marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Combien de fois vous douchez-vous par jour ?+3 idées folles sur le sommeil Dim 3 Juil - 11:52 | |
| Combien de fois vous douchez-vous par jour ?
Chère lectrice, Cher lecteur,
Il existe une herbe qui continuerait d'être piétinée, si nos ancêtres n'avaient pas découvert ses vertus insoupçonnées.
Je vais vous expliquer dans un instant comment ce petit miracle de la nature pourrait avoir les mêmes effets sur vous, que sur Ann Wigmore [1] :
- Redonner à vos cheveux leur couleur naturelle (plutôt que gris ou blanc) ;
- Vous aider à conserver le poids de vos 20 ans jusqu'à 76 ans ;
- Vous permettre d'avoir de l'énergie à revendre, même en ne dormant que 4 heures par nuits ;
- Vous dispenser d'être malade et d'avoir à consulter un médecin.
Mais d'abord, j'aimerais vous poser une question :
Combien de fois vous douchez-vous par jour ?Si vous avez des enfants, vous aurez remarqué combien leur génération est obsédée par l'hygiène du corps.
Toutes les odeurs naturelles sont bannies. Tous les poils sont méticuleusement éliminés.
Même s'ils cèdent à la tendance de la barbe, des cheveux longs, et des vêtements troués, déchirés. Vous les retrouverez 1 à 2 fois par jour sous la douche, à se shampouiner, et se frotter méticuleusement pendant 20 minutes… comme s'ils revenaient de la mine de charbon.
Vous les regardez avec incompréhension. Ils consomment 2 fois plus d'eau que vous, et reprochent ensuite au monde de gaspiller les ressources d'eau potable.
A votre génération, on se lavait 1 à 3 fois par semaine. Pour la toilette, on utilisait un lavabo, une bassine, ou on partageait l'eau du bain avec le reste de la famille.
Aujourd'hui encore, vous avez la douche économe.
Mais le plus incroyable encore, c'est que cette génération mange n'importe quoi – sucreries, chocolat, pizzas, chips, hamburger, frites…
Ils remplissent leur corps d'aliments qui mériteraient de partir à la poubelle. Alors que par ailleurs, ils sont maniaques sur la propreté extérieure de leur corps.
C'est aussi insensé que de nettoyer et briquer la carrosserie de sa voiture à la moindre occasion… sans jamais passer l'aspirateur à l'intérieur, ni faire de révision du moteur !
L'intérieur de votre corps aussi s'encrasse... !Si la majorité se lave tous les jours, pourquoi si peu de gens se préoccupent de désencrasser l'intérieur du corps ?
Les aliments des supermarchés contiennent des sucres ajoutés, des acides gras trans, des colorants, du glutamate, des nitrates, de l'aspartame, et des antioxydants synthétiques.
Même ceux qui soignent leur alimentation subissent la pollution omniprésente. Il suffit d'inspecter l'intérieur de votre col de chemise (blanche), après une journée en ville. Vous n'en reviendrez pas en voyant la crasse accumulée.
Bien évidemment, cette même crasse pénètre dans votre corps. Par exemple : dès que vous ouvrez la bouche pour respirer, boire, ou manger.
L'air des villes transporte du plomb, du cadmium, du monoxyde de carbone à des concentrations toxiques. Ils attaquent vos poumons, et votre foie.
L'eau contient du fluorure de sodium et de l'eau de javel qui peuvent provoquer des maux de têtes, et des nausées.
Le stress quotidien est aussi source d'intoxication du corps car des radicaux libres viennent se former. Ils accélèrent le vieillissement.
Sans poursuivre cette description apocalyptique, vous réalisez qu'il est indispensable de veiller à votre hygiène intérieure. Personne ne peut prétendre être à l'abri de toutes ces intoxications du quotidien.
Comment se désencrasser de l'intérieur ?L'encrassement à l'intérieur du corps empêche les organes de remplir leur fonction.
Cela provoque des soucis de santé tels que la contamination aux métaux lourds, les problèmes de digestion, de surpoids, de fatigue, de manque d'énergie, vieillissement prématuré, cheveux qui tombent. Plus profondément, les polluants provoquent des mutations génétiques qui accroissent le risque de cancers.
