptif, passif, sensitif, fragile, influençable. Vous avez, plus que tout autre, un grand besoin de tendresse, de compréhension, de protection. Votre difficulté à garder votre sang-froid devant une situation d'engagement, d’affrontement, de lutte, ou mettant en cause vos sentiments ou vos émotions, vous incline à rejeter d'emblée tout comportement agressif et à adopter des attitudes de repli, défensives. Vous avez une nature contemplative, impressionnable, capricieuse, aux humeurs changeantes, à l’imagination fertile. Votre caractère est intuitif, émotif, parfois noyé dans de multiples sensations. Toutefois, vous pouvez vous révéler tenace et obstiné dans les choix que vous faites et dans les objectifs que vous voulez atteindre. Vous avez l'esprit rêveur, créatif, inspiré, nostalgique, angoissé, conservateur. Votre manque de sens pratique est compensé par un dévouement maternel et une douceur infantile, pleine de charme, qui vous permet d'obtenir aisément les protections et les soutiens dont vous avez besoin. En effet, vous manifestez un grand attachement à votre confort, vos aises, votre foyer, votre famille, vos racines, votre passé. Psychologiquement, votre signe correspond au stade de la gestation, et à la période de la petite enfance, charnelle et sensitive, avec une tendance à la fixation de ces états que vous aspirez toujours, plus ou moins, à retrouver, prolonger ou préserver. L’amour, tel que vous l'éprouvez généralement, a quelque chose d'un conte de fée, avec sa princesse, son prince charmant, mais aussi sa malédiction à lever et ses monstres inquiétants qui menacent. C’est l’amour pur des enfants complices et candides, bien sûr, l’amour maternel, l’amour romantique, l’amour plongé dans un rêve idéal et inaccessible, ou fixé à tout jamais sur un visage et un nom.
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Astrologie - Signe - Poissons - Mythes - Décans -+ autres Lun 14 Sep - 13:40 | |
| Astrologie - Signe - Gémeaux - Mythes - Décans - Gémeaux du 21 mai au 20 juin Les symboles et mythes des Gémeaux Les Gémeaux sont évidemment les jumeaux du zodiaque. Ils sont d’ailleurs souvent figurés par deux enfants d’une ressemblance parfaite, se tenant par la main, affectueusement, et se promenant, insouciants, dans la nature, dans une sorte de jardin d'Éden d'avant la Chute d'Adam et Ève, selon la Bible. Cette image n’est pas sans nous faire penser à celle figurant sur le dix-neuvième arcane du Tarot divinatoire, le Soleil. Avoir un jumeau engendre une certaine plénitude. Ce qui plus est, pouvoir grandir en ayant sous les yeux son jumeau, c’est un peu avoir d’emblée le privilège d’être le spectateur de soi-même. [size=18] [/size] Ainsi, le signe des Gémeaux, symboliquement, traite bien plus d’une identification à son double, que d’une dualité. On ne s’oppose pas à son semblable ou à l’autre, mais on doit apprendre à s’en différencier pour se forger son identité propre, singulière, unique. D’une certaine manière, on pourrait dire que le natif des Gémeaux étant habité par la nostalgie de son double, il est animé par une volonté inconsciente de s’identifier à l’autre pour retrouver cette fusion primordiale qu’il a connue avec son jumeau, dans la vie intra-utérine. Cette absence de différenciation entre soi et son double, son autre soi-même, contraire et complémentaire, mais pas opposé ni contradictoire, est parfaitement bien représenté par le mythe de l’androgyne primordial, à la fois homme et femme, l’être aux deux sexes indifférenciés, semblable à la Terre et au Ciel avant qu’ils ne furent séparés, selon de nombreuses légendes cosmogoniques universelles. En effet, aux quatre coins du globe, quelles que soient les cultures et les civilisations, les mythes antiques de Création du monde sont unanimes pour raconter qu’au commencement des temps, il existait un être originel à la fois homme et femme, un androgyne primordial, qui fut divisé en deux êtres distincts d’une grande ressemblance, mais dont l’un devint homme, et l’autre femme. Par exemple, selon la Kabbale et diverses légendes juives, Adam, caractère masculin, était aussi Adamah, élément féminin, tous deux indifférenciés, bien avant qu’Ève ne soit extraite de sa côte ou, plus exactement du « côté » féminin d'Adam, et ne devienne l’incarnation du féminin, totalement différencié du masculin, séparé de lui. Le mythe de l’androgyne se retrouve dans la légende des Dioscures, Castor et Pollux, les enfants de Léda. Selon cette légende, de ses amours simultanées avec son mari, Tyndare, et avec Zeus déguisé en cygne, Léda enfanta deux couples de jumeaux, Castor et Clytemnestre dont Tyndare était le père, et Pollux et Hélène, les enfants de Zeus, qui naquirent tous quatre dans deux œufs. Castor et Clytemnestre, du fait de leurs