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| POEMES TENDRESSE & AMITIE | |
| | Auteur | Message |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: POEMES TENDRESSE & AMITIE Mar 3 Nov - 12:41 | |
| A ma douce amieA ma douce amie
Je te vis, ma douce amie, je sentis dans mon âme De la tendre amitié naître la douce flamme ; Ton cœur comprit le mien, tu comblas mes vœux ; Sous son paisible abri nous rassemblant tous deux, Le même toit couvrit notre amitié fidèle, Et depuis protège de nos cœurs l'union mutuelle. Ton savoir, ta douceur, ton facile entretien, Ton esprit plus brillant, ton âge égal au mien, De tes soins attentifs l'aimable prévenance, D'un avenir commun la commune espérance, Tout enfin me charme : et mon cœur attendri Remercie chaque jour les Dieux de t'avoir pour amie. Ah ! préservons, protégeons cette union si tendre ! Sur le même torrent, que nous devons descendre, Contre les mêmes flots prompts à nous réunir, Nous serons plus gaiement portés vers l'avenir ; Oui ! crois-moi, l'amitié, ce doux présent des Dieux, Est plus chère à mon cœur qu'un laurier glorieux.
Adolphe Quetelet.
[size=18][/size] l'amitié seule est le vrai bien du sage poèmePoème sur l'amitié
L'amitié seule est le vrai bien du sage, L'amour trompeur, Par l'ombre du bonheur Dupe souvent le coeur : L'amant le moins volage Dit aux pieds de l'Iris, Dont ses yeux sont épris, L'amitié seule est le vrai bien du sage. Souvent l'amour nous conduit au naufrage Un calme heureux, D'abord comble nos vœux : Mais bientôt dans les cieux Se forme un noir orage : Le plaisir disparaît, Arrive le regret ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Que l'amitié soit donc notre partage ; Dans son lien Notre cœur sera bien ; Nous ne craindrons plus rien : Par un rare assemblage Nous verrons le plaisir Naître au sein du désir : L'amitié seule est le vrai bien du sage. L'amour est fait pour le printemps de l'âge C'est une fleur, Mais qui perd sa couleur, Dès qu'écartant l'erreur La raison l'envisage ; Le cœur longtemps dupé, Reconnaît qu'il est trompé ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. L'amitié donne un paisible ombrage Toujours en paix Sous son feuillage épais, De l'aquilon jamais On ne craint le ravage : Ses rameaux toujours verts Affrontent les hivers ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Que l'amitié chez nous soit l'apanage Du sentiment. Quand le coeur est constant, Son lustre est plus brillant, Rien n'en ternit l'image : Aucun masque imposteur Ne rend son air trompeur ; L'amitié seule est le vrai bien du sage. Jean-Louis Bridel.
[size=18][/size] [size=24]Un sourire ne coûte rienUn sourireUn sourire ne coûte rien et produit beaucoup, Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne, Il ne dure qu'un instant, mais son souvenir est parfois éternel, Personne n'est assez riche pour s'en passer, Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter, Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires, Il est le signe sensible de l'amitié, Un sourire donne du repos à l'être fatigué, Donne du courage au plus découragé Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler, Car c'est une chose qui n'a de valeurqu'à partir du moment où il se donne. Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'unqui ne sait plus sourire, Soyez généreux donnez-lui le vôtre, Car nul n'a autant besoin d'un sourire Que celui qui ne peut en donner aux autres.
Raoul Follereau. La Tendresse d'une Maman La Tendresse Si tu ne sais que faire de tes mains Transforme-les en tendresse. La tendresse, C’est une parole ou un silence Devenu une offrande. La tendresse C’est mon regard émerveillé Sur ce que tu me donnes, C’est ton regard ébloui Sur ce que je reçois. Ta tendresse, Une île émerveillée Sertie dans l’océan de mes regards. Permets à mon sourire De te dire ma tendresse, Permets à ma main De t’apporter du doux, Permets à mon regard De te dire ton importance. La tendresse, C’est aussi savoir Ne pas envahir l’autre de son amour Quand il ne peut le recevoir. La tendresse C’est parfois se taire pour être entendu. La tendresse Ne comble jamais un vide, Elle rejoint le germe d’un plein Et s’agrandit ainsi pour nourrir L’instant d’une rencontre. La tendresse, C’est la sève palpitante de la relation.
