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Sujet: animaux de la marre et d eau douce Dim 19 Mar - 12:51
animaux de la marre et d eau douce
harmonie
déces
Australie : une femme dévorée par un crocodile
Une femme était portée disparue lundi, et présumée décédée, après avoir été happée par un crocodile lors d'une baignade nocturne avec une amie sur une plage du nord de l'Australie.
Une femme était portée disparue lundi, et présumée décédée, après avoir été happée par un crocodile lors d'une baignade nocturne avec une amie sur une plage du nord de l'Australie.
Elle a disparu lors d'une baignade nocturne, probablement dévorée par un crocodile. Cindy Waldron, 46 ans, se trouvait avec une amie dimanche sur une plage du nord de l'Australie lorsqu'une attaque s'est produite vers 22h30.
Selon les premiers éléments de l'enquête, les deux femmes, des touristes australiennes, étaient parties se baigner à Thornton Beach, dans l'Etat du Queensland, et ont décidé d'aller nager dans une zone pourtant connue comme étant infestée de crocodiles, a indiqué lundi la police.
De l'eau jusqu'à la taille, elle a été happée «Elles avaient de l'eau jusqu'à la taille quand un crocodile a vraisemblablement happé l'une des deux», a déclaré à l'Australian Broadcasting Corporation l'officier Russell Parker.
«Son amie a courageusement tenté de la tirer en direction de la plage mais n'y est pas parvenue et la femme a disparu», a-t-il poursuivi.
Son amie, «très choquée» mais indemne, a alerté un commerce voisin qui a contacté la police, a-t-il poursuivi. Un hélicoptère équipé de caméras thermiques a été dépêché sur place mais n'a pas réussi à localiser la victime
Depuis l'entrée en vigueur en 1971 d'une réglementation protégeant les crocodiles marins (NDLR : les «salties», de salt, le sel en anglais), leur population a augmenté dans les régions tropicales du nord de l'Australie et est évaluée à environ 100.000 par les autorités.
Chaque année, les crocodiles tuent en moyenne deux personnes en Australie.
sauvetage
Il a sauvé deux loutres, mais regardez quand ils reçoivent leur petit-déjeuner. Ça fait fondre nos cœurs!
Tous simplement magnifique!
Cuesta est un Espagnol qui vit en Thaïlande, il a sa propre émission de télévision appelée « Frank Wild. »
Il a récemment reçu un appel a propos de deux petites loutres destinées à être vendus dans un marché. Heureusement, il a réussi à les libérer et les a emmené au refuge pour animaux.
Vu que les loutres étaient orphelines, elles avaient besoin d’être nourris et soignés pendant les prochains mois. Cuesta explique dans la vidéo qu’il ne peut pas laisser beaucoup de gens s’approcher et avoir contact avec les loutres, afin de pouvoir les libérés dans la nature dans un futur proche.
Bien que cela puisse paraître triste, c’est la meilleure chose pour les loutres – il ne faut pas qu’ils s’habituent au contact pour qu’ils puissent s’adapter facilement à la nature. Ce n’est pas la première fois que Cuesta sauve des bébés loutres, et il a déjà réussi à les liberer dans la nature.
Même si vous ne comprenez pas l’espagnol, ce n’est pas grave – vous pouvez entendre quand les loutres remercient Cuesta pour le petit déjeuner, et on vous assure que cela fera fondre votre cœur. Regardez quand les loutres prennent leur petit déjeuner ci-dessous et n’oubliez pas de le partager avec quelqu’un qui l’appréciera!
Biodiversité
Biodiversité : le poisson qui marche existe
211 espèces inconnues ont été recensées dans l'Himalaya par WWF, le Fonds mondial pour la nature.
De drôles d'animaux et de plantes.
Non content de ses jolies couleurs irisées, ce poisson, découvert dans l’Himalaya, a aussi comme particularités d’avoir une tête de serpent et… de pouvoir ramper sur la terre ferme.
Rien de moins. Non content de ses jolies couleurs irisées, ce poisson, découvert dans l’Himalaya, a aussi comme particularités d’avoir une tête de serpent et… de pouvoir ramper sur la terre ferme. Rien de moins.
