Pousser la porte (Butter) (Ninnenne)

POUSSER   la  PORTE

 

Ferme la porte !  Oui mais laquelle !

Petite  porte ouverte à ma naissance,

Combien de porte pour traverser l’existence.

Ouvrir et fermer les portes avec où sans clef.

J’ai depuis  longtemps fermé la porte de l’enfance

Puis très vite et très tôt celle de l’adolescence, mais

J’ai laisser grande ouverte  la porte de la connaissance.

 

Pour trouver la bonne porte qui s’ouvre sur l’avenir

J’ai bien souvent pour avancer, fait du porte à porte,

Parfois, j’ai foncé et enfoncer les portes ouvertes

Passer par la petite porte, poings serrés dans mes poches

Claquer la porte, frapper doucement, où prendre la porte

Sans que cela ouvre  où ferme les portes d’un pénitencier.

 

La chance ne m’a pas toujours fait frapper à la bonne porte

D’un courant d’air entre deux portes, j’ai pris des portes au nez

C’est en  claquant les portes, que s’ouvre la porte d’à coté.

Sortir où entrer par une petite porte m’a fais grandir et avancer

Soudain cette porte s’ouvre sans que vous ayez la clef

De porte en porte j’ai fini par passer par la Grande Porte

 

Vivre entre deux portes, gagné quelque chose où quelqu’un

Le bonheur est passé, pressé, en frappant un peu à ma porte,

Les portes claquent, me reste une clef de les avoir écoutées

Une porte s’ouvre, une autre se ferme, puis s’ouvre sur demain

Et tout les jours porte ouverte, celle du cœur pour les miens

 

Autant de fois et de choix que ma porte reste ouverte où fermée.

Des portes de la vie, on n’entre et on sort, aux  portes de la ville

Il y a toujours une  porte de sortie, même sans porte-clef

Ma porte est toujours ouverte, nul n’est obligé d’entrer.

Chacun de nous fermera qu’une même porte : La Porte du Ciel.

 

La Volonté,  c’est écrit sur ma porte. Je ne me la ferme jamais.


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  Ninnenne