mastiff tibétain
Cette bête qui a des airs de lion avec sa fausse crinière fait partie des chiens les plus chers du monde.
Pour plusieurs raisons, ce chien appelé mastiff tibétain est très chèrement acquis par les chinois riches.
Ce vendeur explique le pourquoi et une de ses transactions réussies.
"Maintenant que presque tout le monde a une voiture, les gens cherchent un nouveau moyen de montrer qu'ils sont riches." Et d'ajouter que tous les moyens sont bons pour en avoir : "un client m'a réglé avec une montre à 4 700 euros et une voiture, juste pour un chiot."
Le seul hic,c'est les conditions difficiles dans lesquelles ces chiens sont acheminés en Chine depuis le Tibet.
Il faut compter un mois pour revenir du Tibet avec les chiens.
"Or, la plupart des chiots ne supportent pas la différence d'altitude et meurent au cours du voyage.
" Nous rapporte un éleveur. Ce qui risque à nouveau d'interpeller les défenseurs des animaux.
malinois
Tout concernant le Berger Malinois
Le Malinois est une des quatre variétés de la race de chien Bergers Belges.
Les autres étant le Groenendael, le Tervueren et le Laekenois.
Le Malinois se distingue des autres par son poil ras avec pour couleurs toutes les teintes de roux, fauve et gris entremêlées de noir.
Il est aussi la variété la plus rustique et la plus utilisée. De taille moyenne, son physique allie la puissance et l'élégance.
Sa taille est de 61 à 66 cm pour les mâles et de 56 à 61 cm pour les femelles avec un poids d'environ 27,9kg.
Le Malinois est aussi caractérisé par des capacités d'apprentissage hors norme et d'une forte volonté de travail.
Origine :
Les chiens de Bergers Belges ont été développés à partir de divers autres chiens de bergers existants en Belgique au XIXe siècle. En 1894, naît ce chien de berger à poil court couleur fauve nommé Tomy. Il sera le précurseur de la race Malinoise.
Celle-ci excelle dans des disciplines sportives, en tant que chien des forces de l'ordre ou que gardien et aussi comme animal de compagnie. La race tire son nom de la région de Malines en Belgique où il existe le nombre le plus importants de Malinois.
Classification : Groupe 1/Section 1 : chiens de berger Comportement :
Intelligent et attentif, le Malinois apprend très vite et possède de très bonnes prédispositions pour le travail. Très énergique, il a énormément besoin de se dépenser et de jouer. Il est aussi très protecteur et affectueux envers ses maîtres et les enfants, ce qui en fait un excellent chien de compagnie mais aussi un bon gardien.
Santé :
Plutôt résistant, le Malinois a une espérance de vie moyenne de 12 à 14 ans. Ses oreilles sont à surveiller. Pour qu'il reste équilibré, il a besoin de grands espaces pour se dépenser ainsi que des nombreux exercices physiques.
Alimentation :
L'alimentation des chiens est à adapter par rapport aux activités physiques qu'ils effectuent. En effet, contrairement aux chats, ils peuvent avoir tendance à prendre du poids facilement. Leur alimentation est essentielle pour les maintenir en bonne santé. Principalement carnivores, les chiens ont des besoins nutritionnels spécifiques qui doivent contenir des glucides (sucres et amidons), des lipides (acides gras essentiels), des protéines, des minéraux et des vitamines. L'alimentation dite « cuisine maison » est déconseillée pour les néophytes car le chien risquerait d'avoir des carences mais aussi une accoutumance à cette alimentation. Les repas sont à répartir dans la journée. Le chocolat à bannir de son alimentation car il contient de la théobromine, molécule toxique pour l'animal.
Reproduction :
La maturité sexuelle chez le mâle comme chez la femelle débute vers l'âge de six mois et dure jusqu'à la fin de leur vie même si leur fertilité peut diminuer avec l'âge. Il est préférable d'attendre l'âge de un an avant de les laisser se reproduire. Les mâles peuvent se reproduire tout au long de l'année alors que les femelles doivent attendre l'étape de l'oestrus pendant leurs « chaleurs » (étape accompagnée d'un écoulement vaginal sanglant éclairci et pendant laquelle la chienne acceptera l'accouplement). L'accouplement dure une vingtaine de minutes en moyenne. La durée de la gestation est d'environ 63 jours. Le nombre de chiots par portée varie entre 2 et 12. Il est important de souligner que tous ces éléments peuvent varier pour chaque race de chiens, il s'agit ici de données moyennes.
braque
Le Braque de Weimar Considéré comme vraisemblablement la plus ancienne race parmi les chiens d'arrêt allemands, le Braque de Weimar - ou Weimaraner - est un animal prestigieux : noble, persévérant, fidèle, au flair exceptionnel.
Il est un chien de chasse polyvalent, mais aussi un excellent compagnon des familles, coureur infatigable pour les promenades en forêt. Aujourd'hui, sa popularité est grande et les amateurs de chiens comme les chasseurs l'adoptent avec plaisir.
Nomenclature FCI : groupe 7 section 1 N°099
Espèce Chien (Canis lupus familiaris)
Silhouette : 30 à 40 kg pour les mâles et 25 à 35 pour les femelles; sec, bien musclé.
Taille : 59 à 70 cm pour les mâle et 57 à 65 cm pour les femelle
Poil : court ou long Robe : grise argentée,brunâtre ou souris.
