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| Pensez à votre santé (un peu de tout) | |
| | Auteur | Message |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Pensez à votre santé (un peu de tout) Mar 25 Oct - 13:16 | |
| 5 remèdes naturels contre la bronchiteLa bronchite est une maladie de l'appareil respiratoire très fréquente : au cours de sa vie, un individu risque d'en être atteint au moins une fois. Cette inflammation des bronches, des conduits qui mènent l'air inspiré de la trachée aux poumons, se divise en deux types : la bronchite aiguë et la bronchite chronique. La première dure généralement de 2 à 3 semaines alors que la seconde peut persister durant plus de 3 mois par année. La toux, l'expectoration de mucus ainsi que certains autres symptômes de cette maladie peuvent être apaisés par des remèdes naturels.Le géranium du CapOriginaire de l’Afrique du Sud, le géranium du Cap est une plante largement utilisée pour lutter contre les maladies de l’appareil respiratoire. En 2008, les résultats d’une étude clinique réalisée auprès de 217 participants ont démontré qu’un extrait liquide de géranium du Cap (EPs 7630) a été plus efficace pour traiter la bronchite qu’un placebo1. Les patients traités à partir de l’EPs 7630 ont connu une amélioration marquée des principaux symptômes liés à la bronchite aiguë : toux, crachats, enrouements, maux de tête, fatigue et fièvre, dans les 7 jours suivant le traitement. Posologie :
- Un adulte doit prendre 30 gouttes de l’extrait standardisé EPs 7630, 3 fois par jour. La dose doit être diminuée si elle est administrée à un enfant. Dans ce cas, il faut suivre les informations du fabricant.
Le thymCombiné à la racine de primevère officinale, le thym serait efficace pour réduire modérément la durée et l’intensité des symptômes de la bronchite. En 2007, 361 patients ont participé à une étude clinique dont les conclusions confirment la supériorité de la combinaison thym et primevère par rapport à un placebo1. Sur une période de 11 jours, les quintes de toux ont diminué plus rapidement chez les participants soignés avec l’extrait de thym et de primevère. Posologie :
- Infusion. Infuser de 1 g à 2 g de plante séchée dans 150 ml d'eau bouillante durant 10 minutes. Boire plusieurs tasses par jour, au besoin.
- Extrait fluide (1:1, feuilles fraîches ou 1 :4, feuilles séchées). Prendre de 20 à 40 gouttes, diluées dans de l’eau ou du jus, 3 fois par jour.
- Teinture (1:10 éthanol à 70 %). Prendre de 20 à 40 gouttes, diluées dans de l'eau ou du jus, de 1 à 3 fois par jour.
Le lierre grimpantUtilisé depuis de nombreuses décennies dans un cadre médicinal, le lierre grimpant est reconnu depuis 1988 par la Commission E allemande pour le traitement des infections et des inflammations des voies respiratoires, de même que les symptômes de la bronchite chronique. Quelques essais cliniques ont permis de conclure à l’efficacité possible de cette plante à soulager les symptômes des bronchites aiguës et chroniques, notamment en augmentant l’apport d’air dans les poumons et en réduisant les excès de toux. Posologie :
- Infusion. Infuser 1 c. à thé comble (0,3 g) de feuilles séchées dans 150 ml d'eau bouillante durant dix minutes. Boire jusqu'à trois tasses par jour.
- Capsules de poudre de feuilles séchées. Prendre l'équivalent de 300 mg de poudre par jour.
- Extrait fluide (1:1). Prendre 0,3 ml par jour.
- Teinture (1:5). Prendre 1,5 ml par jour.
- Extraits normalisés. On trouve aujourd’hui des extraits normalisés de feuilles séchées de lierre grimpant, souvent incorporés à des sirops qui peuvent renfermer d’autres ingrédients actifs. Suivre les indications du fabricant.
- Enfants. Réduire de moitié les dosages qui précèdent.
L'eucalyptusL’usage de l’eucalyptus, autant par voie interne que par voie externe, est approuvé par la Commission E allemande et par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les propriétés médicinales de cette plante sont, selon les chercheurs, principalement attribuables à l’eucalyptol, ou cinéole, que renferment ses feuilles. L’huile essentielle en serait d’ailleurs composée de 70 % à 85 %. Deux études cliniques ont donné de bons résultats quant à la diminution de la toux et des expectorations chez les patients atteints de bronchite chronique1-2. Posologie : Par voie interne
- Infusion. Infuser de 2 g à 3 g de feuilles séchées dans 150 ml d'eau bouillante durant 10 minutes. Boire deux tasses par jour.
