La légende du Chrysanthème
La légende des chrysanthèmes
C’était il y a bien longtemps, lorsque les médicaments se trouvaient dans les prés ou au pied d’un autel… un pauvre homme qui ne possédait pas grand-chose, sinon une vilaine masure branlante, une carriole prête à s’effondrer, un âne qui se nourrissait de l’herbe des bords de route l’été et d’un peu de foin l’hiver. Il possédait aussi quelque chose d’une grande valeur, unique et rare ; il possédait l’amour de sa femme.
Cependant, après le froid rigoureux que le printemps essayait de faire oublier, celle-ci tomba malade. Le médecin voulut bien venir jusqu’à elle, mais avoua son ignorance dans les soins à lui apporter. Il le prit à part et lui dit : « Je n’ai rien à lui apporter. Il faut s’attendre au pire et prier… » L’homme devint si blanc que l’homme de sciences lui demanda de s’asseoir. Le paysan tout loqueteux qu’il était aimait son épouse, car le sentiment n’a rien à voir avec les biens, tout au contraire !
Il prit la résolution de lui apporter chaque jour des fleurs cueillies dans les champs. Elle le vit revenir ainsi tous les soirs, son bouquet maladroitement mais fraîchement cueilli qu’il posait dans un bocal à hauteur de son visage, de façon à ce qu’elle puisse le voir. « Je sais que je vais mourir », lui dit-elle. « Car sinon, pourquoi m’apportes-tu chaque jour que [size=16]Dieu fait des fleurs ?» Et elle le regardait tout en lui souriant avec douceur, creusant ainsi un peu plus ses joues pâles. « Un mari n’a-t-il donc plus le droit de faire plaisir à sa femme ? » répondit-il avec humeur, tout en s’éloignant afin qu’elle ne vit pas sa peine.[/size]
En allant dans les prés pour surveiller les bêtes qu’on lui donnait à garder, il cherchait du regard s’il apercevait quelques tiges surmontées de corolles. Il passait ainsi tout le jour à rassembler des fleurs sur lesquelles il pouvait verser des larmes sans être vu. Il se rendait pratiquement toujours là où il savait où les trouver. Les pétales mouillés de son chagrin finirent par prendre des couleurs vives. Certains finirent même par se multiplier étrangement.
Il s’aperçut un beau jour que de nouvelles variétés semblaient miraculeusement se créer sous le sel de sa peine. Il en fut si étonné qu’il décida d’en rassembler beaucoup entre elles et de les ramener à sa dulcinée. La gerbe était si grosse qu’il en souriait par avance de sa surprise !
Il poussa vivement la pauvre porte, s’approcha du lit et chercha des yeux le regard de son aimée.
En ne rencontrant que les paupières closes, il en lâcha les tiges qui s’entrecroisèrent sur le corps devenu froid, le parsemant des couleurs du printemps bien avancé.
Depuis, à chaque Toussaint, la tradition veut qu’on offre des chrysanthèmes aux disparus,
mais qui se rappelle pourquoi ?
Dans le langage des fleurs, le chrysanthème représente la joie et l'optimiste, l'abondance et la santé.
Les chrysanthèmes rouges symbolisent l'amour, les jaunes de nouvelles opportunités, et les blanches, la sincérité.
Dans les pays d'Europe, particulièrement en Autriche, en Belgique, en Italie et en France, le chrysanthème est symbole de mort, on l'appelle parfois "la marguerite des morts", alors qu'au Japon le chrysanthème symbolise l'immortalité.
Il ne faut pas avoir peur de planter ces soleils multicolores dans vos jardins, un dicton chinois nous dit:
"Si tu veux être heureux toute une vie, cultive des chrysanthèmes".
http://lespoilusdemalouisiane.centerblog.net/4086-chrysantheme-ou-fleur-or-?ii=1
Une belle histoire d'amour et le chrysanthème est une fleur qui symbolise l'amour...
Le chrysanthème est, pour les Japonais, une fleur sacrée qui
est source de rire et de joie.
Selon une vieille légende Japonnaise, une jeune [size=16]Fille voulait[/size]
s’assurer de l’amour de son fiancé.
Un [size=16]Dieu lui conseilla de choisir une fleur dans le jardin et il[/size]
ajouta que son Époux l’aimerait autant d’années que la fleur
avait depétales.
La jeune [size=16]Fille choisit un œillet persan et commença à en
[/size]
séparer les pétales en plus de deux cents lanières avec une
épingle à cheveux.
C’est ainsi qu’une nouvelle variété de Fleur était née :
« Le Chrysanthème ».
[size=16]http://hurlu7700.wordpress.com/2011/11/01/la-legende-du-chrysantheme-et-la-toussaint/[/size]
Une autre belle histoire...le thème de l'amour va bien à ces belles fleurs d'automne.
La Légende du Chrysanthème
Il y avait au Japon, un jardinier amoureux.
Sa belle était coquette, elle avait de nombreux soupirants et il redoutait de la perdre. Souvent dans le jardin, tout en soignant ses fleurs, il interrogeait le ciel :
« Combien de temps ma bien-aimée me sera-t-elle fidèle ? pourrais-je la garder toujours ? »
Bien sur, le ciel ne lui répondait pas et quand il voyait sa fiancée si belle souriant à tous ceux qui la courtisaient son pauvre coeur était malade. Comment lui, modeste homme de la terre pouvait-il espérer garder pour lui seul cette fleur ravissante dont la vue charmait les princes.
La jeune fille entourée de ses admirateurs ne semblait pourtant voir que lui ; pour lui ses yeux étaient plus doux, son sourire plus tendre, pour lui elle chantait ses plus belles chansons.
« Oui, mais pour combien de temps se demandait le jardinier ? Elle est si belle, je suis si pauvre, si modeste. Un jour c’est certain, un de ces princes va me la prendre. »
Pour l’instant la belle lui gardait sa préférence.
« Combien de temps ? Combien de temps ? demandait-il aux fleurs. Combien de temps », demandait-il aux arbres ?
« Combien de temps, Rosée du matin ? Combien de temps, Ombres du soir ? »
Ni l’herbe ni les fleurs, ni les arbres, ni les escargots, ni les coccinelles, ni les vers de terre, ni les légumes, ni les hérissons, jamais aucun des hôtes du jardin ne lui répondait.
Un jour qu’avec angoisse il interrogeait des marguerites, une larme tomba sur une des fleurs et un génie sortit d’une corolle, tout habillé de jaune avec un large col blanc.
« Pourquoi ces larmes gentil jardinier ? Qui d’entre nous t’a fait du chagrin ? »
« Personne, jamais personne dans ce jardin ne m’a fait de peine ; c’est vous au contraire qui me consolez ; »
« Pourquoi, gentil jardinier, as-tu besoin d’être consolé ? »
« C’est ma fiancée, Génie des Marguerites ; elle est si belle et moi je suis si pauvre ! Un pauvre petit rien du tout et je voudrais tant qu’elle m’aime toujours ! »
« Toujours, je ne sais pas, dit le génie en montrant une fleur. Mais je te promets l’amour de ta fiancée pour autant d’années que cette corolle a de pétales. »
Le jardinier cueillit la fleur, compta les pétales, hocha la tête. Alors il prit à son revers une longue épingle et effilocha la corolle. Elle eut bientôt tant de pétales qu’il devint impossible de les compter.
PP
[size=16]http://rvcontes.blogspot.fr/2009/11/la-legende-du-chrysantheme.html[/size]
Ninnenne