gènes humains, avaient une nature instinctive, primaire, terrestre, tandis que Pollux et Hélène, par la grâce de leurs gènes divins, étaient pourvus d’un caractère plus spirituel, pur, léger. [size=18] [/size] Castor et Pollux Ce sont des composantes que l’on retrouve souvent chez le natif des Gémeaux, partagé entre l’instinct et l’esprit, ou vivant sur ces deux registres à la fois, passant de l’un à l’autre selon son humeur ou son état d’âme. Les Décans Il y a trois doubles Gémeaux aux multiples facettes. Mais chacun d’entre eux est unique en son genre, comme l’illustre chacune des trois figures symboliques de ce signe. Les Gémeaux du premier décan, dit décan d'Intuitions, dont le maître est Neptune du 21 mai au 31 mai Les deux personnages représentant les premiers jumeaux du zodiaque sont nus, côte à côte, étroitement enlacés. Il s’agit d’un couple, l’homme à droite, la femme à gauche, le bras droit de cette dernière entièrement dissimulé par le corps de son compagnon, le bras gauche de l’homme caché derrière le corps de la femme, de sorte que les bras droit de l’homme et gauche de la femme, pliés et levés vers les ciel formant un angle à quatre-vingt dix degrés, donnent l’impression que, ensemble, ils ne sont qu’un seul corps pourvu de deux têtes. [size=18] [/size] Ils sont presque siamois. Ce qui les distingue toutefois tient à la force qui se dégage de la tête de l’homme, et à la douceur qui émane du visage de la femme. Cela résulte également du fait que l’homme tient sa jambe droite, le genou légèrement replié, un peu dans l’attitude du Pendu du douzième arcane majeur du Tarot, tandis que la femme tient ses jambes droites. Debout, soudés l’un à l’autre, leurs deux corps inclinés vers la droite forment un angle de soixante-dix ou quatre-vingts degrés environ, tant et si bien qu’il semble incompréhensible qu’ils ne tombent pas, tant leur position paraît inconfortable, intenable. De fait, à l’instar de Neptune, le maître de ce décan, ils sont portés par les flots, suivant les courants des pensées et des idées se rattachant à Mercure, le maître de ce signe. Ils semblent ainsi indifférenciés, ne vivant pas encore dans l’univers de la dualité. Cette image symbolique figure de vrais jumeaux, collés l’un à l’autre dans le même œuf originel. Les Gémeaux du deuxième décan, dit décan d'Idéalisme, dont le maître est Mars du 1er juin au 10 juin La dualité apparaît dans le deuxième décan. Plus qu’une dualité, il s’agit d’une opposition, d’une lutte, d’un combat ou d’une danse rituelle dont l’issue sera sans doute mortelle. En effet, les jumeaux figurant ce deuxième décan, sont clairement deux hommes jeunes, d’une égale ressemblance, luttant ensemble. [size=18] [/size] Celui de droite est sur le point de tomber à terre, et son compagnon, penché au-dessus de lui, le retient ou le précipite à terre, on ne sait trop, tant l’ambiguïté du dessin laisse planer de doute à ce sujet. S’agit-il de violence et de lutte, ou de connivence et de bienveillance ? Sommes-nous en présence de frères ennemis, tels Abel et Qaïn, dont l’histoire contient une plus grande portée symbolique que celle d’un simple récit illustrant une querelle fratricide, ou du combat de Jacob avec l’ange qui, symboliquement toujours, en se confrontant avec le messager de Dieu, se rencontre, se combat lui-même, et s’unifie ou s’individualise. Dans le récit originel de la Bible relatant le combat de Jacob avec l’ange en effet, le mot hébreu employé pour décrire cette lutte signifie aussi étreinte. Dès lors, on comprend mieux l’ambiguïté qui se dégage du dessin figurant le deuxième décan du signe des Gémeaux, dont on se demande si les deux personnages se combattent ou s’étreignent, s’ils luttent ou dansent étroitement enlacés, au point de ne faire qu’un. Les Gémeaux du troisième décan, dit décan de Discernement, dont le maître est le Soleil du 11 au 20 juin L’image symbolisant le troisième décan figure dans la plupart des représentations conventionnelles de ce signe. Il s’agit d’un jeune homme et d’une jeune fille, se tenant debout, la main gauche du premier posée sur l’épaule droite de la seconde, la main droite de la jeune fille posée sur la hanche droite du jeune homme. Bien sûr, ils se ressemblent étonnement. Le dessin représentant ce jeune couple, ou ces deux enfants, présente de nombreux points communs avec l’image figurant sur le dix-neuvième arcane majeur du Tarot divinatoire, Le Soleil, dont les interprétations offrent certaines analogies avec ce décan du zodiaque nommé Discernement. En effet, les deux enfants représentés sur cet arcane qui se tiennent debout sous un soleil resplendissant symbolisent la raison et la folie s’accordant, se rejoignant, puis s’unissant. De cette union des contraires, naîtra la Sagesse Divine. Cette