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| Pensez à votre santé (un peu de tout) | |
| | Auteur | Message |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Pensez à votre santé (un peu de tout) Jeu 24 Nov - 12:17 | |
| 5 superaliments à mettre au menuDepuis quelques temps, nous entendons beaucoup parler de superaliments : des fruits, légumes, algues et plantes dont les bienfaits seraient supérieurs à ceux d'aliments du quotidien. Même si aucune définition officielle n'a été établie, il semblerait que les superaliments soient si sains qu'ils aideraient à lutter contre certaines maladies. En voici cinq dont les valeurs nutritives et les qualités protectrices ont été reconnues comme exceptionnelles.
La myrtille
La myrtille (bleuet) a fait l’objet de nombreuses études scientifiques. En effet, elle serait une source d’antioxydants qui permettraient de lutter contre certaines pathologies du quotidien, comme les inflammations des muqueuses de la bouche et de la gorge, la diarrhée et le diabète1. Selon une étude américaine, elle aurait entre 25 et 30 variétés d’antioxydants différents : soit le taux le plus élevé pour un fruit. Une consommation quotidienne de ce fruit pourrait donc aider à réduire les risques de cancers et de maladies cardiovasculaires. Il a récemment été prouvé que les myrtilles avaient également des effets préventifs et réparateurs sur les pertes de mémoire, et pourraient prévenir la maladie d’Alzheimer2. En effet, elles amélioreraient la communication entre les cellules cérébrales en éliminant les protéines endommagées du cerveau. Au niveau des yeux, il s’avère que la myrtille joue, là encore, un rôle dans la régénérescence du violet rétinien, c’est-à-dire le pigment violet dans la rétine qui permet de voir dans la pénombre. Même si certains bienfaits attribués au fruit restent encore à prouver, la plupart d’entre eux ont été étudiés et confirmés. La consommation de myrtilles est recommandée par un grand nombre de chercheurs, qui les préféreront à l’état sauvage3 : elles gardent toutes leurs propriétés intactes. Comment les consommer ? Dans une boisson, avec des céréales, une salade de fruits ou un yaourt (yoghourt), les myrtilles peuvent êtres ajoutées facilement à tous vos desserts ou boissons. La betterave
La betterave est une source d’acide folique, de fibres, et de composés organiques. Elle s’inscrit parmi les meilleurs superaliments du fait de ses propriétés antioxydantes, mais aussi de sa richesse en calcium, en fer, en minéraux et en vitamines. C’est un légume bourré de nitrates qui, entre autres, augmentent les performances sportives. De plus, selon une étude1 , le jus de betterave aiderait les personnes âgées à lutter contre la maladie d’Alzheimer, car ils dilatent les vaisseaux sanguins et font baisser la pression artérielle. Il a été prouvé que la betterave permet d’augmenter le taux de globules blancs (défenseurs de l’organisme) et les globules rouges (capteurs d’oxyène), ce qui permet de faciliter la circulation du sang. On qualifie également la betterave de légume tonifiant et vivifiant : sa teneur en glucides (8 à 10 %) est une véritable source d’énergie.
Comment la consommer ? Crue en salade, en jus, en potage ou encore cuite, la betterave fait partie des légumes les plus sucrés : il est conseillé de surveiller sa cuisson afin qu’elle ne perde pas sa teneur en vitamines. Le saumon
Poisson riche en oméga-3, le saumon s’inscrit parmi les superaliments les plus gras, bien que son contenu en lipides varie selon l’espèce. Il est considéré comme un aliment diminuant le risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité par maladie coronarienne1-2. En effet, les acides gras omégas-3 favorisent le bon fonctionnement immunitaire, agissent sur la pression artérielle3, les triglycérides sanguins4 et la formation de caillots sanguins5. Sa forte teneur en vitamine D participe à la protection des os, du cœur et empêcherait le durcissement des artères. Certaines études6 affirment que la consommation de saumon contribuerait à la prévention des troubles de l’humeur comme par exemple la dépression. Le sélénium présent dans ce poisson contribue à la destruction des radicaux libres, et à la conversion des hormones thyroïdiennes en leur forme active, de qui permet de lutter contre la fatigue. Il est recommandé de consommer du saumon au moins 2 fois par semaine, en enlevant la peau qui contient des dioxines.
