CRIOLLO-ARGENTIN
Le criollo
Fuego
Lorsqu'il aborda pour la premère fois en Amérique, à la fin du XV éme siècle, Christophe Colomb ne trouva pas un seul cheval sur place. Aussi décida-t-il d'en importer d'Espagne dès sa seconde expédition.
Le 28 novembre 1493, il débarqua une vingtaine de chevaux à Hispaniola : les premiers à fouler le sol du Nouveau[size=13]Monde.[/size]
Ils s'y plurent au point de, très vite, se multiplier, proliférer et, par croisements successifs, constituer une nouvelle race, typiquement américaine, une race créole : le criollo.
Mère: DE LA SELVA TOSCA pure race origine Argentine
criollos-isacadia.blogspot.com
[size=13]http://criollos-isacadia.blogspot.fr/p/a-vendre.html[/size]
Originaire d'Argentine, il a pour ancêtre l'Andalou mais de nombreuses années en liberté dans le climat très rude et les sentiers escarpés ont développées des qualités spécifiques.
Cette race est une des plus résistante que ce soit au niveau de l'endurance que de la frugalité. D'autre part, il est également connu pour sa remarquable longévité.
Il fut utilisé comme cheval de bat et pour le bétail. En le croisant avec des Pur-Sangs Anglais, on obtint un excellent poney de polo.
[size=13][/size]
Durant quatre siècles, le Criollo s'adaptera à l'environnement des grandes plaines sud américaines pour subir une sévère sélection naturelle. Cette adaptation aux conditions de vie du milieu lui a permis de développer ses grandes qualités de résistance aux maladies et de sobriété. Ce petit cheval très robuste, très endurant et particulièrement facile à dresser est devenu la monture traditionnelle des indiens puis des gauchos de la pampa, qui l’utilisent encore aujourd’hui pour la garde et le tri du bétail.
Le nom de ce cheval peut varier d'un pays à l'autre : Criollo en Argentine et en Uruguay, Crioulo au Brésil, Costeño et Morochuco au Pérou, Corralero au Chili et Llanero au Venezuela.
Le criollo est le cheval qui possède le plus de robes différentes sur la terre (plus de 100 robes répertoriées).
Décidément, un merveilleux petit cheval...
PONEY PETISO-ARGENTINS
Poney petiso-argentins, Bragadense Celosa, [size=13]fille de Labra Careta et de Bettina, appartenant à Ernesto J. Figueras et présentée par Daniel Meaca.[/size]
Le petiso-argentin
L'élevage des [size=13]chevaux ressemble parfois à une vaste cuisine.[/size]
Voici par exemple une recette, typiquement argentine, pour réussir une nouvelle race :
Importez de Grande-Bretagne des poneys shetland et welsh ( c'est à dire gallois ).
Mélangez bien. Ajoutez à la mixture ainsi obtenue de fortes doses de sang local, créolen c'est à dire criollo.
Vous obtiendrez ainsi un grand jouet vivant, une monture idéale pour les [size=13]enfants, un vrai petit cheval de sport, le petiso-argentin.[/size]
Chevaux [size=13]amoureux, musique de Michael Jackson, you are not alone[/size]
L'APPALOOSA
L'appaloosa
Le nom de ce cheval vient de celui de son berceau, situé sur les rives de la rivière Palouse
(Le « cheval de la Pelouse » devient ainsi un « palousé » qui se transforme en anglais en « appalosey » puis en « appaloosa ».
D'autres sources évoquent pour étymologie la traduction de "Jambes noires", en raison des méthodes de pèche de ces indiens dans les marais, brunissant la peau par l'accumulation de minéraux.)
Cette rivière qui traverse le territoire d'une tribu amérindienne, les Nez-Percés.
Mais plus qu'une race, le mot désigne la couleur d'une robe, tachetée ou mouchetée, très recherchée.