Jacques Salomé . [size=18][/size] L'Amitié Poème[/size] L'Amitié Comme un arbre, l'amitié grandit au fil des ans. Ses racines prennent de la vigueur et lui permettent de devenir grande et forte. C'est de cette façon que la nôtre s'est développée, et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir ce partage de notre quotidien. Aujourd'hui, pour s'apercevoir que l'autre a besoin d'un peu d'attention ou simplement de notre présence, nul n'est besoin de se parler. Je remercie la vie de t'avoir mis sur ma route; vraiment, ce fut l'un des plus beaux cadeaux qu'elle m'a fait. Tout comme moi, tu es un arbre qui a essuyé bien des tempêtes et des ouragans. Contre vents et marées, nous avons toujours su garder le moral, apprécier le retour du soleil et régénérer nos forces dans les moments d'accalmie. Le plus merveilleux pour moi est de voir que nous sommes encore côte à côte. Comme deux vieux arbres, nous sommes toujours empreints de la même vigueur et du même besoin de survie qui nous ont permis de rester debout jusqu'à ce jour. La vie nous réserve sûrement encore bien des surprises, mais rien ne pourra détruire ce merveilleux bien qui nous unit. Continuons à prendre soin des racines de notre Amitié, de façon à ce que nous puissions encore longtemps partager notre quotidien et apprécier chaque jour que nous vivons. Andrée Lapierre. Le coin de l'amitié PoèmeLe coin de l'amitiéL'Amour, l'Hymen, l'Intérêt, la Folie, Aux quatre coins se disputent nos jours. L'Amitié vient compléter la partie, Mais qu'on lui fait de mauvais tours ! Lorsqu'aux plaisirs l'âme se livre entière, Notre raison ne brille qu'à moitié, Et la Folie attaque la première Le coin de l'Amitié.
Puis vient l'Amour, joueur malin et traître, Qui de tromper éprouve le besoin. En tricherie on le dit passé maître ; Pauvre Amitié gare à ton coin ! Ce dieu jaloux, dès qu'il voit qu'on l'adore, A tout soumettre aspire sans pitié. Vous cédez tout ; il veut avoir encore Le coin de l'Amitié.
L'Hymen arrive : Oh, combien on le fête ! L'Amitié seule apprête ses atours. Mais dans les soins qu'il vient nous mettre en tête Il nous renferme pour toujours. Ce dieu, chez lui, calculant à toute heure, Y laisse enfin l'Intérêt prendre pied, Et trop souvent lui donne pour demeure Le coin de l'Amitié.
Auprès de toi nous ne craignons, ma chère, Ni l'Intérêt, ni les folles erreurs. Mais, aujourd'hui, que l'Hymen et son frère, Inspirent de crainte à nos cœurs ! Dans plus d'un coin, où de fleurs ils se parent, Pour ton bonheur qu'ils règnent de moitié ; Mais que jamais, jamais ils ne s'emparent Du coin de l'Amitié. Pierre-Jean de Béranger.
[size=18][/size] Tendresse & AmitiéTendresse - Citation :
L'amour est singulier Surtout au pluriel Quelquefois les rosiers Ont comme un goût de ciel Le destin invisible Songe impossible Silence invincible Cible inaccessible Une rose au teint de lait Une rose au cœur tendre Est né au mois de mai Il fallait s'y attendre Rose de sable Rose des vents Rose de table Rose de sang Conjuguer au présent Aujourd'hui comme hier Oublier les absents Etre seule sur la terre La vie est une aquarelle A chaque coup de pinceau La rose devient plus belle Le bouton sera plus beau J'arracherai les caresses Au vent frileux du matin Je dénouerai mes tresses Pour y lover mes mains Cultiver le jardin des émotions Pour réchauffer les mortes saisons Dans les fleurs et sur nos âmes Plane toujours du vague à l'âme Pour que nos lendemains S'appellent enfin toujours Et que sur nos chemins Fleurissent un peu d'amour |
Arlette Février-MuzardPrends ma main ne la lâche pasPrends ma main. Ne la lâche pas. J'écouterai ce que tu veux me dire.Si tu préfères te taire, j'entendrai ton silence. Si tu ris, je rirai avec toi,mais jamais de toi.Si tu es triste, j'essayerai de te consoler.Je ferai pour toi des bouquets de soleil. J'allumerai des feux de joie là où chacunne voyait plus que des cendres.Si je n'ai qu'une rose, je te la donnerai.Si je n'ai qu'un chardon, je le garderai pour moi. Je te donnerai ce qui te plaît,ce qui te rassure le plus si je le possède.Si je ne le possède pas, j'essayerai de l'acquérir. Donne-moi la main. Nous irons où tu voudras. Je te ferai entendre la musique que j'aime.Si tu ne l'aimes pas, j'écouterai la tienneJ'essaierai de l'aimer !Je t'apprendrai ce que je sais.C'est peu. Tu m'apprendras ce que tu sais. C'est beaucoupsNe dis pas que tu ne sais rien : cela n'existe pas, quelqu'un qui ne sait rienou alors, si cela existe, tant mieux car ce serait quelqu'un comme un jardin sauvage, un jardin à naître où l'on peut rêver mille jardinscomme un enfant à venir, un enfant espéré : ce serait la vie devant soi, ronde, inattaquée,comme une boule de Noël.Prends ma main. Cinq doigts refermés autour des nôtres,c'est le plus beau cadeau du monde.Cela nous préserve de la peur, de l'abandon, du doute. Une main offerte, c'est un monde nouveau.Tu es toi.Je suis ce que je suis.Je ne troublerai pas ta musique intérieure.Je ne me blesserai pas de tes silences.Tu respecteras les miens.Je ne t'assassinerai pas de “pourquoi ?”