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| Quelques conseils pour bien choisir son matelas et son oreiller(passeportSANTE.net) + autres | |
| | Auteur | Message |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Quelques conseils pour bien choisir son matelas et son oreiller(passeportSANTE.net) + autres Mer 7 Juin - 17:27 | |
| Quelques conseils pour bien choisir son matelas et son oreiller Pour favoriser l’endormissement et un sommeil réparateur, il est indispensable de bien choisir sa literie. Outre le sommier qui devra être choisi avec soin, l’oreiller et le matelas devront également être l’objet de toutes les attentions. Le matelas, mou ou dur ?
Les idées reçues étant encore légion sur le sujet, la croyance affirme qu’un matelas dur est préférable à un matelas mou mais ce n’est pas tout à fait exact. Tout dépend de la corpulence et des éventuels maux de dos de l’individu. Un individu mince choisira un matelas assez souple tandis qu’une personne à la corpulence forte optera pour un matelas plus ferme.
Tester avant d'acheter
Il est préférable de tester son matelas avant de l’acheter. Si les offres sur le Net sont alléchantes, mieux vaut donc éviter à moins d’avoir testé auparavant en magasin ou chez des amis/famille. Pour bien tester son futur matelas, voici les deux points à vérifier absolument : -se coucher sur le dos et passer sa main entre les reins et le matelas : si votre main arrive à passer, c'est que le matelas est trop ferme pour vous. -s’allonger sur le côté et s’appuyer sur le coude: si celui-ci s'enfonce, c’est que le matelas n'est pas assez ferme. Cela peut occasionner des douleurs et provoquer des micro-réveils qui empêchent un sommeil réparateur. Dormir au rythme des saisons
Le fait de dormir toujours dans la même position et du même côté, cause une usure inégale du matelas, ce qui, à la longue, peut le déformer. Le retourner permet d’éviter cette usure. Quel que soit le matelas choisi, il est recommandé de le retourner régulièrement, à chaque changement de saison, afin de prolonger son confort et sa durée de vie qui est normalement d’une dizaine d’années.
Changer son matelas régulièrement
Une literie se change tous les dix ans maximum, voire même avant si elle est détériorée (usure du matelas, trous, creux, etc) Pour un confort optimal, mieux vaut acheter le sommier et le matelas en même temps et les prendre dans la même marque pour être sûr qu’ils s’adaptent bien l’un à l’autre. Un sommier à ressorts ne s’adaptera pas à un matelas en mousse ou en latex et vice versa.
Quelques conseils pour bien choisir son matelas et son oreiller L’oreiller : à ne pas négliger
L’oreiller est souvent ce qu’on néglige le plus lors de l’achat ou du renouvellement d’une literie, à tort car il est essentiel pour passer des nuits réparatrices et confortables. S’il est mal choisi, il entraînera une mauvaise position de la tête et du cou, et donc un mauvais alignement du corps, ce qui aura pour conséquence de la fatigue, des torticolis, des maux de tête ou des raideurs. Comme pour son matelas, il faut donc bien le choisir en fonction de plusieurs critères : garnissage, densité, position pour dormir, corpulence, etc… Le choisir en fonction de sa position
Afin d'éviter les tensions et donc les douleurs cervicales ou dorsales, la tête doit être alignée avec le reste du corps lorsqu’elle est sur l'oreiller. Si l’on dort sur le côté, l’oreiller doit donc être épais (partir de 10 cm) et avoir une texture plutôt ferme pour respecter l’alignement du corps. Si vous dormez sur le ventre, votre oreiller, au contraire, devra être plat, environ 5 à 10 cm pour ne pas « casser » la nuque. Si vous dormez sur le dos, peu importe que l’oreiller soit épais ou fin, choisissez celui qui vous convient le mieux. Le choisir en fonction de sa corpulence
Comme pour le matelas, il est important de prendre sa corpulence en compte. Si vous êtes plutôt fin, choisissez un oreiller fin qui ne mesure pas plus de 10 cm d’épaisseur pour conserver un bon positionnement tête – épaules –dos. Si au contraire, vous êtes plutôt fort, qu’il s’agisse d’un excès de poids ou d’une musculature développée, choisissez un oreiller épais et ferme qui viendra soutenir votre tête et vos épaules sans s’enfoncer. Opter pour la bonne densité
La fermeté ou le moelleux de l'oreiller dépend de la nature du garnissage: plus le garnissage est dense, plus l'oreiller est ferme. Moelleux ou ferme, c’est avant une question de goût : certains aimeront que leur nuque soit bien maintenue tandis que d'autres préféreront enfoncer leur tête dans le moelleux d’un oreiller doudou pour rejoindre les bras de Morphée… Concernant la densité, aucune recommandation particulière n’est à suivre si ce n’est celle du confort, qui variera en fonction de chacun selon le type d’oreiller, tout en sachant qu’il faut garder en tête l’alignement le plus droit possible entre nuque et dos. Quel garnissage ?