- Teinture (1:5). Prendre de 10 ml à 15 ml, deux fois par jour.
- Extrait fluide (1:1). Prendre de 2 ml à 3 ml, deux fois par jour.
- Huile essentielle. Prendre de 0,3 ml à 0,6 ml par jour (de 2 à 6 gouttes). Consulter unaromathérapeute qualifié avant de prendre de l'huile essentielle d'eucalyptus par voie interne. Ne pas administrer aux jeunes enfants ni aux femmes enceintes.
- Inhalation. Se servir d'un diffuseur, ou verser de 4 à 6 gouttes d'huile essentielle dans 150 ml d'eau bouillante. Se couvrir la tête d'une serviette et inhaler les vapeurs de la préparation. Répéter jusqu'à trois fois par jour.
Par voie externe
- Friction. Verser de 15 à 20 gouttes d'huile essentielle dans 25 ml d'huile végétale et frictionner la poitrine avec ce liniment, trois fois par jour.
La réglisseL’herboristerie traditionnelle européenne attribue un effet adoucissant à la réglisse. L’usage de cette racine, d’ailleurs reconnu par la Commission E allemande, a donc pour effet d’apaiser la douleur liée à l’inflammation des bronches. De plus, la réglisse contient de la glycyrrhizine, une substance dont l’efficacité à combattre de nombreux virus a été démontrée par des études in vitro1. Son action stimulante sur le système immunitaire contribuerait à lutter contre les infections des voies respiratoires telles que la bronchite chronique. Posologie :
- Racines séchées. De 5 g à 15 g par jour, répartis en 3 fois dans la journée. Prendre après chaque repas sous forme de poudre, d’infusion ou de décoction (de 2 g à 5 g dans 150 ml d'eau). On considère généralement que la racine séchée contient 4 % de glycyrrhizine.
- Extrait total liquide 1:1 (g/ml). De 2 ml à 4 ml, 3 fois par jour, après les repas.
- Extrait total sec 6:1 (g/g). De 330 mg à 800 mg, 3 fois par jour, après les repas.
Tous les articles que je poste proviennent de "passeportsanté.net" Ninnenne
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout) Mar 25 Oct - 13:47 | |
| Santé contre l’hiver, c’est maintenant !Chère amie, cher ami, Mieux vaut prévenir que guérir dit l’adage ! Nombre de personnes qui se protègent en octobre et novembre passent un hiver plus paisible. Mon conseil : n’attendez pas. Chez les enfants, même les tout-petits, rien de mieux que de se mettre aux oligo-éléments dès octobre :
- Une dosette de Cu-Or-Argent au réveil cinq à six jours sur sept ;
- Une ampoule de Mn-Cu (Manganèse+ cuivre) en même temps, au moins trois fois par semaine.
Je ne suis pas certain que la prise de vitamine C raccourcisse la durée des affections. Mais je suis sûr qu’elle contribue grandement à les prévenir. Prenez l’habitude de remplacer le jus d’orange matinal, même « maison », par une dose de 1/4 à 1 cuillère à café de vitamine C naturelle en poudre en fonction du poids et de l’âge. Mais c’est surtout la diététique qui est protectrice chez les enfants. Je ne suis pas le seul à m’effrayer de la composition de leur petit déjeuner… quand ils en prennent un ! Ce sujet est si brûlant que j’y consacrerai d’ailleurs une lettre complète prochainement. La première des préventions concernant les maladies infantiles devrait consister à s’assurer que nos enfants consomment un minimum de protéines et un minimum de sucres. Cette seule recommandation associée à la prise d’oligo-éléments, de vitamine C, parfois de quelques milligrammes de zinc (et à défaut d’un complément multivitaminé et multi minéral « naturel ») contribue à les aider à passer un hiver en paix. Vitamine C : ce que vous ne saviez pasChez les adultes, je préconise des doses au moins biquotidiennes de 500 à 1500 milligrammes de vitamine C à « Action prolongée » et j’en profite pour vous dire que, contrairement à un mythe qui a la vie dure, la vitamine C n’empêche pas de dormir [1]. A deux conditions :
- Préférez les formes dite « AP » pour « Action Prolongée » et surtout prenez au moins deux prises dans la journée. En cas d’infection hivernale et en complément d’autres traitements il m’arrive d’en recommander, temporairement, un comprimé à 500 ou 750 milligrammes toutes les heures.
