la léproserie d'Aizier
A quelques centaines de mètre du coeur de du petit village d'Aizier en bordure de Seine, se trouve une des rares traces de léproserie d'Europe.
depuis 10 ans des fouilles s'y effectue chaque année afin de comprendre le mode de vie de ces communoté.
De ce lieu de misére niché au creu de la forêt, seules les ruines de la chapelle St Thomas nous sont parvenues.
A quelques centaines de mètre du coeur de du petit village d'Aizier en bordure de Seine, se trouve une des rares traces de léproserie d'Europe.
depuis 10 ans des fouilles s'y effectue chaque année afin de comprendre le mode de vie de ces communoté.
De ce lieu de misére niché au creu de la forêt, seules les ruines de la chapelle St Thomas nous sont parvenues.
abbaye de Jumièges
À l’exception d’une, toutes les photos ont étaient prises dans l’enceinte de l’abbaye qui possède un immense parc.
Si l’abbaye nous est arrivée ruinée, ce n’est pas du seulement au temps qui passe, mais aussi à une démolition orchestrée pendant la révolution.
La construction, débutée sous l’époque carolingienne, s’est poursuivit jusqu’au début du 18ième siècle, au grés des différentes congrégations qui s’y sont installées.
Malgré les échafaudages destinés à la préservation et à la restauration de l’édifice et une fois passée la sensation de vertige qui nous saisie devant son immensité, on est encore imprégné de la sérénité des lieux.
Nous n’avons pas choisi la visite guidée, des pancartes et un prospectus nous apprenaient l’essentiel. Nous avons préféré nous promener, à notre rythme entre les ruines et une partie des jardins.
Jumièges ne se raconte pas, il se vit et j’y ai éprouvé le même plaisir que lors de mes ballades dans les rues des villages normand
Voici une petite sélection des 132 photos que nous y avons prises
À l’exception d’une, toutes les photos ont étaient prises dans l’enceinte de l’abbaye qui possède un immense parc.
Si l’abbaye nous est arrivée ruinée, ce n’est pas du seulement au temps qui passe, mais aussi à une démolition orchestrée pendant la révolution.
La construction, débutée sous l’époque carolingienne, s’est poursuivit jusqu’au début du 18ième siècle, au grés des différentes congrégations qui s’y sont installées.
Malgré les échafaudages destinés à la préservation et à la restauration de l’édifice et une fois passée la sensation de vertige qui nous saisie devant son immensité, on est encore imprégné de la sérénité des lieux.
Nous n’avons pas choisi la visite guidée, des pancartes et un prospectus nous apprenaient l’essentiel. Nous avons préféré nous promener, à notre rythme entre les ruines et une partie des jardins.
Jumièges ne se raconte pas, il se vit et j’y ai éprouvé le même plaisir que lors de mes ballades dans les rues des villages normand
La Bouille
La Bouille en Seine Maritime.
Nichée sur le parcours des boucles de la Seine, à flan de coteaux, c’est un pittoresque village de 900 habitants.
Au hasard de ses ruelles pavées, on y croise les typiques maisons à colombage et les charmantes villas styles « bord de mer » de la fin du 19ième siècle.
Des statuettes, médaillons, enseignes décorent les devantures des maisons, tandis qu’au détour d’un portail de verdoyant jardin s’offrent à nos yeux
le célèbre papa de Rémi (sans famille) y a vu le jour
marileine blog de partage