RECETTE " CONSEILS "Choisir son melon
Comment bien choisir un melon? Les astuces infaillibles pour trouver LE melon bien mûr et bien sucré!
Le nombre de tranches
Un bon melon doit compter 10 tranches. S'il en possède 9 ou 11, sa chair sera molle et le goût sera très fade, sans sucre.
La couleur du filet
Le filet foncé qui sépare chaque tranche doit avoir une couleur verte légèrement bleutée
Observer le pédoncule
Le pédoncule, petite queue du melon, doit légèrement se décoller. Cela signifie que le stade de maturité est atteint. Pour savoir si le melon est mûr, tirez légèrement dessus, si le pédoncule est très résistant, le fruit ne sera pas bon.
Le poids
Plus un melon est lourd, meilleur il est. Le poids est révélateur du sucre contenu dans le fruit. Un melon léger ne sera donc pas très sucré
L'odeur
C'est bien connu, plus un melon sent bon, meilleur il est. Il faut sentir le pédoncule du melon et non son mamelon. L'odeur doit être douce et persistante. Si elle est trop forte, c'est alors le signe d'une sur-maturité
La provenance
La provenance du melon est également à surveiller. Il est préférable de choisir des fruits français, de Cavaillon par exemple, car ils sont cueillis mûrs, contrairement aux melons venant d'autres pays d'Europe.
l'avocat
D’une jolie rondeur, doté d’un petit goût de noisette très agréable, riche en fibres et en bonnes graisses, bourré de vitamines : non seulement l’avocat nous régale, mais il sait aussi nous rendre belles à croquer ! Et quand, de surcroit, il se déguste cru et nous épargne de longs moments derrière les fourneaux, là on dit : c’est un sans-faute, monsieur le juge !°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Les « dessous » de l’affaire « avocat »Les Aztèques et les Mayas mangeaient déjà de « l’ahuacatl » (ancien nom de l’avocat) il y a 10 000 ans, une excellente source de gras dans leur alimentation pauvre en viande. Les missionnaires espagnols, conquis par sa chair crémeuse et délicate, l’introduisirent en Europe au 16e siècle. Pour l’anecdote, ils se servaient également du noyau broyé, qui s’oxydait à l’air, comme encre rouge pour rédiger leurs documents officiels ! Les Américains se mirent à produire l’avocat à grande échelle à partir du 20e siècle, le rendant ainsi plus accessible et du coup, de plus en plus populaire. Lesvariétés les plus fréquemment trouvées sur les étals français sont la Fuerte (peau fine et verte) et laHaas (peau noire et rugueuse). Importées du Mexique, d’Israël et d’Espagne en automne-hiver et d’Afrique du Sud et du Pérou pendant labelle saison, on peut en profiter toute l’année, quelle chance ! Ceci explique peut-être cela : la Franceserait le 1er consommateur d’avocats en Europe.
L’avocat : plaidoyer en faveur de ses vertus beauté !Alors, cet avocat : gras ou pas gras ? Ne tournons pas autour du pot : oui, sa teneur en lipides est élevée (15g pour 100g), mais constituée en majorité d’acides gras mono-insaturés, qui contribuent aubon fonctionnement du système nerveux et protègent contre les maladies cardio-vasculaires. Mais le fruit dodu cache d’autres atouts :
-Pour les yeux : grâce à sa teneur en lutéine, un pigment présent dans la rétine, l’avocat nous aide à filtrer les rayons ultra-violets si nocifs pour nos mirettes.
-Pour la peau et les cheveux : le gras, ça nourrit de l’intérieur : adieu fourches et peau qui tire ! Les vitamines (A, C, E et K) et les acides aminés qui abondent favorisent la repousse de notre crinière etluttent contre les rides. Associé à la tomate, l’avocat permet également une meilleure absorption du lycopène contenu dans celle-ci et assure donc une protection tip top contre les coups de soleil.
-Pour la ligne : le plein de fibres (6.7g pour 100g) est assuré ! Grâce à elles et à leur effet rassasiant, l’avocat est, assez paradoxalement, un bon allié minceur !
