marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Animaux - Oiseaux - Le roitelet huppé +serpentaire+condor Andes+chouette terriers Dim 21 Sep - 14:27 | |
| Animaux - Oiseaux - Le roitelet huppé -Le Roitelet huppé est un des plus petits oiseaux d'Europe avec une taille de 9 cm environ et un poids de 4 à 7 grammes. Le bec est noir, fin et pointu. Les pattes brun clair ont des doigts puissants permettant à l'oiseau de se tenir la tête en bas quand il se nourrit. Le plumage est jaune-vert dans sa partie supérieure, les ailes plus noirâtres ont deux raies blanches, le mâle a une calotte jaune et orange en son centre, elle est bordée d'un trait noir, celle de la femelle est jaune pur. Les plumes de la tête forment un diadème qui a donné son nom au Roitelet, elles se hérissent en cas d'excitation. [size=16]
[/size] Roitelet huppé On confond aisément Regulus regulus avec le Roitelet triple-bandeau (Regulus ignicapillus), mais ce dernier s'en distingue par des couleurs plus vives et une raie blanche au-dessus de l'œil alors que le roitelet huppé a l'œil cerné d'un rond blanc. Reproduction Le Roitelet a deux couvées par an, au printemps. Il niche tout en haut des conifères, les deux partenaires y construisent un nid suspendu avec de la mousse et des lichens liés par des fils de cocons d'insectes ou de toiles d'araignées, c'est un véritable réservoir thermique grâce aux plumes et crins qui le tapissent. La femelle est trop petite pour couvrir tous les œufs (7 à 11) qu'elle y pond, elle couve de 12 à 16 jours puis les deux parents participent à l'élevage à base de larves d'insectes et de petites araignées; 15 à 17 jours après l'éclosion, les jeunes commencent à voler, les parents les nourrissent encore une quinzaine de jours et commencent à préparer la prochaine couvée alors qu'ils nourrissent toujours la première. La femelle peut même pondre sa seconde couvée avant que la première ait quitté le nid! [size=16][/size] Nourriture Le Roitelet se nourrit essentiellement d'insectes et d'araignées, ses besoins deviennent énormes en période de migration; constamment en mouvement, son poids lui permet d'atteindre les rameaux les plus fins. Il inspecte branches et rameaux de conifères, en hauteur de préférence, au besoin, il descend et cherche sa nourriture même au sol mais ne consomme que ce qui est visible, y compris des graines, sans chercher à soulever les feuilles ou à fouiller les écorces qu'il se contente de sonder. Par temps chaud, il peut aussi cueillir la nourriture en voletant, sans se poser. La quantité consommée varie de 7-9 g au double ou au triple en période froide ou lors des migrations. [size=16]
[/size] roitelet huppé Ordre : Passériformes Famille : Régulidés
Biométrie: Taille : 9 cm Envergure : Poids : 5 à 7 g Longévité : 7 ans ------------------------------------------------------------------------------------------------ [size=24]Animaux - Oiseaux - Le serpentaire -Le serpentaire (Sagittarius serpentarius) est un rapace, également appelé secrétaire des serpents. C'est un redoutable prédateur de la savane africaine. Le serpentaire est un oiseau étrange qui se différencie des autres rapaces par sa structure et son mode de vie. Régime alimentaire :Rapace des savanes africaines, le serpentaire doit son nom à son goût pour les serpents, mais il se nourrit surtout de lézards, de petits mammifères, d'oiseaux et d'insectes. [size=16]Bien que sa réputation