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| LES CATHARES + autres sujets??? | |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: LES CATHARES + autres sujets??? Mar 7 Nov - 13:40 | |
| LES CATHARESDans des temps où l’Eglise Catholique ne citait les textes sacrés qu’en latin -ce qui les rendait incompréhensibles pour le peuple- les cathares les traduisirent en langue romane. Ainsi, grâce au labeur des Parfaits, l’Evangile était à la portée de tous. Le château de FOIX (Ariège) Durant deux siècles (1209 à 1429) les comtes aux personnalités brillantes furent l’âme de la résistance occitane à la croisade contre les Albigeois et le comté devint le refuge privilégié des cathares persécutés. Le château ne fut jamais pris pendant la Croisade contre les Albigeois, bien que Simon de Montfort, en 1211 et 1212, ait plusieurs fois ravagé ses abords ; il le fut par contre en 1272 par le Roi de France Philippe le Hardi. Les cathares offraient à leurs croyants un christianisme dans lequel, grâce à la vie de sacrifice de Jésus, on peut éviter la condamnation éternelle; un christianisme sans le culte de la croix; un christianisme sans eucharistie .. ALBI.... Ils niaient catégoriquement la nature divine de Jésus et refusaient, également, l’eucharistie et la vénération de la croix. - Cathédrale d'Albi (81). Les cathares refusaient “l’Ancien Testament”. Egalement, ils censuraient le relâchement des moeurs du clergé médiéval et les tentatives de pouvoir temporel de leurs prélats. Ils admettaient uniquement le sacrement de l’imposition des mains mais refusaient tous les sacrements postérieurs qui ne se fondaient pas sur les Saintes écritures Le catharisme fut un évangélisme qui défendait la nécessité de mener une [size=24]vie ascétique et le renoncement au monde pour atteindre la perfection.[/size] La Cité de Carcassonne (Aude). Les albigeois furent une secte hérétique des XIe et XIIIe siècles, qui s’étendit depuis la ville d’Albi (Occitanie) -de laquelle elle prit son nom- à toute l’Europe. Elle fut aussi connue comme “cathare” - du grec kataros (=pur). Les Cathares, appelés aussi “Bonshommes” se consideraient comme la véritable “Eglise de Dieu”. Plus pure et authentique que l’Eglise catholique qui était à ce temps là en partie gagnée par la corruption. Une promenade parmi les châteaux des "Bonshommes". Il y a plusieurs châteaux de renom qui ont été occupés par les cathares durant le 13ème siècle, presque toujours placés à distance sur le sommet de falaises escarpées. Parfait pour se défendre, cependant peu pratique au niveau de [size=18]vie surtout pour se fournir en nourriture et en eau.[/size] Si vous visitez des châteaux cathares, garder à l'esprit que même si l'accès est relativement facile aujourd'hui, Il faudra s'attendre a devoir monter quelques pistes rocheuses assez raides à pied et l'accès pourrait être difficile pour les personnes à mobilité restreinte. Quéribus était un refuge très important pour les hérétiques pendant la croisade contre les Albigeois. Situé bien au-dessus du joli village de Cucugnan, ce lieu a des vues magnifiques de toutes les directions : sur toute l'intérieur des terres vers Roussillon et sur l'Est à travers la Méditerranée. Revue socioculturelle publiée par "La Alcazaba". Le pays des Cathares ([size=24]France).[/size] Le Château de Pamiers (Ariège) Le catharisme, qui adoptait des postures très critiques contre le matérialisme de l’Eglise de Rome et dont les adeptes étaient terriblement exigeants avec eux-mêmes quant à la pureté des moeurs, parvint à établir une sorte de contre-Eglise parfaitement organisée, avec son propre clergé mixte et ses évêques. Dans les maisons cathares les Bonshommes vivaient en communauté, recevant la prédication des diacres. Ces maisons étaient ouvertes à la [size=18]société environnante, car il n’existait aucun type d’interdiction, sauf que, par contre, les habitants entraient et sortaient à n’importe quel moment et les voisins y avaient aussi accès.[/size]