Sagesse est pure folie pour l’homme qui ne l’intègre pas en lui, qui n’en fait pas sa règle de vie. Elle se présente souvent à lui sous des aspects et selon des principes sans rapport avec les critères auxquels il se réfère pour vivre. Elle procède de l’innocence, de la pureté, de la réceptivité, de la légèreté de l’être, de la joie appartenant au monde de l’enfance. L’image figurant le troisième décan du signe des Gémeaux, la main du jeune homme, posée sur l’épaule de la jeune fille qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau, renvoie au symbolisme de l’épaule : le but de l’homme, la Terre promise, la Connaissance révélée, la nouvelle aurore ! Quant à la jeune fille, sa main tenant la hanche du jeune homme fait allusion au récit biblique du combat de Jacob avec l’ange. L’emboîture de sa hanche ayant été démise dans sa lutte avec son adversaire, Jacob, figure de l’homme, boite. Il lui manque une partie de lui-même. Ainsi, ce qui est symbolisé par l’épaule chez la femme l’est chez lui par la hanche. [size=24]Astrologie - Signe - Gémeaux - Présentation - Gémeaux du 21 mai au 20 juin Présentation des Gémeaux Les Gémeaux sont le troisième signe du zodiaque. Il s’agit d’un signe mutable, c'est-à-dire le signe qui clôt une saison, ici, en l'occurrence, le cycle printanier, correspondant à la période de la floraison. Le Soleil fait son entrée dans ce signe le 20 ou le 21 mai. Il y séjourne jusqu’au 20 ou 21 juin, selon les années. Sa saison est le printemps. C’est la période du développement des branches et des feuilles, de l’apparition des fleurs, des fruits verts et des oisillons dans les nids. Les abeilles et les papillons butinent. Les jours sont plus longs. L’air est plus doux. Tout nous pousse à vivre en communion avec la nature, à l’insouciance, à la légèreté. Son élément est l’Air. Il s’agit de l’air qui fait bruire les feuilles, qui caresse la terre, qui s’infiltre dans les maisons, chargé des effluves printanières des herbes et des fleurs, provoquant des courants d’air. Insaisissable, mobile, diffus, mais très agréable et léger, l’air que l’on respire vers la fin du mois de mai ou juste au début du mois de juin est en analogie avec les caractéristiques du signe des Gémeaux. Son maître est Mercure, l’Hermès grec, le dieu aux chevilles ou aux sandales ailées, symboles de l’esprit et de l’intelligence. Sa couleur n’est pas une, mais multiple. En effet, en cette époque de l’année, la nature nous en fait voir de toutes les couleurs, si j'ose dire, les Gémeaux aussi. S’il fallait attribuer un costume à ce signe, celui de l’Arlequin lui conviendrait bien. Ses pierres sont le Béryl et le Grenat. Différentes variantes de béryl, dont 1. or cristaux de béryl, 2. HELIODORE. 3. émeraude, 4. aigue-marine, 5. morganite Grenat Son métal est le mercure. Son signe opposé et complémentaire est le Sagittaire. Ses correspondances anatomiques sont les mains, les bras, et les poumons. Les pays en analogie avec le signe des Gémeaux sont la Belgique, le Canada, la basse Égypte, les États Unis d’Amérique, le Pays de Galles. Les villes du monde qui lui correspondent sont Bruges, Londres, Mayence, Melbourne, Metz, Nuremberg, San Francisco, Versailles. Ses mots clés sont échange, communication, mobilité, adaptabilité, agilité, curiosité, vivacité de l’intelligence, nervosité, sens relationnel très développé, non-conformisme. Le natif des Gémeaux est un communicateur, un intermédiaire ou un médiateur. Il échange, transmet, informe, adapte, vend et joue. Les grandes caractéristiques des Gémeaux Vous avez un tempérament nerveux et émotif, soumis à une vive agitation mentale stimulant votre curiosité et votre intelligence, vous inclinant parfois à vous disperser. Insouciant et léger, votre personnalité peut disposer de mille facettes, qui font de vous un être au comportement non-conformiste, avec une tendance plus ou moins prononcée à jouer sa vie plus qu’à ne la vivre, à ne pas vous prendre au sérieux, à vivre comme un éternel adolescent. Dès lors, par mimétisme, par jeu ou dans l’espoir de découvrir votre véritable personnalité, vous vous identifiez à l’autre, vous devenez l'autre, son jumeau virtuel. Vous avez besoin de sympathies, de contacts et d’échanges variés, nombreux, stimulants. Votre caractère est souple, changeant, adaptable, influençable. Votre esprit est ouvert, mobile, critique, parfois instable ou hésitant, sollicité par de multiples centres d'intérêt. Vous avez le sens de l’humour, du présent immédiat, de l’instant qui passe. Psychologiquement, votre signe correspond à l’intégration relationnelle et sociale dans son milieu naturel, qui favorise la recherche de son identité. Dès lors, plus que tout autre, le natif des Gémeaux a besoin des regards des autres pour savoir qui il