Origine et Histoire
Il y a plusieurs théories sur l’origine du Braque de Weimar. La seule chose certaine est que, dès le premier tiers du 19ème siècle, il était élevé à la cour du duc de Weimar et employé comme limier. Vers le milieu du siècle, avant le début de l’élevage en pure race, l’élevage de cette race était presque exclusivement dans les mains de chasseurs professionnels et de forestiers en Allemagne centrale, principalement dans la région de Weimar et en Thüringe.
Les jours de gloire des limiers étant passés, les détenteurs procédèrent à des croisements avec des chiens d’oysel et poursuivirent l’élevage avec des produits de ces croisements. Depuis 1890 environ, la race est soumise à un élevage planifié et contrôlé par l’inscription dans un livre des origines.
A côté du chien d’arrêt de Weimar à poil ras, apparaît dès le début du siècle une variété à poil long qui n’est cependant pas très répandue. Depuis que le Braque de Weimar est inscrit dans un livre des origines et élevé en race pure, des croisements avec d’autres races, tout spécialement avec des pointers, ont été évités. Etant élevé en race pure depuis environ cent ans, il est vraisemblablement la plus ancienne race parmi les chiens d’arrêt Allemands.
Fiche
Autre nom : Weimaraner
Catégorie : 7
- Chiens d'arrêt Section : 1
- Continentaux Type : 1
- Type Braque Origine : Allemagne Standard FCI : Standard No 99 - Groupe 7 Poids : 25 à 40 Kg Taille : 59 à 67 Cm
Longévité : 10 à 15 ans
Morphologie : Tête harmonieuse, corps bien prononcé, membres hauts et secs.
Robes : Nuances de gris.
Poil : Court, dru, épais ou long, lisse et souple.
Entretien : Brossage hebdomadaire.
Nourriture : Croquettes ou pâtée industrielles de qualité.
Caractère : Docile, équilibré, intelligent, présent, agile.
Aptitudes : Chien de compagnie, chien de chasse.
Pathologies : Chien à la santé robuste.
Population : Chien courant Prix moyen : 1000 €
Caractère et comportement
Le Braque de Weimar est également très apprécié pour son caractère. Ce chien a une réputation de chien têtu. Cependant, une bonne éducation lui permet de rester équilibré. Malgré son fort caractère, le Braque de Weimar reste un chien sociable et plaisant. Un chien sportif et familial. Un Braque de Weimar équilibré dans son corps (il doit faire au moins une heure d'exercice par jour) et dans sa tête, se révèle être un excellent chien familial.
Il faut simplement qu'une bonne éducation fixe les règles de hiérarchie au départ. C'est un chien patient et doux, sans problème d'agressivité particulier quand il est adulte. Le Braque de Weimar est vraiment un chien qui n'aime pas la solitude et il est heureux quand il s'intègre parfaitement à la vie familiale.
C'est pour cela qu'il faut habituer le chiot à rester seul le plus tôt possible. avec un grand coeur. Le Braque de Weimar est également un chien courageux et volontaire, surtout à la chasse. Il est très protecteur, vis à vis de son entourage familial. Aux Etats-Unis, ces qualités de chien de défense sont très appréciées.
Ainsi, beaucoup de gardes forestiers américains ont un Braque de Weimar, car il n'hésite pas à attaquer les lynxs et les pumas, pour défendre son maître.
Tous ces éléments du caractère des Braques de Weimar sont le fruit des sensibilités des différents propriétaires. Ce n'est qu'une tendance globale, qui ne peut toucher également chaque individu.
Ainsi, il faut savoir que le caractère du chien dépend aussi fortement de son environnement (conditions d'élevage, environnement familial, ...).
Apparence et physique du Braque de Weimar
Apparence et physique
Tête : Région Crânienne :
Crâne : En harmonie avec la taille du chien et avec les dimensions de la région faciale.
Chez le mâle plus large que chez la femelle, mais dans les deux sexes, la largeur du crâne reste dans une bonne proportion avec la longueur de la tête. Front avec sillon médian.
Protubérance occipitale peu à modérément développée. A l’arrière des yeux, l’arcade zygomatique est bien visible.
Stop : Très peu marqué.
Région Faciale Nez : Truffe grande, surplombant la mâchoire inférieure, de couleur chair-foncé, vers l’arrière tirant graduellement sur le gris.
Museau : Long, et en particulier chez les mâles, puissant ; vu de profil, le museau donne l’impression d’être presque carré.
La partie de la mâchoire qui porte les canines et celle qui porte les carnassières sont d’une même puissance. Chanfrein rectiligne, souvent légèrement busqué, jamais concave.
Lèvres : Moyennement couvrantes, de même couleur chair que le palais. Repli labial peu marqué.
Mâchoires/dents : Mâchoires puissantes. Denture complète, régulière et puissante. Articulé en ciseaux.
Joues : Bien musclées et nettement marquées ; tête sèche.
Yeux : De couleur ambre clair à ambre foncé, d’expression intelligente. Les chiots ont des yeux de couleur bleu ciel. Ronds, placés très légèrement en position oblique, les paupières épousent parfaitement la forme du globe oculaire.
Oreilles : Larges et assez longues, elles atteignent approximativement la commissure des lèvres. Attachées haut, étroites à leur base, elles sont légèrement arrondies à leur extrémité. Quand le chien est attentif, elles sont légèrement tournées vers l’avant et plissées.
Cou D’aspect et de port noble, sa ligne de dessus est galbée. Musclé, presque cylindrique, pas trop court, sec, il devient plus fort vers les épaules et se fond harmonieusement avec le poitrail.