Ramper comme un poisson ?Channa andrao vous prouve que cette bizarrerie est possible ! Ce « poisson qui marche », qui a comme autre particularité — non des moindres — d'avoir une tête de serpent, fait partie des 211 espèces découvertes dans l'est de l'Himalaya ces dernières années. Sur le même sujet EN IMAGES.
Plus de 200 espèces découvertes dans l'est de l'Himalaya Le WWF, le Fonds mondial pour la nature, vient de recenser et de compiler les spécimens jusqu'à présent inconnus que l'on trouve dans cette région particulièrement dense et variée, mais aussi en proie à la déforestation et au braconnage.
« Ce poisson à tête de serpent est capable de respirer de l'air et même de survivre pendant quatre jours sur la terre ferme », explique l'ONG.
Certes, Channa andrao n'a pas la grâce d'un serpent, son mouvement est plus lourd, mais il peut se déplacer en rampant sur plusieurs centaines de mètres d'un sol humide. A peine découverts, déjà menacés
A force d'observations, 25 autres espèces de poissons ont été révélées, ainsi qu'un reptile, un oiseau, un mammifère, 39 invertébrés, 133 plantes et 10 amphibiens. Parmi ces derniers : Leptobrachium bompu.
Avec ses immenses yeux bleus, cette grenouille indienne va conforter l'idée qu'un prince charmant se cache derrière chaque crapaud. La « grenouille aux yeux bleus » est joueuse, car elle se cachait sous des feuilles quand elle a été trouvée près d'un sanctuaire indien, à 2 000 m d'altitude et dans une végétation sauvage.
Dans la forêt birmane, c'est sur un singe au nez tourné vers le ciel que les scientifiques ont mis la main. Une particularité qui le fait... éternuer dès que tombe la pluie.
« Ces découvertes, dans des endroits peu faciles d'accès, d'espèces qui étaient visiblement là depuis longtemps montrent à quel point notre connaissance du vivant est faible et que l'inventaire est loin d'être terminé », note Stéphane Ringuet du WWF.
Mais l'expert alerte aussi : « Ce sont des espèces que l'on découvre à peine et dont on sait déjà qu'elles sont fragiles et menacées. » La faute à l'intervention humaine. La construction de routes, de barrages, l'exploitation minière, les pêches et chasses sauvages sont autant d'éléments menaçant la survie des espèces.
loutres
Deux loutres au repos se tiennent la main... La raison est géniale !
On a aperçu deux loutres qui faisaient leur sieste dans l'aquarium géant de Vancouver en Colombie- Britannique, au Canada.
D'aucuns diront qu'ils trouvent la scène tout à fait normale, nous ce qui nous a étonné, c'est le fait que ces loutres se tiennent la main en flottant pour la simple raison qu'elles ne veulent pas se séparer.
L'une des spécificités curieuses des loutres comme sa nourriture essentiellement composée de poissons, de grenouilles et de crustacés.
L'image est magnifique.
Le plus grand poisson des eaux douces
L'Amazonie est le foyer de nombreux monstres. Il abrite beaucoup d'espèces parfois très terrifiantes. Ils vivent souvent le long de la rive ou nagent dans les profondeurs du fleuve immense. La plupart des gens craignent ce milieu, mais les personnes sur la vidéo sont des adeptes de l'aventure. Ils aiment les découvertes et la chasse. Heureusement pour eux, ils sont après l' arapaima, l'un des plus grands poissons d'eau douce dans le monde. En tout cas, mieux on est loin de l'Amazonie, mieux on est avec tous ces monstres effroyables. Sauf pour ce qui aime l'aventure, les portes sont grandement ouvertes.
silure
Le silure fait des remous..
Il est la version fluviale des « dents de la mer». Après la Saône et le Rhône, ce poisson, à l’aspect repoussant, prolifère même dans les lacs.
Les avis divergent sur la nécessité de le réguler. Nicolas Courbis est en pétard. Ce pêcheur professionnel drômois le constate tous les jours : les silures envahissent le Rhône. « Plus ça va, plus il y en a et plus ils sont gros ».
Selon lui, ce poisson omnivore est une menace pour la faune aquatique : « l’estomac d’un silure pêché la semaine dernière contenait un brochet, une poule d’eau et deux brèmes ».
