marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: 10 conseils pour bien choisir son melon Sam 10 Juin - 11:21 | |
| [*] 10 conseils pour bien choisir son melon[size=33]Un melon au juste poids[/size] image: http://static.cuisineaz.com/320x320/i61711-un-melon-au-juste-poids.jpg
C’est l’astuce la plus simple... et la moins connue. Empoignez le melon, soupesez et comparez, plus il est mûr, plus il est lourd ! L’équation est basique : un melon pas mûr, c’est un melon sans sucre. Or le sucre pèse lourd. Tout au long de sa maturation, votre futur repas gagne donc en poids à mesure qu’il gagne en goût, une bonne raison pour peser l’un après l’autre tous les melons de la pile ! Quand un melon dans chaque main suffit à en estimer la saveur, facile de dénicher votre sauveur… Attention, toutefois, à l’excès de zèle. Un melon trop mûr est lui aussi gorgé de sucre, et donc bien plus lourd que ses confrères les jeunots. Le goût n’en pas pour autant des plus gourmands... voire carrément écœurant. Considérez le poids du melon comme un indice de maturité, et non comme le seul critère valable ! Quant à compléter la panoplie, étudiez l’astuce qui suit.[size=33]La queue du melon[/size]
Point de queue pour le melon, son appendice courbé se nomme pécou. Et le pécou, sachez-le, se décolle dès qu’il est mûr ! Autrement dit ? Pour choisir le melon dont vous rêvez, administrez une gentille pichenette au pécou de l’intéressé. S'il commence à vaciller, ou vous semble mal attaché, foncez ! Plus la chair du melon est mûre, plus elle ramollit, et moins son pécou maintient le cap. Le pécou n’est plus là ? Pas de panique, l’astuce reste valable. Avant de tomber, le pécou tangue et hésite, créant généralement de légères craquelures. Observez donc la base du melon, à l’endroit où le pécou devrait se trouver : si des zébrures entourent la base et s’égayent en étoile vers les rayures du melon, c’est que le pécou est tombé de lui-même. Conclusion, votre melon est arrivé à maturité ! Et avant de glisser l’intéressé dans votre panier, n’oubliez pas de contrôler son juste poids… [size=33]Melon parfumé, chair sucréeChoisir un melon, c’est donner de sa personne, et le jeu en vaut la chandelle, fort heureusement. Puisqu’après avoir jonglé, sniffez ! Vous avez soupesé votre melon ? Pas question d’en rester là. Un melon lourd peut signifier plein de sucre, ou trop mûr. Un melon au pécou décollé, pareillement. Comment, dès lors, s’assurer de la maturité d’un melon sans verser dans l’excès inverse ? Facile. Humez donc le melon, et tirez-en vos conclusions.Parfum sucré ? Chair gorgée et saveurs assurées. Odeur sucrée vaguement piquante ? Au premier fumet trop corsé, reposez, le rondouillard est probablement trop mûr. La règle est simple et universelle, la majorité des melons exhalent à maturation une odeur caractéristique de fruit trop mûr… voire pourri ! A éviter à tout prix, l’option n’est guère plus savoureuse qu’un melon pas mûr. Et contrairement à ce dernier qui peut toujours mûrir par la suite, pas de retour en arrière pour le trop mûr.[size=33]Tâtez du melon[/size] Impossible de trouver la perle rare sans les mains : afin de choisir votre melon, pensez à le tâter délicatement pour en avoir le cœur net. Sous l’écorce, la chair… et la chair vous indique l’avancement de votre melon. Plus il est mûr, plus il est mou ! Toute la difficulté consiste à tâter sans écraser, et tout dépend de l’épaisseur de l’écorce. Parfois, impossible de trancher. Un brodé américain à l’épaisse peau rend délicate l’opération, tandis que le Charentais s’y prête avec bonheur.Dans le doute, tâtez ! La surface est molle et s’enfonce sous vos doigts ? Le melon est mûr, mais sans doute beaucoup trop. Ajoutez parfum chargé et melon lourd, vous en avez la garantie. En appuyant, légèrement puis de plus en plus fort, rien ne bouge ? A moins d’une variété coriace, votre melon est bien trop vert. Si, en revanche, la peau est souple sous vos doigts sans pour autant s’enfoncer, sans doute avez-vous trouvé le vainqueur...