-Pour la santé : Les antioxydants présents dans les vitamines précédemment citées aideraient à lutter contre certains cancers. Les phytostérols (lipides 4 fois plus nombreux chez l’avocat que dans les autres fruits) réduiraient le taux de « mauvais » cholestérol. Et cerise sur le guacamole, sapauvreté en sodium en fait un ami des hypertendus.
Verdict : l’avocat, coupable de nous régaler !Comment le choisir et le conserver ? L’avocat prend ses aises dans l’arbre, mais ne murit qu’une fois récolté ! C’est pourquoi il est souvent vendu « ferme » sur nos étals, afin que vous contrôliez sa maturation chez vous, selon vos besoins. Entouré de papier journal ou posé à proximité de bananes ou de pommes (merci la vapeur éthylène), il sera à point en 24 à 48 heures. Si vous l’avez programmé pour plus tard, laissez-le dans le bac à légumes du réfrigérateur et sortez-le un à deux jours avant son utilisation. Pour savoir s’il est prêt à être consommé, il doit céder sous une légère pression du doigt. Une fois ouvert ou découpé, n’oubliez pas de l’arroser de jus de citron afin d’éviter l’oxydation.
-Savez-vous faire un vrai guacamole comme au Mexique ? La petite astuce consiste à préparer au mortier (ou mieux, avec un « molcajete » traditionnel en pierre) une sorte de pâte plus ou moins épicée avant d’y incorporer vos avocats écrasés. Cette pâte se compose de 2 petits oignons blancs hachés, d’un demi-piment jalapeno (ou autre) émincé et d’un demi-bouquet de coriandre. Écrasez jusqu’à consistance de pistou. Ajoutez ensuite la chair de 2 petits avocats Haas et continuez à écraser. Salez généreusement et arrosez de deux-trois gouttes de citron vert. À déguster en dip avec des chips de maïs, en wrap (c’est un très bon liant), en verrine avec du saumon, dans des fajitas, sur du poisson ou du poulet. Caramba, que c’est bon !
-À l’apéro : smoothies, mini-veloutés, tartinades, tout lui va ! N’hésitez pas à utiliser des armes anti-fadeur comme le piment, le wasabi ou le gingembre. En guise de finger-food, que diriez-vous de lamelles d’avocat plongées dans le jaune d’œuf battu et la chapelure puis frites à la dernière minute ? Nos incontournables : Verrines d’avocat au tartare de pétoncles, Bisque d’avocat, Cornets croustillants avocat et crabe.
-En entrée : des duos gagnants avec l’avocat, il y en a plein : les agrumes, les crustacés, le saumon fumé… Imaginez un émietté de tourteau et d’avocat sur un gaspacho bien frais, un tartare pamplemousse/avocat/daurade, un velouté frais d’avocats aux 2 citrons, un Millefeuille saumon fumé-avocat. En salade, avec du crabe ou des lardons, en carpaccio, ou encore dans des Clémentines farcies, on ne l’arrête plus !
-En plat : peu adapté à la cuisson qui le rend amer, l’avocat se déguste plutôt tiède dans un Burrito poulet, poivron rouge ou dans une Papillote marine au thé.
-Bonus dessert : en Amérique Latine, il se déguste simplement saupoudré de sucre ou dans des salades de fruits exotiques. Avec le chocolat, origines aztèques obligent, l’affinité est grande : le Chef Alain Passard nous le sert en soufflé avec des carrés noirs blottis à l’intérieur. En cheesecake avec une sauce chocolatée, c’est tout aussi gourmand !
Bref, aimez l’avocat, et il vous le rendra bien !
les algues et leurs bienfaits
Les algues font parties des superaliments
Principalement consommées en Asie, les algues ne connaissent pas le même engouement en Occident.
Elles sont pourtant riches en bons nutriments et ont de réels effets sur la santé.