Indiens Nez-Percés et cheval appaloosa, vers 1895
Un peu plus... La tradition orale veut que les Nez-Percés aient découvert le cheval [size=13]chez les Cayuses vers 1730. Apprenant que ces derniers ont acquis ce nouvel arrivant chez les Shoshones au sud, ils partent pour y faire du commerce et acquérir ce nouveau venu. Ils achètent une jument pleine de couleur blanche qui constitue avec son poulain le début d'immenses troupeaux qui se développent dans un environnement de pâtures grasses et de canyons, favorable et protégé. Les chevaux se multiplient le long des vallées de la Snake River, de la Palouse River et des larges plaines de la Columbia.[/size]
Entre 1700 et 1770, les immenses troupeaux de Colonial Spanish Mustangs, directement issus des premiers chevaux des Espagnols sont au contact des élevages en liberté des chevaux canadiens français, qui eux descendent du trait breton.
En moins de cent ans, pratiquement les seuls parmi les autres tribus (et la raison reste un mystère), ils acquièrent les techniques de l'élevage sélectif. En 1806, Lewis laisse castrer un de ses chevaux par un Nez-Percé, et à son grand étonnement l'animal récupère très rapidement. Il notera dans ses carnets : « je déclare sans hésitation que la méthode de castration pratiquée par les Indiens est bien supérieure à la nôtre ». Il remarque également d'élégants chevaux de couleur « avec de larges taches blanches mélangées de façon irrégulière avec des robes noires, baies ou autres couleurs foncées ».
Contrairement à une idée répandue, tous les chevaux des Nez-Percés ne sont pas tachetés.
Les appaloosas auraient été sélectionnés également pour une allure particulière, l'Indian shuffle, proche de l'amble et très confortable permettant de couvrir de longues distances, « chevaux aux 100 miles par jour ».
Pour cette allure, chaque pied frappe la terre à un temps différent, donnant au cheval une démarche par bipède latéral à quatre battues.
Y compris en Europe, et surtout par les cavaliers (et cavalières ) d'extérieur.
Après la reddition des Nez-Percés en 1877, les immenses troupeaux sont décimés par l'armée américaine qui considère ces chevaux comme des armes de guerre. Ils servent même de cibles d'entraînement.
La politique du Bureau des affaires indiennes encourage ces tribus nomades à se sédentariser et à devenir des fermiers. Elle impose le croisement avec des étalons type cheval de trait donnant des Appaloosas proches duKnabstrup.
[size=13]http://fr.wikipedia.org/wiki/Appaloosa[/size]
Chevaux sauvages
N'oubliez pas le grand [size=13]écran...[/size]
LE CRIOLLO-CHILIEN
Le criollo :
Le criollo
Lorsqu'il aborda pour la premère fois en Amérique, à la fin du XV éme siècle, Christophe Colomb ne trouva pas un seul cheval sur place. Aussi décida-t-il d'en importer d'Espagne dès sa seconde expédition. Le 28 novembre 1493, il débarqua une vingtaine de [size=13]chevaux à Hispaniola : les premiers à fouler le sol du NouveauMonde.[/size]
UAHUM
Fils de LUCERO et de ORQUIDEA , UAHUM de la SELVA est né le 23 juillet 2008 , cinquante quatrième produit de notre élevage : Haras d'Andas
Ils s'y plurent au point de, très vite, se multiplier, proliférer et, par croisements successifs, constituer une nouvelle race, typiquement américaine, une race créole : le criollo.Originaire d'Argentine, il a pour ancêtre l'Andalou mais de nombreuses années en liberté dans le climat très rude et les sentiers escarpés ont développées des qualités spécifiques. Cette race est une des plus résistante que ce soit au niveau de l'endurance que de la frugalité. D'autre part, il est également connu pour sa remarquable longévité.
Il fut utilisé comme cheval de bat et pour le bétail. En le croisant avec des Pur-Sangs Anglais, on obtint un excellent poney de polo.
Durant quatre siècles, le Criollo s'adaptera à l'environnement des grandes plaines sud américaines pour subir une sévère sélection naturelle. Cette adaptation aux conditions de vie du milieu lui a permis de développer ses grandes qualités de résistance aux maladies et de sobriété. Ce petit cheval très robuste, très endurant et particulièrement facile à dresser est devenu la monture traditionnelle des indiens puis des gauchos de la pampa, qui l’utilisent encore aujourd’hui pour la garde et le tri du bétail.
