Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
Sujet: Noé, LE PIGEON(histoire d'animaux,un peu de tout) Mar 1 Déc - 14:49
Noé, LE PIGEON
ESSAYER de vous demander qui sont les plus intelligents.
Commentnous traitons les plus faibles d'entre nous, est de savoir comment nous serons jugés.~ Mehmet Oz, M.D.
ces petits lapins d'environ 6 jours,ont étés attaquer par un chien ils sont orphelins 2 n'ont pas survécus,ces 3 autres petits en mauvais état NOE ,ressassait devant la cage aux lapins et à finie par s'endormir devant la porte de la cage nous avons découvert le drame : 2 petits lapins étaient dans la cage mais lorsque NOE c'est poussé un peu à la surprise générale :il y avait un minuscule lapin endormi sous son aile il avait rampé ,sous ses plumes Maintenant les trois petits,ont étés pris en charge par NOE ,qui prend bien soin de les garder au chaud c'est étonnant et beau à voir
C'est ce que Dieu fait avec nous lorsque nous avons besoin de la chaleur et l'amour qu'il offre.
Il nous rassemble sous ses ailes d'amour à une station d'accueil chaleureux de la protection.
Tout ce que nous devons faire en retour est de lui donner la grâce et de louange pour être avec nous.
Nous sommes Bob et Georganne Lenham de sauvetage Wild Rose Ranch au Texas, à la maison de Noé. Après avoir trouvé de nombreux postes en ligne avec Noé et les lapins et la lecture au sujet des nombreuses vies qu'il a touché (son histoire a été transmise à travers le monde), nous avons pensé publier un suivi et quelques photos nouvelles. Nous savions qu'il y avait quelque chose de spécial au sujet de Noé le moment nous l'avons vu.
Le « roi des animaux », baptisé ainsi en raison de sa crinière caractéristique, est le seul félin grégaire : il vit en groupes familiaux d'une vingtaine d'individus.
Au sein de ceux-ci, c'est la femelle, la lionne, qui s'occupe de la chasse.
Les mâles, eux, sont chargés de la protection des lionceaux.
Cet animal fut autrefois le mammifère le plus répandu sur la planète (une espèce vivait même en Europe du Sud et dans les Balkans durant l'Antiquité), mais il est aujourd'hui menacé de disparition : il reste moins de 30 000 spécimens en Afrique et près de 300 en Inde, réfugiés dans le parc national de Gir Forest
[size] regard de chat --------------------------------------------------------------------------------------------
Le chat
En réalité, il ne faudrait pas parler du chat, mais des chats, car il en existe une cinquantaine de races différentes. Et ce, pour le seul chat domestique, sous-espèce du chat sauvage (les premières domestications ont commencé il y a 10 000 ans pour protéger les cultures céréalières des rongeurs). Sans oublier les autres espèces du genre Felis (chat des sables, chat de Biet, chat à pattes noires et chaus) et celles d'autre genres (chat à tête plate, chat des Andes, chat bai, chat doré d'Afrique ou encore chat pêcheur). [/size]
Sociabilité, autonomie, faculté d'adaptation, présence chaleureuse... la place privilégiée du chat auprès de l'homme remonte à l'Antiquité égyptienne.
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L'art de la caresse
Des chercheurs ont démontré que le fait de caresser un chat fait baisser la tension artérielle. Ils ont comparé cette activité avec, par exemple, le fait de lire un [size=16]livre ou d'écouter de la musique. Autant de moments de détente qui permettent de se déstresser. Mais attention, n'oubliez pas que c'est le chat qui décide du moment des caresses. Il peut aussi tout à fait vous interrompre alors que vous êtes très occupé![/size]
Caresser un chat fait baisser la tension artérielle
Le ronronnement
Le "ronron" du chat fait partie des sources de plaisir que nous procure un chat. Le ronronnement vient à la naissance, c'est un moyen de communication apaisant entre le chaton et sa mère. Ils se rassurent l'un l'autre. En grandissant, à travers le ronronnement, le chat exprime ses émotions à son maître, il essaie de lui faire comprendre qu'il a besoin d'attention, de soins ou de caresses. Tout son corps transmet des vibrations. Et quel plaisir de s'endormir auprès d'un chat qui ronronne! Ne dit-on pas "ronronner de plaisir"?
Quel plaisir de se reposer auprès d'un chat qui ronronne!
Une écoute attentive
Quel plaisir de s'adresser à un animal qui ne répond pas... à qui vous pouvez confier tous vos secrets, et qui ne vous contredira jamais! Il est prouvé qu'un chat apporte un grand réconfort dans des moments de solitude, de dépression ou de maladie grave. La façon d'écouter et de solliciter des câlins apaise bien des souffrances.
Un bon pédagogue
L'enfant apprend beaucoup au contact d'un chat. Outre le fait que ce soit un compagnon de jeu idéal, le chat permet à l'enfant de développer son sens des responsabilités et sa patience.
Si les arachnophobes sont nombreux, il faut bien avouer que la plupart des araignées que nous croisons au quotidien ne pourraient nous faire aucun mal. Cependant, 6,5 personnes qui croisent une araignée en meurent chaque année.
Trucs et astuces. lutter contre les araignées chez vous
Animaux tueurs
Il n’est pas rare de croiser des serpents à sonnette aux Etats-Unis.
Les randonneurs et les campeurs se trouvent parfois en bien mauvaise posture face au Crotalus.
5,5 d’entre eux succombent à leur morsure chaque année.