Ces légumes de mer méritent de s’immiscer parmi les aliments du quotidien, car leur consommation ne peut nous être que bénéfique. Voici donc un portrait de ces végétaux mal-aimés.
Les algues séduisent de plus en plus
Peu consommées dans les pays occidentaux, les algues sont pourtant mangées à toutes les sauces dans les populations asiatiques.
Elles sont principalement produites en Chine, mais la France suit la tendance avec une production atteignant environ les 100 tonnes par an
. Environ 75 % des algues récoltées finissent dans les assiettes, tandis que le reste sert de gélifiant dans le domaine de l’industrie agroalimentaire. Mais le problème des algues, ce sont leur image. Les consommateurs sont peu renseignés sur les bienfaits des algues, ce qui les rend réticents à les goûter.
Cependant, depuis un certain temps, elles semblent peu à peu séduire grâce à l’expansion des traiteurs japonais.
En effet, en 2013, 58 % de la population aurait consommé des algues au moins une fois au cours de l’année et très souvent dans un restaurant de spécialités asiatiques Grâces à leurs teneurs en oligoéléments, les algues, aussi bien vertes que rouges ou brunes, s’inscrivent parmi la liste des superaliments. Ce légume de mer possède de puissants antioxydant, tels que la fucoxanthine, des flavonoïdes et des acides phénoliques.
Leur teneur en fibre est également intéressante car il semblerait qu’une portion d’algue fraîche contienne jusqu’à 8 % des quantités de fibres recommandées quotidiennement.
En ce qui concerne les algues séchées, les fibres représentent 35 % à 50 % de leur poids.
Comme les algues absorbent les minéraux de la mer, elles en sont gorgées et ont tendance à stocker davantage de calcium et de fer que les légumes terrestres.
Pauvres en calories, elles garantissent un apport en vitamines variées (B5, K, C, B9, B2, A).
Enfin, l’algue est composée de 70 % à 90 % d’eau, et est très appréciée des végétariens.
Les algues sont bonnes pour la santé
La concentration en phytostérols des algues permettrait de réduire le taux de mauvais cholestérol dans l’organisme
. Elles pourraient servir d’alternative aux produits laitiers pour les personnes souffrant de cholestérol, car son calcium remplace avantageusement celui des produits à base de lait.
Une consommation régulière d’algues permettrait de réduire, entre autres, les risques de cancers liés aux oestrogènes in vitro. En effet, manger des algues pourrait protéger l’organisme des risques de cancer, et plus particulièrement ceux du sein et du colon.
Les hormones thyroïdiennes sont par ailleurs protégées par l'iode que contiennent les algues.
Mais attention à ne pas trop en consommer : à forte dose, l’iode provoque de l’hyperthyroïdie.
Ainsi, le flucoïdane présent dans les algues brunes pourrait augmenter l’efficacité des agents de chimiothérapie pour provoquer la mort des cellules cancéreuses. Une variété d’algue bleu-vert, la spiruline, est riche en protéines (55 % à 70 %), serait un bon complément nutritionnel pour la santé. Cependant, les études tentent encore de prouver son efficacité. [size=24]zestes d'agrumes
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Les zestes d’agrumes
Il s’agit de la peau des agrumes qui comprend également le zist, la partie blanche au goût amer.
En épluchant votre orange par exemple, essayez de laisser au maximum le zist car il est très riche en fibres et en antioxydants.
Sinon, prélevez le zeste à l’aide d’un économe ou d’une râpe et blanchissez-le pour retirer l’amertume (cuisson à l’eau pendant quelques minutes et départ à froid).
On peut choisir de confire les zestes dans un peu d’eau et de sucre (pour relever un gâteau au chocolat, rehausser une tarte aux pommes ou une salade de fruits et booster un poisson blanc) ou de faire sécher les zestes pour en faire ensuite de la poudre (à saupoudrer sur des gambas à la plancha, une purée de carottes…).
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le vin
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Le vin
C’est un peu hérétique pour nous autres Français, mais si vous n’avez pas fini votre bouteille, pourquoi ne pas en congeler le reste dans un bac à glaçons et vous en servir plus tard pour cuisiner ?