Corps Ligne du dessus : Du cou galbé, par un garrot bien prononcé, elle atteint le dos qui est relativement long et ferme.
Garrot : Bien prononcé.
Dos : Ferme et musclé, sans ensellure ; n’est pas surbâti à l’arrière. Un dos un peu long n’est pas un défaut, mais fait partie des caractères spécifiques de la race.
Croupe : Bassin long et moyennement oblique.
Poitrine : Puissante, mais pas exagérément large ; suffisamment descendue - elle atteint presque le niveau du coude - et suffisamment longue. Bien cintrées sans être en tonneau, les côtes sont longues et la région sternale est bien marquée.
Ligne du dessous et ventre : Elle remonte légèrement, mais le ventre n’est pas levretté. Queue Attachée un peu bas, en dessous de la ligne du dos, plus bas que chez d’autres races comparables, elle est puissante et bien fournie de poils. Quand le chien est au repos, la queue pend ; au travail ou lorsque le chien est attentif, la queue est portée à l’horizontale ou même plus haut. Membres Membres antérieurs :
Généralités :
Membres « hauts », secs, droits, parallèles, mais pas trop écartés.
Epaule : Longue, oblique, bien appliquée sur la paroi thoracique et bien musclée. Bonne angulation de l’articulation scapulo-humérale.
Bras : Oblique, suffisamment long, puissant.
Coudes : Dégagés, droits, tournés ni en dedans, ni en dehors.
Avant-bras : Long et droit.
Carpe : Puissant, ferme.
Métacarpe : Sec, légèrement oblique.
Pieds antérieurs : Puissants, parallèles à l’axe du corps. Doigts bien serrés et cambrés. Les doigts médians, plus longs, sont caractéristiques de la race et ne constituent donc pas un défaut. Ongles de couleur gris clair à gris foncé. Coussinets bien pigmentés, fermes.
Membres postérieurs Généralités :
Membres « hauts », secs et bien musclés. Parallèles, tournés ni en dedans, ni en dehors.
Cuisse : De longueur suffisante, puissante et bien musclée.
Grasset : Puissant et ferme.
Jambe : Longue, tendons bien visibles.
Jarret : Puissant et ferme.
Métatarse : Sec, en position presque verticale.
Pieds postérieurs : Puissants avec des doigts bien serrés. Pas d’ergots. Le reste correspond aux pieds antérieurs
. Allures Beaucoup d’aisance et d’amplitude dans le mouvement à toutes les allures. Membres antérieurs et postérieurs parallèles. Au galop, foulée longue et rasante.
Au trot, le dos reste horizontal. L’amble est indésirable. Peau Ferme, bien adhérente mais sans excès.
Robe Poil : Poil ras : Poil de couverture court (mais plus long et plus dense que chez la plupart des autres races de chiens comparables), dru, très épais, bien couché. Sans ou avec peu de sous-poil.
Poil long : Poil de couverture souple et long, avec ou sans sous-poil. Lisse ou légèrement ondulé. Poil au point d’attache des oreilles long et bien tombant. A l’extrémité des oreilles, le poil velouté est admis.
Longueur du poil sur les côtés de 3 à 5 cm, sous le cou, au poitrail et sur le ventre un peu plus long. Bonne culotte et franges dont la longueur diminue vers le bas.
Beau panache à la queue. Espaces interdigitaux poilus. Poil à la tête moins long. Un poil rappelant le poil double avec un poil de couverture de longueur moyenne serré, bien couché, sous-poil fourni et des franges moyennement développées avec culotte se manifeste chez des chiens avec patrimoine héréditaire mixte.
Couleur Gris argenté, gris brunâtre, gris souris ainsi que toutes les nuances intermédiaires entre ces teintes. La tête et les oreilles sont en général d’une couleur un peu plus claire. Des marques blanches ne sont autorisées que dans une faible mesure au poitrail et aux doigts.
Parfois, sur le milieu du dos, il y a une raie foncée plus ou moins marquée dite « raie d’anguille ».
Les chiens qui présentent des marques feu rouges à jaunes ne peuvent obtenir en exposition au maximum que le qualificatif « bon ».
Des marques feu de couleur brune constituent un défaut grave.
Taille Hauteur au garrot
Pour les mâles : de 59 à 70 cm, taille idéale de 62 à 67 cm.
Pour les femelles : de 57 à 65 cm, taille idéale de 59 à 63 cm.
Poids Pour les mâles : de 30 à 40 kg.
Pour les femelles : de 25 à 35 kg.
Défauts
Tout écart par rapport à ce qui précède doit être considéré comme un défaut qui sera pénalisé en fonction de sa gravité.
Défauts graves Déviation nette par rapport au type ou aux caractères sexuels. Ecart important dans la taille et les proportions.
Région faciale : Défauts importants, comme p. ex. lèvres très développées, museau court ou pointu. Mâchoires et dents :
Absence de plus de 2 PM1 ou M3. Yeux :
Défauts des paupières, surtout défauts légers et unilatéraux.
Oreilles : Manifestement trop courtes ou trop longues, pas tournées vers l’avant
. Cou : Peau lâche (fanon) ; déviation importante de la forme ou du développement de la musculature.
Dos : Nettement ensellé ou carpé. Surbâti à l’arrière.
Poitrine, ventre : Poitrine en tonneau, insuffisamment descendue ou trop courte ; ventre levretté.