de tueur de serpents soit pleinement justifiée, ces derniers n'entrent qu'occasionnellement dans son régime habituel. Il se nourrit donc en partie de serpent qu'il tue avec son robuste bec et ses grandes serres, de petits reptiles, sans dédaigner insectes, scorpions ou même les rats. Il frappe de sa patte à 3 doigts les emplacements susceptibles d'abriter l'une de ses proies de prédilection jusqu'à ce que cette dernière dérangée se manifeste. Du même geste vif de la patte, le serpentaire frappe sa victime et lui casse les vertèbres et l'achève d'un coup de bec.[/size] Lorsqu'il s'attaque à un gros serpent, il déploie ses ailes pour impressionner et déstabiliser, puis commence un ballet de mort commence. La victoire est quasi certaine car le serpent a peu de chance de réussir à mordre l'oiseau à travers son plumage épais. Le grand serpentaire choisit ses proies à mesure de la contenance de son estomac.Comportement : Lorsque les couples chassent ensembles, ils parcourent les plaines ouvertes se tenant à distance de vue soit six à huit cents mètres l'un de l'autre. Cet oiseau est un grand coureur (même s'il vit en couple), il peut marcher durant plusieurs kilomètres sans se fatiguer. Pour s'envoler il est obligé d'entamer une course mais dès qu'il a pris de l'altitude, il plane avec aisance sur de longues distances.[/size] Ces oiseaux vivent en couple. Le nid de branchages construit dans un arbre mort est utilisé plusieurs années de suite et devient parfois énorme. Deux petits y sont élevés chaque année, couvés pendant 6 semaines puis nourris par les deux adultes.
[size] Habitat Il vole le cou et les pattes tendus, mais préfère marcher dans les savanes, et les prairies claires du sud du Sahara.Il marche à longues enjamber à la recherche d'insectes, de lézards ou de serpents, il peut parcourir jusqu'à 32 km par jour, ce qui est un comble pour un oiseau.Reproduction: Les adultes effectuent des vols onduleux, gonflent leur plumage de la tête et émettent des signaux juste avant l'accouplement.Le nid composé de branchages et d'herbes, de 2m de diamètre est construit par les deux partenaires.La femelle pond de 1 à 3 œufs, et le couple se partage l'incubation pendant 43 jours. Lors de la relève, l'adulte apporte de l'herbe à son partenaire qui le reçoit par des courbettes et un concert de cris.Les parents régurgitent une bouillie verte d'insectes aux jeunes.L'envol a lieu au bout de 65 à 105 jours. [size=16][/size] Période de nidification : coïncide avec la saison des pluies. Nombre de couvaisons : une par an. Nombre d'œufs : 1 à 3 ; bleu-vert pâle ou blanc. Incubation : 45 jours. Envol : 2 - 3 mois, habituellement 75 - 85 jours. MORPHOLOGIE :[size=16]Aspect[/size] [size=16] De la tête au sol il mesure de 1 à 1,20 m pour un poids de 4 à 5 kg et une envergure de 2,10 m environ. Son plumage est gris bleuté et noir, sa tête porte une vingtaine de plumes noires qui lui donnent un aspect particulier et à laquelle il doit son autre nom de secrétaire.[/size] [size=16] Bande noire sur la queue. Ventre et dessous des ailes blanc contrastant avec le bout des ailes. Face rouge et iris brun. Pattes roses, cire grise. La femelle est légèrement plus grande. Il est doté de pattes très longues et robustes car il vit exclusivement au sol.[/size] [size=16][/size] 1 - Huppe :Quelques plumes érectiles forment une huppe à l'arrière de la tête. Cette huppe est dressée lors de la parade.