Ses proies favorites sont aussi les poissons migrateurs comme les anguilles et les aloses : « C’est un comble, on installe des passes à poissons le long du fleuve et les silures n’ont plus qu’à se poster à la sortie pour les capturer ».
Nicolas Courbis va plus loin : « En surface, les canetons se font gober. C’est l’équilibre écologique qui est menacé et pas seulement dans le Rhône ou la Saône. Près de Béziers, j’ai pêché dans un petit canal qui en était infesté ».
Chercheur au CNRS à Toulouse, Frédéric Santoul est familier des silures. Ce sont même ses collègues de travail. Il observe leur comportement et leur développement lors de plongées dans le Tarn et le Lot : « Ils sont partout, dans tous les affluents des fleuves et des rivières. On en trouve aussi dans les lacs ».
De la Garonne à l’Isère jusqu’à Grenoble, le silure a définitivement fait son nid. Disparu du paysage français lors de la dernière glaciation, il est réapparu récemment. Mais pas par hasard : des silures capturés dans le Danube ont été déversés dans les cours d’eau de l’Hexagone. « Ils peuvent atteindre des tailles impressionnantes car c’est un poisson qui n’a pas de prédateur et qui se fait vieux », précise le chercheur.
Privé des écailles qui permettraient de lui donner un âge, les chercheurs se rabattent sur l’examen des vertèbres : « certains ont 40 ans, voire plus. Il atteint un mètre à 4 ou 5 ans ». Il envahit toute l’Europe Pour se nourrir, le silure est « opportuniste », il mange ce qui se présente : « Il est capable de s’échouer sur la berge pour attraper des pigeons ».
Handicapé par une mauvaise vue, le silure est en revanche équipé de barbillons mobiles très performants pour suivre à la trace ses proies qu’il aspire plus qu’il ne les mâche, faute de dents. Poisson de fond, il nage en surface les jours de disette.
Quant à sa prolifération, Frédéric Santoul est mesuré : « Le réchauffement général des eaux favorise cette espèce qui a par ailleurs une grande capacité d’adaptation au milieu ». Ses derniers relevés donnent 5 individus de plus de 60 cm à l’hectare en aval de Cahors dans le Tarn.
En revanche, le chercheur est formel : « Il est partout en Europe, jusqu’en Grèce, en Italie et en Espagne. On en trouve même maintenant au Brésil ». Question comportement, Frédéric Santoul n’a jamais fait les frais d’une quelconque agressivité : « Si on le touche, le silure prend peur et fuit. Par contre, il peut être plus virulent en période de reproduction ».
Une fillette mordue par un silure alors qu’elle barbotait sur la berge en Saône-et-Loire avait sans doute posé le pied sur des œufs, ont conclu les spécialistes. À la demande du ministère de l’Écologie, le CNRS conduit une étude sur l’impact éventuel de la présence de silures sur les autres espèces : « Pour l’instant, nous n’avons rien constaté de probant même s’il est friand de poissons migrateurs », explique Frédéric Santoul.
Jusqu’à 5 mètres et 300 kilos Dans les rangs des pêcheurs, les avis sont partagés : « Dans le Rhône, le silure n’est pas un problème », assure Christian Brely, le président de la Fédération de la Drôme, « mais c’en est un dans les petits lacs ou les étangs où ils sont déversés par des pêcheurs peu scrupuleux ». « La pêche des sandres ou des brochets n’a pas diminué », poursuit-il, et s’il y a moins de canards, « c’est parce que les cygnes les font fuir ». « Si seulement il pouvait manger les cormorans », s’amuse le président drômois.
Nicolas Courbis, le pêcheur professionnel, n’a pas le goût à rire : « Il faut le réguler comme le sanglier dans les campagnes sinon on va à la catastrophe », prophétise-t-il. Devant la colère des pêcheurs professionnels, des parlementaires ont d’ailleurs avancé l’idée de déclarer le silure nuisible. Sans suite pour le moment. Chargé de mission au comité national des pêcheurs professionnels, Nicolas Stolzenberg évoque « l’explosion de la population de silures dans la Saône dans les années 90 ».
Avec des conséquences irrémédiables sur les écrevisses. Et il n’est pas loin de penser que le Rhône vit le même phénomène : « Dans certains cours d’eau, le silure représente la moitié de la biomasse, d’où un déséquilibre évident ». Pour lui, si régulation il devait y avoir, elle ne pourrait être menée que dans des zones limitées où l’écosystème est menacé.