Rien ne se perd... Et vous éviterez de laisser traîner dans votre réfrigérateur une bouteille destinée à l’origine à cuisiner mais qui se transforme immanquablement en vinaigre...
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le riz
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Le riz
Le riz à moitié cuit peut tout à fait être congelé, ce qui permet de finir sa cuisson plus tard. C’est particulièrement vrai pour les variétés de riz à cuisson longue, comme le riz complet.
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Les Chips
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Les chips
Vous n’avez pas fini l’énorme paquet de chips que vous aviez acheté pour votre pendaison de crémaillère ?
Mettez-le directement au congélateur. Lors de la prochaine fête que vous organiserez, sortez le paquet du congélateur, vous pourrez les consommer après quelques minutes, elles décongèleront très vite.
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Congelation
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Les œufs
Qui aurait cru qu’on pouvait congeler des œufs ? C’est pourtant très pratique et ça évite d’en n’utiliser que deux et de laisser moisir le reste de la boîte dans le frigo pendant des semaines, en laissant le champ libre aux salmonelles...
Mais ne les mettez pas dans le congélateur tels quels : cassez-les dans un sac de congélation ou dans un bac à glaçons.
Pour les décongeler, mettez-les au réfrigérateur et utilisez-les normalement.
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Sachez que s’il est possible de tout congeler, il est préférable d’éviter certains produits.
Les fruits et légumes très riches en eau, comme le melon, la pastèque ou la courgette, deviennent tout ramollis après la décongélation.
La mayonnaise tourne et perd complètement sa structure.
Quant aux aliments frits, ils perdent tout le croquant qui fait oublier leur teneur en gras, sans compter que leur goût s’affadit considérablement après une période prolongée au congélateur. NOEL "Poissons ,crustacés
[size=16]http://fr.pourelles.yahoo.com/photos/8-poissons-que-vous-devriez-éviter-de-manger-slideshow/les-poissons-plats-d-atlantique-photo-1386090990840.html
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À l'approche des fêtes de fin d'année, les afficionados de poissons se préparent à se régaler.
C'est le moment opportun de réaliser de bons plats avec des espèces que l'on a pas toujours l'occasion de manger.
Mais sont-ils tous à consommer ?
Une association à but non lucratif, Food And Water Watch, a entrepris un travail colossal : examiner toutes les variétés de poissons qui pourraient se retrouver dans l’assiette des consommateurs.
Les différentes équipes ont décidé d’étudier les nombreux types de pêches, d’élevages, ou encore les niveaux de toxicité dus [size=14]à certaines pollutions. Alors, qui sont les mauvais élèves ?[/size]
1/ Le caviar
Ce n’est pas un poisson à proprement parler, mais les œufs de béluga et d’esturgeon sauvage sont très prisés. Ainsi, pour capturer ces poissons, certains n’hésitent pas à construire des barrages qui polluent l’eau dans laquelle ils vivent. Toutes les formes de caviar proviennent de poissons qui prennent beaucoup de temps pour arriver à maturité, aussi on peut s’inquiéter de la menace qui pèse sur ces espèces…
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Ce n’est pas un poisson à proprement parler, mais les œufs de béluga et d’esturgeon sauvage sont très prisés. Ainsi, pour capturer ces poissons, certains n’hésitent pas à construire des barrages qui polluent l’eau dans laquelle ils vivent. Toutes les formes de caviar proviennent de poissons qui prennent beaucoup de temps pour arriver à maturité, aussi on peut s’inquiéter de la menace qui pèse sur ces espèces…
[*]2/ La morue d’atlantique
Elle est plus connue des ménagères sous le nom de cabillaud. S’il est essentiel à la survie économique des pêcheurs de la Nouvelle Angleterre, le cabillaud n’en demeure pas moins une espèce en danger. En effet, le cabillaud est désormais dans la catégorie qui précède celle des espèces en voie de disparition à cause d’une mauvaise gestion des stocks maritimes. Optez plutôt pour la morue du pacifique, qui a encore de beaux ... plus
2/ La morue d’atlantique
Elle est plus connue des ménagères sous le nom de cabillaud. S’il est essentiel à la survie économique des pêcheurs de la Nouvelle Angleterre, le cabillaud n’en demeure pas moins une espèce en danger. En effet, le cabillaud est désormais dans la catégorie qui précède celle des espèces en voie de disparition à cause d’une mauvaise gestion des stocks maritimes. Optez plutôt pour la morue du pacifique, qui a encore de beaux jours devant elle
3/ L’anguille d’Amérique
On la connaît aussi sous le nom d’anguille jaune ou d’anguille argentée, généralement mise en avant dans les restaurants japonais quand vous dégustez votre chirashi ou vos sashimis. Mais comme ses habitats naturels souffrent particulièrement de la pollution, elle est généralement fortement contaminée par les PCB et le mercure. Et si vous vous mettiez aux calmars plutôt ?
