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scientifiques allemands
Des scientifiques allemands prouvent qu’il y a une vie après la mort
Cet article bouleversera toutes vos croyances et mettra des points d’interrogations aux questions que vous ne vous êtes peut-être jamais permis de vous poser.
Y aurait-il une vie après la mort ?
Cette question aura fait le tour du globe, des nations, des religions et aura été le fantasme de milliers d’êtres humains et ce depuis la nuit des temps. Et tout particulièrement celui d’une équipe de scientifiques allemands qui ont voulu nourrir ce mythe.
Voici ce qu’ils ont découvert.
Des psychologues et médecins neurologues allemands se sont associés pour faire une étude au sein de l’Université Technique de Berlin afin de prouver que le mort a droit a une deuxième vie dans l’au-delà et ont fini par affirmer cette hypothèse.
Nous vous expliquons tout.
L’expérience
Pour arriver à attester cette hypothèse, les médecins chercheurs ont du faire une expérience de quatre ans sur plus de 900 sujets de nationalités et de religions différentes. Cette expérience consiste à injecter à ces sujets un mélange médicamenteux contenant de l’adrénaline et de la diméthyltryptamine, pour provoquer une mort momentanée, le temps d’étudier les variations cérébrales des sujets sans causer de dommage sur leur santé, une sorte de coma éphémère.
L’hypothèse
Selon des médecins neurologues, le cerveau fonctionnerait jusqu’ à 30 secondes après l’arrêt cardiaque. En effet, d’après les nombreux témoignages de personnes ayant survécu à ces expériences de mort imminentes, les médecins affirment qu’entre le moment de l’arrêt du cœur c’est-à-dire la mort clinique et le moment où les personnes ont été ramenées à la vie, il s’est passé des choses assez mystérieuses. Parmi lesquelles, des sensations de conscience assez étranges, des hallucinations, des visions, la dé-corporation, des souvenirs réels, un sentiment de sérénité, la présence de lumière blanche, la vision d’un tunnel…
Le « mort » resterait donc dans un état de conscience même après l’arrêt cardiaque. Donc selon ces scientifiques, les témoignages de ces personnes ne seraient pas similaires pour rien. Ils n’ont qu’une explication c’est qu’il y a bien une vie spirituelle après la mort physique.
Tandis que certains scientifiques croient vivement à l’existence d’un au-delà après la mort, d’autres réfutent catégoriquement cette idée expliquant que ces hallucinations sont purement le fruit d’un état de traumatisme.
Ce traumatisme est lui-même dû au fait que le cerveau n’est plus approvisionné en oxygène et ce manque immédiat causerait les sensations et les troubles décrits par les personnes. Toutes ces hypothèses rentrent bien-sur dans un cadre purement expérimental, car n’oublions pas que chaque religion détient sa propre interprétation de la question.
Néanmoins le docteur Ackermann appuie son idée en tenant les propos suivants :
"Je sais que nos résultats pourraient perturber les croyances de beaucoup de gens», dit M. Ackermann. "Mais dans un sens, nous venons de répondre à l’une des plus grandes questions de l’histoire de l’humanité, donc j’espère que ces gens seront en mesure de nous pardonner. Oui, il y a la vie après la mort et il semble que cela vaut pour tout le monde ".
Malgré tout, cette question taraudera toujours l’esprit des êtres humains car finalement seuls les morts détiennent la réponse.
maltraitances sur des élèves
COUPS AU VISAGE, LIGOTAGES ET HUMILIATIONS : DEUX INSTITUTRICES SOUPÇONNÉES DE MALTRAITANCES SUR DES ÉLÈVES DE MATERNELLE ENFANTS
- A l'issue du combat de deux mamans d'élèves de l'école Paul-Valéry de Neuilly-sur-Marne, une dizaine de parents ont porté plainte. Une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny. Sept enfants seraient concernés, selon les informations de LCI.
Même les nostalgiques du bon vieux coup de règle sur les doigts auront de quoi être horrifiés. Une enquête a été ouverte le 2 novembre par le parquet de Bobigny sur la base de déclarations de parents d'élèves faisant état de soupçons de maltraitances dans une école maternelle de Neuilly-sur-Marne, en Seine-Saint-Denis, selon les informations de LCI.
L'enquête a été confiée à la sûreté territoriale du département. Les faits ne sont pas formellement établis, mais la justice a considéré les témoignages des parents comme assez crédibles pour demander aux policiers d'enquêter. Les faits concernent pour l'instant sept enfants et les policiers s'attendent à recueillir d'autres témoignages de parents.
Les premiers enfants doivent être entendus dans les heures qui viennent par les policiers de la brigade des mineurs de la sûreté territoriale. Par ailleurs, la directrice et l'institutrice de l'école Paul-Valéry ont été suspendues jeudi "à titre conservatoire, par mesure de précaution" par le rectorat de Créteil. Bâillonné avec du ruban adhésif et ligoté À l'origine, selon Le Parisien, ces sont deux mamans qui ont donné l'alerte, après avoir recueilli les témoignages d'autres parents.
Un enfant bâillonné avec du ruban adhésif et "attaché à un appareil de motricité", un autre frappé au visage et au ventre, un troisième dont les oreilles ont été tirées si fort qu'elles ont été décollées, un "placard aux sorcières" pour enfermer des élèves... les enfants concernés, âgés de 3 à 5 ans, ont été traumatisés : bégaiements, comportements violents, ou encore des terreurs nocturnes, selon les interviews réalisées par le quotidien auprès de parents ayant porté plainte.