Membres antérieurs :
Défauts importants de position, p. ex. angulation insuffisante, coudes tournés en dehors, pieds affaissés.
Membres postérieurs :
Jarrets de vache ou en tonneau nettement marqués.
Allures : Mauvaise démarche dans les différentes allures. Manque d’étendue des enjambées, manque de poussée. Amble.
Peau : Ecart très important de la norme, p. ex. peau très fine ou très épaisse.
Poil : Nature du poil intermédiaire entre poil ras et poil long. Absence de poil sur le ventre et aux oreilles (oreilles de cuir). Poil laineux largement répandu dans la variété à poil ras. Poil manifestement bouclé ou peu abondant dans la variété à poil long.
Couleur : Couleur s’écartant des tons de gris, p. ex. jaunâtre ou brunâtre. Taches feu de couleur brune. Ecart important de taille ou de poids. (p. ex. plus de 2 cm en plus ou en moins au garrot).
Autres défauts importants.
Légers défauts de caractère. Défauts éliminatoires Absolument atypique, lourdaud ou faiblard. Totalement mal proportionné.
Crâne : Absolument atypique, crâne comme celui du bulldog.
Région faciale : Absolument atypique, p. ex. chanfrein fortement concave.
Mâchoires et dents : Prognathisme supérieur ou inférieur, absence de plus de dents que sous défauts graves.
Yeux : Entropion, ectropion.
Oreilles : Manifestement atypiques, p. ex. oreilles écartées.
Cou : Fanon très marqué.
Dos : Fortement ensellé ou carpé. Fortement surbâti à l’arrière.
Poitrine, ventre : Poitrine en tonneau d’une manière prononcée, malformation de la poitrine.
Membres antérieurs : Membres rachitiques ou malformés.
Membres postérieurs : Boiterie chronique.
Allures : Démarche fortement contrainte dans toutes les allures.
Peau : Malformations ou aplasies cutanées.
Poil : Absence partielle ou totale de poil.
Couleur : Couleur autre que gris. Taches feu de couleur brune très étendues. Marques blanches en dehors du poitrail et des pieds. Variation importante de la taille en plus ou en moins.
Malformations ou maladies dont la nature héréditaire est admise, comme p. ex. l’épilepsie. Défauts de caractère comme p. ex. craintif ou peureux.
Santé Hygiène et Soins du Braque de Weimar Santé hygiène et soins Le Braque de Weimar n'est pas un chien perticulièrement fragile, cependant il faut veiller à ce que sa santé demeure excellente. Il existe aussi quelques éléments qu'il faut surveiller.
Vaccins et anti-parasitaire pour commencer La vaccination du chien est essentielle. Le vétérinaire vaccine contre la maladie de Carré, la maladie de Rubarth, la leptospirose, la parvovirose et la rage. Les certificats de vaccination sont à emporter en cas de voyage à l'étranger.
Les parasites sont nombreux. Pour les parasites externes, notamment les puces, il existe de nombreuses bombes, colliers, ... Il est intéressant de traiter également l'environnement du chien. Les vermifuges sont utilisés contre les parasites internes.
Les maladies spécifiques au Braque de Weimar La peau du Braque de Weimar est assez sensible.
La torsion d'estomac est une affectation grave, et de nombreux Braques de Weimar peuvent en être sujet. En effet, c'est un chien glouton et son estomac est parfois soumis à rude épreuve.
Pour éviter cela une simple solution de prévention : faites deux repas au lieu d'un seul. Il faut absolument éviter de laisser un chien dans une voiture au soleil, car la température à bord peut monter jusqu'à 50°C. La dysplasie coxo-fémorale est aussi à surveiller, raison pour laquelle le dépistage des reproducteurs est fortement conseillé avant toute saillie (les stades A, B et C sont acceptés pour tout ce qui est de l'homologation des titres et cotations).
Alimentation du Braque de Weimar
Alimentation L'alimentation des chiens est à adapter par rapport aux activités physiques qu'ils effectuent. En effet, contrairement aux chats, ils peuvent avoir tendance à prendre du poids facilement. Leur alimentation est essentielle pour les maintenir en bonne santé.
Principalement carnivores, les chiens ont des besoins nutritionnels spécifiques qui doivent contenir des glucides (sucres et amidons), des lipides (acides gras essentiels), des protéines, des minéraux et des vitamines
L'alimentation dite « cuisine maison » est déconseillée pour les néophytes car le chien risquerait d'avoir des carences mais aussi une accoutumance à cette alimentation. Les repas sont à répartir dans la journée.
Le chocolat est à bannir de son alimentation car il contient de la théobromine, molécule toxique pour l'animal. L’aide d’aliments pour chiens commerciaux est probablement la façon la plus pratique d’alimenter votre Weimar.
Ils sont aisément disponibles dans tous les magasins pour animaux de compagnie, tout ce que vous avez à faire est simplement ouvrir le paquet et versez-le dans le bol alimentaire de votre chien.
Aliments pour chiens commerciale se présente en trois types: sec, semi-humides et en conserve. La nourriture sèche, ou des croquettes est généralement préféré parce qu’il est moins cher par rapport aux aliments semi-humides et en conserve.
On croit que les aliments secs ou des prestations croquette de soins dentaires de votre chien parce que le sec bits tartre Scrape des dents pendant la mastication.
Les aliments en conserve sont recommandées pour les chiens de vieillesse ou de chiens souffrant d’appétit en raison d’une maladie ou problème médical.