Le nom de ce cheval peut varier d'un pays à l'autre : Criollo en Argentine et en Uruguay, Crioulo au Brésil, Costeño et Morochuco au Pérou, Corralero au Chili et Llanero au Venezuela.
Le criollo est le cheval qui possède le plus de robes différentes sur la terre (plus de 100 robes répertoriées).
Des [size=13]chevaux vraiment superbes......[/size]
[size=13]http://www.criollos-france.com/pourquoi-un-criollo[/size]
En illustration, le jument bachkir Anessa, présentée par Grigori Arkadiev, éleveur de Olkhovoye.
Née au haras de Oufa en 1993, plusieurs fois primée en 2001 (médaille d'or à Kazan et médaille d'argent à Moscou), elle est "suitée" de son poulain tenu par Gulnar Gainodinova (seau de koumis au bras ).
Le bachkir
C'était, paraît-il, le cheval préféré de Léon Tolstoï, qui lui trouvait toutes les qualités. Le poney de race Bachkir toise environ 1,42m au garrot.
Morphologie :
Le cheval Bachkir est un poney résistant et rustique.
Utilisation :
Le Bachkir est utilisé pour l’attelage et pour la production de lait.
Deux [size=13]chevaux Bachkirs peuvent tirer un traîneau sur une distance de 120 à 140km sur 24h sans manger.[/size]
Une jument Bachkir peut produire entre 1600 et 2700 litres de lait sur une période de 7 à 8 mois.
Le cheval de race Bachkir est originaire de la région d’Oural en Russie.
Le poney Bachkir est un poney rustique des steppes.
Le Bachkir est un des descendants des [size=13]chevaux des steppes d’Asie de l’Ouest.[/size]
Il est élevé par le peuple Bachkir depuis le VIIème siècle.
Petit cheval ( 1 m 50 en moyenne) originaire des steppes russes, il a été utilisé comme monture par les bergers de la Volga aussi bien que par les cosaques de l'oural.De nos jours, il ne sert plus guère qu'à la production laitière : légèrement fermenté, le lait de jument (koumis) est une boisson très nutritive. "Les propriétés du Lait de Jument
Le lait de jument contient:
- en grande quantité de la vitamine C, qui possède des vertus anti-oxydantes
- des acides gras insaturés, qui participent à la formation et à l’entretien des membranes cellulaires
- des peptides : réactivent la production de collagène des cellules de la peau
- du lactosérum et des protéines solubles facilement assimilables par la peau, qui jouent un rôle hydratant
- de la lactoferrine qui a un rôle anti-bactérien et protecteur (et qui aide notamment à combattre des maladies de peau comme le psoriasis, l’eczéma, ou encore l’acné)
On ne renonce jamais aux chevaux
LE PUR-SANG-LUSITANIEN
Le lusitanien
Le cheval portugais mérite autant d'éloges que son cousin, le cheval espagnol.
Tous deux ont d'ailleurs longtemps été désignés sous la même appellation (andalou).
Officiellement baptisé pur-sang lusitanien en 1966, ce cheval a connu la gloire lors du développement des Académies équestres et l'essor de la haute école, à laquelle il est, en effet, particulièrement disposé.
Au XVIe et XVIIIe siècles, il fut la coqueluche de toutes les Cours européennes, qui rivalisent dans l'art d'obtenir des [size=13]chevaux les airs les plus brillants.[/size]
Valoroso d'Escolina
Le Lusitanien vient du Portugal. Il a du sang arabe et du sang barbe. Il ressemble beaucoup à l'Andalou. Ce magnifique cheval a fait ses entrées dans la cavalerie portugaise, il y a des années. Les Portugais l'admiraient surtout pour sa légèreté et sa maniabilité.
Diva d'Escolina
Mais c'est aussi un cheval intelligent, docile, raffiné, généreux et élégant.
Diva d'Escolina (élevage Amorin)
La conformation du Lusitanien est très près de celle du Andalou.
Cependant, il est un peu plus grand que ce dernier.
Il mesure environ 1,60 m à 1,66 m.
La tête du Lusitanien est petite et convexe perchée sur une encolure épaisse. Son dos est court mais compact.