[size=24]LA SAVOYARDE[/size] De son vrai nom Françoise Marguerite du Sacré-Coeur, elle est plus connu sous celui de La Savoyarde. Lors de la construction de la Basilique du Sacré-Coeur, plutôt que de participer à une souscription nationale, les savoyards préférèrent se distinguer en offrant une cloche. Pas n'importe quelle cloche puisqu'il s'agissait déjà à l'époque de la plus grosse cloche de [size=18]France.[/size] Il ne faut pas oublier que l'annexion de la Savoie à la [size=18]France (1860) était encore assez récente. Aussi peut-on voir en la Savoyarde à la fois un symbole d'allégeance à la Francecomme une personnification de la fierté et du régionalisme savoyard.[/size] [size] La Savoyarde, la plus grosse cloche de FranceC'est à l'initiative de Mgr LEUILLIEUX, archevêque de Chambéry, que fut coulée la cloche du Sacré-Cœur qui devait devenir la plus grosse cloche de France : "LA SAVOYARDE". Ce fut la contribution de la Savoie à l'édification de la Basilique, dont la souscription avait été commencée le 29 janvier 1889. Le 17 octobre 1889, le contrat était passé avec les Frères PACCARD (Georges et Francisque) d'Annecy-le-Vieux et la cloche était coulée le 13 mai 1891. Baptisée le 20 novembre 1895, elle se nomme FRANCOISE-MARGUERITE du SACRE-CŒUR et donne le contre-ut grave. Elle fut livrée à l'achèvement du campanile en 1898. marileine blog de partage
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: LES CATHARES + autres sujets??? Mar 7 Nov - 14:00 | |
| LE SACRE COEUR.La basilique du Sacré-Coeur domine Paris de son dôme blanc. Située au sommet de la butte Montmartre, l'une des collines les plus hautes de Paris, elle offre une des plus belles vues sur Paris. Cette église en forme de croix grecque, ainsi que sa crypte, est de style romano-byzantin. Elle a été construite entre 1875 et 1923 par l’architecte Paul Abadie, après la Commune de Paris. Elle mesure avec sa coupole 80 mètres de haut. Le plafond est décoré de la plus grande mosaïque de France mesurant près de 480 m2. "Et, elle possède aussi la plus grosse cloche de France pesant 19 tonnes, traînée d'Annecy (Haute-Savoie) jusqu'au Sacré-Coeur. "Sur la butte en contrebas de la basilique, se trouvent la place du Tertre et ses peintres, le quartier des Abbesses où serpentent de multiples petites rues escarpées, et au pied de la butte, le célèbre Moulin Rouge. marileine blog de partage
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: LES CATHARES + autres sujets??? Mer 8 Nov - 11:42 | |
| C'était un 18 avril.....Le 18 avril 1758, une foule nombreuse se presse dans le magasin de l'Arsenal, derrière la Bastille, qui servait autrefois à stocker la poudre et les munitions du roi. Dans un coin de la salle, un [size=18]homme d'une trentaine d'années, grand, magnifiquement vêtu, attire les regards, surtout celui des femmes. Il parle français avec un délicat accent italien. Il s'agit de Giacomo Casanova, dont tout Paris parle car il vient de s'évader de la célèbre prison des Plombs de Venise. Mais aujourd'hui, chose surprenante, le séduisant Vénitien ne s'intéresse pas aux nombreuses dames qui lui font les yeux doux. C'est parce que la bonne fortune qu'il recherche alors est celle de l'or, et non de l'amour. Comme le reste des curieux, il est venu assister au premier tirage de la loterie royale de l'École militaire dont il est l'un des artisans. Sur une estrade trône une grande boîte en bois circulaire (imaginez une boîte à camembert) montée sur axe. Dans cette roue de la fortune, il a été glissé 90 billets numérotés de 1 à 90. Un employé la fait tourner longuement pour mélanger les billets, puis demande à un enfant de glisser sa main dans une petite ouverture de la roue pour extraire à l'aveugle un premier billet, puis un deuxième, un troisième... Cinq au total constituant le premier tirage gagnant de la loterie royale militaire, dont la recette servira à financer la construction de l'École militaire, à Paris.