Une perspective qui n’enchante pas Emmanuel Filograsso. Moniteur diplômé d’État, il emmène ses stagiaires « à la pêche au gros » entre Lyon et Montélimar : « Le silure est un partenaire de jeu, on le respecte mais sa capture fait monter l’adrénaline », reconnaît-il. Ses clients à la recherche de sensations fortes viennent d’Allemagne, d’Italie, de Suisse et bien sûr de la région. Adepte du “no kill”, il rejette à l’eau ses prises « pour pouvoir les reprendre éventuellement plus tard ».
En espérant qu’elles aient pris du volume dans l’intervalle. De ce point de vue, il n’a pas de souci à se faire. Le plus gros silure sorti de l’eau en France avoisine les 2,5 mètres pour environ 120 kilos. C’est presque ridicule au regard du record allemand : 5 mètres et 300 kilos. Autant dire un monstre. Mais dont la chair réserve, paraît-il, de bonnes surprises gustatives au point que de plus en plus de restaurateurs en proposent sur leur carte.
nature
La nature, qui en est toujours mieux sans intervention humaine
La Loutre d'Asie
Avec ses 80 cm de long, la Loutre cendrée ou loutre asiatique, est la plus petite des espèces existantes. Considérée comme étant vulnérable, la disparition rapide de son habitat menace son espèce.
salamandre
La larve de salamandre a globalement la même physionomie que l'adulte. Elle est toutefois aquatique, et dotée d'une queue et de pattes qui font office de nageoires. Sur sa tête trois paires de branchies externes disparaitront lors de la métamorphose.
marileine moderateur
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Sujet: Re: animaux de la marre et d eau douce Dim 19 Mar - 13:01
especes
L'Europe veut se débarrasser des espèces invasives animaux et végétaux venus d'ailleurs peuvent représenter un danger pour la biodiversité locale et la santé humaine... Arbres, insectes, rongeurs envahissants, dehors!
La Commission européenne a déclaré la guerre, ce lundi, aux espèces «envahissantes» non originaires d’Europe. Près de cinquante espèces, jugées nuisibles aussi bien aux écosystèmes locaux qu’à la santé des Européens, devraient être inscrites sur une liste noire avant d’être boutées hors de l’Union européenne. Perruches, ragondins ou écrevisses
Si la Commissaire européenne à l’Environnement, Janez Potocnik, en veut autant à ces espèces invasives, c’est parce qu’elles menacent la biodiversité autochtone. Ainsi, plus de 12.000 espèces originaires du monde entier vivent en Europe, et parmi elles 15% d’espèces envahissantes qui pourraient causer le déclin d’autres plantes ou animaux locaux.
Par exemple, l’écureuil gris qui peuple les parcs britanniques est en train de signer la fin de l’écureuil roux, alors qu’il a été importé des Etats-Unis au début du 20e siècle. En France , l’écrevisse américaine, débarquée au 19e siècle, est en train de tuer les petites écrevisses à pattes rouges.
Compétition pour la nature, pour les habitats, transmission de virus… Les espèces invasives pourraient aussi être un danger pour la santé publique: moustique-tigre et frelon asiatique font déjà des ravages dans le sud de la France.
Mais il en va aussi d’un souci économique, notamment pour les agriculteurs: le ragondin, importé d’Amérique du Sud pour sa fourrure, dévore maintenant les champs de blé et de maïs. La Commission européenne va mettre en place des mécanismes de prévention pour que de nouveaux spécimens n’arrivent pas en Europe et un système de gestion pour les espèces déjà installées.
Les perruches du bois de Vincennes en seront-elles les prochaines victimes?
alligator
Les alligators (Alligatoridae) forment une famille de crocodiliens que l’on ne rencontre que sur le continent américain (États-Unis et Mexique), ou plus principalement dans les marais de Floride et en Louisiane.
Mais on le trouve également au Texas, en Oklahoma et en Caroline du Nord.
Des réintroductions ont eu lieu en Arkansas et dans le Mississippi d’où il avait disparu, et aussi en République de Chine.