- Ne pas être en insuffisance surrénale. Dans ce cas, la vitamine C peut effectivement donner un « coup de fouet » et il est mieux d’éviter de la prendre après 17 heures.
La vitamine C est une vitamine hydrosoluble c’est-à-dire qu’elle s’élimine très vite dans l’urine. Toute ma vie j’ai entendu de longs et doctes débats du type : « Inutile de prendre de fortes doses, vous les retrouverez dans les urines ! » Un argument qui tombe si l’on prend des doses suffisamment rapprochées tout au long de la journée. Il n’est pas certain que la vitamine C de synthèse (acide ascorbique), beaucoup moins chère, soit moins efficace que la vitamine C « naturelle », chère et fragile. Il est probable que certains produits à base d’Acerola non transformé (donc naturel au sens propre du mot) soient, avec la conservation et le temps, beaucoup moins dosés que ce que l’on peut attendre. Souvenons-nous que l’être humain est un mammifère qui ne synthétise pas la vitamine C. Elle doit donc être apportée dans l’alimentation. Mais quand on observe les habitudes alimentaires contemporaines, et surtout la mauvaise qualité et le niveau de pollution de certains fruits et légumes, on doit s’interroger sur la nécessité d’une supplémentation. Je vous renvoie vers les articles, anciens mais toujours d’actualité, du Professeur Pauling, ainsi qu’à un excellent article de Thierry Souccar. Et pour en savoir plus sur la vitamine C, je vous renvoie également à mon petit ouvrage toujours disponible des Editions Jouvence, « Vitamine C pour tous et pour la Vie ». Vous y verrez que non seulement le tabac, la pollution, le stress, l’infection augmentent notre besoin en vitamine C, mais également de nombreux médicaments et même la pilule contraceptive. Et surtout qu’un apport optimum ou mieux « orthomoléculaire » de vitamine C est indispensable à la synthèse du collagène, cette substance que l’on trouve dans tous nos tissus, à commencer par nos vaisseaux sanguins. Quels que soient notre besoin et notre éventuelle supplémentation, privilégions la consommation d’aliments riches en vitamine C à condition qu’ils ne soient pas trop industrialisés ni, surtout, conservés depuis trop longtemps dans notre réfrigérateur. Je recommande le cassis (prenez du jus), le poivron, le persil que j’ajoute systématiquement, le citron et son zeste, le kiwi, le raifort, le radis noir, les fruits rouges en général, le cerfeuil, les épinards… La vitamine D oui, mais la D3 !Une autre vitamine a bien entendu toute son importance dans la prévention des problèmes hivernaux et vous la connaissez tous : c’est la vitamine D. Il y a quelques années, on s’est rendu compte que beaucoup de personnes, indépendamment de leur habitat et de l’ensoleillement dont ils bénéficient, présentaient des taux biologiques de vitamine D au-dessous des normales recommandées [2]. Le corps médical a toujours considéré qu’une supplémentation en vitamine D (en particulier chez le nourrisson) était indispensable et qu’elle jouait un rôle fondamental dans la synthèse osseuse et dans la prévention de l’ostéoporose. De nombreux articles ont exprimé qu’un bon statut en vitamine D pouvait avoir des actions très positives sur l’immunité, la prévention des maladies cardio-vasculaires et même certains cancers. Je vous renvoie à mon blog personnel sur lequel j’essaye de résumer et citer ces articles. Puis vint la contre-attaque : l’Assurance Maladie déremboursa l’analyse biologique, sauf dans certains cas particuliers. Une décision qui ne fut pas appréciée de tout le monde [3] ! Simultanément, certains allèrent jusqu’à parler de « charlatanisme » des prescripteurs de vitamine D ! Je pense que les années à venir permettront de clarifier la situation. En attendant, je conseille une supplémentation raisonnable et raisonnée, en fonction de chaque cas et de chaque bilan. Contrairement à un autre mythe propagé par ses détracteurs, la vitamine D aux doses habituellement utilisées n’est pas toxique [4] ! Qu’il y ait un risque potentiel, pourquoi pas, il suffit simplement, pour l’éviter, de ne pas faire seul et sans dosage n’importe quelle supplémentation. En réalité c’est la vitamine D3 qui est efficace. On peut la trouver en pharmacie (en principe sur ordonnance et donc remboursable) ou dans des magasins spécialisés