Plutôt que d'arrêter de respirer, boire, manger, et… Enfin, plutôt que d'arrêter de vivre, il faut apprendre à nettoyer régulièrement l'intérieur de votre corps.
Pour détoxifier votre corps, il faut boire beaucoup d'eau pure et pratiquer le jeûne régulièrement.
Il y a aussi cette herbe qui n'a l'air de rien… mais qui est diablement efficace pour détoxifier le corps. Ce super-aliment, c'est l'herbe de blé. Ce sont des grains de blé dur germés puis mis en terre [2].
Prenez 92 minéraux et 18 acides aminés d'un coupL'herbe de blé embarque de nombreuses substances essentielles pour faire fonctionner votre corps et l’aider à se désencrasser :
- 92 minéraux (parmi les 118 existants)
- les vitamines A, B, C, et E
- 18 acides aminés – dont 8 essentiels
- enzymes digestives.
- 70 % de chlorophylle [2].
Redécouvrez la puissance de la chlorophylleC'est la substance active la plus remarquable de l'herbe de blé. La chlorophylle neutralise chimiquement les polluants accumulés dans votre corps. Elle agit directement en détoxifiant votre foie [1].
La chlorophylle renforce l'oxygénation du sang. Cela a pour effet d'anéantir les quantités de bactéries anaérobies qui ne supportent pas l'oxygène. Ainsi, le sang peut se régénérer.
Des études ont montré que la chlorophylle aidait à corriger le manque de fer sanguin (anémie). L'anémie est fréquente chez les femmes de plus de 30 ans et chez les hommes de plus de 50 ans. Elle se traduit par une fatigue chronique, et une perte d'appétit.
Par ailleurs, la chlorophylle neutralise les odeurs. Faites l'essai de manger de d'ail (c'est excellent pour la santé) puis 10 g de chlorophylle. Il paraît qu'en 20 minutes, votre haleine d'ail aura disparu !
La chlorophylle est un moyen efficace d'atténuer les fortes odeurs de corps :
- mauvaise haleine,
- menstruations
- urine,
- selles – la chlorophylle améliore directement la digestion, ce qui réduit les gaz et la constipation chronique.
Le Dr Chiu-Nan Lai, de l'Université du Texas a mené une expérience sur le jus d'herbe de blé : on observe que ce jus stoppe les mutations génétiques dans des cultures cellulaires. Cela pourrait faire du jus d’herbe de blé un traitement complémentaire du cancer [1].
Le Dr Wattenburg de l'Université du Minnesta a montré que des synergies se créent entre les substances actives des verdures comme l'herbe de blé. En effet, toujours dans ces cultures de laboratoire, elles se sont montrées plus efficaces contre le cancer qu'un cocktail artificiel réunissant ces mêmes substances actives [1].
Saviez-vous que votre foie est muet ?Le rôle de votre foie est capital. Il remplit 500 fonctions, entre la digestion, l'assimilation, la purification du sang (évacuation des substances toxiques), et la réorganisation des nutriments.
Pourtant votre foie est quasiment incapable de vous faire savoir lorsqu'il est en danger. 450 de ces fonctions pourraient être détruites sans que vous n'observiez de symptômes.
Autant dire qu'il sera souvent trop tard pour corriger les dysfonctionnements du foie.
Pour vous donner une idée des facteurs de risques… le foie est sensible aux irritants, aux super-microbes, et à l'accumulation de graisses [1].
L'herbe de blé est excellente pour redonner de la vitalité à votre foie. Elle contient de la choline, et du magnésium qui empêchent les dépôts de graisses.
8 acides aminés essentielsPlus haut, je vous expliquais que l'herbe de blé contient 18 acides aminés, dont 8 essentiels. Voici à quoi servent les 8 acides aminés essentiels :
- La valine – stimule le cerveau, et calme les nerfs
- Le tryptophane – enrichit les cheveux, la peau, et le sang,
- La méthionine – nettoie et régénère le foie et les reins
- La leucine – maintient la force des muscles
- La threonine – facilite la digestion
- La lysine – lutte contre le vieillissement
- La phénylalanine – aide la glande thyroïde
- L'isoleucine – elle pourrait améliorer la combustion des graisses par l'organisme [3].
