Tout au long de la journée, nous sommes avec [size=16]Pierre Bonte. Journaliste, écrivain, homme de radio et de télévision, toute la France le connaît depuis les émissions de Jacques Martin : "Le petit rapporteur" & "La Lorgnette".[/size]
Il a aussi présenté pendant plus de 30 ans des émissions consacrées aux villages, notammentBonjour Monsieur le maire, ou Le bonheur est dans le pré (oui, c'est lui qui a déposé le titre, d'après un poème de Paul Fort). Il publie [size=16]La France que j'aime, version illustrée de son best-seller sorti en 2008. Ce sont ses coins préférés de France ; pas forcément les villages chic ou touristiques, mais les coins authentiques.Avec des vrais gens, "mes paysans" dit Pierre Bonte.[/size]
Dans son livre, nulle trace du Mont Saint-Michel, ou Saint-Paul de Vence. Mais il y a un village méconnu, dont le nom est pourtant connu dans le monde entier : Le village de Camembert. 216 habitants seulement. Et pourtant, même aussi peu nombreux, les problèmes peuvent être "insolubles"...
Celui qui s'est battu pour faire connaître la France profonde regrette qu'aujourd'hui la campagne soit devenue à la mode. On y tourne même des émissions de télé-réalité. Eh bien justement, ça aussi, ça fait un peu peur à [size=16]Pierre Bonte. [/size]
Parmi les grandes heures de la télé, il y a bien sûr Le petit rapporteur. Et parmi ses coins préférés de France, [size=16]Pierre Bonte a consacré plusieurs pages au village de Montcuq, dans le Lot. Ça s'écrit M O N T C U Q.[/size]
Et à l'époque, Daniel Prévost avait tourné un reportage avec le maire où il en profitait pour faire le plus naturellement du monde tous les calembours possibles. Sans prononcer la lettre Q finale. Au début, tout le monde n'a pas rigolé...
Un archéologue de Inrap (Institut de recherches archéologiques préventives) travaille sur [size=18]un squelette de mammouth découvert à Changis-sur-Marne, en Seine-et-Marne.[/size]
Signature de l'armistice le 11 novembre 1918
L’armistice est signé dans le wagon spécial du général Foch, au carrefour de Rethondes, au milieu de la forêt de Compiègne, le 11 novembre 1918.
Fin du plus terrible conflit que le monde avait connu jusque là.
Le lundi 11 novembre 1918, à 11 heures, dans toute la France, les cloches sonnent à la volée. Le monde reprend son souffle, au front le soulagement est général. La guerre a fait en moyenne huit millions de morts et six millions de mutilés.
Les survivants ont perdu la foi dans les valeurs morales et spirituelles, et, devenus pacifistes, se battent pour que cette guerre qui s’achève restera la «der des der».
Historia
Guerre 14-18
La gauche fut la mère de la collaboration
Lien pour aller voir cette video sur youtube car elle a été désactivée !!!
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
Sujet: Re: Pierre BONTE, journaliste, écrivain, homme de radio et télé + autres sujets sur la France.... Mer 13 Jan - 13:51
2 janvier 1945, de Gaulle refuse d'abandonner Strasbourg
Citation :
Il y a 70 ans, le général de Gaulle s'opposait à la décision des américains d'abandonner Strasbourg à l'armée allemande.
Le 2 janvier 1945, la crise de Strasbourg gronde. La "Crise de Strasbourg", c’est le nom donné à une période de forte friction entre les forces armées américaines et les forces françaises libres. Retour quelques semaines en arrière: le 23 novembre 1944, [size=18]Strasbourg est libérée par la 2e division blindée du Général Leclerc.
Mais à la mi-décembre, l’armée allemande relance une offensive dans les Ardennes. Les américains, qui ont du mal à comprendre que les alsaciens sont bien des Français à part entière, sont d’abord peu enclins à défendre la capitale de l’Alsace. Ils commencent à se replier pour concentrer leurs forces sur d’autres territoires, et 31 décembre 1944, les allemands sont de retour devant Strasbourg.
Le 2 janvier 1945, les américains ordonnent l’évacuation de la ville. Mais de Gaulle refuse, et demande au général Leclerc de se maintenir coûte que coûte. La capitale alsacienne ne sera plus jamais reprise par les soldats allemands.
La crise de Strasbourg, c’était il y a 70 ans.