Il existe trois types de garnissage différents : le duvet, les fibres synthétiques et la mousse (ou latex) -Le duvet (oie ou canard) est le plus plébiscité pour le confort qu’il apporte, bien qu’il ne favorise pas spécialement un sommeil réparateur. Inconvénient : il coûte plus cher à l’achat que les autres matières et a une durée de vie plus courte. -Les fibres synthétiques, qu’on retrouve sous l’appellation polyester sont la solution économique et anti-allergie par excellence. Cependant, elles tiennent chaud et sont donc déconseillées aux personnes qui transpirent beaucoup. -La mousse synthétique et le latex assurent un très bon soutien, et cumulent les avantages : durables, sains et anti-allergiques, ils sont un bon compromis. Ergonomique ou pas
Coup de marketing ou réel bienfait pour la santé ? Toujours est-il que l'oreiller ergonomique ne convient pas forcément à tout le monde et qu’il doit être choisi avec soin. Grâce à sa forme en vagues, il vient épouser naturellement les courbes cervicales lorsque l'on dort sur le côté, et est donc à privilégier si on dort dans cette position. La tête étant alignée avec le reste du corps, les tensions au niveau de la nuque seront ainsi évitées. Les oreillers ergonomiques sont avant tout destinés aux personnes ayant des douleurs musculaires au réveil, des torticolis et /ou de l'arthrose cervicale et sont à choisir minutieusement en fonction de sa corpulence.
Audrey Dulieux passeportSANTE.net Ninnenne | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Quelques conseils pour bien choisir son matelas et son oreiller(passeportSANTE.net) + autres Jeu 8 Juin - 9:11 | |
| 5 techniques de stimulations du périnée à tester chez soiQue ce soit pour éviter des problèmes d’incontinence ou pour un meilleur épanouissement dans sa vie sexuelle, il existe différentes techniques pour stimuler son périnée… à domicile !
Les exercices de musculation
Certains exercices favorisent la musculation du périnée. Allongée sur le dos, pliez les genoux. Soulevez votre bassin en vous appuyant sur vos pieds, comme si vous vouliez former un pont avec votre dos. Respirez le plus lentement possible. Au moment de l'expiration, contractez les trois sphincters (anus, muscles du vagin, urètre). Maintenez la contraction pendant 3 secondes pour commencer puis relâchez 5 secondes. La fausse inspiration thoracique
Inspirez et soufflez doucement en contractant votre périnée. Évacuez tout l’air de vos poumons en rentrant le ventre puis bloquez votre respiration et faites comme si vous inspiriez. Votre ventre va se rentrer et contracter le périnée en profondeur. Relâchez doucement en inspirant. Faire l’exercice 2 à 3 fois de suite.
L’électrostimulation périnéale
L’électrostimulation consiste à déclencher la contraction des muscles par le biais d’une sonde périnéale. De petites impulsions électriques indolores font passer des courants basse tension envoyés par un boîter, appelé électrostimulateur. Cette technique, employée par les kinésithérapeutes spécialisés en uro-gynecologie et par les sages-femmes est désormais disponible à domicile
Pendant l’amour
Durant les rapports sexuels avec votre conjoint, resserrez votre périnée autour de son sexe pendant la pénétration. Plus vous arriverez à maintenir la contraction, plus vous musclerez votre périnée. Discutez-en avant ensemble pour éviter qu’il ne se retire au moment où vous contractez. L’exercice doit se faire à deux.
Le gainage
Le gainage est une méthode d’entraînement et de renforcement musculaire visant exclusivement à travailler sur les muscles du tronc. A chaque série d’abdominaux, veillez à contracter votre périnée en même temps. Commencez par 2 séries de 10 puis 2 séries de 20, 2 séries de 30, etc. Evitez les abdominaux trop violents qui solliciteraient de manière trop brutale le périnée.