3 signes que votre corps se détoxifieCeux qui font régulièrement des cures de détox savent que le corps est en pleine effervescence. Ainsi, pendant une cure de détox, il n’est pas rare d’avoir :
- nausées
- étourdissements
- suées
L'herbe de blé a l'air de rien, mais elle est très puissante. C’est pourquoi elle est déconseillée aux femmes enceintes.
Faites pousser votre herbe de bléVous pouvez la faire pousser vous-même, chez vous, en intérieur. C'est une solution intéressante si vous habitez dans un environnement sain (pas trop pollué) et que vous avez la main verte.
Plantez des graines germées dans un bac large et peu profond rempli de terreau. Arrosez généreusement tous les jours sans noyer les plants.
Attention, l'herbe de blé moisit facilement à la racine à cause de l'humidité. Pour y remédier, espacez vos plants pour que les pousses soient bien aérées [4].
Les 4 premiers jours, vous devez couper les pousses de la lumière en les recouvrant d'un bac de même taille.
Puis mettez-les à la lumière pour qu'elles verdissent. Il faut entre 7 et 14 jours pour que le sommet de la pousse se dédouble (comme une fourchette). C'est le moment pour récolter [5].
Comment consommer l'herbe de blé ?Il vaut mieux la consommer crue, immédiatement, car elle ne se conserve pas bien une fois coupée. Certains la congèlent.
Vous pouvez la mâcher, ou la presser pour en extraire le jus. Pour un résultat optimal, il vous faudra un extracteur à vis centrale [5]. Le goût très prononcé fait qu'il est difficile d'en boire beaucoup. C'est donc plutôt un élixir qu'un jus.
Il existe aussi de l'herbe de blé en poudre que l'on dilue dans un verre d'eau – ce qui produit un « jus d'herbe de blé ». C'est un produit répandu dans les magasins bio et les bars à jus. Vous verrez que les prix varient énormément en fonction de la qualité.
Certains s'injectent le jus d'herbe de blé directement dans le côlon – en lavement. Ainsi, la chlorophylle nettoie directement vos intestins.
Si vous cherchez une bonne source d'herbe de blé, rendez-vous ici. Ce producteur veille à ce qu'il s'écoule moins d'une heure entre la moisson des jeunes pousses et leur transformation en poudre à basse température. Ceci permet de préserver leurs vertus au maximum.
Bien à vous,
Eric Müller | 3 idées folles sur le sommeilTrois idées folles sur le sommeilCher lecteur, Mal dormir pose problème parce qu'en conséquence vous faites plus d'erreurs (confusion, oubli, accidents du travail et accidents de voiture), vous êtes plus irritable, et vous risquez plus de tomber malade. Surtout, mal dormir est désagréable. Il est donc bien compréhensible que les 20 % de la population qui souffrent d'insomnie, cherchent des solutions. Les industriels du médicament ne s'y sont pas trompés et se sont empressés, au début du 20e siècle d'inventer lesbarbituriques. Les barbituriques sont si efficaces qu'ils ne se contentent pas de vous endormir : souvent ils vous plongent directement dans le coma, avec hypothermie et insuffisance respiratoire. C'est donc le médicament idéal pour soigner non seulement l'insomnie, mais tous les autres problèmes de l'existence... définitivement. Ce « léger » inconvénient des barbituriques ayant fini par devenir visible, notamment avec le décès de Marilyn Monroe, les industriels ont inventé les benzodiazépines (Valium). Ces médicaments ont l'avantage sur les barbituriques d'avoir un antidote en cas de surdosage, le flumazénil. Le problème, c'est que le risque de « baisse de la vigilance » dont il est pudiquement fait état sur la notice, ressemble plus en réalité à une perte totale de votre contrôle sur vous-même. Vous devenez capable de faire ou d'accepter n'importe quoi et les pervers en tout genre n'ont pas tardé à s'apercevoir de cet « avantage », à tel point qu'on s'est mis à parler de « drogue du violeur ». Avantage supplémentaire (pour les criminels) : les benzodiazépines provoquent souvent une amnésie chez la victime. Bien entendu, comme pour tous les médicaments, il existe aujourd'hui