Sa croupe est musclée et arrondie. Tout ceci tient très solidement sur des membre et des pieds solides et sûr. La crinière et la queue sont ornées de crins doux et parfois ondulés.
En général, le Lusitanien porte une robe grise pommelée, mouchetée ou même souris. Mais il peut aussi être bai, noir ou parfois même alezan. Les balzanes sont acceptées et les en-têtes aussi quoique plus rares.
Aujourd'hui
On retrouve souvent le Lusitanien en haute école grâce à son bon équilibre.
Il impressionne les juges lors des concours de dressage!
Ses allures rassemblées sont magnifiques.
Il aime beaucoup l'attelage puisqu'il est énergique.
Aujourd'hui encore, le lusitanien est très recherché par
les professionnels du spectacle équestre.
LE TRAIT-SOVIETIQUE JAR
Aujourd'hui le Trait-soviétique ...Jar,
étalon né en 1991 au haras de Mordova, champion de sa race en 1996.
Le trait-soviétique
Toujours à la recherche de records à battre, l'Union soviétique avait charge ses zootechniciens de créer le plus grand, le plus gros, le plus fort [size=13]cheval possible.[/size]
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La race descend de croisements à la fin du XIXème siècle entre des juments de races locales et des étalons de trait belge, puis des améliorations avec des juments percheronnes, ardennaises ou Suffolk punch et d'autres, et issue de sélections à partir des années 1940 dans la région de Vladimir et de Iaroslavl. Elle fut nommée et officiellement reconnue comme trait lourd en 1952. Les mêmes méthodes de sélection aboutirent à la création des races du trait estonien et du trait lituanien.
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En mélangeant les sangs autochtones à des sangs étrangers (en particulier brabançon), ils obtinrent, dans les années 1950, un [size=13]cheval aussitôt baptisé (?) trait-soviétique, en effet assez impressionnant -1m60 au garrot et 780 kg en moyenne - mais loin d'atteindre la taille et le poids des mastodontes occidentaux, els le shire ou le percheron.[/size]
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Ce cheval atteint sa maturité plus rapidement que d'autres races de trait, mais est également moins résistant.
Taille : entre 1,47m et 1,55m.
Robe : alezane, rouanne et baie.
Caractère : cheval calme et docile, il supporte très bien le froid.
Aspect : Il est ramassé, plutôt petit, musclé avec une crinière abondante et une queue fournie. Ses jambes courtes et musclées sont caractéristiques. Son encolure est épaisse et ses naseaux larges et bien ouverts.
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Encore un magnifique cheval de trait...
J'ai une passion pour ces chevaux si nobles et
travailleurs.
Chevaux amoureux Musique de Michael Jackson
Les [size=16]chevaux n'ont rien de plus cher que leur écurie[/size]
Proverbe marocain
Cheval vaut plus que richesse
Proverbe espagnol
Ne fouettez pas un cheval qui ne demande qu'a marcher
Proverbe anglais
Cheval vaut plus que richesse
Proverbe espagnol
Le cheval est un cadeau de dieu à l'homme
Proverbe arabe
Le cheval dort aussi bien debout que couché. La plupart du temps, il somnole debout, les yeux mi-clos, ce qui lui permet de prendre la fuite rapidement en cas de danger. Ce type de sommeil est très léger, et le cheval doit s’allonger pour pouvoir dormir plus profondément.
Le cheval ne se couche que quand il se sent en sécurité, par exemple dans son box, ou au sein du troupeau. Il fait alors de courtes siestes de quelques minutes.
Lorsque le cheval dort debout, ses rotules arrière se bloquent en se déplaçant au-dessus du fémur, ce qui empêche la jambe de plier. Les muscles peuvent alors se relâcher, et le cheval s’appuie sur trois membres, en reposant ses membres arrière l’un après l’autre.
LE BARBE
L'étalon barbe "El Ouassal" , âgé de 12 ans, fils de Ouassal par Nedjed et de Assila appartenant à Madame Elgosi, présenté par David Jollivet au haras du pin.
Le barbe Originaire de Berbérie, c'est- à -dire d'Afrique du Nord, le cheval barbe a connu une prodigieuse carrière.