[/size] (Le point). Le premier loto.Aussi stupéfiant que cela paraisse, l'existence de cette loterie, préfigurant notre Loto actuel, doit beaucoup à Casanova. Sans lui, elle n'aurait peut-être pas pu exister. Voici l'histoire. Quand l'aventurier vénitien débarque à Paris, quelques mois plus tôt, il est fauché comme les blés. Il monte plusieurs arnaques pour alléger la bourse de certaines vieilles dames qu'il séduit, mais cela ne suffit pas à son train de [size=18]vie dispendieux. "Je voyais que, pour parvenir à quelque chose, j'avais besoin de mettre en jeu toutes mes facultés physiques et morales, de faire connaissance avec des grands et des puissants, d'être le maître de mon esprit et de prendre la couleur de tous ceux auxquels je verrais que mon intérêt exigeait que je plusse", écrit-il dans ses mémoires. Justement, Casanova retrouve à Paris le cardinal de Bernis, avec lequel il partageait une maîtresse à Venise. Celui-ci est devenu secrétaire d'État aux Affaires étrangères. Il va donc le trouver, il est reçu à bras ouverts. Le cardinal lui fait rencontrer le contrôleur général des finances, monsieur de Boulogne, qui le présente à son tour au financier Paris Duverney. Ce dernier cherche 20 millions de francs pour financer la construction de l'école militaire voulue par Louis XV et la marquise de Pompadour afin d'assurer l'éducation de 500 gentilshommes sans fortune.[/size] MystèreC'est ici qu'il faut parler de génie à propos de Casanova. Sans avoir la moindre idée de la façon de rassembler une telle fortune, il se vante auprès de Paris Duverney de connaître un moyen pour obtenir non pas 20 millions de francs, mais 5 fois plus sans qu'il en coûte rien au budget royal. Il mise sur sa grande imagination pour inventer un stratagème dans les jours qui viennent. Mais il n'a même pas à se donner cette peine, car son interlocuteur lui répond du tac au tac qu'il connaît déjà son plan et qu'il le lui prouvera, le lendemain, s'il accepte son invitation à dîner [size=18]chez lui. Stupéfaction de l'Italien. Comment l'autre pourrait-il connaître son plan puisqu'il n'en a pas ? C'est la meilleure ! Dans ses mémoires, qu'il écrira bien plus tard, il note avoir alors pensé sur le moment : "Quand il me communiquera le sien, ce sera à moi de dire s'il a deviné ou non, et si la matière sera à ma portée, je dirai peut-être quelque chose de nouveau ; n'y entendant rien, je garderai un mystérieux silence."[/size] Photo Paris Duverny on lui doit la [size=18]création de l'école militaire.[/size] L'ECOLE MILITAIRE A PARISLe lendemain, Casanova se rend donc chez Paris Duverney, où il dîne avec plusieurs financiers, dont un Livournais nommé Ranieri Calzabigi. Celui-ci affirme qu'avec son frère aîné il projette de financer la construction de l'École militaire avec le bénéfice d'une loterie basée sur le principe du loto de Gênes. Paris Duverney interpelle Casanova : "C'est bien votre idée, n'est-ce pas ?" Celui-ci s'empresse d'acquiescer et même de faire quelques propositions pour améliorer la loterie. Casanova s'engage à plaider cette idée devant les représentants de l'État pour emporter une décision favorable. Grâce à son bagout et à son culot extraordinaire, deux arrêts du Conseil d'État des 15 août et 15 octobre 1957 autorisent la création d'une loterie pour financer les travaux de l'École militaire. Le principe d'une loterie royale est donc arrêté. Les billets seront vendus dans des bureaux de recette répartis dans tout Paris et son faubourg. Les tenanciers seront rémunérés avec une commission de 6 % prélevée sur les recettes. Les joueurs miseront sur deux, trois, quatre ou cinq numéros et les gagnants toucheront leur lot au Bureau général de