des somnifères « de dernière génération », qui prétendument n'auraient pas les mêmes inconvénients que leurs prédécesseurs. Il ne s'agit là que d'un effet d’esbroufe marketing, digne du « vu à la télé » qui figure sur les dépliants des vendeurs de gadgets par correspondance. En réalité, malgré les louanges que vous trouverez au sujet de ces « nouveaux » somnifères sur Doctissimo et les autres sites de santé financés par l'industrie, ce sont, tout comme les benzodiazépines, des hypnotiques, qui entraînent les mêmes effets de perte de contrôle sur vous-même. Alors avant d'avaler ces dangereuses pilules, quelques réflexions de base sur le sommeil qui, j'espère, vous permettront de changer d'avis et d'aborder beaucoup plus sereinement vos problèmes d'insomnie. Idée folle n°1 : le nombre d'heures de sommeilComme pour les « heures de travail », les « heures de classe », ou les « heures de train », nous avons besoin aujourd'hui de savoir combien de temps doit durer notre sommeil. Cette façon de découper notre vie en tranches de saucisson calibrées ne correspond pas à nos besoins naturels. Demander combien de temps vous « devez » dormir est aussi absurde que de demander combien de calories vous devez manger : êtes-vous bûcheron dans le grand nord canadien, ou employé au service facturation de Peugeot-Citroën ? Dormir sert à se reposer d'une fatigue physique, intellectuelle, ou émotionnelle. Si vous passez la journée dans un canapé à regarder des jeux télévisés, il est tout-à-fait normal que votre besoin de dormir diminue. La presse cherche régulièrement à nous inquiéter en expliquant que la population a « perdu » en moyenne une ou deux heures de sommeil par rapport aux générations d'avant-guerre. Mais beaucoup de gens à l'époque travaillaient douze heures par jour aux champs, parfois plus ! Il est évident qu'ils avaient besoin de plus dormir. C'est aussi la raison pour laquelle « on dort moins quand on vieillit » : beaucoup de personnes rêvent de retrouver le sommeil qu'elles avaient lorsqu'elles étaient enfant. Mais la solution est très simple : il suffit, pendant toute une journée, de gigoter, sauter, crier, glisser, tomber, pleurer, rire, vous faire chatouiller, puis gronder, puis consoler, comme un petit enfant, et je vous garantis que vous dormirez mieux ce soir. L'expérience a d'ailleurs été menée aux Etats-Unis, où on a demandé à un basketteur professionnel de reproduire, à son échelle, les allées et venues d'un petit enfant en train de jouer dans un jardin. L'invincible sportif s'effondra au bout d'une heure et demie. A l'heure où je vous écris (8h30 du matin), je suis sorti de mon lit, je me suis fait un thé, et je me suis assis devant mon ordinateur. Mais mon petit Thomas a déjà eu le temps de : – faire une bataille de polochons au cours de laquelle il a cru mourir étouffé trois fois, chevauché par quatre enfants qui l'avaient enseveli sous une pile de couettes — ce qui l'a bien sûr fait hurler de rire ; – perdre, et retrouver, son ours, que son grand frère avait caché, ce qui nécessita de traverser la maison dans tous les sens, pendant vingt minutes, en larmes ; – se faire attraper par sa grand-mère puis se faire habiller de force, après une rapide course-poursuite qui s'est soldée par un dérapage (non-contrôlé) sur le parquet ; – tomber dans l'escalier ; – renverser son bol de chocolat dans la cuisine, dans un concert de cris ; – se faire déshabiller, puis rhabiller avec des vêtements propres, par sa maman ; – entamer un jeu de trappe-trappe, transformé en partie de foot, puis de cache-cache, qui se termina dans les pleurs ; – faire trois fois le tour de la maison en tracteur à pédales, en chantant très fort un air que je n'ai pas reconnu. Ce soir (s'il est toujours vivant), on ne s'étonnera pas qu'il dorme... comme un bébé. Idée folle n°2 : seul vaut le sommeil ininterrompuDe même que nous aimerions dormir toutes les nuits huit heures, nous avons ce fantasme du sommeil profond et ininterrompu, où plus rien n'existe autour