TRAITES ENVIRONNEMENTAUX MONDIAUX Diplomatie verte
En savoir plus :
Protection de l'environnement et développement durable : quelles évolutions depuis 20 ans ?
Publié Le 7 Novembre 2011 à 11h36
Le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) a publié un nouveau rapport qui analyse l'évolution du climat et des politiques environnementales au fil des deux dernières décennies, et ce alors que la population mondiale a atteint 7 milliards d'individus. Changement climatique, énergies renouvelables, gestion des ressources naturelles, biodiversité, agriculture biologique,... quelles ont été les évolutions en 20 ans et où en est-on aujourd'hui ?
[url=http://brigitisis.centerblog.net/Protection de l'environnement et d%C3%A9veloppement durable : quelles %C3%A9volutions depuis 20 ans ? Publi%C3%A9 Le 7 Novembre 2011 %C3%A0 11h36 Le Programme des Nations Unies pour l%27environnement (PNUE) a publi%C3%A9 un nouveau rapport qui analyse l%27%C3%A9volution du climat et des politiques environnementales au fil des deux derni%C3%A8res d%C3%A9cennies, et ce alors que la population mondiale a atteint 7 milliards d%27individus. Changement climatique, %C3%A9nergies renouvelables, gestion des ressources naturelles, biodiversit%C3%A9, agriculture biologique,... quelles ont %C3%A9t%C3%A9 les %C3%A9volutions en 20 ans et o%C3%B9 en est-on aujourd%27hui ? http:/www.bioaddict.fr/article/protection-de-l-environnement-et-developpement-durable-quelles-evolutions-depuis-20-ans-a2336p1.html][size=13]http://www.bioaddict.fr/article/protection-de-l-environnement-et-developpement-durable-quelles-evolutions-depuis-20-ans-a2336p1.html[/url][/size]
Capture d'écran d'une vidéo de la Nasa montrant les émanations de CO2 sur la planète en une année.
La Terre a dépassé plusieurs seuils écologiques cruciaux...
Températures, biodiversité, pollution des sols: tous les signaux sont au rouge. Dans une mise à jour d’une étude parue en 2009, publiée par Nature, des chercheurs internationaux dressent un constat alarmant.
Températures : la limite des +2°C en péril
Le seuil des +2°C d’augmentation de la température moyenne planétaire, que les climatologues estimaient être la limite au-delà de laquelle les phénomènes climatiques pourraient devenir totalement erratiques, semble bien devoir être dépassée. Dans l’étude, les chercheurs notent que la concentration en particules de dioxyde de carbone dans l’atmosphère a dépassé les 350ppm (parties par million) et se situe aujourd'hui aux environs de 400 ppm, ce qui laisse augurer «une augmentation du risque d’effets dommageables dans certaines régions, comme ce que l’on peut par exemple observer avec les canicules et les sécheresses en Australie». Au-delà de 450 ppm, c’est toute la planète qui serait concernée.
Biodiversité : dix à cent fois plus d’extinction d’espèces que la normale
On ne connaît pas le nombre exact d’espèces animales et végétales qui s’éteignent chaque année, mais les scientifiques sont désormais sûrs que la limite de 10 espèces disparues par an sur environ un million, considérée comme sans impact pour l’équilibre global des écosystèmes, est largement dépassée. L'érosion actuelle des espèces serait dix à cent fois supérieure.
Forêt : de nombreuses régions passent sous le taux de couverture forestière de 75%
Brésil, [size=13]Afrique équatoriale, Asie du Sud-est… Les régions de forêts primaires dans le monde sont en train de passer sous le seuil des 75% de couvert forestier considéré comme soutenable par les scientifiques. Si la forêt amazonienne s’en sort encore bien, les autres forêts ne couvrent plus, en moyenne, que 60% de la surface qu’elles occupaient avant que l’agriculture ne prenne la place.[/size]
Pollution des sols : l’azote et le phosphore gagnent les sous-sols
C’est la principale leçon de la mise à jour de l’étude : l’azote et le phosphore, utilisés pour fertiliser les sols agricoles, sont en train de se concentrer de façon inquiétante. Les écosystèmes des rivières et les nappes phréatiques pourraient payer un lourd tribut et les phénomènes d’eutrophisation, responsables de la pullulation de certaines algues, pourraient se multiplier.
Source : 20minutes.fr
[size=13]http://www.agirpourlaplanete-lelivre.com/news-hebdomadaires/menaces-environnementales/[/size]
...
Selon ce que racontent les chroniques de la Conquête, les indiens nomades qui utilisaient des écorces d’arbres pour se vêtir ne dépouillaient jamais un tronc dans sa totalité pour ne pas condamner l’arbre à mourir et les indiens sédentaires semaient des cultures variées en alternant des temps de repos pour ne pas épuiser la terre. La civilisation qui venait imposer les dévastatrices monocultures destinées à l’exportation ne pouvait pas comprendre ces cultures intégrées à la nature et elle les confondit avec la vocation démoniaque ou l’obscurantisme.
Pour la civilisation qui se dit occidentale et chrétienne, la nature était une bête féroce qu’il fallait dompter et châtier pour la faire fonctionner comme une machine mise à notre service depuis toujours et pour toujours. La nature, qui était éternelle, nous devait sa servitude.
Très récemment nous avons appris que la nature se lasse, comme nous, ses enfants, et nous avons su que, comme nous, elle peut mourir assassinée. On ne parle plus de soumettre la nature ; aujourd’hui, même ses bourreaux disent qu’il faut la protéger. Mais dans un cas comme dans l’autre, nature soumise ou nature protégée, elle est pensée comme située hors de nous.
La civilisation qui confond les horloges avec le temps, la croissance avec le développement et la grande taille avec la grandeur, confond de même la nature avec le paysage, pendant que le monde, labyrinthe qui ignore le centre, se consacre à briser son propre ciel.
[size=13]http://goudouly.over-blog.com/page/34[/size]
Le 29 janvier 2013, j'avais crée cette rubrique qui correspond au livre "Home" de Yann Arthus Bertrand, édition de la Martinière. Et ce soir ce sont les dernières pages...
"Si "Home", le film est un voyage, "Home" le livre est un guide.
Il nous a permis d'approfondir les thèmes majeurs abordés dans le film de Yann Arthus-Bertrand, pour mieux comprendre et répondre aux grands enjeux auxquels l'humanité doit faire face.
Il nous a apporté des synthèses claires et accéssibles et démêlait des questions difficiles.
Il éclairait les vieux problèmes d'un jour nouveau.
Son message principal étant :
"L'écologie n'est pas qu'une volonté de protéger notre planète, c'est une nouvelle vision du monde."
J'avais approfondi chaque chapitre avec des recherches personnelles dont je vous ai mis les liens.
Sujet vaste et inépuisable...et tellement primordial pour la survie de l'humanité.
Ninnenne