la loterie, trois jours après le tirage.Jamais à court d'imagination.Pour le prix de sa peine, Casanova se fait attribuer six bureaux de recette, dont il en revend immédiatement cinq, ce qui lui permet un bénéfice immédiat de 10 000 francs. Pour attirer le maximum de parieurs dans son bureau de la rue Saint-Denis, il a l'idée géniale de promettre de payer les futurs gagnants, dès le lendemain du tirage, en avance de 48 heures sur le paiement officiel. Il avancera les sommes. Grâce à ce coup de génie, les Parisiens se bousculent dans son bureau, à la grande colère des autres tenanciers. Lors de ce premier tirage, Casanova encaisse 40 000 francs de paris et en paie 18 000 à ses gagnants. Au passage, il se met 2 400 francs de commission dans la poche. Globalement, ce premier tirage est une réussite avec 2 millions de francs de paris pour un gain de 600 000. Lors du tirage suivant de mai, les joueurs se disputent pour remettre leurs paris à Casanova. Où qu'il aille dans Paris, on lui remplit les poches d'or. Mais cette fois, il a parmi ses joueurs un gagnant à trois numéros à qui il doit payer 40 000 francs. Il faut avancer la somme. Il lui faut emprunter. Dans ses mémoires, le Vénitien ne parle plus de la loterie au-delà de ce deuxième tirage. Sans doute a-t-il continué quelque temps à en retirer pas mal de gains, car il poursuit un train de [size=18]vie fastueux. D'autres sources d'information font état de difficultés qui conduisent le Conseil de l'École militaire à se séparer des frères Calzabigi en juin 1759. Quoi qu'il en soit, Giacomo n'est pas en panne d'idées pour se créer d'autres sources de revenus. Il invente un loto grammatical, élabore un "projet d'une nouvelle méthode au bénéfice du loto de Rome". Il propose à Paris Duverney de créer un impôt sur les successions collatérales. Qu'il s'agisse de gagner de l'argent ou de mettre une femmedans son lit, Casanova n'est jamais à court d'imagination.[/size] marileine blog de partage
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: LES CATHARES + autres sujets??? Mer 8 Nov - 12:10 | |
| Café de la femme à barbe!!!!Dans les bars, il y a toujours un poivrot plus malin que les autres. Ce jour-là, c'est un certain Oscar, qui la met au défi de laisser pousser sa barbe pour 500 francs. Pari tenu. Quelques semaines plus tard, une épaisse barbe frisée orne le menton de Clémentine. Depuis ce jour, elle ne la quitte plus, et son bar ne désemplit plus. On vient de loin admirer cette étonnante pilosité. Du moment que le tiroir-caisse se remplit, cette curiosité ne la gêne absolument pas. Au contraire, même ! Elle rebaptise son établissement "café de la Femme à barbe". Quant au mari, il n'a apparemment pas voix au chapitre. Il ferme sa gueule et ravale sa barbe. Clémentine est une vraie femme d'affaires, elle édite une quarantaine de cartes postales qui la montrent dans des scénettes : en train de poser dans une cage aux lions, de promener son chien, ou encore en tenue masculine. Leur vente lui rapporte une petite fortune.Madame, vous avez plus de barbe que moi!!!!Et cette barbe, alors ? Voilà, voilà, nous y arrivons. Lors de la Pentecôte 1901, Clémentine et son époux prennent une journée de congé pour visiter la foire de Nancy. Lui trottine derrière son bonhomme de femme quand soudain elle s'arrête devant une baraque de foire. Un panneau invite à entrer pour admirer la femme à barbe. Intriguée, Clémentine entraîne son époux. À l'intérieur, une maigre femme avec, effectivement, du poil au menton. Celle-ci observe les deux arrivants, fixe Clémentine droit dans le menton, puis se penche vers elle : "Madame, vous avez plus de barbe que moi !" La cafetière n'est pas peu flattée du compliment d'une professionnelle. Le lendemain, en servant ses habitués, elle ne peut s'empêcher de narrer l'anecdote. Et de jeter aux ricaneurs : "Bande de cons, si je me laissais