est. Vous devenez ainsi, simultanément, l’acteur et le spectateur de votre propre vie. L’amour, chez le natif des Gémeaux, relève plus du domaine du fantasme ou de l’imaginaire, que de l’émotion pure. Jamais tout à fait dupe des sentiments que vous éprouvez ni de ceux que l’on ressent pour vous l’amour est, selon vous, une quête narcissique de soi. Vous êtes plus habile aux jeux de l’amour et du hasard, aux rencontres et découvertes, qu’aux engagements affectifs profonds. Astrologie - Signe - Taureau - Mythes - Décans - Taureau du 21 avril au 20 mai Les Symboles et mythes du Taureau Le symbole du signe du Taureau fut aussi utilisé parfois pour marquer l’exercice du pouvoir dans un royaume ou dans un empire. En effet, les cornes, dont la forme rappelle un croissant de lune posé à l’horizontal, figurent aussi la couronne d’un roi ou d’un empereur. Malgré le tempérament calme et paisible, et l’absence d’ambition qui sont des caractéristiques fondamentales de ce signe, les symboles de la royauté ou d’un pouvoir temporel ne lui sont pas antinomiques. Ils révèlent la stabilité, la continuité, la persistance et, d’une certaine manière, la pérennité d’un état de fait, le roi, dans les sociétés primitives et les civilisations antiques, ayant toujours eu une nature plus ou moins immortelle, qui le rapprochait en cela des dieux. Par ailleurs, c’est aussi ce symbole qui fut employé pour désigner le Aleph, la première lettre de l’alphabet hébraïque, ancêtre du a minuscule de notre alphabet. En effet, en s’inclinant de 45 degrés vers la droite, le symbole du signe du Taureau et du Aleph est devenu la lettre a minuscule. On objectera que, pourtant, le signe du Taureau n’est pas le premier signe du zodiaque. Certes, mais c’est le premier signe de Terre et le premier signe fixe du zodiaque, c'est-à-dire fixé au cœur d'une saison. Le mythe de Dionysos, appelé aussi Bacchus, se rattache à plus d’un titre au signe du Taureau. C’est Dionysos qui naquit de la cuisse de Zeus - Jupiter où il l’avait cousu, après l’avoir arraché du sein de Sémélé, sa mère, qui tomba foudroyée à la vue des éclairs qui environnaient son amant. Sémélé L’expression « être tombé de la cuisse de Jupiter », si elle a un caractère ironique et légèrement péjoratif aujourd’hui, puisqu’elle fait allusion à une certaine naïveté (trait de caractère qui s’accorde d’ailleurs très bien au signe du Taureau) ou à une forme de vanité, n’en recèle pas moins un privilège, celui d’être né coiffé, comme l’est le Taureau avec sa couronne de cornes. Dionysos, dieu du vin, de l’inspiration, des génies de la terre et de la fécondité, fut souvent représenté avec une tête de Taureau, trônant sur un char orné de pampres de vignes, de lierres et de figuiers, entouré par les Bacchantes et les Satyres. À Athènes, des groupes de jeunes filles et d’hommes travestis en Bacchantes et Satyres, célébraient Dionysos. À Rome, en 185 avant Jésus-Christ, le Sénat romain fut contraint d’interdire les fameuses Bacchanales ou Mystères de Dionysos, cérémonies au cours desquelles les femmes et les hommes s’adonnaient à l’orgie et à l’ivresse, le plus souvent au printemps. Les décans Le Taureau du premier décan, dit décan de Bon sens, dont le maître est Mercure du 21 avril au 30 avril Le premier taureau du signe apparaît couché, la moitié du corps et l’arrière-train dissimulés derrière un buisson, l’autre moitié du corps en émergeant, la tête orientée vers la droite, autrement dit vers le signe du Bélier qui précède le signe du Taureau dans le zodiaque. Toutefois, sa tête est aussi légèrement penchée vers la droite, semblant entamer un mouvement, tandis que ses yeux sont toujours dirigés vers la droite, vers l’avant pour l’animal, dans le sens inverse du mouvement des astres à l’intérieur du zodiaque. La patte gauche légèrement pliée en avant, le sabot posé à terre, ce taureau s’apprête à se redresser, tandis que sa patte droite est repliée sur le côté. Si sa stature ne laisse planer aucun doute sur sa force et sa puissance, tel qu’il figure dans cette image, celles-ci semblent passives, contenues. La paix, le calme, la tranquillité se dégagent de son attitude. Ses cornes très espacées, orientées sur chaque côté de sa tête, ne laissent présager aucune agressivité. Il s’agit d’un animal paisible qui, à l’instar du natif du premier décan de ce signe, aspire à la quiétude, à la sécurité, dégageant une force paisible, ne quittant sa position de repos que pour satisfaire ses désirs ou s’assurer son minimum vital, ne faisant jamais plus d’effort qu’il n’est nécessaire. Bien qu’entamant un mouvement de la tête, son regard reste fixe. Cette attitude fait allusion au fait que le natif du Taureau du premier décan, réputé plein de bon sens, n’en est pas moins enclin à nourrir des idées