Audrey Dulieux passeportSANTE.net Ninnenne | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Quelques conseils pour bien choisir son matelas et son oreiller(passeportSANTE.net) + autres Ven 9 Juin - 12:49 | |
| Comment gérer une crise de couple Le couple n’est pas un long fleuve tranquille. S’il a déjà quelques années derrière lui, la crise peut arriver mais cela n'est pas forcément le signe d'une séparation inéluctable. Des attentes différentes
Si au début, le couple ne fait qu’un et regarde dans la même direction, les événements et aléas de la vie (enfant, maison, travail) font que chacun évolue différemment. Conséquence : les envies et les projets ne sont plus forcément les mêmes avec le temps... D’autant que le début d’une relation, placée souvent sous le signe de la passion, gomme tous les aspects de l’autre qui pourraient être dérangeants. Sauf qu’une fois que l’ardeur s’en va, chacun souhaite revoir ses priorités…
L’amour dure 3 ans…
L’amour serait, selon Lucy Vincent, biologiste et auteure du livre « Comment devient-on amoureux ? », qu'une histoire de chimie, n’en déplaise aux amoureux de l’amour… Le cerveau et le corps serait sous endorphines durant environ 3 ans d’où cet attachement fort à l’autre et la fougue qui caractérise le début de chaque relation. Passé ce laps de temps, l’individu, s’étant « habitué » à l’autre, reprendrait le cours de sa vie et ne produirait plus autant d’endorphines vis-à-vis de son partenaire…
Une usure normale…
Au bout de quelques années, il n’est pas anormal qu’une routine s’installe. Alors que l’un se satisfait de sa vie de couple et n’en attend plus vraiment grand-chose, l’autre, à l’occasion d’un changement de vie (retraite, enfant qui quitte la maison, changement de travail), souhaitera donner un nouveau souffle à son couple et en attendra beaucoup. C’est en général à cause de ce décalage que la crise a lieu…
Garder le contact
Une fois que les endorphines cessent d’être produites en masse, il reste l’ocytocyne, appelée également « hormone de l’attachement ». Nous libérons de l’ocytocyne à chaque fois que nous embrassons l’autre, que nous faisons l’amour avec lui, que nous lui tenons la main ou tout simplement lors d’un fou-rire ou d’une discussion agréable avec lui au restaurant. Il est donc indispensable, d’autant plus en période de crise, de mettre en place de petits rituels et de multiplier les gestes marquant son attachement à l’autre. S’ils sont faits spontanément au début de la relation, ils demanderont peut-être quelques efforts avec le temps qui passe mais ce sont eux qui permettront de maintenir le cap de la relation. En parler…
La première des choses à faire si les disputes se multiplient ou, si les longues discussions ont laissé place à un mutisme pesant, c’est d’en parler…Si l’un des deux ne se sent plus bien dans son couple, il doit faire la démarche d’en parler à l’autre, de préférence dans un milieu neutre. Ce n’est pas chose aisée, car en général l’autre n’a rien vu et se réfugie dans le déni. Le travail de communication ne peut pourtant commencer qu'à partir du moment où il y a prise de conscience des deux partenaires d'un dysfonctionnement dans le couple. C'est indispensable pour essayer de trouver des solutions… ou pas. …Mais pas à tout le monde
En parler au principal intéressé oui, mais à la famille et aux amis, mieux vaut éviter… Si l’on est déjà convaincu(e) que le dénouement sera la séparation, le fait d’en parler à des proches s’avérera d’un grand soutien. Cependant, si le couple décide de se donner une autre chance, il faut savoir que ce type de confidences laisse des traces… Dans un couple, régi par l’amour, on s’aime on se déteste, on s'en veut, on se réconcilie, en revanche dans des relations « dépassionnées », l’objectivité est seule maîtresse à bord et les jugements peuvent être légion. Ainsi, révéler l’infidélité de son conjoint à sa mère peut créer chez cette dernière une animosité vis-à-vis de lui… une rancœur qui restera même si le couple décide de rester uni… ce qui peut ajouter à sa mésentente... Et pas n’importe comment
Communiquer en temps de crise est la clé pour sauver son couple en déroute. Mais il y a de nombreuses façons de communiquer : faire des reproches à l’autre est par exemple un mode de communication mais pas forcément le bon... L’important est donc de communiquer autrement, de sortir des schémas classiques de discussion qui sont stériles, voire qui aggravent la situation. Pour y arriver, il faut parler à la première personne de manière à éviter les reproches (« je me sens délaissée » plutôt que « tu ne t’occupes jamais de moi »), éviter la surinterprétation et se mettre vraiment à l’écoute de l’autre. Faire une thérapie de couple
Si le mode de communication d’un couple est principalement basé sur le reproche et l’accusation, véritables poisons pour la relation, il est souvent difficile d’en sortir. C’est pourquoi, certains couples n’arrivant plus à communiquer de la bonne manière font appel à un conseiller conjugal. Il s’agit d’une tierce personne qui, grâce à son objectivité et des exercices spécifiques, tente d’instaurer un nouveau mode communication au sein du couple, basé sur le respect et l’empathie, dans le but de clarifier les sentiments. Il n’est pas là pour « réparer le couple » mais pour l’aider à prendre la bonne décision, quelle qu’elle soit. Différer la décision
En cas de grosse crise, lorsque la communication n’est vraiment plus possible et qu’aucune solution ne peut, ou ne veut être trouvée, il est alors normal de penser à la séparation. Cela étant, « la colère est mauvaise conseillère » : mieux vaut ne pas agir dans le feu de l’action, et décider de claquer la porte en pleine dispute. Cette décision importante doit être prise à tête reposée, après avoir mûrement réfléchi et peséle pour et le contre… En outre, si la séparation vient à avoir lieu, elle se prépare et s'anticipe, surtout s’il y a des enfants en jeu…
Si la séparation est inéluctable
La séparation est une grave décision, et engendre un traumatisme même si elle est prise d’un commun accord. Si malgré les tentatives de chacun et les efforts pour reconstruire le couple sont restés vains, si l’envie d’être à deux n’est plus là, la séparation reste la meilleure chose à envisager. Dans cette optique, on peut « réussir » sa séparation. Se séparer ne veut pas forcément dire se déchirer, cela peut être fait dans le respect mutuel et l’échange.
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