Ils se différencient des crocodiles avec qui ils cohabitent uniquement dans l’extrème sud de la Floride, par leur museau plus large et en forme de U, alors que celui des crocodiles est en forme de V.
Ils sont très proches des caïmans que l’on ne trouve qu’en Amérique centrale et du Sud.
Les alligators américains évoluent en eaux douces, dans les marais, les étangs, les rivières et les lacs, mais on les trouve également dans les eaux saumâtres.
L’espèce chinoise proche de l’extinction, ne se trouve que dans la vallée du fleuve Yangzi Jiang. Les reptiles chassent à l’affut en se laissant porter à la surface de l’eau.
L’animal est un prédateur nocturne qui se déplace lentement dans l’eau et sur terre. Mais il peut occasionnellement parcourir de petites distances d’un bond rapide.
L’alligator est extrêmement utile à l’écosystème dans lequel il vit. En effet, l’animal creuse des trous dans la berge, à l’aide de sa gueule et de ses pattes avant, pour dégager les végétaux et les racines afin d’y créer un abri que l’on nomme « gator hole » ou trou d’alligator.
À force d’agrandir ces cavités par des mouvements du corps ou des coups de queue, le Crocodilien crée des dépressions qui se remplissent d’eau à la saison des pluies, et qui la retiennent à la saison sèche.
Lors de cette dernière, ces trous d’alligators offrent des abris et des ressources vitales à d’innombrables espèces animales : Poissons, Crustacés, tortues, Serpents, Oiseaux, Rongeurs, et même aux alligators eux-mêmes.
Exceptionnellement, l’animal peut également fréquenter les eaux saumâtres des mangroves côtières. L’alligator chasse uniquement dans l’eau. Il n’est pas bête l’alligator ! Dans l’eau, il se meut avec facilité, rapidité, certains diront même avec grâce, et bien peu de choses peuvent lui résister.
Hors de l’eau, sa proie aura beaucoup plus de chances de lui échapper. Il mange tout ce qui lui tombe sous la dent, mais son régime alimentaire principal consiste en poissons, oiseaux d’eau, tortues, amphibiens et petits mammifères. Les plus grands spécimens peuvent capturer des sangliers, des cerfs et des animaux domestiques, mais certains ont été observés attaquant la panthère de Floride et des ours.
L’animal est considéré comme un des plus redoutables prédateurs qui soit aux États-Unis, mais il régule efficacement les populations de rongeurs qui autrement surconsommeraient la végétation des marécages et des cours d’eau. Le printemps marque le début de la saison de reproduction. Bien que l’alligator ne possède pas de cordes vocales, celui-ci rugit puissamment pour attirer les femelles et informer les autres mâles.
C’est l’inspiration et l’expiration de l’air qui provoque ces mugissements rauques. Après la gestation, la femelle ensevelit ses œufs sous un monticule de débris végétaux où ils incuberont quelques mois. La détermination du sexe dépendra de la température d’incubation. Si elle est inférieure à 30° entre le 7e et le 21e jour, ne naîtront que des femelles.
Lorsque la température est supérieure à 34°, il n’y aura que des mâles. La proportion de femelles et de mâles sera donc étroitement dépendante des variations de températures.
À la naissance, les petits resteront à proximité de leur mère qui les protégera des dangers extérieurs jusqu’à ce qu’ils soient aptes à se défendre par eux-mêmes. Ils atteignent la maturité sexuelle entre huit et 13 ans. Grâce à d’efficaces programmes de protection mis en place, l’espèce n’est pas en danger.
Classée en Annexe I de la CITES en 1975, elle a été déclassée en Annexe II en 1979. On estime que la population actuelle frise le million d’individus.
[size=24]archer
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C'est un poisson unique par le fait que, sans sortir de l'eau, il se saisit de proies subaquatiques ! Et l'image montre comment il s'y prend : il peut 'cracher' un jet d'eau à plus d'un demi mètre (pour un poisson de seulement 10 cm) pour faire chuter un insecte dans l'eau !! Vraiment impressionnant
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ne pas
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Ne jugeons jamais une réaction même si elle paraît "exagérée" Commençons par essayer de comprendre l'action qui la provoqué. L'absolu, s'il existe, n'est pas du ressort de nos connaissances, nous ne jugeons et nous ne pouvons juger des choses que par les rapports qu'elles ont entre elles
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vie
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La vie se vit pour elle-même et pour aucune autre raison
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requins
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Les requins ont-ils des arrêtes ?