fixes. Le Taureau du deuxième décan, dit décan de Fertilité, dont le maître est la Lune du 1er mai au 11 mai Le deuxième taureau correspondant au deuxième décan du signe du même nom, apparaît debout, dans une attitude assez fière, tout en puissance, la tête légèrement levée vers le ciel, coiffée de deux cornes qui, ensemble, forment un superbe croissant de Lune renversé. Il marche en plein jour, de droite à gauche, suivant la course des astres dans le zodiaque, dans une prairie verdoyante, la patte avant droite repliée, d’un pas sûr apparemment, la queue dirigée vers le ciel. Ce taureau semble pleinement intégré dans son milieu. Il fait corps avec le paysage qui l’entoure. Il est dans son élément. Il sait où il va, ce qu’il veut, ce qu’il fait. Toutefois, malgré la puissance qui se dégage de lui, son attitude suggère une certaine légèreté. Cette dernière figure un état de réceptivité, son osmose avec son milieu naturel, son environnement, le fait qu’il s’abandonne aux pulsions instinctives qui règnent en cette période de l’année consacrée à la procréation. Ici, les symboles conjugués de la Lune et de la terre verdoyante de caractère féminin, et du taureau solidement implanté dans ce paysage dont le principe est masculin, représentent à eux trois la fertilité. Au moment où, dans le zodiaque, le Soleil traverse ce décan, on assiste à la rencontre des polarités psychiques et sexuelles du féminin et du masculin qui s’apprêtent à s’unir. Ce taureau n’est pas sans rappeler Apis, le grand dispensateur de vie de la mythologie égyptienne, en qui Menès, le premier pharaon historique, vit l’unificateur de la Basse et de la Haute - Égypte vers 3200 avant Jésus-Christ, environ. Le Taureau du troisième décan, dit décan de Réalisme, dont le maître est Saturne du 12 au 20 mai Le troisième animal se présente dans une attitude pour le moins surprenante. Elle correspond pourtant bien aux caractéristiques se rattachant au troisième décan de ce signe. Il s’agit d’un taureau dont le corps semble moins robuste, moins tout en muscle et en puissance que le taureau figurant dans le décan précédent, donnant plutôt une impression de lourdeur, de masse, de force écrasante, de pesanteur. Il se tient debout sur ses pattes arrière, tandis que ses pattes avant sont repliées sous lui. Il se trouve ainsi à moitié couché, l’avant de son corps pesant de tout son poids sur la terre. Autour de lui, le paysage semble moins luxuriant que dans le décor entourant le taureau du deuxième décan, comme pour attirer l’attention sur lui, exclusivement. Sur sa tête dont les yeux fixent le sol, les pointes de ces deux cornes très rapprochées s’orientent nettement vers le ciel. La masse imposante de son corps, sa posture qui le présente comme affalé sur la terre, ses pattes arrière dressées et solidement posées sur le sol, révélant la puissance de ses reins, constituent autant d’éléments en rapports avec la pesanteur et l’intensité de Saturne. En effet, le maître de ce troisième décan, confère au natif de ce décan une réputation de réalisme, de sens du concret, de puissance de réalisation, de certitudes, de convictions inébranlables.Astrologie - Signe - Taureau - Présentation -Taureau du 21 avril au 20 mai Présentation du taureau Le Taureau est le deuxième signe du zodiaque. C’est un signe féminin, dit fixe, c'est-à-dire le deuxième signe d'une saison, en l'occurrence, ici, celui du printemps, coïncidant avec la période annuelle et naturelle de la reproduction. Le Soleil fait son entrée dans ce signe le 20 ou le 21 avril. Il y séjourne jusqu’au 20 ou 21 mai, selon les années. Sa saison est le printemps. C’est la période du développement des branches et des feuilles, de l’apparition des fleurs, des fruits verts et des oisillons dans les nids. Son élément est la Terre. Il s’agit de la terre féconde, nourricière, avec laquelle tous les autres éléments, l'air, l'eau et le feu, sont en communion. En cette période de l’année en effet, des éléments parfois opposés ou incompatibles s’attirent et fusionnent. Union, communion, et copulation (du latin copulatio, assemblage, qui a donné copula, lien, union, d’où dérive le mot français couple) sont les mots clés de votre signe natal. Son maître est Vénus, l’Aphrodite grecque, la déesse de l’amour. Sa couleur est le vert tendre, celle du manteau d’herbage et des jeunes pousses qui recouvrent la terre, en cette saison. Ses pierres sont l’albâtre, le corail et l’agate. Albâtre Corail Agate Son signe opposé et complémentaire est le Scorpion. Son métal est le bronze. On lui attribue également les propriétés du laiton. Ses correspondances anatomiques sont la bouche, la gorge, le cou, la nuque et les organes du goût. Les pays en analogie avec le signe du Taureau sont la Grèce, l’île de Chypre, l’Irlande, la