pousser la barbe, vous verriez ce que c'est qu'une vraie barbe."La Clementine à poils!!!!C'est vrai que dans le cas de Clémentine, ce n'est pas quelques poils, mais une forêt d'une vigueur peu commune [size=18]chez une honnête femme. Aussi prend-elle soin de se rendre régulièrement chez le barbier du village, en rasant bien évidemment les murs. La forte pilosité n'est pas le seul trait masculin qui l'honore, elle possède également une forte carrure, parle fort et jure comme un charretier. Inutile de préciser qu'elle porte la culotte à la maison, d'autant que son époux attrape vite des rhumatismes qui l'obligent à renoncer au fournil. Le couple vend donc la boulangerie pour acquérir un café, moins pénible à tenir. Attention, quand un client éméché fait du grabuge, c'est elle qui se charge de le vider. Ne pouvant avoir d'enfant, le couple adopte une petite fille.[/size] Un duvet prometteur...Petite [size=18]fille, rien ne prédestine la jeune Clémentine, fille d'agriculteur, à devenir la plus célèbre femme à barbe de son époque, sinon le développement d'une exceptionnelle pilosité dès sa puberté. "Je peux vous assurer qu'à dix-huit ans ma lèvre supérieure s'agrémentait déjà d'un duvet prometteur qui soulignait agréablement mon teint de brune." Ah ! La coquette ! Devenue femme, elle parvient à séduire un certain Joseph Delait, boulanger à Thaon-les-Vosges, qui accepte de l'épouser. Brave homme. Mais il faut dire qu'à cette époque, le poil n'était pas encore devenu l'ennemi n° 1 des femmes. La culture du ticket de métro ou du maillot brésilien n'a pas encore envahi les salles de bains. Quelques poils au menton ou une jungle épaisse à un endroit que la décence interdit de nommer n'effarouchent pas ces messieurs.[/size] C'était un 19 avril....Clémentine Delait est barbue et fière de l'être. Aussi, vers la fin de sa vie, elle exige qu'on inscrive sur sa pierre tombale : "Clémentine Delait, née Clatteaux, la femme à barbe." Le jour d'exaucer son voeu arrive le 19 avril 1939, quand la célèbre femme à barbe de Thaon-les-Vosges meurt d'une crise cardiaque à 74 ans. Sans doute qu'elle est alors montée au ciel pour tenir la promesse faite dans son autobiographie, publiée quelques années auparavant : "Ma dernière exhibition sera devant saint Pierre. En riant, je me rappellerai mes multiples aventures. Et peut-être, songeant à ma dernière demeure, je me réjouirai du bon tour que je jouerai à saint Pierre, quand, me présentant à lui, je lui dirai : " Mon vieux saint Pierre, je parie cinq cents francs qu'il n'y a pas une barbe aussi belle que la mienne dans ton paradis !" marileine blog de partage
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: LES CATHARES + autres sujets??? Mer 8 Nov - 12:18 | |
| Clementine, mascotte des poilus.Survient alors la Première Guerre mondiale. Naturellement, elle devient la mascotte des poilus. Au lendemain de l'armistice, la santé de son mari se dégradant encore, elle abandonne son café pour tenir une mercerie à Plombières, où Joseph peut soigner ses rhumatismes. C'est là que Barnum vient la trouver pour lui offrir une fortune si elle accepte de s'exhiber dans son cirque : 2 000 francs par semaine. Mais cette [size=18]femme admirable préfère rester près de son mari malade. Ce qui ne l'empêche pas, pour autant, de faire quelques extras en allant saluer des personnalités qui la demandent comme le prince de Galles à Londres, ou encore le Chah de Perse à Vittel. Devenue veuve à 63 ans, elle peut enfin donner libre cours à sa carrière de femme à barbe. Elle retourne à Thaon-les-Vosges pour ouvrir un bar où elle va jusqu'à organiser de modestes spectacles la mettant en scène avec sa fille adoptive et un perroquet. Avant de s'éteindre à 74 ans, victime d'une crise cardiaque. Comme un homme ![/size] Le point... marileine blog de partage
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