bébés tigres congelés
Des bébés tigres congelés trouvés au temple bouddhiste
Des dizaines de bébés tigres congelés ont été découverts dans des congélateurs lors d'une perquisition au "temple aux tigres", qui doit être évacué.
"Nous avons trouvé 40 bébés tigres aujourd'hui, morts un ou deux jours après leur naissance. On ne sait pas à quand remonte leur décès", a déclaré le colonel de police Bandith Meungsukhum. Sortis des congélateurs où ils ont été découverts, les petits corps ont été exposés sur une couverture posée au sol.
Le département des parcs nationaux de Thaîlande a annoncé qu'il portera plainte contre les responsables du temple bouddhiste pour "conservation illégale de cadavre d'animaux. Mais cette découverte ne fait que renforcer les lourds soupçons de maltraitance et de trafic d'animaux sauvages qui pèsent sur le Wat Pha Luang Ta Bua, dans la province de Kanchanaburi, dit le "temple aux tigres", qui faisait de ces animaux sauvages une attraction touristique très rémunératrice.
Concernant les bébés congelés, Edwin Wiek, défenseur des droits des animaux ayant milité de longue date en faveur de la fermeture du temple, a évoqué la piste d'un trafic lié aux vertus prétendument magiques du tigre selon les croyances populaires asiatiques. Le temple a expliqué quant à lui, sur sa page Facebook officielle, qu'il était commun pour les bébés tigres de mourir en bas âge, sans pour autant expliquer les raisons de leur congélation.
"Au lieu de les incinérer, les bébés morts ont été congelés" à partir de 2010, se contente d'expliquer le temple. Celui-ci assure que ces cadavres n'étaient pas destinés à un trafic, dénonçant les accusations de "ceux qui tirent des conclusions trop vite".
chasse
Photos d'un léopard qui chasse dans la boue. Le gros chat a été repéré sautant dans un étang dans le chenal savuti au Botswana. Pêcher est la seul compétence rarement photographiée. Enrobé dans une couche d'une épaisse couche de boue, le gros chat émerge s'agrippe un gros poisson-chat dans ses mâchoires.
souffrance
SOUFFRANCE MUETTE
Ils ne défileront pas dans la rue…
Ils n’écriront pas une pétition sur internet…
Ils ne signaleront pas leur mécontentement dans les urnes…
Ils ne formeront pas un parti politique…
Ils ne se grouperont pas pour prendre le pouvoir à des mains corrompues…
Ils ne constitueront pas un lobby pour faire voter des lois…
Ils gémiront peut-être mais on les fera taire immédiatement en les assassinant…
Qui ?
Les animaux . Leur souffrance demeure muette : c’est à nous de leur donner la voix. Ils ne réclament pas leurs droits : c’est à nous de les imposer. Le silence de leur peine m’est intolérable. La violence se montrant toujours plus rapide que la justice, il a fallu des siècles pour faire respecter le droit des femmes et des enfants : faudra-t-il des millénaires pour faire respecter ceux des animaux ?
L’histoire du lion Cecil, tué cette semaine au Zimbabwe par un dentiste américain pour se faire plaisir alors que l’espèce menace de disparaître – moins 40 % en vingt ans - me révolte.
Je me contenterai de n’évoquer que ce seul cas car, si je me lançais, l’énumération des ignominies occuperait des milliers de pages, me donnerait la nausée et m’ôterait la force d’essayer d’aimer encore les hommes. Parlons en, signons des manifestes, rendons contagieuse la prise de conscience, défendons nos frères vivants qui ont un bâillon sur la bouche.
Ils ne défileront pas dans la rue…
Ils n’écriront pas une pétition sur internet…
Ils ne signaleront pas leur mécontentement dans les urnes…
Ils ne formeront pas un parti politique…
Ils ne se grouperont pas pour prendre le pouvoir à des mains corrompues…
Ils ne constitueront pas un lobby pour faire voter des lois…
Ils gémiront peut-être mais on les fera taire immédiatement en les assassinant…
Ils sont muets et ce n’est que dans leurs yeux tournés vers nous que l’on peut percevoir leur cri.
Le magnifique lion Cecil tué
Le magnifique lion Cecil tué, dépecé et décapité par des chasseurs
Toute une génération pensait que la mort de Mufasa dans "le Roi lion" était la pire imaginable, elle se trompait.