.Tu ne diras pas que je fais des fausses notessi je ne pense pas comme toi.Donne-moi la main.Nous irons avec la vie, comme le sable,le temps et l'eau entre source et delta.Différents et si proches à la fois. De Simone Conduché .Poème sur l'AmitiéAmitié Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses, Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux, Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux, Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses. Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ; Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux. Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux, Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes. De ces biens passagers que l’on goûte à demi, Le meilleur qui nous reste est un ancien ami. On se brouille, on se fuit.Qu’un hasard nous rassemble, On s’approche, on sourit, la main touche la main, Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble, Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain. Alfred de Musset. [size=18][/size] | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: POEMES TENDRESSE & AMITIE Mar 3 Nov - 12:55 | |
| La TendresseLa Tendresse La tendresse est le premier geste d'amour. La tendresse est cet élan vers l'autre, cette énergie d'amour qui nous fait tendre vers l'être aimé. La tendresse est souvent plus parlante que tous les discours affectueux. La tendresse est l'expression de la douceur de l'amour. La tendresse est un concentré silencieux de mots d'amour. La tendresse est l'ouverture naturelle du cœur. La tendresse, ce sont ces moments silencieux de l'amour et le regard porté à l'être aimé. La tendresse naît de la fusion de deux êtres qui s'accompagnent et se soutiennent sur un même chemin. La tendresse s'entretient par l'écoute, le respect, la générosité et l'amour. La tendresse peut être douce comme le bruissement du vent dans les arbres et belle comme un arc-en-ciel. Jean Gastaldi . Poème sur l'AmitiéLes Deux AmisDeux vrais amis vivaient au MonomotopaL'un ne possédait rien qui n'appartînt à l'autre : Les amis de ce pays-là Valent bien dit-on ceux du nôtre. Une nuit que chacun s'occupait au sommeil, Et mettait à profit l'absence du Soleil, Un de nos deux Amis sort du lit en alarme : Il court chez son intime, éveille les valets : Morphée avait touché le seuil de ce palais. L'Ami couché s'étonne, il prend sa bourse, il s'arme; Vient trouver l'autre, et dit : Il vous arrive peu De courir quand on dort ; vous me paraissiez homme A mieux user du temps destiné pour le somme : N'auriez-vous point perdu tout votre argent au jeu En voici. S'il vous est venu quelque querelle, J'ai mon épée, allons. Vous ennuyez-vous point De coucher toujours seul , Une esclave assez belle Était à mes côtés : voulez-vous qu'on l'appelle ? - Non, dit l'ami, ce n'est ni l'un ni l'autre point : Je vous rends grâce de ce zèle. Vous m'êtes en dormant un peu triste apparu ; J'ai craint qu'il ne fût vrai, je suis vite accouru. Ce maudit songe en est la cause. Qui d'eux aimait le mieux, que t'en semble, Lecteur ? Cette difficulté vaut bien qu'on la propose. Qu'un ami véritable est une douce chose. Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; Il vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même. Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'on aime.Jean de la Fontaine.[size=18][/size] Poème sur l'AmitiéPoème sur l'Amitié
Beaucoup de gens vont entrer et sortir de votre vie Mais seuls les vrais amislaisseront leurempreinte dans votre coeur. Pour savoir comment vous y prendre avec vous-même ,utilisez votre tête . Mais pour savoir comment vous y prendre avecles autres utilisez votre coeur. Si quelqu'un vous trahit une fois , c'est sa faute . S'il vous trahit deux fois c'est votre faute . Les grands esprits parlent d'idées . Les esprits moyens parlent évènements . Les esprits petits parlent des gens, Celui qui perd de l'argent perd beaucoup, Celui qui perd un ami perd beaucoup plus, Celui qui perd la foi , perd tout .