Cependant, les aliments en conserve sont habituellement coûteux et doit être réfrigéré une fois ouverts. Lors de l’utilisation des aliments pour chiens commerciaux pour nourrir votre Braque de Weimar, lisez l’étiquette du produit. Vérifier les ingrédients et assurez-vous qu’il contient les nutriments nécessaires en quantités droite.
Malgré la commodité d’utiliser les aliments pour chiens commerciaux, certains propriétaires préfèrent les aliments non commerciale pour assurer la qualité de la nourriture. Certains croient que les aliments non commercial est coûteux et fastidieux à préparer mais en fait, elle est aussi plus rapide et moins coûteux offerts Planification correct a été fait.
Avec ce type d’aliments, on peut être certain que votre animal en l’état et les meilleures ingrédients idéaux pour sa santé. Aliments non commerciaux sont classés en deux: cuisiné à la maison et les régimes alimentaires premières.
La fréquence de l’alimentation dépend de l’âge de votre animal et ses activités. Nourrir un repas complet par jour n’est pas conseillé car il peut gonfler cause, l’obésité ou d’autres problèmes digestifs.
Au lieu de cela, étalé tétées votre Braque de Weimar à au moins deux fois par jour. Alimentation libre, l’alimentation où les aliments sont laissés pour toute la journée n’est pas bon non plus. Exercice rigoureux et d’autres activités devraient être évitées à droite après les repas.
Dressage
Le Braque de Weimar a un fort caractère, il est assez têtu. Cependant, après une bonne éducation et un bon dressage, qu'il accepte facilement, le Braque de Weimar remet rarement en cause l'autorité de son maître, même en vieillissant.
L'éducation commence chez le chiot L'apprentissage de la propreté se fait entre 3 et 5 mois. La première étape consiste à l'habituer à faire sur un journal. pour cela, il faut l'observer souvent, voir quand il a envie.
Dès que les premiers signes sont là, il faut le déposer sur le journal. Si l'opération est réussie il faut beaucoup le féliciter avec des caresses et des friandises. Progressivement, il ira sur le journal. La seconde étape consiste à sortir petit à petit le journal au dehors...
Il faut également l'habituer à rester seul dès son plus jeune âge. Pour cela, il faut éviter de le gâter lors de son arrivée pendant les vacances, sinon la rentrée risque d'être difficile.
Il faut avant chaque départ, éviter de s'occuper de lui, pendant le quart d'heure qui précède. Le Braque de Weimar est un chien qui s'habitue à rester seul, à condition qu'il ait appris jeune. Il faut être doux, patient et rigoureux
Il est important de lui apprendre à marcher en laisse calmement, ainsi que les ordres simples (le rappel, assis/debout/couché). En effet, un Braque de Weimar mal éduqué n'est pas facile à vivre !
Le dressage à la chasse est également très important (le Braque de Weimar est avant tout un chien de chasse). Pour ce faire, il faut emmener le jeune chien à la chasse dès que possible, pour lui donner le goût de la chasse, même si c'est un instinct développé chez le Braque de Weimar. Le Braque de Weimar est assez tardif.
C'est ce que lui reproche beaucoup de chasseurs, mais avec de la patience et de la rigueur, il s'avère être un bon chasseur.
amstaff
L’American Staffordshire Terrier… Amstaff pour les intimes
L'Amstaff, Au poil dans mes pattes!
catégorie 1&2, chiot, idée reçue, socialisation
Origine :USA Groupe : 3 (Terriers type Bull)
Particularité : Mal aimé !
L’Amstaff, malgré les très étranges lois sur les chiens (dits) « dangereux », sait séduire son public et nous le prouve chaque année avec de plus en plus d’inscription au L.O.F (6 533 en 2012), plus encore que son cousin le Staffie – ou Staffordshire Bull Terrier – (plus petit et originaire du Royaume Uni) qui comptabilise 4 149 inscriptions la même année.
Outre la manifestation évidente que cette loi n’a pas de sens – bien qu’elle responsabilise une partie de la population tout du moins – on ne peut se poser comme question que celle-ci : comment fait l’ami Amstaff pour squatter autant de canapés ?
Réponses.
Tristement apprécié par de mauvais maîtres aux origines de sa mauvaise réputation, nous le connaissons peu, et il nous fait peur. Son apparence atypique est tout en puissance, force et carrure.
Complètement dénigré par les uns, et idéalisé par les autres, la vérité est simplement que l’Amstaff est un chien… comme les autres, ou presque ! Amstaff doit être sélectionné sérieusement, et acquis à 8 semaines pour être en mesure de le socialiser correctement aux gens, aux enfants , à ses congénères, à la ville, la voiture… L’amour qu’il portera alors la famille et aux petits dépendra exclusivement de ces apprentissages.
Alors que son développement se déroule exactement de la même manière qu’un Labrador ou un Yorkshire, nous ferons par contre extrêmement attention – comme pour tous les chiens de défense et de combat – à ne pas éveiller son excitabilité, son agressivité et son mordant. Les jeux de forces comme les tractions sont interdits.
Rassurez-vous, il existe mille et une façon de jouer avec notre ami Amstaff, véritable joyeux capable de vous suivre avec passion dans toutes vos entreprises !Toujours prêt à faire le clown !