Perse et la Russie. Les villes du monde qui lui correspondent sont Dublin, Leipzig, Mantoue, Nantes, Palerme et Parme. Les régions du monde qu’il gouverne sont le Caucase et la Georgie. Dans la nature, il correspond à la période de l’année durant laquelle la terre est grasse, humide, productive. L’herbe et les plantes sont entrées dans une phase d’épanouissement. Les mots clés du Taureau sont union, communion avec la nature, paix, force tranquille, productivité, sécurité, bon sens, bien-être, sensualité saine, patience, obstination, fidélité. Le Taureau est un bâtisseur, un réalisateur, un producteur, un travailleur courageux, réaliste et obstiné. Les grandes caractéristiques du Taureau Vous êtes pourvu d'un tempérament calme, stable, paisible, mais possessif et jaloux. Votre manque de curiosité, d’enthousiasme et d’intérêt pour l’inconnu, résulte de votre besoin vital et viscéral de vivre en toute sécurité. Vous avez tendance à vous méfier de tout ce qui est contre-nature, surnaturel et malsain. Vous manifestez un goût prononcé pour la vie concrète et matérielle. Vous êtes un être réaliste, primaire et constructif, dont la volonté patiente, et obstinée n'agit qu'en vue d’acquérir tout ce qui est nécessaire à son bien-être et son confort. Votre caractère est posé, sensuel, très sentimental, parfois égoïste, mais toujours altruiste, quand il s’agit de vous préoccuper des êtres qui vous sont chers, pour lesquels vous vous dévouez volontiers, mais sans jamais exclure ou sacrifier vos propres plaisirs et satisfactions. Vous aspirez à la normalité, à la simplicité, et au conformisme, qui, chez vous, devient parfois sectaire ou protectionniste. Vous êtes têtu, mais votre esprit pratique est rationnel et méthodique. Votre rythme est lent et, le plus souvent, il y a bien peu de changements ou d’évolution de vos convictions au cours de votre vie. Psychologiquement, le signe du Taureau correspond à la prise de possession de son territoire et de son milieu, dont on tire alors avantage grâce aux efforts accomplis. De fait, vous avez peu d’ambition, mais vous ressentez un vif besoin d’avoir, de posséder, de jouir de la vie matérielle. Votre attachement aux biens et aux plaisirs de ce monde peuvent vous rendre très acharné dans la poursuite de la satisfaction de vos désirs. L’amour, chez vous, c’est la manifestation d’un cœur qui s’emballe, et l’expression d’une pulsion sensuelle irrépressible qui se matérialisent par une union établie dans la plus saine normalité, et dans un souci de durabilité.[/size] | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Astrologie - Signe - Poissons - Mythes - Décans -+ autres Lun 14 Sep - 13:44 | |
| Astrologie - Signe - Bélier - Mythes - Décans - Bélier du 21 mars au 21 avril Les symboles et mythes du Bélier Le signe du Bélier est en analogie avec le feu originel et primordial de la vie, à l'origine de la Création du monde dans toutes les Cosmogonies. Les cornes du bélier, en forme de spirales symbolisent l'élan vers la vie, l'éternel recommencement ou la renaissance perpétuelle de la vie, de la lumière, correspondant au début du printemps dans le cycle des saisons. [size=18] [/size] A cet égard, le dieu égyptien Amon, dont un temple fut érigé à Karnac, et qui était aussi le dieu de Thèbes, figurait une tête et des cornes de bélier. Les prêtres et scribes égyptiens lui attribuaient le pouvoir de porter à la lumière les causes cachées des forces secrètes de la vie. Il avait une fonction oraculaire. L'Ammon grec, que vénérait Alexandre le Grand, et qu'il consultait régulièrement dans le sanctuaire de l'Oasis, près d'Athènes, dérivait du dieu Amon de l'Égypte ancienne. [size=18] [/size] Les Grecs lui attribuaient des vertus assimilées à celles de Zeus - Jupiter. D'où l'analogie faite parfois entre le tonnerre, la foudre, l'orage, et le signe du Bélier, que l'on retrouve encore dans le mythe de Thor, le dieux de l'orage germanique, lui aussi en analogie avec le signe du Bélier. Dans la Bible, le bélier est sacrifié par Abraham, en lieu et place de son fils, Isaac. Jésus, l'agneau du sacrifice, réactualise ce mythe, dans l'histoire chrétienne. Aries, le nom latin du signe du Bélier, désignait aussi une machine de guerre à tête de bélier, dont les romains usaient pour enfoncer les portes des forteresses de leurs ennemis. C'était encore, bien sûr, le nom du mâle de la brebis. À Rome, on offrait un bélier aux parents d'un mort, en cas d'homicide par imprudence. Belinus ou Beli, le dieu suprême de la lumière chez les Celtes, dérive peut-être de Bel, le dieu babylonien de la terre, lui-même issu de la déesse sumérienne Belili, présidant au culte de la naissance et de la vie. Le latin médiéval Belinus a donné l'ancien français Belin, qui signifiait mouton. Au