Dans ce paradis nocturne où brille la vie
J'aime à revoir ce désert
Car il est habité par un esprit
Aussi bien désespéré que solitaire
Qui me connaît comme un livre
Que l'on relit chaque année en souvenir
D'un passé habité par la joie de vivre
Et ce fantôme semble soudain s'évanouir
À chacun des pas que je fais vers lui
Mais dès qu'il m'entend rire
Il s'arrête, me regarde et sourit
C'est dans ces moments-là que je comprends
Que la vie vaut le coup d'être vécut
Quand on sait que quelqu'un nous attend
Immobile, telle une grande statue
Qui saurait écouter mes secrets
Et me soulager lorsque je pleure
Cet être immatériel empli d'éternité
Me fait souvent sortir vainqueur
De la tristesse et de l'amertume
Mais aussitôt il s'enfuit dans la brume
.............................*
...........................*.. *
......................*.*..... .*.*
.............* * * * *.........* * * * *
...............* *......................* *
...............* *.....................* *
.............* * * * *.........* * * * *
......................*.*..... .*.*
..........................*..*
.............................*
............................*
...........................*.. *
......................*.*..... .*.*
.............* * * * *.........* * * * *
..............* *......................* *
...............* *.....................* *
.............* * * * *.........* * * * *
.......................*.*.... ..*.*
.............................. *
............................*
..........................*..*
......................*.*..... .*.*
.............* * * * *.........* * * * *
...............* *......................* *
...............* *.....................* *
.............* * * * *.........* * * * *
.......................*.*.... ..*.*
...........................*.. *
.............................*
.
.
Quand je m'envole dans la nuit
Les nuages sont mes ailes
Et le vent me pousse vers l'infini
Comme un air immortel
M'emmenant à Valinor
Vers un pays d'amour
Où les fleurs sont d'or
Et où la vie dure toujours
Les plages de sable fin
Et la mer d'un bleu transparent
Enchantent mes matins
D'un doux parfum vivant
Les peuples de ces terres
M'acceuillent dans la joie
Le long d'un rivière
Où coule la foi
Ile au paradis caché
Rêve éclairé par le soleil
Cette beauté sans secret
Ne trouve pas de pareil.
[img]
[/img]
[img]
[/img]
et merci
à tous les visiteurs qui viennent sur ce forum
Ninnenne