marileine moderateur
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| Sujet: "Un chien qui lâche sa proie pour l'ombre" La Fontaine+"Le rat qui s'était retiré du monde" Jean de La Fontaine Mer 1 Juil - 13:09 | |
| "Un chien qui lâche sa proie pour l'ombre" La FontaineEdition du Chêne. Peut être pour nous rappeler ...combien il est facile de se tromper dans la [size=16]vie et la précipitation...[/size] Brigitisis.centerblog.net "Le rat qui s'était retiré du monde" Jean de La FontaineEditions du Chêne Explications de cette fable prise sur le site suivant[url=http://www.bacdefrancais.net/rat.php Nous retrouvons dans Le Rat qui s'est retir%C3%A9 du monde l%E2%80%99univers fabuleux de Jean de la Fontaine. Mais %C3%A0 travers l%E2%80%99histoire de ce rat, La Fontaine d%C3%A9nonce l%E2%80%99avarice, la gourmandise et l%E2%80%99hypocrisie des moines. Cependant, le personnage du rat ne nous appara%C3%AEt pas totalement antipathique, et c%E2%80%99est la tout l%E2%80%99art de La Fontaine. Ce retrait du monde semble %C3%AAtre la seule solution pour %C3%A9chapper aux violences de ce temps. Dans la fable Le Rat qui s'est retir%C3%A9 du monde de Jean de La Fontaine, nous retrouvons un rat repli%C3%A9 dans la solitude pour m%C3%A9diter. En r%C3%A9alit%C3%A9, c%E2%80%99est un glouton qui s%E2%80%99empiffre de fromage et refuse d%E2%80%99aider les siens.][size=13]http://www.bacdefrancais.net/rat.php[/url][/size] Nous retrouvons dans Le Rat qui s'est retiré du monde l’univers fabuleux de Jean de la Fontaine. Mais à travers l’histoire de ce rat replié dans sa solitude pour méditer, glouton qui s'empiffre de fromage, refuse d'aider les siens, La Fontaine dénonce l’avarice, la gourmandise et l’hypocrisie des moines. Cependant, le personnage du rat ne nous apparaît pas totalement antipathique, et c’est là tout l’art de La Fontaine. Ce retrait du monde semble être la seule solution pour échapper aux violences de ce temps. Vraiment curieux comme les siècles passent et les fables ne se démodent pas!!! Brigitisis A L'AUBE CE MATIN..
A l'aube ce matin, La forêt tremble en vain… Résonnent de partout Des coups de feu ripoux. Des balles sont perdues Hélas les fusils tuent. Je marche dans le pré, Chiens et [size=16]chats à mes piedsIls sont toujours inquietsA chaque coup tiré.L’air est si doux pourtantJe regarde les champs :Quand ils sont labourésC’est la fin de l’été.Des aboiements au loinFont arrêter mes chiens.Les montagnes bleutées,Le lac dans sa beautéReflète les sapins…Je m’interroge en vain :Massacres autorisésBattues organisées…Le gibier sacrifiéA des cœurs sans pitié.Leurs tenues orangées,Leurs voitures garées,Et sur chaque cheminIls surgissent soudainLe fusil à la mainCartouches sur les reins…Ils sont prêts à tirer
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Ils rêvent de civet. Lièvre et sanglier Doucement mijotés…
Je pense à ce lapin Là dans le champ de thym Qui sautait plein d’entrain Dans le petit matin.
Le chevreuil qui bramait, La biche accourait… Je la voyais bondir… Que vont-ils devenir ? Je ne peux cautionner Ce permis de les tuer… Je ne peux accepter L’idée de leur ôter La vie tout simplement La vie…en un instant…
Saint Apollinaire, le 9 Septembre 2012 Brigitisis.centerblog.net
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