[size=16]2 - Nid:Construit au sommet d'un épais buisson épineux ou d'un grand arbre, il atteint 2 m de diamètre. Il est fait de branchette et garni d'herbes.[/size] 3 - Oeufs : L'incubation est assurée par la femelle seule.4 - Mode de chasse :L'oiseau porsuit les serpents en courant en zigzag et en battant des ailes pour les effrayer. Agile, il fait des écarts rapides pour éviter leurs attaques. Le serpentaire attrape le serpent par derrière la tête et serre très fort pour briser la colonne vertébrale. [size=16]
[/size] RÉPARTITION GÉOGRAPHIQUE :La protection dont jouit depuis quelques années le serpentaire devrait rendre moins rare, en Afrique, cet étonnant rapace. Il vit dans les savanes, steppes et bouquets d'arbres de la majeure partie de l'Afrique, depuis le Sud du Sahara jusqu'à la province du Cap.Identification Classe : Oiseaux Ordre :Falconiformes Famille : Sagittaridés[size=16]Nom scientifique :Sagittarius serpentarius Nom commun :Serpentaire
Longueur : 1,25 - 1,50 m Envergure : 1,90 m Poids : 3,4 kg - 4 kg[/size] [/size] ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Animaux - Oiseaux - Le condor des Andes -Très grand rapace diurne des Andes, le condor (Vultur gryphus) était vénéré par les Incas sous le nom de Kutur-Kuntur. Dieu de l’Air, le condor des Andes (Andean Condor), après avoir connu une suprématie des airs en Amérique du Sud, a connu la persécution de l’homme. Aujourd’hui, seules les montagnes les plus escarpées du Pérou, tel le canyon de la Colca, du Chili et de l'Argentine abritent des populations de condors encore denses.
Le condor faisait partie de l’ordre des Falconiformes auquel appartiennent de nombreux oiseaux de proie tels le vautour, l’aigle ou le faucon. Il a été récemment inclus dans l’ordre des Ciconiiformes auquel appartient la cigogne ou le héron.
La légende du condor des Andes Dans les montagnes les plus escarpées des Andes, le condor reste encore la mythique créature du dieu inca Pachacamac. Croiser le regard du plus grand oiseau du monde est un instant privilégié.
Condor des Andes. image Keven law Les anciennes civilisations andines vénéraient le condor. Cet oiseau est représenté sur des poteries et des statues en pierre. Il apparaît également sous la forme d’une gigantesque silhouette gravée dans le désert des hauts plateaux de Nazca, au Pérou. (Tracés de Nazca) Au Pérou, la fabuleuse cité du Machu Picchu est le lieu sacré où, d’après les Incas, le monde a commencé. Erigé entre 1460 et 1470, l’un des monuments a été baptisé « Temple du Condor ». En effet, sa forme rappelle celle du rapace au moment où il prend son envol. Le temple a été construit adossé à un rocher.
Les Incas déposaient des momies dans ses nombreuses niches car ils croyaient que le condor transportait les âmes vers l’au-delà.
Temple du Condor. image Col.hou Mais, il faut préciser que ce sont les archéologues qui ont donné des noms aux divers quartiers de Machu Picchu selon leurs caractéristiques. Portrait du condor des Andes Pour pouvoir admirer cet oiseau, il faut grimper au sommet des canyons. Le canyon de la Colca, au Pérou, est réputé pour abriter les dernières populations assez importantes.Ce canyon forme un à-pic de 3 300 mètres, soit près de deux fois la profondeur du Grand Canyon du Colorado. Canyon de la Colca. image nerdcoregirlAvec de la patience, vous verrez alors tournoyer avec le premier courant d’air chaud un condor au corps massif d’environ 12 à 15 kilos pour trois mètres d’envergure.Des taches blanches étincellent sur ses larges ailes noires. Sa collerette duveteuse et immaculée le protège du froid en altitude. Condor des Andes.Colca Canyon . image MatitoLe mâle se distingue de la femelle par sa crête charnue et son iris brun clair.La plume et la peau sont les deux éléments essentiels au condor pour maîtriser les courants. Certaines de ses plumes fonctionnent comme des gouvernes d’avion.La peau ultrafine et rosée de son crâne peut ressentir les variations atmosphériques.Le condor mâle mature arbore avec fierté une collerette immaculée parfaitement remontée sur son cou rose.Habitat et mode de vie du condorAujourd'hui, l'oiseau géant figure dans les armoiries de quatre pays andins, la Colombie, l'Équateur, la Bolivie et le Chili.Pourtant, on sait peu de chose de lui, sinon que son nombre décroît de manière alarmante dans son fief ancestral.