Eleanor Roosevelt.[size=16][/size] La voix d'un ami
Si tu n'as pas perdu cette voix grave et tendre Qui promenait mon âne au chemin des éclairs Où s'écoulait limpide avec les ruisseaux clairs, Éveille un peu ta voix que je voudrais entendre.
Elle manque à ma peine, elle aiderait mes jours. Dans leurs cent mille voix je ne l'ai pas trouvée. Pareille à l'espérance en d'autres temps rêvée, Ta voix ouvre une vie où l'on vivra toujours !
Souffle vers ma maison cette flamme sonore Qui seule a su répondre aux larmes de mes yeux. Inutile à la terre, approche-moi des cieux. Si l'haleine est en toi, que je l'entende encore !
Elle manque à ma peine ; elle aiderait mes jours. Dans leurs cent mille voix je ne l'ai pas trouvée. Pareille à l'espérance en d'autres temps rêvée, Ta voix ouvre une vie où l'on vivra toujours !
Marceline Desbordes-Valmore.[size=16][/size] Poème sur l'Amitié[size=16]Les Deux Amis[/size] [size=16]Deux vrais amis vivaient au Monomotopa[/size] [size=16]L'un ne possédait rien qui n'appartînt à l'autre : Les amis de ce pays-là Valent bien dit-on ceux du nôtre. Une nuit que chacun s'occupait au sommeil, Et mettait à profit l'absence du Soleil, Un de nos deux Amis sort du lit en alarme : Il court chez son intime, éveille les valets : Morphée avait touché le seuil de ce palais. L'Ami couché s'étonne, il prend sa bourse, il s'arme; Vient trouver l'autre, et dit : Il vous arrive peu De courir quand on dort ; vous me paraissiez homme A mieux user du temps destiné pour le somme : N'auriez-vous point perdu tout votre argent au jeu En voici. S'il vous est venu quelque querelle, J'ai mon épée, allons.[/size] [size=16]Vous ennuyez-vous point De coucher toujours seul ,
[/size] [size=16]Une esclave assez belle Était à mes côtés : voulez-vous qu'on l'appelle ? - Non, dit l'ami, ce n'est ni l'un ni l'autre point : Je vous rends grâce de ce zèle. Vous m'êtes en dormant un peu triste apparu ; J'ai craint qu'il ne fût vrai, je suis vite accouru. Ce maudit songe en est la cause. Qui d'eux aimait le mieux, que t'en semble, Lecteur Cette difficulté vaut bien qu'on la propose. Qu'un ami véritable est une douce chose. Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; Il vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même. Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'on aime.[/size] [size=16]Jean de La Fontaine.[/size] [size=16][size=16][/size][/size] Poème sur la Tendresse[size=16]La Tendresse[/size] [size=16]Si tu ne sais que faire de tes mains Transforme-les en tendresse. La tendresse, C’est une parole ou un silence Devenu une offrande. La tendresse C’est mon regard émerveillé Sur ce que tu me donnes, C’est ton regard ébloui Sur ce que je reçois.
Ta tendresse, Une île émerveillée Sertie dans l’océan de mes regards. Permets à mon sourire De te dire ma tendresse, Permets à ma main De t’apporter du doux, Permets à mon regard De te dire ton importance.
La tendresse, C’est aussi savoir Ne pas envahir l’autre de son amour Quand il ne peut le recevoir.
La tendresse[/size] [size=18]C’est parfois se taire pour être entendu. La tendresse Ne comble jamais un vide, Elle rejoint le germe d’un plein Et s’agrandit ainsi pour nourrir L’instant d’une rencontre.
La tendresse, C’est la sève palpitante de la relation.[/size] [size=18]Jacques Salomé.[/size] [size=18][size=18][/size][/size] Vieillir en BeautéVieillir en beauté, c'est vieillir avec son cœur Sans remords, sans regret, sans regarder l'heure,Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur,Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps;Le garder sain en dedans, beau en dehors.Ne jamais abdiquer devant un effort.L'âge n'a rien à voir avec la mort.Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouceà ceux qui se sentent perdus dans la brousse,Qui ne croient plus que la vie peut être douceEt qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse.Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement.Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan.être fier d'avoir les cheveux blancs,Car, pour êtreheureux,on a encore le temps.Vieillir en beauté, c'est vieillir avec amour,Savoir donner sans rien attendre en retour;Car, où que l'on soit, à l'aube du jour,Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir;Être content de soi en se couchant le soir.Et lorsque viendra le point de non-recevoir,Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.Ghislaine Delisle.Poème sur l'Amitié[size=16]Les deux Amitiés,[/size] [size=16]Il est deux Amitiés comme il est deux Amours. L'une ressemble à l'imprudence; Faite pour l'âge heureux dont elle a l'ignorance, C'est une enfant qui rit toujours.