La BBC raconte, lundi 27 juillet, que le lion Cecil, icône du parc national Hwange au Zimbabwe, a été retrouvé dépecé, la tête tranchée.
Le lion, facilement reconnaissable avec sa crinière brune, a d'abord été attiré à l'extérieur du parc grâce à une carcasse d'animal, avant d'être pourchassé pendant une quarantaine d'heures par plusieurs chasseurs équipés d'arbalètes et de fusils.
Au terme de cette "chasse" odieuse, le lion Cecil s'est effondré de fatigue et a été achevé d'une balle de fusil à bout portant.
Sa carcasse a ensuite été dépecé, dépouillé, et sa tête tranchée. C'est la manière la plus silencieuse de chasser et c'est la technique employée quand il s'agit de chasse illégale", rapporte le directeur de la mission de conservation animale du Zimbabwe, Johnny Rodrigues, à la BBC.
Les autorités locales soupçonnent un homme de nationalité espagnole d'avoir payé 50.000 euros deux guides locaux (qui ont été arrêtés depuis) pour pouvoir chasser le félin. Ses six lionceaux vont certainement mourir !!
uporny
Uporny est un tigre de l'Amour de 3 ans. L'animal a été maintenu 6 mois dans le centre de réhabilitation d'Utyos. Aujourd'hui, il est réintroduit dans la nature.
Uporny vivait autrefois dans la région russe de Khabarovsky qui s’était au fil du temps trouvée dépourvue de ses proies habituelles. Le jeune mâle avait été relevé comme "à risque".
Retrouvé dans une zone habitable, il se nourrissait de chiens mais n'avait jamais attaquer l'homme. Néanmoins, ces conflits avec le monde des humains lui ont valu d’être capturé en novembre dernier.
Plutôt que de le condamner à une vie de captivité, le gouvernement à décider de lui donner une seconde chance. Le tigre, surnommé "Uporny", mot russe signifiant "têtu", avait été emmené à un centre de réhabilitation où il avait suivi différents examens médicaux.
Il a été vacciner contre les maladies habituelles, ses capacités de chasseur et ses instincts de survies ont été vérifiés. Retour à l'état sauvage Aujourd’hui, ce mâle vient de retrouver la liberté et un nouveau territoire riche en proies potentielles :
"La maison des tigres".
Ce territoire se situe à 200 kilomètres du centre de réadaptation, au niveau de la frontière avec le Parc national Anyuisky. "Ce tigre est prêt à retourner dans son environnement naturel. Il a reçu les substances nutritives nécessaires" a expliqué Eduard Kruglov, le directeur du Centre de Réadaptation d'Animaux Sauvage d'Utyos.
"Le contact humain avec le tigre a été réduit au minimum, l'animal a préservé tous ses instincts sauvages - il chasse, cache sa proie et est terrifié par les humains."
La survie de l'espèce La bête est équipée d’un collier émetteur afin de pouvoir livrer aux scientifiques un certain nombre de données. Un fait rare puisque l'espèce est aujourd'hui menacée.
En effet, cette race, aussi appelée tigre de Sibérie, est représentée par seulement 450 individus, repartis dans les forêts du grand nord de la Russie, de la Chine et de la Corée.
tigre
Il s'agit de la très rare et majestueux Golden Tiger. Malheureusement, moins de 30 d'entre elles existent dans le monde aujourd'hui.
panthére
Elle est la plus rare des espèces de panthères qui occupent le zoo de Mulhouse. "Vivant dans les forêts tempérées de Sibérie, Manchourie et Corée, son nom lui vient de la région du fleuve amour qui coule à la frontière russo-chinoise", d'après le Zoo de Mulhouse. Braconnée d'une part pour son anatomie qui sert à la médecine chinoise et persécutée d'autre part par les éleveurs, l'espèce ne compte plus que 35 individus dans la région de l'Amour
chat Manul
Cette espèce peu commune de félin, aux oreilles arrondies et basses, est originaire des steppes d'Asie centrale. La cause de sa disparition est liée au fait "qu'il trouve de moins en moins de proies car elles sont éliminées par l'homme pour leurs dégâts aux récoltes.