À l'époque de la conquête espagnole, le condor était une apparition fréquente, des côtes Caraïbes de l'Amérique du Sud aux sommets tempétueux de la Patagonie, et partout dans la cordillère des Andes, la plus longue chaîne de montagnes du monde (7200 kilomètres). Condor des Andes. image belgianchocolatePuis la désertification rurale, la réduction de ses ressources alimentaires et la persécution implacable dont le condor a fait l'objet, ont créé des espaces vides de plus en plus vastes sur la carte de ses anciens territoires.L'espèce a disparu au Venezuela. En Colombie, la population native ne cesse de se réduire. En Equateur, il ne resterait que 80 à 100 individus.Quelques falaises escarpées au Pérou, au Chili et en Argentine protègent encore le condor de la persécution des hommes.Au Pérou, il niche dans les hautes falaises surplombant la mer. On peut le voir sur les plages péruviennes où il se nourrit de poissons et de cétacés morts. Condor des Andes en plein vol. image BluelemurDans les Andes, il vit entre 3 000 m et 5 000 m d’altitude.C’est un rapace sociable qui aime à se regrouper entre congénères la nuit. Ils se rassemblent sur les corniches rocheuses.Les jeunes, au plumage sombre, s’exercent à des piqués et organisent de véritables combats aériens. Les couples, imposants, se croisent parfaitement synchrones.Il existe une hiérarchie développée chez les condors. Selon la tradition andine, un vieux mâle baptisé « Apu » (le sage) donne le signal à ses congénères pour attaquer une carcasse.Les légendes racontent que les condors, aussi affamés soient-ils, n’attaquent jamais un cadavre avant que l’Apu ait décidé si elle était saine ou non.La légende semble rejoindre l’observation scientifique sur un point puisque l’on sait que lors des repas, les « dominants » se servent toujours les premiers, les autres attendant leur tour.La hiérarchie est établie lors de combats d’intimidation.Le condor : un charognardLe condor des Andes est un formidable charognard. Où que la mort frappe, ce fossoyeur de la nature n'est jamais loin pour nettoyer au plus vite une carcasse. Ce qui permet de prévenir la propagation des maladies parmi les grands mammifères.Seigneur de son territoire, il arrive à point nommé aux endroits les plus inattendus pour se repaître.L'un des spectacles les plus saisissants que l'on puisse observer au Pérou est de le voir plonger du haut du ciel et piquer au ras des vagues qui se fracassent sur la côte désertique du pays. Son arrivée coïncide avec la migration des lions de mer, venus par milliers du sud de l’Amérique, donner naissance à leurs petits sur la terre ferme, au mois de décembre.Le condor parcourt plusieurs centaines de kilomètres pour aller se repaître du placenta. Le condor des Andes est un charognard.Comment sait-il que les lions de mer arrivent à cette époque ? Nul ne le sait. Il semblerait que le condor soit doué d’une mémoire exceptionnelle qu’il transmet à sa descendance.Toujours est-il qu’il navigue sans problème jusqu’à sa destination et ne rate jamais ce rendez-vous.Le condor a la réputation d’être un tueur de bétail ce qui lui a valu d’être presque exterminé.On l’accuse d’attaquer les jeunes alpagas ou de tuer des vaches en les précipitant dans le vide. Cette dernière affirmation paraît douteuse.Il suffit d'observer l'anatomie du condor pour comprendre que les extrémités de ses pattes le rendent physiquement incapable d'un tel exploit. Pattes d'un condor des Andes. image cj berry 2009L'accusation n'en persiste pas moins. D'autant que la subsistance des condors dépend de plus en plus du bétail laissé à pâturer dans les montagnes. Depuis que