ou sur Internet. Dans tous les cas évitez les doses fortes à prendre une fois par mois. Celles-ci peuvent saturer vos capacités d’absorption et créer des pics de concentrations. Préférez des doses faibles mais quotidiennes, à gérer en fonction de votre propre dosage biologique. N'oubliez pas de consommer des petits poissons gras, dont le hareng riche en vitamine D (plutôt que le saumon [5]), la truite sauvage, des œufs [6], du foie de veau biologique et certains champignons qui apportent en plus de nombreuses vitamines B. Dans tous les cas il faut varier les aliments afin de ne pas risquer d’aggraver une pollution par métaux lourds et pesticides. Personnellement je recommande une supplémentation dès octobre, jusqu’en juin. Avec la vitamine C, cette supplémentation diminuera la fréquence de vos affections hivernales. Mais il y a encore un autre acteur indispensable : le zinc ! Le zinc, acteur clé de l’immunité !On a l’habitude de dire que le zinc intervient dans plus de 200 systèmes enzymatiques. Je ne les ai pas exactement comptés (!) mais il est certain qu’il est un cofacteur indispensable des enzymes régulant le stress oxydant dont la « Super Oxyde Dismutase » qui nécessite également de bons apports en cuivre et manganèse. Cette enzyme permet de réguler d’importantes réactions inflammatoires de défense. Je pense que l’analyse biologique du taux de zinc est indispensable à plus d’un titre. C’est le « zinc sur sang total » qui semble le meilleur reflet du taux réel de zinc dans l’organisme. Il peut être réalisé à peu de frais dans n’importe quel laboratoire de France :
- Le taux de zinc est beaucoup plus élevé chez les jeunes que chez les personnes âgées. Cela me permet de penser que le taux plasmatique de zinc pourrait être considéré comme « marqueur » biologique du vieillissement. Plus précisément le déficit en zinc induit et favorise la déméthylation [7], un mécanisme important du vieillissement et du risque d’apparition de maladies chroniques liées à l’âge. On sait, de même, que le zinc est impliqué dans la synthèse de l’ADN, donc la « réparation » des chromosomes et en conséquence la prévention de certains cancers.
- Chez les enfants allergiques ou souffrant de fréquentes affections saisonnières il semble plus bas que la moyenne ;
- Les apports diététiques [8] ne sont pas toujours faciles : beaucoup de gens ne consomment ni fruits de mer, ni crustacés, ni foie de veau, ni pain de seigle ou de froment, ni viande, ni fromages, ni levures alimentaires, trop peu de légumineuses et supportent ou absorbent mal, du fait d’intolérances, les céréales complètes….
- On dit que certains métaux lourds toxiques comme le plomb ou le mercure pourraient prendre sa place dans les métabolismes. Le taux de zinc plasmatique pourrait-il être un « marqueur de pollution » ?
Il semble que les abus de café et d’alcool peuvent gêner l’absorption du zinc et son métabolisme et que les végétariens en soient plus souvent déficitaires que les omnivores. Il est facile de se supplémenter en zinc. Je préfère, pour les apports de longue durée, le bisglycinate de zinc. En cas de troubles passagers de l’immunité, on pourrait préférer le gluconate de zinc que l’on trouve dans toutes les pharmacies. En tous cas n’oubliez pas « d’accompagner » vitamines C, D et Zinc, d’une alimentation diversifiée avec, si besoin, un complément multivitaminé et multi minéraux le matin au petit déjeuner. Des compléments… et des réflexes qui ne vous coûteront rienD’autres compléments alimentaires, souvent présents dans des formules destinées à l’accompagnement des traitements des infections ORL et des sinus peuvent être proposés. Les deux principaux sont :
- La Quercétine, un flavonoïde [9] contenu dans de nombreux fruits et légumes colorés. Elle a une action proche de la vitamine C. Ses propriétés antiallergiques et antiinflammatoires sont d’autant plus réelles que les taux de zinc sont corrects. Je la recommande donc systématiquement, en complément de la vitamine C en cas d’allergie. N’hésitez pas à en prendre en deux ou trois prises 1000 à 1500 milligrammes par jour ;
- L’extrait de Pin des Landes ou Pycnogénol est un bon anti allergique, antihistaminique mais c’est un supplément relativement cher qui peut être réservé aux inflammations constituées.
