marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: ,La rose et les épines Sam 4 Juin - 14:00 | |
| La rose et les épines La rose et les épines | Un homme planta une rose et l'arrosa fidèlement, et avant qu'elle ne fleurisse, Il l'examina. Il vit le bouton qui fleurirait bientôt et aussi les épines. Et, il pensa, « comment est-il possible qu'une fleur si magnifique Provienne d'une plante chargée d'autant d'épines pointues ? » Attristé par cette pensée, il négligea d'arroser la rose, Et avant qu'elle ne fût prête à fleurir, Elle mourut. Il en est ainsi pour beaucoup. A l'intérieur de chaque âme, il y a une rose. Les qualités divines plantées en nous à la naissance Grandissent parmi les épines de nos erreurs. Beaucoup d'entre nous se regardent eux-mêmes Et voient seulement leurs épines, leurs défauts. Nous désespérons, en pensant peut-être que rien de bon ne peut sortir de nous. Nous négligeons d'arroser le bien qui est en nous Et finalement il meurt. Nous ne réalisons jamais notre potentiel. Quelques personnes ne voient pas la rose à l'intérieur d'elles-mêmes Quelqu'un d'autre doit la leur montrer. Un des dons les plus extraordinaires qu'une personne puisse posséder Est d'être capable de passer à travers les épines Et de trouver la rose à l'intérieur des autres. C'est la caractéristique de l'amour, De regarder une personne, et connaissant ses erreurs, De reconnaître la noblesse dans son âme, Et de l'aider à réaliser qu'elle peut dépasser ses erreurs. Si nous lui montrons la rose, elle fera la conquête des épines. Alors elle fleurira, et plus loin fleuriront trente, soixante, une centaine de plants Comme celui qui lui a été donné. Notre devoir en ce monde est d'aider les autres En leur montrant leurs roses et non leurs épines. Alors seulement nous atteindrons l'AMOUR que nous devrions ressentir pour chacun ; Alors seulement nous fleurirons dans notre propre jardin ! |
Trop beau , je partageMa grand-mère, ayant plus de 90 ans, était assise, l’air affaiblie sur le banc du patio. Elle ne bougeait pas, seulement assise, la tête vers le bas, fixant ses mains. Quand je me suis assise auprès d’elle, elle ne bougea pas, aucune réaction. Je ne voulais pas la déranger, mais après un long moment de silence, je me suis informé si elle était correcte.
Elle leva la tête et me sourit. « Oui je suis correcte, [size=18]merci de t’en informer » dit-elle de sa voix forte et claire. « Je ne voulais pas vous déranger, grand-mère, mais vous étiez assise là, fixant vos mains et je voulais savoir si tout était correct pour vous » lui ai-je dit.
« As–tu déjà regardé tes mains? » me dit-elle. « Je veux dire vraiment regarder tes mains? » J’ai alors lentement ouvert mes mains et les fixai. Les retournai, m’en frottai les paumes. « Non, je pense que je n’ai pas vraiment regardé mes mains » lui dis-je et me demandant ce qu’elle voulait dire.
Grand-mère me sourit et me raconta cette histoire. « Arrêtes-toi et réfléchis un peu au sujet des mains que tu as, comment elles t’ont si bien servi depuis ta naissance. »
Mes mains, ridées, desséchées et affaiblies ont été les outils que j’ai toujours utilisés pour étreindre la vie. Elles m’ont permis de m’agripper et d' éviter de tomber quand je trottinais lorsque j’étais enfant. Elles ont porté la nourriture à ma bouche. Enfant, ma mère m’a montré à les joindre pour prier. Elles ont attaché mes souliers et mes bottes.
Elles ont touché mon mari et essuyé mes larmes quand il est parti à la guerre. Elles ont été sales, coupées, rugueuses et enflées. Elles ont été maladroites quand j’ai tenté de tenir mon premier enfant. Décorées avec ma bague de mariage, elles ont montré au monde que j’aimais quelqu’un d’unique et spécial.