[size=33]Melon lisse, melon granuleux[/size] Comment Pink Lady® s'engage pour une production 100% valorisée?Aujourd’hui, les producteurs Pink Lady innovent pour valoriser l’essentiel de leur production. Découvrez comment !En savoir plus[/size] Sponsorisé par Pink Lady [size] Certains vous diront qu’un melon est lisse, velouté, bien moulé… ignorez la dictature de la beauté, le potager n’a rien d’un podium ! Les melons existent de toutes tailles et de toutes formes, avec une écorce lisse ou granuleuse. Aucune influence sur sa saveur : l’apparence de ce pauvre melon dépend de sa variété, non de sa qualité. Mieux, des modèles non calibrés indiquent généralement maraîcher nature ou potager local, plutôt que production de masse avec tri drastique.Quant aux dites variétés, difficile de ne pas citer le melon brodé américain, dont l’écorce dentelée et texturée en fait la particularité… Impossible de faire moins lisse, or l’américain, un melon vert et peu sucré, n’est pas moins valable que ses confrères. Conclusion ? Oubliez les diktats et privilégiez la souplesse de l’écorce à la perfection de son aspect, votre palais en sortira comblé… Pensez également à tirer parti des différents aspects de vos melons, en transformant ses moitiés vidées en coupes variées.[size=33]A chaque melon sa robe[/size] Les abeilles sont essentielles à la production des pommes !Véritables petits agents écologiques, les abeilles jouent un rôle essentiel dans la production de pommes. Découvrez comment !En savoir plus[/size] Sponsorisé par Pink Lady [size] Pas d’esthétique, mais du pratique : sur les melons qui en sont dotés, type Charentais, la rayure est signe de maturation. Plus le contraste est marqué, plus le melon est de qualité ! Prenez le temps d’observer de plus près la robe de votre cucurbitacée. Rayure pâle sur peau pâle ? Le melon est adolescent, laissez-lui du temps. Rayure vert foncée sur robe pâle ? Direction le cabas !Impossible de la généraliser à tous les types de melons et leurs écorces. Mais dans le cas du melon jaune, qui dit sucre dit couleur : le contraste s’intensifie au rythme où le melon mûrit, comme un appel à la consommation ! Effet bonus ? Le melon ne pense qu’à vous simplifier la vie. Pensez, avant de couper, que ses rayures vous offrent le tracé exact de la découpe idéale en pointillés… créant, en moyenne, une dizaine de parts pour un melon de taille standard.[size=33]L’étiquette du melon[/size] Quand l'agriculture innove pour économiser l'energieDécouvrez comment la filière agricole s’engage pour faire des économies d’énergie.En savoir plus[/size] Sponsorisé par Pink Lady [size] Mûr ou pas, encore faut-il choisir un melon de qualité pour pouvoir l’apprécier… et non un melon de serre ayant traversé le globe en soute. Vos repères ? Les labels de qualités, coup de pouce utile pour un choix simplifié. Le plus courant est le Label Rouge, décerné aux produits de qualité supérieure. Si ce label français ne joue en rien sur la maturité du melon, il en garantit, en revanche, la supériorité. Toutes les étapes de production répondent ainsi à un strict cahier des charges, promesse de saveur et de couleur.Les vrais melons du Quercy, de la Guadeloupe ou du Haut-Poitou, bénéficient quant à eux d’une IGP : une Indication Géographique Protégée, attestant de leur production dans les lieux spécifiés. Des lieux de tradition, spécialistes du melon et garants de sa qualité ! Il s’agit d’un label européen. Vous le croisez dans un pays de l’Union ? Faites-lui confiance, sa production répond à des conditions [size=33]Les melons jaunes[/size] Découvrez le quotidien d'un pomicutleur Pink