- L’extrait standardisé d’Echinacée est bien connu pour ses propriétés préventives et curatives en cas d’infection et plus particulièrement d’infections de la gorge ou ORL. Rien ne vous empêche de faire une petite cure vers le début du mois d’octobre quand la température commence à baisser.
Quels autres « réflexes anti-hiver » adopter ? Je vais peut-être vous surprendre…
- Tout d’abord, en période de risque d’affection hivernale (et même pendant) buvez un maximum de thé vert. Les Orientaux connaissent bien les propriétés antivirales du thé vert. Encore faut-il bien choisir un thé vert de qualité de préférence d’origine japonaise et bien savoir le préparer.
- L’hydratation de votre lieu de vie et la vôtre sont également importants : n’hésitez pas à placer deshumidificateurs sur vos radiateurs et à boire un maximum en respectant votre soif.
- Adeptes d’huiles essentielles, utilisez celles que l’on trouve pratiquement dans toutes les pharmacies (cannelle, girofle, romarin, menthe poivrée, lavande, sapin, serpolet). Pour ma part, la seule menthe poivrée me paraît déjà très efficace.
- On se moque parfois (j’espère gentiment) des Asiatiques que l’on voit déambuler dans la rue avec desmasques en papier. Mais ont-ils tout à fait tort ? Il n’y a rien de plus facile, en période d’épidémie, que de mettre sur ces masques quelques gouttes de ce type de mélange d’huiles essentielles et, au-dessus des lèvres plusieurs fois par jour.
- N’hésitez pas à vous reposer quand vous vous sentez fatigué(e) en période automnale. Couchez-vous dès que vous avez sommeil et évitez les chambres surchauffées : il vaut mieux dormir sous une bonne couette que d’augmenter le chauffage !
- Ayez toujours chez vous un spray à la propolis. Il est efficace contre les maux de gorge, même si son utilisation peut avoir des effets indirects sur le nez et les sinus.
- De même, si vous avez de l’huile de coco vierge, n’hésitez pas à en faire fondre une cuillère à café plusieurs fois par jour et à bien respirer l’odeur.
Ces quelques gestes simples, juste avant le changement de saison, vous permettront de faire nombre d’économies de mouchoirs en papier… et vous éviteront, à votre tour, de répandre des virus ! Surveillez bien votre boîte aux lettres A très bientôt Dr Dominique Rueff Ninnenne
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout) Mer 26 Oct - 13:16 | |
| [size=39]10 bonnes raisons d'arrêter le Nutella[/size] Le Nutella, c'est vraiment le pêché mignon de nombreux Français... Et ça se comprend : que l'on soit fan de pâte à tartiner ou pas, son petit goût chocolaté a vraiment de quoi affoler nos papilles. Mais ces dernières années, le Nutella a été au cœur de nombreuses et vives polémiques, qui mettaient aussi bien en cause sa fabrication que sa composition. Voici, selon ses détracteurs, 10 bonnes raisons d'arrêter le Nutella.