XVIe siècle, Beliner signifiait s'accoupler au sens figuré, pour les humains, figurant ainsi l'accouplement du bélier et de la brebis. Le néerlandais Belhamel (de bel : cloche, et hamel : mouton) désignait le bélier chef du troupeau, reconnaissable entre tous parce qu'il portait une cloche autour du cou. La célèbre légende mythique grecque de la Toison d'Or s'apparente, elle aussi, au signe du Bélier. [size=18] [/size] Jason et la toison d'or En voici un résumé : Pour obtenir la couronne du royaume de Pélias, fils de Poséidon - Neptune, Jason défia le roi qui lui promit son royaume en héritage, à condition qu'il trouve la Toison d'Or, superbe pelage d'un bélier sacré, afin de mettre un terme à la malédiction pesant sur son peuple. Après de longues épreuves, Jason découvrit la Toison d'Or, puis il épousa Médée, la prêtresse d'Hécate, la déesse magicienne et nourricière de la jeunesse. S'inspirant de ce mythe, la Tradition astrologique veut que l'on prédise souvent une vie mouvementée et pleine de luttes, au natif du signe du Bélier. Les décans Chacun des 3 décans d’un signe du zodiaque est figuré par une image symbolique distincte. Voici les 3 symboles vivants du Bélier. Le Bélier du premier décan, dit décan d'Ardeur, dont le maître est Pluton du 21 mars au 31 mars Le premier bélier figurant le début de ce signe et son premier décan, apparaît sous l’aspect d’un animal debout. Il semble marcher paisiblement, la tête et les yeux tournés derrière lui, peut-être pour surveiller ce qui s’y passe. Son attitude a quelque chose d’humain. [size=18] [/size] Elle suggère une personne qui regarde en arrière, non parce qu’elle s’inquiète d’être suivie ou poursuivie, mais parce qu’elle se trouve en proie à la nostalgie du passé. Le signe du Bélier, commençant le jour de l’équinoxe de printemps qui annonce la suprématie du jour sur la nuit, de la lumière sur l’obscurité, est fondamentalement tourné vers l’avenir. Il se projette en avant, avec fougue et impatience. Néanmoins, le premier animal figurant le premier décan de ce signe marche d’un pas lent, la tête tournée en arrière, le regard semblant scruter ce qui se passe derrière lui, non devant lui. À Babylone, le premier mois de l’année suivant l’équinoxe de printemps était le mois du sacrifice. À cette occasion, les prêtres faisaient l’offrande aux dieux d’un agneau. Tout laisse à croire que notre premier bélier doit être sacrifié, ou plus exactement, qu’il doit sacrifier son passé, les eaux primordiales de l’hiver d’où il vient (les trois signes du zodiaque qui précèdent le Bélier sont en effet les trois signes d’hiver : Capricorne, Verseau, Poissons, dont l’Élément est l’Eau). S’il veut pouvoir se tourner vers l’avenir où tout le pousse, exploiter à bon escient ce feu originel qui couve en lui et qui, sinon, risque de le consumer de l’intérieur, de le réduire en cendre, il doit se détacher du passé. Le natif du premier décan du Bélier est certes plein d’ardeur. Mais son feu est intérieur ou intériorisé. Il va de l’avant, mais un peu en aveugle, ne pouvant s’empêcher de se référer à son passé, de s’interroger, de réfléchir, de méditer sur ses origines, de s’en inspirer pour bâtir ou créer quelque chose de neuf. Sa vision du futur est encore enracinée dans la terre de son passé. Le Bélier du deuxième décan, dit décan de Charisme, dont le maître est le Soleil du 1er avril au 11 avril Le deuxième bélier figurant à cet emplacement est généralement celui qui représente l’ensemble de ce premier signe du zodiaque. Il s’agit d’un animal debout, de profil, marchant d’un pas sûr de la droite vers la gauche, avançant dans le sens des signes du zodiaque, à l’inverse des aiguilles d’une montre. Le sabot de sa patte gauche et son mufle dirigé vers le sol semblent former un axe allant de la terre au ciel. [size=18] [/size] L’œil fixé lui aussi vers le sol, il ne regarde pas devant lui. Il donne l’impression d’avancer en aveugle, ou plus exactement de ne pas éprouver le besoin de regarder ni de savoir où il se dirige. Son port de tête suggère une telle détermination, une telle force, une telle rigidité que tout laisse à supposer qu’il ne lui est pas utile de lever la tête ni les yeux pour avancer. Par ailleurs, à ses côtés et légèrement décalé par rapport à lui, apparaît, comme l’ombre de lui-même, l’un de ses comparses, ou l’une de ses compagnes. Il s’agit sans doute d’un mouton mâle ou du chef d’un troupeau. Ce mouton de l’espèce mérinos, figurant l’image symbolique du deuxième décan du signe du Bélier, est originaire d’Iran et du nord de l’Inde. Importé en Europe, il devint naturellement le chef des troupeaux de moutons européens. Ce rôle de chef et, par analogie, de leader, de pionnier, de héros, convient au natif du deuxième décan de ce signe, nommé