Espace Bob
Mort soldat français Samir Bajja dans crash d'hélicoptère
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[size] Samir Bajja, un adjudant français des forces spéciales est mort samedi 29 dans la soirée au Burkina Faso, a annoncé ce dimanche le ministère de la Défense. Il s'agit du deuxième soldat français de l'opération Barkhane, lancée cet été, à trouver la mort.
L'adjudant Samir Bajja, 38 ans, est mort à la suite du crash de son hélicoptère lors d'un vol nocturne d'entraînement tactique, a annoncé ce dimanche le ministère de la Défense. L'accident est survenu ce samedi 29 aux alentours de 21h, au Burkina Faso. "Le ministre de la Défense déplore la mort en opération de l’adjudant Samir Bajja (…).Natif de Nîmes et âgé de 38 ans, ce sous-officier aguerri (appartenait au) 4èmerégiment d’hélicoptères des forces spéciales de l'armée de terre", a précisé le communiqué annonçant la nouvelle. Deux autres militaires qui étaient à bord de l'hélicoptère Caracal avec l'adjudant Samir Bajja ont été blessés lorsque l'appareil s'est écrasé, mais leur pronostique vital n'est "pas engagé". Par le biais de ce communiqué officiel, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian "salue l'engagement courageux de l’adjudant Samir Bajja. Engagé dans les armées depuis 16 ans, il avait notamment servi en Côte d’Ivoire, en Afghanistan, au Tchad et au Mali. Il avait été décoré de la Croix de la valeur militaire au titre de son engagement au Mali". Il s'agit du deuxième soldat français de la force Barkhane à trouver la mort au Sahel. Il y a tout juste un mois, le 29 octobre dernier, c'est le sergent-chef commando parachutiste de l'air Thomas Dupuy qui avait été tué lors de "violents accrochages" avec un groupe terroriste. L'opération Barkhane a été lancée le 1er août 2014 pour succéder à l'opération Serval, qui avait permis d'empêcher les djihadistes de conquérir le Mali. Elle est composée de 3.000 militaires français, appuyés par des hélicoptères, des avions de chasse et des drones. Leur zone d'intervention va de la Mauritanie au Tchad, en passant par le Mali, le Niger et le Burkina Faso. France.Soir.fr
Neuf soldats français au total sont décédés au Mali depuis le début de l'opération Serval, le 11 janvier 2013.
Un chapeau de Napoléon a été acheté 1.884.000 euros par un collectionneur sud-coréen dimanche lors d'unevente aux enchères de souvenirs napoléoniens à Fontainebleau près de Paris, a-t-on appris auprès de la maison de vente Osenat. Ce chapeau, l'un des dix-neuf bicornes authentifiés de l'Empereur existant encore dans le monde, faisait partie de la prestigieuse collection du Palais princier de Monaco. Le nom du collectionneur sud-coréen n'a pas été communiqué par la maison de vente.
Chapeau en feutre noir
Les quelque 1.000 pièces proposées par les études Osenat, Binoche et Giquello avaient été réunies par Louis II de Monaco (1870-1949), arrière grand-père du prince Albert qui a décidé de les disperser. La vente était attendue fébrilement tant en France qu'à l'étranger par les nombreux passionnés de l'ancien empereur, sans doute le personnage historique français le plus connu dans le monde. Estimé entre 300.000 et 400.000 euros, le chapeau "de forme traditionnelle, en feutre dit en castor noir", provient de Joseph Giraud, vétérinaire de la Maison de l'empereur. En quinze ans de règne, Napoléon a usé environ 120 chapeaux, presque tous fabriqués par la maison Poupard à Paris, selon l'expert de la vente, Jean-Claude Dey.
Plusieurs pièces rares aux enchères
D'autres pièces rares devaient passer sous le marteau, notamment les "trophées" saisis par les troupes prussiennes à Waterloo dans les berlines de l'empereur (gants, argenterie, épée, ordres de chevalerie...). Au programme également, les chaussons de baptême de son fils, le roi de Rome, brodés aux armes impériales, une montre entièrement en ivoire donnée par Napoléon au général Drouot, une rare assiette du service dit "des quartiers généraux" et de très nombreux souvenirs de la Grande Armée et de l'entourage du souverain. BFM.TV
- Armistice guerre 14-18
La-mort-aux-Juifs: hameau français viseur chasseurs nazis
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[size] La-mort-aux-Juifs: ce hameau français dans le viseur de chasseurs de nazis!