[list="box-sizing: border-box;"] [*] Parce qu'il n'y a pas que le Nutella dans la vie[/list] [size] C'est sûr : le Nutella, c'est LA pâte à tartiner du petit-déjeuner et du goûter de nombreux Français (et petits et grands à travers le monde). Mais bon, dans le rayon « petit-déjeuner » du supermarché, ô, surprise, il y en a plein d'autres... Et peut-être même meilleures !Retrouvez toutes nos recettes à tartiner. [/size][list=2] [*] Parce qu'il éclipse trop les autres composants du petit-déjeuner[/list] [size] Quelle maman n'a jamais vécu de catastrophe le matin au moment du petit-déjeuner des enfants parce que le pot de Nutella était vide ? Oups : à force d'en manger continuellement, nos enfants en ont presque oublié l'existence des fruits, des yaourts et des céréales... Il est temps que ça change ![/size][list=3] [*] Parce qu'en France, on en mange trop[/list] [size] La France, au vu du nombre de ses habitants, ne compte même pas 1% de la population mondiale. Et pourtant, elle représente 26% de la consommation mondiale de Nutella par an... soit à peu près 84 000 tonnes. Ça laisse sans voix ![/size][list=4] [*] Parce que c'est hyper-gras[/list] [size] Le principal ingrédient du Nutella, contrairement à ce que l'on voit dans la pub, ce ne sont pas les noisettes fraîches... mais plutôt le sucre raffiné. Eh oui : 100 grammes de Nutella, ça représente pas moins de 530 calories. Soit deux fois plus qu'un Big Mac ![/size][list=5] [*] Et ce n'est même pas du vrai sucre ![/list] [size] Pour fabriquer du Nutella à moindres frais, les industriels misent sur du sucre de betterave génétiquement modifié (appétissant, n'est-ce pas ?), bien moins cher que le sucre raffiné classique. Petit bémol : à terme, ce sucre modifié peut entraîner des problèmes de foie, de reins, des troubles digestifs et du diabète. Aïe.[/size][list=6] [*] Parce que c'est mauvais pour la planète[/list] [size] S'il y a quelques mois de cela, Ségolène Royal avait affirmé un peu maladroitement à la télé qu'il fallait arrêter le Nutella, cela partait d'une bonne intention : dénoncer les conditions d'extraction souvent très peu écologiques de l'huile de palme, l'un des composants phares du Nutella. Participer à la déforestation dès le petit-déjeuner, non merci ![/size][list=7] [*] Parce que ce n'est pas sain[/list] [size] Si dès que l'on a trempé notre cuillère dans le pot de Nutella on a du mal à la reposer, ce n'est peut-être pas juste en raison de son bon petit goût... mais sans doute parce que le Nutella contient de la vanilline, un arôme artificiel qui est réputé pour créer des pics d'insuline énormes dans l'organisme. Du coup, peu après avoir mangé du Nutella, on a envie de sucre, et on retourne plonger la cuillère dans le pot ![/size][list=8] [*] Parce qu'il contient d'autres produits dont il faut se méfier[/list] [size] Comme par exemple la lécithine de soja, un émulsifiant qui lui donne sa texture si onctueuse... Seul hic : ce produit est en quelques sortes un déchet de l'huile de soja, dont la production est souvent génétiquement modifiée. Ce qui peut engendrer des problèmes de fertilité, des faiblesses immunitaires et des allergies.[/size][list=9] [*] Parce que même si Ferrero a changé son fusil d'épaules...[/list] [size] Certes, le groupe Ferrero a fait des efforts au niveau de la production de l'huile de palme, qui est devenue plus durable et moins agressive pour l'environnement. Mais n'empêche : des pâtes à tartiner sans huile de palme mais avec de l'huile de tournesol, ça existe !Découvrez la solution Croq'Kilos : des menus brûle-graisses, personnalisables à sa guise et réalisés par des diététiciennes. [/size][list=10] [*] Parce qu'on peut le faire soi-même [/list] [size] Et là, pour le coup, on utilisera des vraies noisettes, du bon lait écrémé, du chocolat de notre choix, et pas trop de sucre. Faire son Nutella maison, c'est finalement la meilleure façon de pouvoir continuer à en manger sans mettre notre santé ou la planète en danger ! Alissa Brissat Ninnenne En savoir plus sur http://www.fourchette-et-bikini.fr/sante/10-bonnes-raisons-darreter-le-nutella-43136.html#2uODUHKlxIW5doWz.99En savoir plus sur http://www.fourchette-et-bikini.fr/sante/10-bonnes-raisons-darreter-le-nutella-43136.html#2uODUHKlxIW5doWz.99[/size] | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout) Dim 30 Oct - 14:32 | |