Animaux/1251-nombre-de-morsures-de-serpents-dans-le-monde.html">Nombre de morsures de serpents dans le monde
En [size=16]Afrique, les innocentes fourmis tuent 20 à 50 personnes par an. C’est vrai, une fourmi n’a rien d’impressionnant ! Cependant, imaginez des dizaines, des centaines voire des milliers d’entre elles qui se mettent à vous piquer…[/size]
Il n’y a aucune [size=16]bonne raison de détester les guêpes, comme n’importe quel autre insecte d’ailleurs. Mais il faut savoir qu’elles tuent plus que les requins : on évalue à 53 le nombre de décès par an rien qu’aux USA à cause de réactions allergiques faisant suite à des piqûres d’abeilles.[/size]
«La grandeur d'une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés par la façon dont elle traite ses animaux. » Sri Aurobindo «La vie est la vie, que ce soit un chat, un chien ou un homme. Il n'y a pas de différence entre un chat, un chien, un homme. L'idée de différence est une conception humaine pour mettre l'hommeà son avantage. » Sri Aurobindo
« L’homme est le seul animal à refuser de l’être. »Jean-Baptiste Jeangène Vilmer
Nous avons tous en mémoire des souvenirs d’enfants peuplés d’animaux (chiens, chats, canards, têtards,…). Instinctivement, nous leur avons attribué des personnalités, des sentiments, des souffrances, des capacités à raisonner… Les animaux de la maison faisaient partie intégrante de la famille. Sans nous en rendre compte, ils ont participé à notre éducation, ont fait évoluer notre sensibilité et notre point de vue sur la nature et les choses. La société d’aujourd’hui a connu bien des bouleversements. Les enfants sont ainsi beaucoup moins confrontés au monde animal dans la vie de tous les jours. Nous vivons dans un monde aseptisé, qui ne fait pas de place aux animaux. Or le respect de l’animal passe inévitablement par une phase d’expériences, d’apprentissage, de réflexions et de comportements. Si la société d’aujourd’hui éprouve le besoin de parler de droits de l’animal, c’est que la cohabitation entre l’homme et les animaux est devenue problématique. L’homme a détourné et orienté l’évolution de plusieurs centaines d’animaux et de plantes à son profit exclusif, pour divers usages domestiques. Il menace aujourd’hui l’existence de la vie sauvage. L’IUCN (Union Internationale de Conservation de la Nature) prévoit qu’entre 33 et 50% des deux millions d’espèces animales et végétales actuellement décrites risquent de disparaître avant la fin du 21ème siècle. La responsabilité de l’être humain est très gravement engagée. En effaçant des espèces animales, l’homme modifie le déroulement ultérieur de la vie, et donc le cours de l’évolution, sans pouvoir en prévoir les conséquences. Le trafic des espèces sauvages est devenu le deuxième commerce illégal au monde, après celui de la drogue et devant celui des armes. Respecter la loi, c’est aussi combattre ce commerce illégal. Garantir le respect et la survie d’une espèce animale, c’est aussi adopter une attitude écologiquement responsable et apprendre à trouver sa juste place. D’ailleurs la définition du mot écologie est la suivante : « Science ayant pour objet les relations des êtres vivants (animaux, végétaux, micro-organismes) avec leur environnement, ainsi qu'avec les autres êtres vivants ». Alors, si le monde d’aujourd’hui veut être écologiquement responsable, il lui faut apprendre à trouver sa place sur la Terre, tout en garantissant des droits aux animaux, c’est-à-dire de reconnaître leur vulnérabilité. La survie d’une espèce passe aussi par la protection des milieux naturels. Tout animal doit garder sa place dans l’écosystème. Les avancées en matière d’éthologie, de biologie, de génétique, et de neurobiologie ont permis de passer d’une conception de l’animal-objet à une conception d’être sensible, auquel l’homme peut accorder des droits. L’homme a un devoir de compassion vis-à-vis de l’animal. La souffrance humaine n’a pas une importance plus grande que la souffrance animale. Des personnes ont voulu s’opposer à l’attribution de droits aux animaux, en prétextant que les animaux ne pouvaient pas être conscients de leurs droits et ne peuvent pas assumer leurs devoirs, ou en affirmant que les droits étaient une invention de l’homme destinée exclusivement à l’espèce humaine. Mais ces affirmations sont infondées puisque dans notre société, les comateux, les handicapés mentaux, les fœtus, les nourrissons, les sociétés et autres entités juridiques se sont vus attribuer des droits. Donner des droits aux animaux, c’est affirmer que l’homme a un pouvoir limité sur eux, et qu’il doit se servir de ces droits pour affiner ses comportements. Bien souvent, les droits sont synonymes de sanctions pénales, mais le but premier des droits, c’est de définir les devoirs de l’homme envers l’animal. Notre société actuelle est basée sur le principe d’un Etat de droit, pour protéger les plus faibles et les défendre. Ainsi tout animal ou toute espèce a le droit de ne pas disparaître par la faute de l’homme. Et tout animal placé sous la dépendance de l’homme, qu’il soit domestique ou sauvage, a le droit au bien-être et à ne pas souffrir. La tortue est, et restera toujours un animal sauvage. La tortue est dotée d’un système nerveux central, elle a donc la capacité de ressentir la douleur. Tout animal sauvage captif a le droit de vivre dans un état de satisfaction, impliquant un bon état de santé, un confort suffisant, un bon apport nutritionnel, la sécurité, la possibilité d’assouvir ses besoins physiologiques et comportementaux. Un animal sauvage captif a besoin de vivre de la meilleure façon possible sa cohabitation avec l'homme. C'est la mission de celui ou celle qui fait le choix d'héberger un animal sauvage.
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Noé, LE PIGEON(histoire d'animaux,un peu de tout)
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