Avec le temps Jean Marc Gonnetan
Avec le temps
Non, rien de rien
Ne me quitte pas
Il ne me reste de mots à composer
Que celui de nous déchirer
Que celui de nous séparer
Que celui de revivre mon amour
Qui à tes genoux
Qui en baisers de passions
Vibraient nos coeurs
Il ne me reste plus de verbe à te donner
Que ceux qui réveillent un [size=18]amour réel
Que ceux de mille je t'aime
Que ces absences qui blessent mon coeur[/size]
Il ne me reste plus de poèmes à t'écrire
Que celui que je te donnerai maintenant
Mon [size=18]amour, mon amour
Que la terre est sèche sans toi
Mon amour, mon amour
Que la mer n'a plus d'horizon sans toi
Mon amour, mon amour
Que mon âme n'a plus d'aura sans toi
Mon amour, mon amour
Que mon coeur n'a plus de vie sans toi
Mon amour, mon amour
Je reviens à toi
Semer la terre d'arbres et de fleurs
Je reviens à toi
Pour un nouveau soleil à l'horizon
Je reviens à toi
Lier mes sens aux tiens
Je reviens à toi
T'aimer, t'aimer et t'aimer encore.[/size]
Jean-Marc Gonnetan
Silence Jean-Marc Gonnetan
Si le silence n'était que notre seul amour
Tu n'aurais jamais été si près de moi
A l'oubli des mots qui nous ont séparés
A la mémoire des regards qui nous ont unis
Jamais je ne saurais atteindre l'indifférence
Pardonne le mal que je t'ai fait
Pardonne les absences
J'ai le coeur blessé
D'impossibles cicatrices
J'ai la bouche sèche au souvenir
Des baisers de tes lèvres
J'ai le regard errant
D'un horizon perdu
J'ai les mains vides de douceur
L'âme en parfums inoubliables
La [size=18]vie n'est qu'impossible amour
Tu es mon amour, mon impossible amour[/size]
Je voudrais tant être encore une place en toi
Comme tu l'es en moi
Il est tant de chansons
A l'amour, à la peine, à la passion
Je ne connais que si peu de paroles
Que si peu de musiques
Il est tant d'airs qui bercent mes [size=18]pensées pour toi[/size]
Ne me dis pas
Que les parois de ton coeur
Sont acquises à notre indifférence
Comme je ne te dis pas
Il est des jours comme aujourd'hui
Que j'aurais voulu plus près de toi.
Jean-Marc Gonnetan
Dans la beauté Poème des Indiens Navajo
Dans la beauté je marcherai
Tout le jour je marcherai
Au travers des saisons je marcherai
Dans la beauté je retrouverai,
Dans la beauté les [size=18]oiseaux,
Dans la beauté les oiseaux espiègles
Sur la piste poudrée de pollen je marcherai
Au milieu des sauterelles je marcherai
Les pieds dans la rosée je marcherai
Avec la beauté je marcherai[/size]
Avec la beauté devant moi je marcherai
Avec la beauté derrière moi je marcherai
Avec la beauté au-dessus de moi je marcherai
Avec la beauté tout autour de moi je marcherai
Dans mes vieux jours, sur une piste de beauté,
d'un pas vif, je marcherai,
Dans mes vieux jours, sur une piste de beauté,
rempli d'une vie nouvelle, je marcherai,
Finir en beauté.
Finir en beauté.
Poème des Indiens Navajo
Quoi de plus beau que de marcher dans la nature, de la contempler, d'écouter les oiseaux et le vent dans les arbres...
Et quelle belle fin de finir en marchant ainsi...
Sagesse Indienne " les 4 principes"
Les 4 principes de la spiritualité» d'Inde.
1er principe : « Quiconque vous rencontrez, est la bonne
personne. »
2ème principe : « Peu importe ce qui est arrivé, c'est la seule
chose qui pouvait arriver. »
3ème principe : « Chaque moment est le bon moment. »
4ème principe : « Ce qui est terminé, est terminé. »
Ou ne pas vivre de regrets, d'amertume...
Il faut aller de l'avant, positiver pour continuer, et toujours
garder l'espoir pour demain...
Aux musiques lentes Jean-Marc Gonnetan
Aux musiques lentes
Aux musiques lentes
Qui si souvent si tristes
Chantent les adieux et les déchirements
L'amour qui me traverse ce soir pour toi
A la lenteur de ces musiques
Qui saignent mon [size=16]coeur et mon corps
Des amours impossibles[/size]
Ce soir je ne sais plus ce qu'est l'amour
La [size=16]tendresse des sommeils de nos nuits
La souffrance immédiate de nos absences[/size]
Je ne sais pas je ne sais plus
Si je pourrai encore être homme
L'espace n'a plus de repère sans toi
La vie n'a plus de couleurs sans toi
En ton absence leurs palettes s'effacent
En transparence, en inutilités
Je ne comprends plus ce vide
Je ne sais plus ce vide
Ni mon regard, ni mes mains
Ne sauraient appartenir à d'autres femmes
Les soupirs de l'amour
Ne s'échapperont qu'en nos étreintes.
Jean-Marc Gonnetan
Ninnenne