Comment le consommer ? Le saumon peut se manger cru (tartare, sashimi), fumé ou cuit. Il faut veiller à le choisir bien frais, car consommé cru le nombre de bactéries est plus élevé, et les personnes ayant un système immunitaire affaiblit son propices aux toxi-infections. Le chocolat noir
Le plaisir gourmand des superaliments, c’est le chocolat noir. Riche en antioxydants grâce à ses flavonoïdes (10 %)1-2-3, il favoriserait la réduction de radicaux libres dans l’organisme. L’acide stéarique présent dans les acides gras saturés et le fer présents dans le chocolat seraient bénéfiques sur le plan cardiovasculaire, tout comme le magnésium qu’il contient. Une récente étude4 a ainsi démontré ses bienfaits sur les risques d’athérosclérose : le chocolat noir permettrait de restaurer la flexibilité des artères et d’éviter le dépôt des plaques de globules blancs sur les parois artérielles. Il ferait également partie des aliments qui procurent une sensation de bonne humeur, et qui aident à lutter contre le stress. Si les études à propos des bienfaits du chocolat noir restent controversées, la plupart d’entre elles conseillent d’en consommer entre 7 et 20 grammes par jour afin de profiter de ses effets.
Comment le consommer ? Le chocolat est souvent utilisé en cuisine dans la préparation de gâteaux, de mousses, ou de fondues. Mais il est également possible de le consommer sous forme de poudre de cacao pour en faire un chocolat chaud, ou encore de simplement prendre un carré de sa tablette. Les thés vert et noir
Les superaliments se déclinent aussi à travers les boissons. On retrouve ainsi les thés vert et noir, qui contiennent des flavonoïdes et des catéchines, de puissants antioxydants. En ce qui concerne le thé vert, certaines études ont démontré qu’il aiderait à réduire le taux de cholestérol et les troubles digestifs grâce à sa forte concentration en EGCG (catéchine)1. D’autres récentes recherches supposeraient que la consommation de thé vert permettrait de prévenir les risques de cancer de la peau et des poumons2-3. L’intérêt des scientifiques pour le thé vert n’est pas anodin : ses bienfaits sont étudiés depuis des années et se prouvent chaque jour un peu plus. Concernant le thé noir, il s’agit d’une variété de thé plus forte en caféine. Il améliorerait ainsi les capacités mentales et l’humeur en général, tout en apportant une meilleure hydratation au corps. Comme le thé vert, il aurait également des vertus d’antioxydant, mais aussi une forte teneur en calcium qui protège la masse osseuse. La prise de 3 tasses de thé noir par jour aiderait à diminuer le risque de survenue d’infarctus de 11 %. Une étude américaine4 a démontré que se rincer la bouche avec du thé noir limiterait l’apparition de caries. Le thé vert également est considéré comme une des boissons les plus saines au monde, après l’eau.
Comment les consommer ? En infusion, sous forme de comprimé ou encore en cuisine (gâteau au thé vert).
passeportsante.net Ninnenne | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout) Jeu 24 Nov - 13:56 | |
| Les 6 signes de bonne santéL'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la santé ainsi : "La santé est un état complet de bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité". Ce bien-être est global, des signaux internes et/ou externes nous permettent de l'évaluer. PasseportSanté vous propose de découvrir ces signes de bonne santé.
Un bon appétit, signe d'une bonne santé
Manger permet d'apporter au corps l'énergie dont il a besoin. C'est à la fois un besoin vital et un des plaisirs de la vie, comme partager un bon repas avec sa famille ou ses amis. Mais, il peut arriver que le plaisir s'estompe et que l'envie de manger ne soit plus commandée par l'appétit mais par des facteurs externes et/ou internes comme le stress, l'ennui, la fatigue ou la déprime. L'organisme est composé d'hormones qui régulent l'appétit : la ghréline et la leptine. La ghréline crée la sensation de faim tandis que la leptine influe sur la satiété à l'issue des repas qui apportent les nutriments et l'énergie nécessaires au bon fonctionnement de l'organisme. Sauter des repas ou grignoter entre les repas parce qu'on a l'impression d'avoir faim, empêche ce bon fonctionnement.