Non, car les requins ne sont pas des poissons osseux mais des poissons cartilagineux. Les arrêtes étant les os des poissons, nos amis les requins n'en possèdent pas. C'est la même chose pour les raies. Dans son livre, Caroline Lepage n'hésite pas à nous rappeler que c'est justement le cartilage qu'on trouve dans les ailerons de requins qui est utilisé dans la cuisine asiatique. Or, ces pratiques de pêche mettent sérieusement en danger plusieurs espèces de requin !
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Petites merveilles dans les Étangs de l'Iberá
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Les Esteros del Iberá sont un vaste réseau de marécages et d'étangs s'étendant de 15 000 à 25 000 km² dans la province de Corrientes, au nord-est de l'Argentine. Cette gigantesque zone humide a développé un écosystème tropical extrêmement riche et diversifié, dont une flore et une faune locales exubérantes. Il abrite notamment le plus gros rongeur du monde : le capybara, en image.
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grenouille aux yeux rouges
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Cette grenouille aux yeux rouges est originaire de l'Amérique Centrale, qui comprend le Costa Rica, le Panama, le Nicaragua ou encore le Salvador. Elle symbolise la richesse de cette région où plusieurs centaines d'espèces d'amphibiens sont endémiques, et 17 000 espèces végétales y sont uniques au monde
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rainette
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La rainette aux yeux rouges, un petit prédateur Ce petit amphibien aux couleurs vives conserve en permanence un air curieux donné par ses gros yeux rouges. Cette rainette est le symbole de la protection de l'Amazonie, région au sein de laquelle elle vit. Gourmande, elle se nourrit de tous les gros insectes qui passent sur son chemin. Parfois même, ce sont de petites grenouilles qui constituent son repas. Bien qu'elle soit principalement insectivore, ses méthodes de chasse en font un grand prédateur. Elle s'élance dans les airs pour attraper les insectes au vol, les surprenant à tous les coups.
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raton laveur
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Déjà "largement" présent en Allemagne, le raton-laveur commence à arriver en France par l'Est.
Quand son territoire borde les zones habitées, il n'est nullement impressionné par l'Homme. Derrière son masque de gentil voleur se cache un véritable fléau. Dans certaines zones du continent américain, dont il est originaire, il parcourt les rues à la recherche de nourriture. Il s'est très bien adapté à la ville. Opportuniste, il fouille dans les poubelles et s'introduit dans les maisons profitant de la moindre ouverture.
marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
Sujet: Re: animaux de la marre et d eau douce Dim 19 Mar - 13:06
Gonflée, la grenouille !
Lorsque le sac vocal d'une grenouille mâle se gonfle, il atteint une taille considérable. Il lui sert à amplifier son cri afin d'attirer une potentielle partenaire. En attendant, ce n'est pas très pratique de se déplacer avec ce ballon de baudruche sous le menton
salamandre
On trouve les salamandres près des étendues d'eau stagnante où elles déposent leurs petits afin qu'ils puissent se développer. Très lentes, elles sont plutôt faciles à observer pour qui sait guetter leurs tâches jaunes sur les montagnes de mousse
Un escargot à poils verts
Au fond de la mare se trouvent des créatures dont on ne soupçonne pas l'existence. Il y a les larves de phrygane, qui se construisent une coquille à l'aide de déchets accumulés, mais aussi les gastéropodes qui sont recouverts des filaments verts des plantes aquatiques
triton
Cousin de la salamandre, le triton est remarquables . C'est la saison des amours, aussi se pare-t-il de ses plus belles couleurs avant de se lancer dans une danse étrange destinée à séduire son impassible et cruelle sirène
[size=24]La tête dans les lentilles d'eau
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La mare est le royaume des amphibiens : grenouilles, crapauds, tritons ou encore salamandres y sont particulièrement présents. Ici, on peut voir une tête de grenouille émerger du vert des lenticules, de petites plantes qu'on trouve à foison dans les eaux stagnantes
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Ninnenne blog de partage [/size]
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Sujet: Re: animaux de la marre et d eau douce
animaux de la marre et d eau douce
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