AURORE DUPIN ou Indiana GEORGES . S.......
Le 1er Juillet 1804 , à Paris naît Aurore Dupin .
A la mort de son père, en 1808, Aurore est élevée par sa grand-mère au château de Nohant, dans le Berry. Aurore a une enfance mouvementée jusqu’à 14 ans ; en 1818, sa grand-mère l’envoie à Paris poursuivre ses études dans un couvent de jeunes filles de bonne famille. Elle le quitte en 1821, le temps de se passionner pour l’oeuvre de Jean-Jacques Rousseau.
Elle a 18 ans et épouse Casimir Dudevant avec qui elle aura un fils en 1823 : Maurice.
Montée à la capitale en 1826, elle s’essaye à la [size=18]peinture (son fils sera l’élève de Delacroix) , puis à l’écriture. En 1828, elle donne naissance à une fille, Solange .
Amie de Balzac, de l’actrice Marie Dorval, elle devient rapidement un personnage clef de la bohème parisienne, où elle affiche nettement ses opinions républicaines.
En 1832, elle écrit Indiana, son premier succès, sous le pseudonyme de George Sand.
En 1833, elle rencontre Alfred de Musset avec qui elle voyage en Italie.
L’année 1838 marque le début de sa liaison avec Frédéric Chopin.
De retour dans son Berry, à Nohant, elle écrit des romans champêtres : Le Meunier d’Angibault (1845), La Mare aux diables (1846), La Petite Fadette (1849), François le Champi (1850), Les Maîtres sonneurs (1853) ...
L’échec de la révolution de 1848 a ruiné ses rêves humanitaires et lui a fait perdre sa combativité ; mais en 1852, deux entrevues avec Napoléon III lui permettent d’obtenir la grâce de plusieurs républicains condamnés à mort ou au bagne. Avec la même simplicité, elle reçoit à Nohant ses amis parisiens.
La bonne Dame de Nohant, qui est célèbre dans toute l’Europe, cultive l’art d’être grand-mère, tout en écrivant des romans et nouvelles :
Les Beaux Messieurs de Bois-Doré (1858), Laura (1865), Pierre qui roule (1870) ... et des pièces de théâtre : Le Pavé (1862), L’autre (1870) ...
Elle meurt le 8 Juin 1876 au matin, après avoir fait tourner son lit pour recevoir la lumière de l’aube.
Durant toute sa vie, elle gardera un grande liberté d’esprit : George Sand sera la femme la plus libre de son siècle.[/size]
LIMOUX (AUDE). Contrôle d'alcoolémie du cortège funèbre
Stupeur, étonnement, indignation. Les réactions dans la rue comme sur la toile, et elles étaient nombreuses, stigmatisaient toutes, sans exception, le contrôle d'alcoolémie pratiqué de façon inopportune, c'est le moins qu'on puisse dire, par les gendarmes de la brigade motorisée sur un cortège funèbre lundi dernier en début d'après-midi dans la traversée de Limoux, Chemin de ronde. La progression du convoi qui se rendait de l'église Saint-Martin au cimetière Saint Antoine, pour accompagner la dépouille de Mme Garcia, septuagénaire limouxine à sa dernière demeure, avait été stoppée net et la circulation bloquée. «Une[size=18]voiture de la gendarmerie était stationnée en bordure de chaussée et deux motards procédaient à des contrôles d'alcoolémie» se souvient Henri Garcia, le mari de la défunte, ulcéré par le comportement des représentants de la loi. Quand le premier fourgon des PFG, il y en avait deux, est arrivé à hauteur du contrôle, l'un des deux gendarmes-le second aurait dit à son coéquipier «laisse passer»- a tendu l'appareil au chauffeur qui avait baissé la vitre.[/size]
Témoins ulcérés
Ce dernier a soufflé, un peu fort peut-être, la surprise déclenchant un bip et obligeant le gendarme à représenter un autre appareil. Cette version des faits, serait la même que celle donnée au député-maire de Limoux Jean-Paul Dupré par le colonel qui a auditionné les deux motards. «C'est une méprise regrettable, rapporte Jean-Paul Dupré. Il semble que le militaire n'ait pas réalisé qu'il s'agissait d'un fourgon mortuaire. D'autant que ce véhicule était précédé d'une [size=18]voiture qui n'appartenait pas au cortège et qui venait d'être contrôlée. J'espère que toute la lumière sera faite sur ces incidents, et je partage l'émotion de mon ami Henri Garcia dans cette épreuve.» La version des témoins, il y en a plusieurs, est différente et surtout plus tranchée. «Après le fourgon, les gendarmes ont fait souffler les conducteurs parmi les autres véhicules qui suivaient intégrés au cortège, précise Henri Garcia. J'ai prévenu les gendarmes que nous étions un cortège funèbre qui nous rendions au cimetière. J'ai même failli leur dire, vous n'avez qu'à faire souffler Thérèse (NDLR : la défunte) tant que vous y êtes»...[/size]
Une réaction de la gendarmerie
Devant les réactions suscitées par cette application «rigide» de la loi la région de gendarmerie a pondu un communiqué qui donne une version plus soft des événements : «(...)Alors qu'il fait souffler le conducteur, le militaire s'aperçoit qu'il s'agit d'un fourgon funéraire. Il met fin alors rapidement au dépistage qui s'avère négatif et remet en circulation le véhicule ainsi que la file arrêtée derrière.
Aucun des conducteurs à l'arrêt derrière le fourgon funéraire n'a été contrôlé. Le fourgon contrôlé a été identifié au départ comme un simple véhicule utilitaire avant que le gendarme ne s'aperçoive qu'il s'agissait en fait d'un véhicule funéraire.Le conducteur du véhicule particulier contrôlé juste avant le fourgon funéraire n'a jamais fait mention auprès des militaires qu'il faisait partie d'un convoi funéraire.(...)»
NDLR : Une version que ne confirment par les témoins.
Mort d'un Charlot, Gérard Rinaldi
Quand on prononce le nom de Gérard Rinaldi , on pense généralement aux Charlots. A tort peut-être : sa voix était, finalement, plus connue encore que son visage. Depuis les années 90, la voix de Dingo, c'était lui. Tobias Fornell dans NCIS : Enquêtes spéciales, encore lui. Sipowicz, dans New York Police Blues, toujours lui. Et les fans de science-fiction savent sans doute que la voix du commandant Sinclair dans la version française de Babylon 5 est celle de Gérard Rinaldi... Victime d'un cancer, il s'est éteint jeudi, à l'âge de 69 ans, à l'hôpital de Briis-sous-Forges, dans l'Essonne.
Ninnenne