décan de Charisme, parce qu’il possède un charme et un rayonnement naturels qui magnétisent et incitent à le suivre, à marcher dans son sillage. Le Bélier du troisième décan, dit décan de Passions, dont le maître est Vénus du 12 au 20 avril Le troisième bélier apparaît sous l’aspect d’un animal en proie à un mouvement puissant, prenant son élan sur ses deux pattes arrière tendues sur le sol, tandis que ses deux pattes de devant, détachées de la terre ferme, se dirigent puissamment en avant. [size=18] [/size] Sa force, son énergie, l’impulsion et le mouvement qui l’animent ne proviennent plus de sa tête, mais de son arrière-train, de ses reins. Il semble vouloir surmonter un obstacle ou atteindre un but, l’un et l’autre invisibles, que lui seul voit et connaît. Cet animal symbolique figure le natif du Bélier en proie à ses pulsions instinctives, irrépressibles, à ses sentiments aveugles qui le poussent à projeter immédiatement et impérativement tout son être vers le futur. Il s’agit bien sûr du natif du troisième décan, dit décan de Passion, un être fougueux, agissant par à-coups, en proie à de brusques flambées instinctives, s’investissant corps et âme dans tout ce qu’il entreprend, dans ses actes, dans sa vie. [size=24]Astrologie - Signe - Bélier - Présentation - Bélier du 21 mars au 21 avril Présentation du Bélier Le Bélier est le premier signe du zodiaque. C’est un signe masculin, cardinal, c'est-à-dire le premier d'une saison, ici, en l'occurrence, le printemps, qui commence le jour de l’équinoxe de printemps, à l’instant précis où le Soleil entre dans ce signe, et qui se prolonge durant toute la période au cours de laquelle il le traverse, soit du 20 ou 21 mars au 19 ou 20 avril, selon les années. Sa saison est le début du printemps. Son élément est le Feu. Il s’agit du feu originel, primordial, du feu de la braise incandescente, du feu de l’esprit, du feu qui embrase instantanément. Son maître est Mars, qui est l’astre qui le gouverne. Son maître est Mars, qui est l’astre qui le gouverne. Sa couleur est le rouge, mais on lui attribue aussi toutes les couleurs de la braise, des étincelles et de l’aube. Ses pierres sont l’améthyste et le diamant. Ses correspondances anatomiques sont la tête, les yeux, le visage, la mâchoire. Son signe opposé et complémentaire est La Balance. Les pays en analogie avec le signe du Bélier sont l’Allemagne, l’Angleterre, le Japon, la Palestine, la Pologne et la Syrie. Les villes du monde qui lui correspondent, sont Birmingham, Cracovie, Florence, Marseille, Naples, Padoue et Saragosse. La région de France qu’il gouverne est la Bourgogne. Dans la nature, votre signe correspond à la période de l’apparition et de l’éclosion des bourgeons, de la montée irrépressible de la sève, durant laquelle les jours rallongent et le soleil réchauffe la terre. Ses mots clés sont : élan vers la vie, projection vers le futur, puissance énergétique, pulsion vitale, apparition soudaine dans le monde visible, naissance, commencement, initiative, audace. D'un point de vue mythique et symbolique, le natif du Bélier est un guerrier, un héros, un pionnier, un guide, un chef, un visionnaire. Les caractéristiques du Bélier Vous êtes pourvu d'un tempérament actif, instinctif, agressif, énergique, colérique, d'un enthousiasme qui ne s'encombre pas de précautions. Le plus souvent, vous êtes peu soucieux des risques encourus ou des obstacles pouvant se dresser sur votre route. Vous avez la volonté d'aboutir et de satisfaire vos désirs immédiatement et sans délai. Votre caractère est bilieux, émotif, anxieux et extraverti. Dans les faits, cela se traduit par votre besoin constant d'action, votre impatience, que vous compensez toutefois par une attitude moraliste face à la vie, parfois exclusive, intransigeante ou sectaire, selon le cas.
Psychologiquement, le signe du Bélier correspond au passage à l'acte. De ce fait, vous êtes sujet aux emballements, aveuglements, manques de perspicacité, précipitations, qui sont à l'origine des crises de découragement dont vous êtes victime parfois, par à-coups, mais que vous surmontez toujours énergiquement, poussé par une recherche perpétuelle de l'affirmation de soi. En effet, le natif du Bélier a besoin d'une lutte, d'un combat, d'un but à atteindre, d'une cible, et d'extérioriser ses énergies. Sinon, ces dernières le consument sur place, en profondeur. L'amour Bélier, c'est l'amour coup de foudre, primaire, instinctif et absolu, qui a sans cesse besoin de réactiver sa passion enflammée en sublimant l'objet de ses désirs aveugles, et n'ayant de cesse de satisfaire son désir irrépressible. Ninnenne blog de partage http://fr.pickture.com/blogs/acoeuretacris[/size] | |
| | | Josiane moderateur
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