| Incontinence urinaire : quels sports privilégier ?Il est bien connu que la pratique régulière d'une activité physique permet de se maintenir en bonne santé et de prévenir des dizaines de pathologies liées ou non à l'âge (cancers, maladies cardiovasculaires, diabète, bronchopathies chroniques obstructives, obésité, maladies neurologiques, rhumatismales et dégénératives, anxiété, dépression…). Il y en a pourtant une qui échappe aux mailles du filet : l'incontinence urinaire. Au contraire, la pratique sportive pourrait même la favoriser. Quelles activités choisir pour réduire les risques ? Les muscles du plancher pelvien se contractent plus volontiers lors de l’éternuement, de la toux ou d’autres efforts comme la course, les sauts, les démarrages rapides. Cela est dû principalement à l’augmentation brutale de la pression intra-abdominale. Cette contraction inopinée conduit parfois à l’incontinence urinaire, qui se définit selon l’International Continence Society (ICS) par « la plainte de toute fuite involontaire d’urine »1. Ce type d’incontinence urinaire peut survenir dès l’âge de 15 ans, pendant les cours d’éducation physique à l’école : près de la moitié des femmes reconnaissent avoir présenté des fuites urinaires lors de leur pratique sportive2. Le risque serait cependant variable en fonction du sport pratiqué. Lors de la course à pied ou du saut en hauteur par exemple, la pression de la pesanteur s’exerce sur le plancher pelvien, et ce d’autant plus que la musculature abdominale est tonique. Les exercices physiques qui occasionnent des sauts répétés ajoutent une pression supplémentaire pouvant être multipliée par 10. C’est donc le déséquilibre entre une sangle abdominale trop puissante par rapport à un plancher périnéal trop peu musclé qui favorise les fuites d’effort, et non pas les. Personne ne devrait pratiquer d’exercices abdominaux de façon intense sans exercices de renforcement de la musculature périnéale3, 4. Quels sports choisir ? Si les déséquilibres entre la paroi abdominale et le plancher périnéal sont résolues, toute activité physique est possible. Néanmoins, il arrive souvent que l’incontinence urinaire résulte de plusieurs facteurs différents (liés aux médicaments, à la grossesse ou à l’âge par exemple). Pour les personnes déjà à risque, il est des sports plus recommandables que d’autres.
La prévalence des fuites chez la femme sportive oscille entre 0 % pour le golf et 80 % pour le trampoline. A partir d’une synthèse de plusieurs études, on peut classer les différentes activités sportives en 3 catégories : Sports à hauts risques
- trampoline
- gymnastique acrobatique
- aérobic
- athlétisme (sauts de haies, en hauteur, triple saut)
- équitation
- basket-ball
- handball
- course à pied
- arts martiaux
- volley-ball
- badminton
- danse
- aérobic
- saut en hauteur, saut en longueur
[size] Sports à risque modéré[/size]
- tennis
- ski
- skateboard
- hockey
- grande randonnée
- yoga
[size] Sports à risque faible[/size]
- marche
- natation
- cyclisme
- golf
- roller
[size] Le risque d’incontinence urinaire dépend du sport mais également du niveau d’intensité de la pratique. Des chercheurs ont montré que le niveau d’activité moyen jouait dans la survenue de l’incontinence : chez des étudiantes lors des cours d’éducation physique, le risque était plus important chez les étudiantes pratiquant une activité sportive en dehors de l’école8. Les fuites surviennentmajoritairement en deuxième partie de séance ou de compétition, ce qui témoignerait d’une certainefatigabilité du périnée à l’effort9. Que les sportives de haut niveau se rassurent ! Plusieurs chercheurs ont également montré que la pratique d’un sport de haut niveau, et a fortiori d’un sport à risque élevé, n’augmentait pas significativement le risque de développement d’une incontinence à long terme10.En revanche, plus l’âge augmente, plus le risque de connaître un épisode d’incontinence lié à l’effort augmente. 50 % des femmes de plus de 65 ans reconnaissent avoir un tel épisode en cas de pratique à risque. L’accouchement par voie vaginale et le poids de naissance des enfants sont également liés à ce risque : les sportives ayant plus de 3 enfants sont plus sujettes que celles n’ayant qu’un enfant11.Enfin, les jeunes sportives qui chercheraient à associer activité physique intensive et restriction calorique pour des soucis de silhouette, doivent savoir que le risque s’en trouble considérablement augmenté. Ninnenne [/size] | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout) Mer 2 Nov - 13:04 | |