le gibier sauvage, le daim, la vigogne, un camélidé andin, et le guanaco, l'ancêtre sauvage du lama, ont quasiment été anéantis par les chasseurs, le condor se nourrit des dépouilles d'animaux domestiques.S'il n'est pas impossible que le condor sème la panique dans les troupeaux en les survolant à très basse altitude, au point que les bêtes se précipitent dans le vide, il se peut aussi que son habileté à découvrir une carcasse fraîche lui fasse endosser la mort de l'animal.La reproduction du condor des AndesLe rapace est connu pour vivre cinquante ans ou plus en captivité. Il fait partie des oiseaux terrestres qui ont la plus grande longévité.Les condors, dont la mortalité naturelle est extrêmement basse à l'état sauvage, ont rarement besoin de faire leur nid. Et quand ils le font, la totalité du cycle de reproduction dure plus d'une année.La seule incubation de l'oeuf, unique et énorme, prend deux mois. Une fois l'oeuf éclos, le petit ne vole pas avant six mois. La mère et le père le nourrissent et le guident pendant encore plusieurs mois, jusqu'à ce qu'il acquière le savoir nécessaire pour survivre. Un condor des Andes peut vivre plus de 50 ans en captivité. image cj berry 2009Son apprentissage consiste à mémoriser la configuration du terrain, à savoir débusquer la nourriture, à éviter les dangers. Mais pour devenir indépendant, il doit avant tout perfectionner sa technique de vol par une longue pratique. Ce n’est pas avant six ans que le jeune condor perd ses plumes d'un marron sale pour se parer de l'étonnant plumage blanc et noir de l'adulte.Entre-temps, il aura pris sa place dans la société de ses semblables et noué un lien privilégié avec la congénère qui sera probablement sa compagne d'une vie.Alors viendra le moment de trouver la grotte idéale où élever le premier petit.La reproduction étant particulièrement lente, si trop d’adultes sont tués, la population décroît très rapidement.ClassificationRègne: Animalia Embranchement: Chordata Classe: Aves Ordre: Ciconiiformes ((anciennement Falconiformes) Famille: Cathartidae Genre: Vultur Lesson, 1842 Espèce: Vultur gryphus ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Animaux - Oiseaux - La chouette des terriersCette chouette (Speotyto cunicularia) vit en Amérique du Nord. Sa principale caractéristique est d’installer son nid sous terre, dans les galeries qu’elle emprunte à d’autres animaux. La chouette des terriers mesure de 18 à 26 cm. On l’a trouve dans l’ouest des Etats-Unis, notamment la Californie mais également au Mexique, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Elle apprécie les zones arides et les déserts. Le chant du mâle est un « gouhouk » proche de celui du coucou. Pour séduire, la chouette des terriers fait la « révérence ». Elle se dresse, puis se tapit et, un instant plus tard, s’étire de nouveau. Photo Jacana Quand on dérange un couple, les deux partenaires lancent un « keckeckeck » ou font entendre un claquement atone, comme les serpents à sonnette. Illustration de Harvey Martin Cette chouette chasse aussi bien le jour qu’au crépuscule. En général, elle repère sa proie en s’installant sur un observatoire ou en volant au ras du sol. Elle poursuit alors les petits mammifères ou les batraciens de rapides coups d’ailes ou, au sol, en courant sur leurs longues pattes.
La femelle couve une fois par an, en mai, 3 à 6 œufs. L’incubation dure 21 jours et l’élevage des petits par les deux parents, environ 60 jours. Monogames, ces rapaces de l’ordre des Strigiformes, font leurs nids dans les terriers abandonnés de certaines mammifères comme les écureuils terrestres ou les chiens de prairie et voire même de grands reptiles. Ils peuvent également creuser leur propre galerie. Long de 3 m environ, le terrier s’enfonce à un mètre de profondeur. L’entrée de l’abri est marquée par des débris de nourriture entassés. Dans cette « poubelle », on trouve des restes de lapins, de mulots et de rats.
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