Elles ont écrit mes lettres à ton grand-père et ont tremblé quand je l’ai enterré. Elles ont tenu mes enfants, ensuite mes petits enfants, consolé les voisins et tremblaient de rage quand je ne comprenais pas. Elles ont couvert ma figure, peigné mes cheveux et lavé mon corps. Elles ont été collantes et humides, sèches et rugueuses.
Aujourd’hui, comme rien ne marche vraiment plus comme avant pour moi, ces mains continuent de me soutenir et je les joins encore pour prier.
Ces mains portent la marque de ce que j’ai fait et la marque des accidents de ma vie. Mais le plus important est que ce seront ces même mains que Dieu attrapera pour m’amener avec lui dans son Paradis. Avec elles, Il m’élèvera à ses cotés. Et là, je pourrai les utiliser pour toucher la face du Christ »[/size]L amour de soi !On aimerait parfois, être quelqu’un d’autreN’a-t-on pas déjà vécu la même choseSauf peut-être, quelques rares exceptionsQui ont un meilleur contrôle de leurs émotionsOn voudrait pouvoir mieux nous exprimerOn voudrait trouver, des sujets à discuterFaire que notre vie soit plus facileNe plus nous enfermer dans une coquilleOn voudrait aussi, attirer les regardsNe plus seulement penser que c’est le hasardQu’on ne le fasse pas par compassionOn voudrait être visible pour d’autres raisonsOn ne voudrait plus, être angoisséeOn ne voudrait plus nous questionnerOn voudrait avant tout, avoir un butEtre capable de faire face à l’inconnuAu fond, on voudrait être quelqu’un d’autreMoins timide, à l’aise, tout comme les autresMais a-t-on pensé, que ces gens autour de nousVoudraient souvent eux, être comme nousBeaucoup de gens, ont sur nous leurs yeuxEt bien souvent, nous comparent à euxIls voudraient, être quelqu’un d’autreAvoir une façon d’être, tout comme la notre Texte Claude Marcel Breault 14 déc. 2011le temps qui passeLe bonheur , à méditer,,,Parole de chanson Le p'tit bonheur
C'était un petit bonheur Que j'avais ramassé Il était tout en pleurs Sur le bord d'un fossé Quand il m'a vu passer Il s'est mis à crier: "Monsieur, ramassez-moi Chez vous amenez-moi
Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade Si vous n'me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade ! Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture"
J'ai pris le p'tit bonheur L'ai mis sous mes haillons J'ai dit: " Faut pas qu'il meure Viens-t'en dans ma maison " Alors le p'tit bonheur A fait sa guérison Sur le bord de mon cœur Y avait une chanson
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oublié Ma vie de désœuvré, j'avais dégoût d'la r'commencer Quand il pleuvait dehors ou qu'mes amis m'faisaient des peines J'prenais mon p'tit bonheur et j'lui disais: "C'est toi ma reine"
Mon bonheur a fleuri Il a fait des bourgeons C'était le paradis Ça s'voyait sur mon front Or un matin joli Que j'sifflais ce refrain Mon bonheur est parti Sans me donner la main
J'eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes Lui montrer le grand trou qu'il me faisait au fond du cœur Il s'en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine Comme s'il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure
J'ai bien pensé mourir De chagrin et d'ennui J'avais cessé de rire C'était toujours la nuit Il me restait l'oubli Il me restait l'mépris Enfin que j'me suis dit: Il me reste la vie
J'ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles Et je bats la semelle dans des pays de malheureux Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux ...Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux... paroles de Félix Leclerq Si j avais su,,,,, à méditer,, Si j avais sû |
| Si j'avais su que... c'était la dernière fois que je te voyais t'endormir je t'aurais bordé au lit plus soigneusement et j'aurais prié Dieu qu'il veille sur ton âme.