Bruyante, naïve, légère, Elle éclate en transports joyeux. Aux préjugés du monde indocile, étrangère, Elle confond les rangs et folâtre avec eux.
L'instinct du cœur est sa science, Et son guide est la confiance. L'enfance ne sait point haïr; Elle ignore qu'on peut trahir.
Si l'ennui dans ses yeux on l'éprouve à tout âge Fait rouler quelques pleurs, L'Amitié les arrête, et couvre ce nuage D'un nuage de fleurs.
On la voit s'élancer près de l'enfant qu'elle aime, Caresser la douleur sans la comprendre encor, Lui jeter des bouquets moins riants qu'elle-même, L'obliger à la fuite et reprendre l'essor.
C'est elle, ô ma première amie ! Dont la chaîne s'étend pour nous unir toujours. Elle embellit par toi l'aurore de ma vie, Elle en doit embellir encor les derniers jours.
Oh ! que son empire est aimable ! Qu'il répand un charme ineffable Sur la jeunesse et l'avenir, Ce doux reflet du souvenir .
Ce rêve pur de notre enfance En a prolongé l'innocence; L'Amour, le temps, l'absence, le malheur, Semblent le respecter dans le fond de mon cœur.
Il traverse avec nous la saison des orages, Comme un rayon du ciel qui nous guide et nous luit : C'est, ma chère, un jour sans nuages Qui prépare une douce nuit.
L'autre Amitié , plus grave, plus austère, Se donne avec lenteur, choisit avec mystère; Elle observe en silence et craint de s'avancer; Elle écarte les fleurs, de peur de s'y blesser.
Choisissant la raison pour conseil et pour guide, Elle voit par ses yeux et marche sur ses pas : Son abord est craintif, son regard est timide; Elle attend, et ne prévient pas.
Marceline Desbordes-Valmore.[/size] Poème Fête des MèresLa Fête des Mères.Maman, de toutes les fêtes Qui pour une journée Deviennent la vedette Du calendrier, Celle que je préfère C’est la Fête des mères. Déjà, parce que cette fête magique A la bonne idée de toujours tomber Quelque soit l’année un dimanche de Juin C’est comme qui dirait, une petite avance Sur les grandes vacances, une autre raison De ma préférence ce sont les cadeaux. Car là, pas de blabla qu'ils soient petits ou gros. On ne recule pas devant la dépense. Pour faire ton bonheur Rien n’est trop beau. Voilà les raisons de ma prédilection. Aurais-je oublié un point essentiel ? Mais pour t’embrasser Maman la plus belle.Jamais une année n'aura assez de journées . Pour contenir tous mes baisers car dans ma petite têteMa maman d’amour pour moi tous les jours. C’est ton jour de fête. Bonne fête ma maman que j'aime tant.Auteur inconnu.
[size=24]Poème sur la Beauté[/size] Saisir L'instant. Saisir l’instant tel une fleur Qu’on insère entre deux feuillets Et rien n’existe avant après Dans la suite infinie des heures. Saisir l’instant. Saisir l’instant. S’y réfugier. Et s’en repaître. En rêver. À cette épave s’accrocher. Le mettre à l’éternel présent. Saisir l’instant. Saisir l’instant. Construire un monde. Se répéter que lui seul compte Et que le reste est complément. S’en nourrir inlassablement. Saisir l’instant. Saisir l’instant tel un bouquet Et de sa fraîcheur s’imprégner. Et de ses couleurs se gaver. Ah ! combien riche alors j’étais Saisir l’instant. Saisir l’instant à peine né Et le bercer comme un enfant. A quel moment ai-je cessé . Pourquoi ne puis-je… Esther Granek [size] Poème tendresse[/size] La Tendresse. La tendresse est le premier geste d'amour. [size=16]La tendresse est cet élan vers l'autre, cette énergie d'amour qui nous fait tendre vers l'être aimé.
La tendresse est souvent plus parlante que tous les discours affectueux.
La tendresse est l'expression de la douceur de l'amour.
La tendresse est un concentré silencieux de mots d'amour.
La tendresse est l'ouverture naturelle du cœur.
La tendresse ce sont ces moments silencieux de l'amour et le regard porté à l'être aimé.
La tendresse naît de la fusion de deux êtres qui s'accompagnent et se soutiennent sur un même chemin.
La tendresse s'entretient par l'écoute, le respect, la générosité et l'amour.
La tendresse peut être douce comme le bruissement du vent dans les arbres et belle comme un arc-en-ciel.
Jean Gastaldi .[/size]
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