Une ONG américaine s'est dit "choquée" en apprenant qu’un lieu-dit du Loiret se nomme "La-mort-aux-Juifs". Une demande pour le débaptiser a été formulée à Bernard Cazeneuve. Mais les élus locaux souhaitent "respecter ces vieux noms". C’est un charmant petit hameau du Loiret, composé d’une ferme et deux maisons. Sauf que son nom, "La-mort-aux-Juifs", dérange. Au point même que le centre Simon Wiesenthal, fondé aux Etats-Unis par le célèbre chasseur de nazis du même nom, a réclamé que l’endroit soit rebaptisé. Une demande transmise directement à Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur. L’ONG, qui a pour but de préserver la mémoire de l’holocauste et de s’occuper des questions contemporaines liées au racisme et à l’antisémitisme, est offusquée. Son directeur des relations internationales, Shimon Samuels, a ainsi fait savoir au ministre qu'il était "choqué de découvrir l'existence d'un village de France nommé officiellement 'La-mort-aux-Juifs'". [/size]
Citation :
"Que ce nom soit passé inaperçu pendant les soixante-dix ans qui ont suivi la libération de la France du national-socialisme et du régime de Vichy est extrêmement choquant", Shimon Samuels, directeur des relations internationales du centre Simon Wiesenthal.
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"Personne en veut aux Juifs, bien sûr"
Problème: les élus locaux ne sont pas très enclins à l’idée de rebaptiser un lieu nommé ainsi depuis plusieurs centaines d’années. "Ce n'est pas la première fois que j'entends parler d'une telle démarche", assure-ainsi Marie-Elizabeth Secretand, adjointe au maire de Courtemaux, près de Montargis, dont dépend le lieu-dit. "Un conseil municipal précédent, il y a au moins vingt ans, avait déjà refusé de débaptiser ce lieu-dit, qui est constitué d'une ferme et de deux maisons", ajoute l’élue de ce petit village de 289 âmes. "C'est ridicule, ce nom a toujours existé. Personne n'en veut aux Juifs, bien sûr. Cela ne m'étonne pas que cela revienne encore une fois sur le tapis."
"Il faut respecter ces vieux noms"
"Il faudrait pour changer de nom une décision du conseil municipal, mais cela m'étonnerait bien" a-t-elle encore dit. "Pourquoi changer un nom qui remonte au Moyen-Age, ou à plus loin encore? Il faut respecter ces vieux noms". En 1992, le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP) avait effectué la même demande auprès du maire de l'époque, des autorités préfectorales et du ministère de l'Intérieur. En mai, un village espagnol proche de Burgos baptisé "Castrillo Matajudios" ("Castrillo Tue-les-juifs") a voté lors d'un référendum en faveur du changement de nom de sa commune qui était, selon son maire, un peu lourd à porter. Vingt-six des 52 votants ont voté en faveur d'un nouveau nom, "Mota de Judios" ("La-Colline-des-Juifs"). BFM.TV
9 octobre 1981, la peine de mort est abolie en France
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Clic image : Charlotte Corday emmenée à l'échafaud
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C’était l’une des promesses de campagne du candidat François Mitterrand. Dès son élection en mai 1981, il charge son garde des Sceaux, Robert Badinter, de préparer un projet de loi abolissant la peine de mort. Le 9 octobre 1981, la peine de mort est officiellement abolie en France. C’est l’aboutissement de près de 200 ans de combat contre la peine de mort. Dès 1791, l’utilité de la peine de mort fut mise en doute - elle sera alors maintenue mais la torture préalable supprimée. La peine de mort sera ensuite discutée à l'Assemblée plus de 80 fois entre 1793 et 1981. En 1848 c’est un certain Victor Hugo qui demandera son abolition, mais sans succès.
En 1981, au premier jour des débats, un sondage montre que 62% des français sont favorables à la peine capitale, Mais l’abolition de la peine de mort sera quand même adoptée par les députés, par 363 voix pour et 117 voix contre.
Aujourd’hui près des deux-tiers des pays du monde, soit 140 états ont aboli la peine de mort en droit, ou en pratique.
france INFO
PARIS LIBERE
Comment on mesurait ... autrefois !