En traversant la Méditerranée, il a donné aux chevaux ibériques une partie de ses qualités, qui ont été ensuite transmises jusqu'aux Amériques, grâce aux conquistadors espagnols. Appelée également Cheval des Berbères, cette race est née en [size=18]Afrique du Nord, notamment en Algérie, au Maroc et en Tunisie.[/size]
Ce fut la monture traditionnelle des peuples nomades, symbole des fantasias, avant d'être adoptée par les militaires français présents sur place.
Son rôle dans l'amélioration des autres races est méconnu car son action a souvent été confondu avec celle du Pur-Sang Arabe, notamment dans la naissance du Pur-Sang Anglais, du Pur-Sang Lusitanien et le Pure Race Espagnole.
Après avoir connu une importante heure de gloire dans les années 50, cette race fut oubliée jusqu'à la fin des années 1980 date à laquelle son stud-book fut réouvert après avoir été supprimé en 1962.
Il est maintenant divisé en 2 sections : barbe pur et arabe-barbe. Ce dernier doit avoir moins de 75 % de sang arabe.
En traversant le Sahara, il a laissé son empreinte dans les cheptels équins d'Afrique Noire.
Cette migration se poursuit encore de nos jours : les Européens apprécient les qualités de rusticité et d'endurance du barbe et les Africains remontent leurs cavaleries de prestige avec des chevaux du [size=18]Maroc.[/size]
Encore un magnifique cheval...
LE HAFLINGER
Le haflinger
Si l'on trouve des spécimens de cette jolie race de petits chevaux blonds originaires du Tyrol (sud-ouest de l'Autriche), un peu partout dans le [size=16]monde, on le doit, certes, à son charme, à son intelligence, à ses indiscutables qualités au travail et à son exceptionnelle adaptabilité à tous les climats - mais aussi à la volonté d'un homme, Otto Schweisgut qui, ayant eu la vie sauve, au cours de la Seconde Guerre Mondiale, grâce à un haflinger, jura de conserver à la race le reste de ses jours, et de l'aider à "conquérir la réputation mondiale qu'elle mérite en vérité".[/size]
Promesse tenue : menacée de disparition dans son propre berceau au lendemain de la dernière guerre, la race est aujourd'hui une des plus répandues de la planète.
On en trouve des spécimens sur tous les continents.
Toutefois, le haflinger n'est pas seulement une réussite commerciale.
C'est aussi une belle réussite de la nature : petit cheval ou grand poney, animal de trait ou d'attelage, monture de selle ou de bât, il mérite bien son surnom de "cheval universel".
Haflinger est un cheval polyvalent. De l'équitation classique au sky-joering, en passant par l'attelage, la voltige, le dressage et même parfois le cso…rien ne lui résiste.
La taille raisonnable du haflinger est un atout pour l'équitation. Il est ni trop grand, ce qui lui garanti un certain succès auprès des adolescents pour les activités de centre équestre, ni trop petit, ce qui lui permet aussi de séduire les cavaliers adultes désirant un petit cheval. Le caractère docile de la plupart d'entre-eux, lui permet aussi de ravir les débutants. Il se présente alors comme un excellent compagnon d'initiation à l'art équestre et cela à tout les âges. Outre son physique attrayant, c'est sans doute pour toutes ces raisons qu'il n'est pas rare de croiser un haflinger dans les centres équestres…
Un merveilleux petit cheval...
"Les chevaux sont des créatures mystérieuses, ou divines"
Proverbe indien
LE BIELORUSSE
Le trait- biélorusse Pingouin (un cheval à trait léger d'origine biélorusse), né en 1991, est présenté ici par son meneur, André Letounov.Pingouin, agé de onze ans.
Le biélorusse
Cheval de trait léger, le biélorusse (dont le berceau est, comme son nom l'indique, l'actuelle république de Belarus ) est un [size=18]animal intermédiaire entre le trotteur, employé de nos jours comme cheval de course, et le cheval de trait, dont la principale utilisation est devenue, hélas, la boucherie.[/size]
Le biélorusse convient parfaitement à l'attelage, discipline sportive qui commence à connaître un regain d'intérêt, aussi bien en Belarus que dans la Russie voisine.