Comme il reste toujours une part aléatoire d’hérédité, et ce malgré des apprentissages parfaits, le choix de l’éleveur est primordial : c’est son travail que de sélectionner les sujets calmes et sociables et d’écarter les sujets mordants. Le choix d’un éleveur de qualité se révélant être un sport, faites-vous aider, pour le bien du futur petit chanceux. Je le souligne, ces commentaires sont vrai pour toutes races de chien, mais nous prêtons d’avantage encore l’œil sur les chiens de défense et d’attaque.
Amstaff est robuste, et a besoin de beaucoup d’activité.Comme tous ses congénères, si ses besoins ne sont pas respectés, il peut se montrer anxieux, et donc potentiellement agressif. Deux heures d’activité physique quotidienne sont la moyenne, mais il se satisfera de bien plus. Agility, pistage, cani-cross… il saura faire preuve de nombreux talents si on lui laisse le loisir de libérer son trop plein de dynamisme et sa vitalité. Au minimum 2 heures par jour d’activité
Comme tous les terriers, l’ami Amstaff est têtu, et ne se satisfait pas d’une meute à statuts égalitaires. Vous devrez vous montrer digne de sa dévotion, en incarnant le meneur fiable, respectable et partial qu’il attend de vous. Le cas échéant, Amstaff ne saura faire autrement que de prendre les rênes, avec autoritarisme s’il le faut.
S’il vous respecte et vous reconnait comme chef, au dressage il pourra se montrer très à l’écoute, et performant. Aucune maltraitance n’est tolérée, sous peine de réveiller chez lui une agressivité qu’un maître ferme, consciencieux et compétant n’aurait jamais révélé.
Tout comme le dressage, la socialisation aux congénères se doit d’être parfaite. Sans cela, sa nature fière prendra le dessus et il se montrera bagarreur, ce qui n’est vraiment pas souhaitable car sa mâchoire est puissante, et il sortirait vainqueur de la plupart des combats, renforçant ainsi chaque fois le comportement de façon positive.
Sur le plan légal, l’ami Amstaff est classé catégorie 2, s’il est inscrit au L.O.F, et catégorie 1 s’il ne l’est pas (voir l’article : « Rappel sur les chiens de catégories 1 et 2 »).
Bien entendu, pour toutes les raisons citées et à cause de son passé de chien de combat, il est vivement conseillé de n’opter que pour le sujet inscrit. Vous pouvez vous faire aider par un professionnel pour vous accompagner dans le choix de l’éleveur et du chiot, ce qui est encore la meilleure formule.
A cause de cette loi, l’acquisition du Amstaff se doit (encore plus) d’être réfléchie, et devrai se limiter aux connaisseurs et passionnés. En effet les restrictions sont telles qu’il faut pouvoir offrir la liberté nécessaire à notre ami, sans déroger aux règles qui sont strictes. Le port de la muselière, l’interdiction d’accès aux lieux publics pour les chiens non L.O.F (catégorie 1) sont de véritables barrières pour le chien vivant en ville.
Le port de la muselière est obligatoire
Je rappelle également que seules les personnes majeures, qui ne sont pas sous la mesure d’une tutelle, dont le casier judiciaire est vide pour les crimes et délits au bulletin numéro 2, et dont la garde d’un chien ne lui a jamais été retirée pour mise en danger de l’animal ou de personnes (humains), ont le droit d’acquérir un Américan Staffordshire Terrier.
Pour finir et pour résumer l’ensemble, je dirais ceci : Amstaff peut être un compagnon merveilleux, mais il n’est pas à laisser entre des mains novices. Des compétences en matière de communication canine, des compétences en matière d’éducation, une « main de fer dans un gant de velours » sont des qualités essentielles pour devenir l’heureux maître de l’ami Amstaff, qui saura alors s’épanouir et révéler au grand jour ses très nombreuses qualités.
Car l’ami Amstaff lorsqu’il est compris est juste ceci : un grand clown au grand cœur !
Yakutian Laika
Yakutian Laika
Le laika de Yakoutie est un chien originaire de la région de Kolyma en Russie.
La race est reconnue par le RKF (association russe de chiens de races) mais ne l'est pas par la Fédération cynologique internationale à l'heure actuelle.
Le laika de Yakoutie est décrit en 1843 par Ivan Iakovlevitch dans son manuel de géographie de l'Empire russe, et indique que ce laika a été utilisé pour le traîneau, la chasse et le service postal
Caractéristiques
Le laika de Yakoutie est un chien fort, de taille moyenne et le poil est bien développé, ce qui est nécessaire pour vivre dans les conditions difficiles de l'arctique. Le yakutian est actif, joueur, et curieux, de nature amicale et facile à vivre, très sociable et non agressif. La principale utilisation de ce chien est le traîneau et l'aide pour la chasse.
Yeux : droits ou écartés, en forme d'amande, non proéminents, ni enfoncés. Bleus, noirs ou couleur noisette (les yeux vairons sont acceptés). Les paupières sont bordées de noir ou de la couleur de la truffe qui, elle, peut être décoloré en partie, sur un fond blanc.
Défaut : de grands yeux ronds, la troisième paupière présente, yeux exorbités.
Manteau : le pelage épais avec un sous-poil bien développé, brillant, droit, rude au toucher. D'épaisses franges sont présentes sur les membres antérieurs et postérieurs. La crinière sur le cou est bien développée. La queue est épaisse et mousseuse.
Défaut : pas assez épaisse, un manteau duveteux.
Défauts éliminatoires : poils ondulés ou trop mou.