Cours de mathématiques au château de Guédelon par Hein Koenen
L'appel du 18 juin 1940 du Général de Gaulle
L'appel du 18 juin est le premier [size=24]discours prononcé par legénéral de Gaulle à la radio de Londres, sur les ondes de laBBC, le 18juin1940. C'est un appel aux armes dans lequel il appelle à ne pas cesser le combat contre l'Allemagne nazie et dans lequel il prédit la mondialisation de la guerre. Ce discours – très peu entendu sur le moment, mais publié dans la presse française le lendemain et diffusé par des radios étrangères – est considéré comme le texte fondateur de la Résistance française, dont il demeure le symbole.[/size] Wikipédia
Les animaux et le débarquement
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Le succès du Débarquement a été annoncé par un pigeon voyageur prénommé Gustav, matricule NPS.42.31066. Il a été officiellement décoré pour ses faits d’armes.
[size] Frédéric Veille évoque le rôle joué par les animaux dans le D-Day
Nombreux sont les animaux à avoir joué un rôle au cours de la Seconde guerre mondiale. France3 Haute Normandie
Les camps de la honte des harkis par Hocine LOUANCHI
En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des Arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. A l'époque, depuis 13 ans, ce camp de Saint Maurice l'Ardoise, ceinturé de barbelés et de miradors, accueillait 1200 harkis et leurs familles. Une discipline militaire, des conditions hygiéniques minimales, violence et répression, 40 malades mentaux qui errent désoeuvrés et l'isolement total de la société française. Sur lesquatre membres du commando anonyme des cagoulés, un seul aujourd'hui se décide à parler.
35 ans après Hocine raconte comment il a risqué sa vie pour faire raser le camp de la honte. Nous sommes retournés avec lui sur les lieux, ce 14 juillet 2011. Anne Gromaire, Jean-Claude Honnorat.
La réalité sur la colonisation
"La France n'a pas colonisé l'Algérie, elle l'a créé".
La région nord a été colonisée au cours des siècles successivement par les Phéniciens, les Berbères, les Romains, les Vandales, les Byzantins, les Arabes, les Turcs, et c'est les Turcs que les français délogent en 1830 lorsqu'ils débarquent à Alger, à l'époque où la régence d'Alger est une province du Califat Ottoman (l'Algérie en tant que nation, n'existait évidemment pas) pour mettre fin au trafic de marchands d'esclaves, libérant des milliers d'esclaves européens et mettant fin au piratage qui menaçaient les navires marchands près des côtes méditerranéennes depuis des siècles.
Après avoir expulsé les turcs, à partir de 1830, les français défrichent, drainent, assèchent et fertilisent un sol à l'abandon depuis des siècles.
Ils construisent des villes modernes là où il n'y avait rien, et créent une agriculture prospère et exportatrice, alors qu'aujourd'hui l'Algérie doit importer des produits de la terre.
A la place des cailloux, les français créent une industrie métallurgique, construisent 12 grands barrages, implantent un immense réseau de postes et de télécommunication, développent l'hôtellerie et le tourisme, créent une industrie chimique, développent l'exploitation du gaz et de l'électricité.
Les français installent un réseau ferroviaire considérable et 54000 kilomètres de routes (non compris les pistes), ils construisent 23 ports, 34 phares, 23 aéroports .
Frank, un visiteur
L'ancien résistant à l'origine de l'affaire Papon est décédé
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FRANCE L'ancien résistant français Michel Slitinsky est mort samedi à l'âge de 87 ans. C'est lui qui était à l'origine de l'affaire Maurice Papon, condamné en 1998 pour «complicité de crimes contre l'humanité» commis sous l'occupation nazie.
Ce fils de juifs ukrainiens, rescapé d'une rafle en 1942 et ancien résistant, avait conduit l'ancien secrétaire général de la préfecture de Gironde devant la cour d'assises en réunissant des milliers de documents qui avaient révélé son rôle dans la déportation de juifs pendant l'occupation nazie. Michel Slitinsky avait été le porte-parole des parties civiles tout au long du procès. Papon avait été condamné en avril 1998 à dix ans de réclusion pour son rôle dans la déportation de plus de 1500 Juifs de Bordeaux. Il avait été remis en liberté en 2002 en raison de son état de santé, et est décédé en 2007.
Le Matin.ch
Ninnenne blog de partage
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Pierre BONTE, journaliste, écrivain, homme de radio et télé + autres sujets sur la France....