Si j'avais su que... c'était la dernière fois que je te voyais quitter la maison, je t'aurais donné une caresse et un baiser je t'aurais rappelé pour en avoir un de plus.
Si j'avais su que... c'était la dernière fois que j'entendais ta voix j'aurais enregistré sur vidéo chaque action et chaque mot afin de les réécouter jour après jour.
Si j'avais su que... c'était la dernière fois j'aurais pris une minute de plus afin de m'arrêter et te dire: «je t'aime» au lieu de présumer que tu le savais.
Puisqu'il y a toujours demain pour corriger un oubli nous avons encore une deuxième chance de nous améliorer il y aura toujours un autre jour pour dire je t'aime et demander puis-je te rendre service?
Mais juste au cas où je ferais erreur et que demain n'arrive pas j'aimerais te dire à quel point je t'aime j'espère que tu ne l'oublieras jamais que demain n'est promis à personne ni jeune, ni vieux, aujourd'hui c'est peut être la dernière chance que tu as pour serrer fort dans tes bras les êtres qui te sont chers.
Alors n'attends pas à demain, fais le aujourd'hui comme ça, si demain ne vient jamais, tu ne le regretteras pas.
Tenez bien fort dans vos bras ceux et celles que vous chérissez et chuchotez leurs à l'oreille que vous les aimez et qu'ils seront toujours importants pour vous.
Ne soyez jamais trop occupé pour ne pas offrir des sourires des câlins des attentions et tout ce qui réchauffe le cœur des personnes qui sont importantes pour vous.
Prenez le temps de dire: je m'excuse , pardonne-moi , merci , je t'aime de cette façon, si demain ne vient jamais vous n'aurez aucun regret à propos d'aujourd'hui.
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Faire ça simple | | Parfois, on ne trouve pas les bons mots On les voudrait simples, mais beaux On aimerait écrire de beaux textes Mais on s’exprime avec maladresse On voudrait le faire dans la simplicité Que nos mots traduisent bien nos pensées Mais on est trop exigeant quelquefois Les gens se contentent de moins que ça Ils aiment qu’on le fasse avec adresse Mais que l’on y mette de la souplesse Qu’on leur dise avant tout la vérité Avec des mots qui ne soient pas coloriés Ils aiment, que quoi on leur dise On le fasse avec beaucoup de franchise Pourquoi faire simple entend-t-on répété Quand le tout peut être un peu compliqué Les gens au fond, aiment ce qui est beau Ils veulent être bien dans leur peau Sourire, est encore ce qu’ils recherchent Comme être heureux est ce qu’ils cherchent Alors, disons-leur donc, dans de simples mots Combien eux, la vie, combien tout ça peut être beau
Texte Claude Marcel Breault 21 avril 2011
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: ,La rose et les épines Sam 4 Juin - 15:42 | |
| je contemple la mer ! "ô mer ,terrible mer,quel [size=18]homme a ton aspect[/size] Ne se sent pas saisis de crainte et de respect
De quelle impression tu frappas mon enfance
Les vents agitent l air d heureux frémissement
Et la mer répond par des murgisement ,,[size=18]
[/size] [size=18][/size] Ninnenne blog de partage | |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: ,La rose et les épines Sam 4 Juin - 16:16 | |
| Histoire d eau Du bord de l étang endormi Un [size=16]enfant pose des questions[/size] " c est quoi la [size=16]nuit ? c est quoi l ennui?[/size] OU s en vont mourir les avions?" Quesque tu crains , dis moi l étang On est seul rien que toi et moi je sais bien que tu m entends Pourquoi tu ne me réponds pas Alors l étang s ouvre en douceur Et prend l [size=16]enfant dans ses bras[/size] Il lui explique la douleur La vie , le [size=16]mort , le froid[/size] "Raconte encore " lui dit l enfant Et le lac parle de la mer Qui cache ses trésors Et ses vaisseaux et ses corsaires Maxime Leforestier Ninnenne blog de partage
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