Couleur : toute couleur est admise (blanc, noir, noir et blanc, gris et blanc, blanc-gris), noir et blanc avec des taches rouges, noir avec des taches rouges, rouge blanc, blanc et rouge. Défauts : toute couleur unie autre que la couleur blanche.
La France compte quelques sujets dont 2 importés directement de Russie par Mle Gallou, ainsi que 3 des 5 chiots issus de ce couple.
Pour l'Europe, nous dénombrons une vingtaine de sujet dont 2 portées de 6 chiens avec les mêmes parents en Allemagne ce qui réduit considérablement le nombre de chiens utilisable... Des imports ont eu lieu au Luxembourg, France, Allemagne, Suisse, Autriche et Pays Bas.
milly
Le plus petit chien du monde s'appelle Miracle Milly .Elle s'appelle Miracle Milly, et du haut de ses 9,65 centimètres, elle est le plus petit chien du monde. Ce minuscule toutou, un Chihuahua originaire de Puerto Rico, vient de faire son entrée dans le livre des records, aux côtés de Colonel Meow, le matou aux poils les plus longs du monde. Un chien pas (tout à fait) comme les autres Milly a près de deux ans, pèse 450 grammes, et adore prendre la pose ! La petite puce a détrôné Boo Boo, un Chihuahua à poils longs du Kentucky, qui mesure 10 centimètres.
Lorsqu'elle est née, Miracle Milly pesait moins de 30 grammes et tenait dans une cuillère à café, affirme sa maîtresse, Vanessa Semler. Trop petite pour téter sa mère, elle a été nourrie avec une pipette pendant des semaines.
Habituée à dormir dans un lit de bébé près de sa maîtresse, et à manger des petits plats préparés par ses humains, Milly est proche de ses deux soeurs, qui ont une taille normale, mais préfère la compagnie des hommes.
"Elle ne comprend pas qu'elle est un chien. Elle pense qu'elle est un enfant" confie sa maîtresse. Une petite taille, mais une grande personnalité ! Que dire de plus de Milly, si ce n'est qu'elle n'aboie jamais, adore jouer avec les plantes du jardin , et chasser les oiseaux? Véritable passionnée, Vanessa possède 10 Chihuahuas. Et naturellement, Milly est bien souvent la favorite des invités de la jeune femme.
"Les gens sont surpris quand ils la voient, parce qu'elle est si petite. Elle a une grande personnalité. Les gens l'adorent" affirme non sans fierté l'heureuse maîtresse de Miracle Milly.
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Chien du Saint-Bernard
Le chien du Saint-Bernard (couramment appelé « Saint-Bernard ») est une race de grands chiens de montagne, souvent dressés comme chiens de recherche en avalanche. L'imaginaire populaire les affuble d'un tonnelet de Whisky accroché au cou qui serait destiné à revigorer les victimes du froid. Cette pratique a été utilisée surtout à la fin du xixe siècle dans la recherche de personnes perdues dans les montagnes ou victimes d'une avalanche.
La devise du Chien du Saint-Bernard est: « Noblesse, dévouement et sacrifice »
Appellation :
Leur nom provient de l’hospice du Grand-Saint-Bernard, situé au col homonyme dans les Alpes Suisses, à la frontière avec l'Italie, où ils étaient utilisés par les moines d'abord pour la garde et la défense puis pour la recherche des voyageurs en hiver. C'est une coïncidence pour l'étymologie Bernard et Barry.
Histoire :
Il semble cependant que les chiens initialement utilisés par les religieux appartenaient à une race aujourd'hui disparue qu'ils auraient tenté de recréer en lui enlevant sa férocité. Un spécimen empaillé de la race initiale (sans bajoues et sans oreilles tombantes) est visible à l'hospice.
Le chien viendrait de Haute-Assyrie. Des bas-reliefs ont été retrouvés au Moyen-Orient datant de plus de trente siècles, ressemblant énormément au Saint-Bernard à poil court. Il descendrait du légendaire Mâtin du Tibet, et donc originaire d'Asie. Quelques spécimens furent importés en Grèce, puis à Rome et ensuite se seraient dispersé dans l'Europe Occidentale par le biais des armées romaines probablement au ier siècle. Quelques armoiries, en 1350, de familles nobles figurent le Saint-Bernard.
Vers 1660-1670, des chiens sont offerts au Grand-Saint-Bernard, par des familles vaudoises et valaisannes.
Ce chien est décrit pour la première fois à l'hospice du Saint-Bernard, en 1709 par le Prieur Ballalu : « En 1700, le Chanoine Camos, économe de la Maison, fit faire une roue dans laquelle on met un chien pour faire tourner la broche...». En 1735, le prieur note la réparation du collier d'un chien dans les comptes du Prieur.
Les chroniques qui seront publiées en Europe sur les exploits de ces chiens, sauvant des voyageurs égarés dans la neige ainsi que des récits de soldats de Bonaparte lorsque l'armée de celui-ci franchit le col en 1800, ont fait sa renommée.
Grâce à un élevage systématique, la race actuelle fut créée. En 1867, Heinrich Schumacher, habitant Holligen près de Berne établit des documents généalogiques pour ses chiens. Le livre des origines suisse fut ouvert en février 1884 et le premier à y être inscrit fut un saint-bernard nommé Léon. Le club suisse du Saint-Bernard fut créé le 15 mars 1884 à Bâle et le chien du Saint-Bernard fut reconnu comme race d'origine suisse et son standard adopté lors d'un congrès international de cynologie en juin 1887. Il est alors devenu le chien national suisse.