Certains faits relatés remonteraient à quelques années et ont mené des petits tout droit chez le pédo-psychiatre. "Je pensais que mon fils faisait des crises à cause de l'arrivée de sa petite sœur", regrette notamment une mère de famille auprès du Parisien. Des rendez-vous avec les institutrices n'avaient mené à rien, celles-ci démentant ou justifiant les violences. C’est la maîtresse qui m’a tapé sur la têteUne maman rapporte le récit de sa fille Au micro de LCI, des mères témoignent.
"Ça a commencé quand une maman m’a dit que son fils s’était fait baffer. J’ai commencé à interroger mes enfants . Mon fils m’a dit : 'la maîtresse tape (...). Elle tire les oreilles, elle tire les cheveux, elle donne des coups de pieds, elle met des claques''', confie la jeune femme. Une autre évoque des "torgnoles", à savoir des tapes derrière la tête de sa fille. "Elle avait mal à la tête. Elle a mimé la torgnole et m'a dit :
C’est la maîtresse qui m’a tapée'. Il y a une manière d’agir dans cette école qui fait que les enfants sont déstructurés", s'insurge-t-elle. Neuilly-sur-Marne : deux institutrices soupçonnées de maltraitances sur des élèves de maternelle C'est d'autant plus déroutant qu'elles étaient souriantes et plutôt sympasSara, maman d'un élève de l'école Paul-Valéry "C'est d'autant plus déroutant qu'elles étaient souriantes et plutôt sympa".
"Personne n'aurait pu les imaginer commettre des violences", explique Sara, une des mamans à l'origine de l'enquête, au Parisien. Interrogées par des parents, la directrice a nié les faits, quand les aides-éducatrices (Atsem) présentes en classe semblaient en effet inquiètes, selon son témoignage. Du côté de l'Education nationale, on se refuse à tout commentaire.
"Les deux professeurs sont suspendues à titre conservatoire mais cela ne préjuge en rien de leur culpabilité", se défend-on au cabinet de directeur académique. Cela permet de protéger la présomption d'innocence et de ramener de la sérénité dans l'école", a-t-on déclaré au Parisien.
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Il ont mis une école maternelle dans une maison de repos et cela a changé la vie de tout le monde
Il faut bien dire ce qui est : les maisons de retraite ne sont pas toujours les endroits les plus joyeux du monde. Bien souvent, malheureusement, les anciens doivent finir leur vie dans des endroits ternes et tristes, où ils semblent relégués dans l’attente de leur décès prochain.
Mais heureusement, ce n’est pas toujours ainsi ! En effet, les personnes âgées peuvent facilement maintenir leur joie de vivre, du moment qu’ils reçoivent des visites, que l’on va vers eux et qu’on leur prête l’attention qu’ils méritent. Une école maternelle dans une maison de repos Au Providence Mount St. Vincent, à Seattle, deux générations que plus d’un demi-siècle sépare se côtoient au quotidien.
En effet, cette maison de retraite fait également office d’école maternelle ! 43% des personnes âgées font l’expérience d’un isolement social. Ce programme a installé une école maternelle au sein d’une maison de retraite.
Le résultat ?
Un mélange absolument génial, ou les enfants et personnes âgées interagissent au quotidien, s’apportant mutuellement certains bénéfices que rien ni personne d’autre ne pourrait apporter ! Une école maternelle dans une maison de repos: Un concept vraiment génial, qui gagnerait à être répandu de partout dans le monde !
C’est si simple et pourtant l’échange est extrêmement enrichissant, que ce soit pour ceux qui commencent à peine la grande aventure que sera leur vie, ou pour ceux qui la terminent dans une maison de repos. Ainsi, les enfants apprennent le respect aux personnes âgées, tout en intégrant une leçon d’une valeur inestimable dès les premiers balbutiements de leur existence : la vie est courte, et il faut profiter des instants de bonheur qu’elle nous offre chaque jour !
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Un fermier découvre un oeuf gros de 1 mètre dans son domaine. Ce qu’il contenait va surprendre les chercheurs.
Antonio Nievas est propriétaire d'une petite ferme près de Buenos Aires en Argentine. Un jour, pendant qu'il se balade le long de sa propriété, il remarque quelque chose d'étrange près du lit d'une rivière et fait alors une découverte impressionnante : un objet noir de un mètre de long et à l'aspect pierreux qui ressemble étrangement à un oeuf.
Antonio se met dans tous ses états, il pense alors avoir découvert un oeuf de dinosaure ! Youtube/Ruptly TV Mais lorsque des chercheurs et scientifiques arrivent sur les lieux pour examiner l'objet en question, ils constatent que ce dernier est beaucoup trop gros pour être un oeuf de dinosaure.
Des recherches plus approfondies montrent néanmoins que ce bloc dur est en fait la carapace d'un glyptodon, une créature préhistorique qui ressemble à un tatou géant.
Cette espèce s'est éteinte environ 10 000 ans après la période glaciaire. Bien que ces créatures ressemblaient comme deux gouttes d'eau à des tatous, elles étaient en fait beaucoup plus grandes atteignant parfois trois mètres de long.
La carapace découverte par Antonio appartenait à un jeune glyptodon et les chercheurs sont surpris de voir l'état dans lequel elle se trouve 10 000 ans après. Elle est extrêmement bien conservée et les motifs d'ossifications polygonales sont toujours bien visibles.
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