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Tradition Japonaise
Comment ne plus manger ses sushis comme un sagouinSauce soja, gingembre, wazabi... Manger des sushis dans les règles de la tradition japonaise obéit à un rituel complexe. Voici quelques règles qui vous permettront de ne pas perdre la face.Stop ! Posez immédiatement ce california saumon-avocat que vous vous apprêtez à engloutir ! Non qu'il soit avarié, mais vous allez sans doute le manger de la mauvaise manière. Avouez-le : vous immergez négligemment vos makis dans la sauce soja, vous buvez du saké froid pour anesthésier le piquant du wazabi, vous plantez vos baguettes dans ces pauvres sashimis... Ce n'est pourtant pas ce que la bienséance nipponne attend de vous.Pas de panique : le site I Love Coffe a réalisé un tutoriel très complet sous forme d'infographie pour ne pas perdre la face à chaque fois que vous allez déjeuner dans un restaurant de sushis. Par où commencer ? Eh oui, il y a un ordre pour manger les sushis. Il convient de commencer par le poisson le plus délicat et de terminer par ceux qui ont le goût le plus fort (thon ou anguille par exemple). Gardez le tamago sushi (aux œufs) pour la fin.
Les baguettes - A l'origine, les sushis ne se mangeaient qu'avec les doigts. C'est encore le cas dans certains restaurants traditionnels. Si vous allez dans ce genre d'endroit, essuyez-vous les mains entre chaque sushi. Si on vous donne des baguettes, ne les plantez JAMAIS dans vos plats : cela évoque les bâtons d'encens des cérémonies funéraires. Enfin, ne passez jamais la nourriture à une autre personne avec des baguettes.La sauce soja -Le riz de vos sushis est déjà vinaigré, c'est pourquoi il n'est pas nécessaire de le tremper dans la sauce. Le mieux est de retourner votre sushi et de saucer uniquement le poisson. S'il se casse une fois trempé, ne vous étonnez pas : cela prouve qu'il a été bien préparé.Le gingembre - Il sert à vous rafraîchir le palais entre chaque bouchée ou différents types de sushis. Pas question, donc, de l'ajouter au-dessus de vos sushis.Le gingembre - Il sert à vous rafraîchir le palais entre chaque bouchée ou différents types de sushis. Pas question, donc, de l'ajouter au-dessus de vos sushis.Le wazabi - La bonne pratique consiste à en appliquer un peu sur le sushi avant de le tremper dans la sauce soja, et non de mélanger directement le wazabi dans la sauce.
Combien de bouchées ?Une seule ! Le sushi est fait pour être mangé en une seule fois. Il est aussi très mal vu de le couper en deux avec vos baguettes. Boissons -Le saké ne se boit pas avec les sushis. De manière générale, il ne se consomme pas avec du riz : les Japonais estiment que ces deux produits ne se complètent pas puisque le saké est un alcool de riz. Préférez donc le thé vert. En revanche, il est possible de boire du saké avec les sashimis, avant ou après le repas.