Lady®Qui sont ces hommes et ces femmes qui travaillent dans les vergers? Portrait de Rémy Foissey, pomiculteur à Jonquières-Saint-Vincent, en France.En savoir plus[/size] Sponsorisé par Pink Lady [size] On les dit melons jaunes, ils sont plutôt orangés… et selon la variété, s’adaptent ou non à vos besoins culinaires ! Les melons Cantaloup sont les plus répandus, incluant des variétés des Antilles, du Maroc, du sud de la France et du Poitou-Charentes. Ne vous y trompez pas, ils sont présents sur les étals entre janvier et octobre, pas plus. Leur peau vert pâle est striée de rayures plus sombres et dotée d’une texture plus ou moins lisse.Quant au goût ? Sucrée, juteuse et parfumée, leur chair joue desserts sucrés ou idées sucrées salées sans restriction. Il est particulièrement apprécié en version brochette, salade de fruits ou simplement nature en quartiers… Le plus courant ? Pour la France, le Charentais jaune, qui jaunit une fois adulte. Et pour la petite histoire, son nom n’indique pas sa provenance : le Charentais jaune est cultivé au Haut-Poitou, Charente, ou encore à Lectoure, Cavaillon… Et importé de très loin pour nos tables : Maroc, Espagne et même Israël.[size=33]Les melons verts[/size] L'aventure commence à 32.990 € netsLe Discovery Sport est disponible de stock. Super équipé, puissant et efficient - à 123 g/km CO2. Prêt pour l'aventure? [/size] Sponsorisé par [size] Bien que toujours gorgé d’eau, un melon n’est pas toujours gorgé de sucre… et certains en ont fait leur marque de fabrique. C’est le cas des melons verts, ou melons d’eau. Un drôle de concept pour un drôle d’aliment au teint pâle, rond ou ovale. A la différence des melons jaunes, ils ne produisent pas d’éthylène, responsable de la maturation et du sucré du melon. Leur chair reste donc verte, tirant parfois sur un jaune pâle. Peu sucrée et peu parfumée, mais fraîche et désaltérante, leur chair se prête aux mélanges avec d’autres melons. Sans quoi, elles sont le plus souvent complétées par des saveurs plus riches, des épices aux vinaigrettes.Les spécialistes ? Les Gallia d’avril à octobre, les Vert olive, venus d’Espagne ou du Sud de la France, d’août à novembre. Les melons brodés américains affichent leur épaisse écorce texturée caractéristique. Les canari sont ovales et offrent une chair très pâle, presque blanche, entre juin et novembre. Enfin, le Charentais vert et l’Ogen, un melon plus parfumé, bien que vert, importé d’Israël entre novembre et juin. [size=33]Choisir un melon… selon sa consommation[/size] Répartir ses placements est plus rentable à terme Investir n'est jamais exempt de risque. Lisez ici pourquoi il est mieux de diversifier vos investissements dans le temps. Plus d'informations...[/size] Sponsorisé par Record Bank [size] Le melon est un petit être fragile, et sa conservation affaire de passion ! Au moment de l’achat, prenez en compte sa date de consommation… Vous cherchez un melon à picorer en salade le jour même ? Choisissez-le délicatement parfumé, lourd dans la main et souple sous sa peau, le pécou détaché et la rayure dessinée. En somme, bien mûr. Vous planifiez un dessert pour le weekend ? Choisissez un melon ferme au parfum peu présent et au pécou bien attaché. Il mûrira à température ambiante chez vous, entre trois et quatre jours avant de filer au frigo.Un melon au frigo, le principe est osé et pourtant indispensable, particulièrement pour l’orangé : en mûrissant, celui-ci produit de l’éthylène. Par ricochet, le gaz fait mûrir les voisins, fruits ou légumes… Au réfrigérateur, le processus est provisoirement ralenti, et prolonge la durée de vie du melon jusqu’à cinq jours. En revanche, pensez à l’emballer dans un sac en plastique ou en papier, afin d’éviter le mûrissement accéléré de ses voisins de bac à légume !Désolée pour les "Pub" Ninnenne [/size] | |
|