Saint-Bernard à poil court x Terre-Neuve :
À cause de la consanguinité, un croisement s'opéra entre le Terre-Neuve et le chien du Saint-Bernard à poil court. De ce fait, la corpulence et les qualités du Terre-Neuve furent ajoutées au croisement. Un Saint-Bernard plus gros et plus grand à poil long apparut. Henry Schumacher (1831-1903) expose ces chiens sensationnels à Paris, et en 1884, fonde le club du Saint-Bernard. Un club suisse. L'hospice fut bien étonnée de cette variété de chien à la fin du xixe siècle.
Il existe deux variétés de Saint-Bernard : une variété à poil court et double et une variété à poil long (caractère qui serait réapparu à la fin du xixe siècle). La variété à poil court est d'ailleurs une race moins répandue parmi les chiens du Saint-Bernard.
Mais coûteux à instruire et à entretenir, les chiens du Saint-Bernard sont de plus en plus remplacés par d'autres races plus communes comme le berger allemand, chien polyvalent, comme chien de secours en montagne
Apparence :
Le Saint-Bernard est un chien ayant une grosse tête. Le plus massif chien du Saint-Bernard enregistré était de 107 cm de hauteur, 89 cm au niveau des épaules, et 2,59 m de long et pesait 100 kg. Le poids moyen de la race est entre 64 et 120 kg ou plus et la hauteur approximative au garrot est de 70 à 90 cm.
Le manteau peut être lisse ou rugueux, avec à la fin du tronc, un pelage lisse et plat. La fourrure ondulée est abondante, dense mais plate, et un peu plus autour du cou et des pattes postérieures. Le pelage est typiquement de couleur rouge avec du blanc, ou parfois un brin acajou et -toujours- avec du blanc. Un ombrage noir se trouve généralement sur le visage et les oreilles du chien du Saint-Bernard. La queue est longue et lourde, pendue vers le bas, avec l'extrémité tournée vers le haut. Les yeux noirs sont munis d'auréoles étanches naturellement, avec une "conjonctive peu visible". Parfois, les yeux, bruns en général, peuvent être bleu glacial, presque blancs.
Santé :
Le taux de croissance et la prise de poids d'un Saint-Bernard étant rapides, ceux-ci peuvent conduire à une dégradation très grave de l'os, si le chien ne reçoit pas de la nourriture appropriée et de l'exercice physique. Beaucoup de chiens sont génétiquement touchés par la dysplasie de la hanche ou la dysplasie du coude. Il a été démontré que l'ostéosarcome (cancer des os) était héréditaire dans cette race.
Ils sont sensibles aux troubles de la vue tels l'entropion et l'ectropion, dans lequel la paupière se retourne en avant ou en arrière. Le standard de la race indique qu'il s'agit d'un défaut majeur. La race est également sensible aux crises d'épilepsie, à une maladie cardiaque appelée cardiomyopathie dilatée et à l'eczéma. En raison de la probabilité de problèmes de santé au cours des années du chien du Saint-Bernard, l'espérance de vie moyenne pour un Saint-Bernard est d'environ 8 ans. Un Saint-Bernard peut vivre au-delà de 10 ans, mais cela est assez rare.
Caractère :
Le chien du Saint-Bernard est doux, comédien et très têtu. Attention le chien du Saint-Bernard n'est pas une peluche. Il est donc nécessaire de suite, d'appliquer les règles d'une éducation stricte est obligatoire pour que plus tard, ce chien soit agréable à vivre au quotidien. Le chien du Saint-Bernard n'est absolument pas un chien pour novices, sa particularité, c'est de prendre sa place à la maison, et pour certain de rentrer en conflit. Par son instinct de chien de sauvetage, il aidera son maître ou une personne en danger sans hésitations. Il convient très bien en tant que chien de garde (qui était sa première fonction à l'hospice, voir plus haut) puisqu'il est attaché à son territoire. Il n'est pas agressif du tout, sauf envers des personnes mettant en danger son maître. Ce chien n'est strictement pas citadin, de ce fait, il a besoin de beaucoup d'espace.
Sauvetage :
Le chien du Saint-Bernard peut détecter une présence jusqu'à six mètres sous la neige grâce à sa truffe humide. En effet, il possède, contrairement à la plupart des chiens, un sens de l'orientation extrêmement développé, pourrait prévoir des avalanches et des tempêtes de neige, et serait à même de percevoir si une personne est vivante ou morte sous la neige.
Hospice :
L'hospice du Grand-Saint-Bernard a conservé jusqu'en 2004 un élevage de chiens de Saint-Bernard, pour maintenir la tradition et augmenter l'intérêt touristique du site. Depuis janvier 2005, la congrégation des chanoines du Grand-Saint-Bernard a remis la charge du chenil et de l'élevage des chiens du Saint-Bernard à la fondation Barry basée à Martigny, du côté suisse de la route du col du Saint-Bernard.
Cinéma :
À l'instar du dalmatien popularisé et propagé par le dessin animé Les 101 Dalmatiens, cette race de chiens a connu les appuis du public grâce au cinéma :
le court-métrage de Mickey Mouse, Les Alpinistes (1936)
le film de Richard Pottier, Barry (1948) avec Pierre Fresnay et Pauline Carton.
le film québécois à grand succès, La Guerre des tuques (1984).
le film Beethoven et ses suites sortie au cinéma dans les années 1990.
le film Cujo sorti en 1983 adapté du roman de Stephen King.
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