de nous. Mais cela n'a jamais existé, à aucune époque, qu'une population entière s'endorme le soir, pour se réveiller, huit heures plus tard, fraîche et dispose. Au contraire, la règle a toujours été que les adultes se lèvent pendant la nuit, pour surveiller le campement, ranimer le feu, faire un tour de garde. La règle monastique de Saint-Benoît, écrite au 6e siècle, prévoyait un office religieux au milieu de la nuit, les matines, et on peut supposer que cela semblait naturel à l'époque d'avoir une activité entre deux et trois heures du matin. Réciproquement, la sieste a longtemps été une pratique généralisée, qui n'intervenait d'ailleurs pas non plus à heure fixe, mais plutôt lorsque l'occasion se présentait. C'est toujours le cas dans la majorité des pays tropicaux. Le problème actuellement, c'est que beaucoup de personnes croient qu'il est pathologique de se réveiller pendant la nuit : dès qu'elles ouvrent un œil, ou dès qu'elles ont conscience d'être réveillées, leur première idée et de se dire : « Catastrophe, ça y est, je ne dors plus ! » Commence alors un épisode de « pensée pop-corn » où les idées noires surgissent les unes après les autres dans le cerveau, provoquant angoisse, sensation de désespoir... et impossibilité de se rendormir. Les conséquences d'un court réveil ne seraient évidemment pas les mêmes si vous pouviez vous convaincre qu'il est normal de vous réveiller plusieurs fois par nuit, pour réajuster vos draps ou votre oreiller, ou même pour aller aux toilettes, et que cela n'empêche pas de se rendormir. Ceci parce que l'état de conscience dans lequel vous êtes la nuit, y compris pour rejoindre la salle de bain, n'est pas du tout le même que lors d'une discussion endiablée, par exemple. Votre rythme cardiaque, votre respiration, votre température corporelle sont beaucoup plus proche du sommeil que de l'éveil. Idée folle n°3 : il faut « rattraper son sommeil »Vous ne pouvez pas plus stocker de sommeil que vous ne pouvez stocker de l'oxygène. Il est devenu courant dans notre société que les gens dorment trop peu la semaine, et cherchent à se rattraper le week-end en faisant la grasse-matinée. On considère même ça comme un plaisir délicieux. Mais c'est exactement comme si vous jeûniez la semaine, pour vous gaver de nourriture chaque dimanche : votre corps n'apprécierait pas. Bien entendu, vous pouvez vous reposer en fin de semaine, si vous êtes fatigué, mais vous en payerez un prix : votre cycle circadien, c'est-à-dire votre horloge biologique interne, se déréglera, et vous aurez plus de mal encore pendant la semaine à dormir comme vous le souhaitez. De plus, ce que font la plupart des gens le week-end n'est pas réellement de faire de bonnes nuits de sommeil réparatrices, mais de se coucher tard pour se lever encore plus tard. Cela perturbe votre pauvre cerveau, qui a l'impression qu'il change de saison, ou qu'il subit un décalage horaire. Vous l'avez compris : la solution n'est pas de vous rattraper pendant le week-end ou les vacances, mais au contraire de retrouver un rythme normal quotidien, qui vous permettra de vous sentir de plus en plus en forme. ConclusionVotre objectif en terme de sommeil doit simplement être de dormir assez pour vous sentir énergique toute la journée, sans stimulation artificielle (sucre, caféine, tabac...), à l'exception d'une sieste. J'invite par ailleurs les personnes qui ne l'ont pas encore fait à s'abonner à nos Dossiers de Santé & Nutrition mensuels. Nous avons publié un excellent numéro, sur les moyens naturels de retrouver le sommeil, que vous recevrez gratuitement, en prime, entre bien d'autres choses, si vous vous abonnez aujourd'hui. Vous y trouverez les méthodes, les produits, les trucs qui marchent et ceux qui ne valent même pas la peine d'essayer. Pour vous abonner directement, visitez la page ici. Pour en savoir plus sur les Dossiers de Santé & Nutrition, rendez-vous ici. A votre santé ! Jean-Marc Dupuis Ninnenne
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