| 5 aliments que vous mangez de la mauvaise façon
Et si vos habitudes n'étaient pas les bonnes ? SOUMIS PAR MARINE.FOURCHET... LE JEU, 09/08/2016 - 16:29
[size=24][size=24]Santé[/size][/size] image: http://www.fourchette-et-bikini.fr/sites/default/files/styles/full_670x350/public/shutterstock_311545625_1.jpg?itok=vx6vMLZt [size][size] [/size] [/size] ous connaissez probablement l’importance de manger équilibré et de varier son alimentation. Cependant, même si certains aliments sont réputés “bons pour la santé”, il se pourrait qu’on ne les consomme pas de la manière la plus opportune pour bénéficier de leurs bienfaits. Solenne, diététicienne Dietbon, nous conseille sur le sujet. 1.Les pâtes Les pâtes et le sport, ça va ensemble, c’est ce que beaucoup pense en tout cas ! Combien de fois avons nous dit ou entendu “mange des pâtes ce soir, tu as sport demain”. Oui les pâtes sont des féculents, composées de glucides complexes dont l’énergie est diffusée à moyen et long terme. Il est donc intéressant d’en consommer quelques heures avant un effort physique. Cependant, saviez-vous que les pâtes blanches possède un Index Glycémique plus élevé que les pâtes complètes ? Et c’est index glycémique augmente d’autant plus que l’on cuit les pâtes longtemps. En résumé, préférez-les complètes ou semi-complètes, et al-dente plutôt que fondantes. Une question à nos diététiciennes ? Rejoignez notre groupe d'entraide. 2. Les fruits et légumes Eplucher une nectarine, cuire des carottes à l’eau… autant de gestes habituels qui ne sont pas forcément recommandables.Pour profiter pleinement des vertus vitaminiques et minérales des fruits et des légumes, il semble en effet préférable de ne pas les éplucher, la majorité des micro-nutriments étant localisés dans la peau des fruits ou juste en dessous. De même pour s’assurer un maximum de vitamines et de minéraux, il s’agit de ne pas conserver trop longtemps les produits au réfrigérateur et de les cuire à la vapeur ou avec une cuisson courte et peu agressive comme le wok par exemple. 3. Les laitages Vider le “petit lait” de son yaourt dans l’assiette, enlever soigneusement la croûte de son fromage, des pratiques évidentes et qui pourtant ne nous offrent pas le meilleur des aliments. Le “petit lait” par exemple, dont le vrai nom est le lactosérum, s’avère une substance particulièrement riche en acides-aminés essentiels. De son côté, la croûte du fromage demeure la partie la plus riche en calcium, comme la partie du fromage proche de la croûte. 4. L’huile Seules certaines huiles peuvent être cuites. D’autres ne doivent pas être chauffées et seront à utiliser crues, en assaisonnement. Pensez toujours à vérifier le type d’utilisation d’une huile avant de la consommer. D’autre part, contrairement à une certaine idée reçue, l’huile d’olive n’est pas moins grasse que les autres huiles, et à ce titre, ne peut pas être consommée à volonté. 5. Le pain Le pain est classé dans la famille alimentaire des “féculents”. Pourtant sa teneur en calories demeure éloignée de celle des autres féculents comme le riz, les pâtes ou la semoule. Ainsi on peut consommer 40 g de pain à la place de 100 g de féculents cuits. Tous les pains ne se valent pas. En effet les pain industriels seront enrichis en sucre, matière grasse voir additifs. Les pains blancs, issus de farine raffinée auront un IG plus haut. Enfin les pains sont désormais majoritairement préparés à base de levure et non de levain. La pâte, plus aérée, a malheureusement comme conséquences, une digestion plus difficile et des ballonnements fréquents. Enfin, c’est souvent ce que l’on dépose sur le pain qui “fait grossir”, à savoir une barre de chocolat, du beurre, de la confiture, du pâté etc., et non le pain à proprement parlé. Ninnenne En savoir plus sur http://www.fourchette-et-bikini.fr/sante/5-aliments-que-vous-mangez-de-la-mauvaise-facon-45829.html#Li1tP922wkW2fl4Z.99 | |
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