Magni Vom Kronshof ( 7 ans ) et Ofeigur vom Kronshof
( 5 ans ), [size=16]chevaux islandais appartenant à Lothar Schenzel.[/size]
L'islandais :
Le cheval islandais peut-être fier de ses origines : il a été amené des fjords scandinaves par les Vikings, au VIII eme siècle.
Seul équidé d'Islande, il a pour ancêtres les montures des Vikings et des Celtes.
Les [size=16]chevaux Islandais constituent aujourd'hui encore l'une des races les plus rustiques et anciennes au monde.[/size]
Moins de deux cent ans plus tard, une loi interdisait déjà toute nouvelle importation de[size=16]chevaux sur l'île afin de garder à l'islandais sa pureté.[/size]
Depuis, le cheval islandais évolue sur son île volcanique, où il est élevé en liberté.
Elevé en race pure, l'Islandais à conservé deux allures supplémentaires aux autres[size=16]chevaux :[/size]
-Le tölt donne au cavalier une impression d'être assis confortablement dans un fauteuil.
L'amble est identique à celle de l'ours ou du chameau !
Ces deux allures sont parfois naturelles chez le poulain Islandais, mais pour d'autres, un apprentissage sous la selle est nécessaire.
L'islandais a aussi un très bon sens de l'orientation : Laché loin de son écurie, l'islandais retrouve toujours son chemin.
Et surtout ses qualités : rusticité, endurance, confort.
Le petit cheval islandais ( 1 m 38 en moyenne) ne court pas qu'au trot ou au galop : une allure rapide, le tölt, qu'il est seul à connaître, offre à son cavalier une aisance inégalée.
[url=http://brigitisis.centerblog.net/Le poney Connemara est issu de la r%C3%A9gion situ%C3%A9e sur la c%C3%B4te Ouest de l%E2%80%99Irlande qui porte son nom. Son histoire remonterait %C3%A0 quatre si%C3%A8cles avant notre %C3%A8re. Ses origines sont %C3%A9troitement similaires %C3%A0 celles du poney Highland. Il est le fruit de croisements nombreux avec des chevaux orientaux qui ont profond%C3%A9ment marqu%C3%A9s la race. Plus tard, il recevra des apports de sang de Pur Sang Anglais, Pur Sang Arabe et Clydesdale. Sa r%C3%A9sistance et sa force seront longtemps mises %C3%A0 contribution pour les travaux agricoles. Aujourd%E2%80%99hui, il est devenu une monture id%C3%A9ale pour le tourisme et la comp%C3%A9tition. Le Connemara atteint une hauteur allant de 1,28 %C3%A0 1,48 m au garrot. Ses principales robes sont grise, noire, baie, baie brun, isabelle, souris et exceptionnellement rouanne, palomino et alezane. La robe pie n%E2%80%99est pas admise La race Connemara pr%C3%A9sente une t%C3%AAte de taille moyenne et %C3%A9quilibr%C3%A9e conservant un grand espace entre les yeux. Il a des oreilles petites, des ganaches bien d%C3%A9finies, assez d%C3%A9velopp%C3%A9es sans %C3%AAtre lourdes et des naseaux larges. Le poney Connemara arbore une encolure bien conform%C3%A9e aux crins abondants accompagn%C3%A9e d%E2%80%99un garrot assez relev%C3%A9. Ses %C3%A9paules longues et bien inclin%C3%A9es se prolongent par un dos fort. Il poss%C3%A8de un thorax %C3%A0 la fois ample et profond et une ligne dorsolombaire longue et droite. Sa croupe est l%C3%A9g%C3%A8rement oblique et muscl%C3%A9e et sa queue est longue et bien fournie. Le Connemara a des membres r%C3%A9sistants aux articulations s%C3%A8ches. Il poss%C3%A8de des canons courts dont le m%C3%A9tacarpe principal doit mesurer entre 18 et 21 cm. Il pr%C3%A9sente des aplombs corrects, des tendons bien d%C3%A9tach%C3%A9s et un pied bien fait. http:/www.killolastud.com/le-poney-connemara/][size=16]http://www.killolastud.com/le-poney-connemara/[/url][/size]
Ninnenne