Avoir un bon appétit, c'est manger de préférence équilibré, à sa faim, en temps et en heure, ni trop ni pas assez. Il est important d'être à l'écoute de son horloge biologique et d'écouter ses signaux internes qui indiquent quand manger. Les sociétés occidentales sont celles qui connaissent le plus de troubles alimentaires pour différentes raisons : surabondance du choix alimentaire, forte exposition aux industriels alimentaires ce qui amène à la tentation (publicités, restaurations rapides etc…), évolution du mode de vie qui influe sur les conduites alimentaires (manque de temps, stress, etc…). Enfin, certains troubles psychiques (rapport négatif à son corps, son image, sa propre personne…) peuvent engendrer des troubles du comportement alimentaire. Les troubles alimentaires les plus connus sont l'anorexie et la boulimie. Ces troubles sont graves et doivent être rapidement pris en charge par un professionnel de santé.
Manger ne doit pas signifier combler le vide, le manque ou le mal-être. Il faut rester attentif quand à son rapport à l'alimentation car cet élément peut être un des révélateurs de notre bien-être. |
[size] Le sommeil, un allié sûr pour être en bonne santéSelon la fondation du sommeil au Québec, le sommeil représente près de 28 ans de notre vie ! Dans une société qui se modernise et qui tend à la performance, la charge de travail augmente avec comme seul mot d'ordre l'entraînement à tous les niveaux : apprentissage scolaire, professionnel, artistique, sportif, etc… Le stress de performance, les emplois du temps de plus en plus chargés et les appareils technologiques qui nous poussent à être toujours connectés, influent négativement sur la qualité du sommeil : on dort moins et mal.Or, c'est pendant le sommeil que tout se joue : le corps se régénère et le système immunitaire se renforce. Le repos entretient la capacité de mémorisation d'un individu et il favorise la croissance de l'enfant. Un manque de sommeil affaiblit le système immunitaire qui devient plus vulnérable aux attaques pathogènes (= qui peuvent causer des maladies), alors qu'un sommeil sain et régulier prévient des maladies telle que l'hypertension ou des dérèglements hormonaux, comme les troubles de l'appétit.Les troubles du sommeil touchent de plus en plus de personnes. L'insomnie, qui se caractérise par une difficulté à dormir suffisamment, toucherait 1/6 de la population française et 9.4% de la population au Québec. L'apnée du sommeil (= arrêts de la respiration pendant le sommeil), en plus d'être un risque de maladie cardiovasculaire, entraîne une très mauvaise qualité de sommeil. Ces troubles occasionnent une forte somnolence réduisant la vigilance, la concentration ou la réactivité en journée. Selon l'institut national du sommeil et de la vigilance, un sommeil de qualité favoriserait le bien-être. En revanche, un mauvais sommeil est responsable de la mauvaise humeur passagère ou d'un état dépressif continu.La qualité de votre sommeil ne doit pas être prise à la légère. Les journées ne sont pas toujours faciles à affronter et seule une bonne nuit de repos, en qualité et en durée, propre à chaque individu, prépare sereinement l'organisme au lendemain. Si vous êtes sujet(te) à des troubles du sommeil (insomnie, difficulté à s'endormir, sommeil interrompu, apnée du sommeil, etc…), il est important d'aller consulter votre médecin.[/size] Bon à savoir : En moyenne, une personne dort 7H30 par jour. Celle-ci varie selon les individus, certaines personnes ont besoin de beaucoup plus ou de beaucoup moins d'heures de sommeil que d'autres. Pour savoir quand aller vous coucher, soyez attentif aux moindres signes de fatigue comme le bâillement ou les paupières qui se ferment. |
[size] Des yeux blancs, bons pour la santéLes yeux nous donnent à voir : ils renseignent sur l'état de santé d'une personne. Quand le blanc de l'Å“il jauni, ce peut être symptomatique d'un problème du foie ou de la vésicule biliaire ou encore l'un des signes d'une pathologie comme l'hépatite.Pourquoi le blanc de l'Å“il jauni ?Il faut savoir que tout organisme contient de la bilirubine. La bilirubine est un pigment qui naît de la destruction des globules rouges que le foie est censé rendre soluble. La bilirubine (qui participe à la digestion des aliments) passe également par la vésicule biliaire, pour enfin être urinée. Un trajet anormal de ce pigment provoquera une accumulation anormale dans le sang, ce phénomène s'appelle l' hyperbilirubine où plus exactement l'ictère. Etant donné que cette accumulation de bilirubine s'effectue au niveau des vaisseaux sanguins, les conséquences sont : un changement de la couleur de la peau, des muqueuses et des yeux qui tend vers le jaune.Alors, avoir le blanc de l'Å“il qui reste blanc c'est un signe de bonne santé ! Cela veut dire que votre bilirubine remplit bien sa tâche afin que les aliments se digèrent correctement. Cela signifie également qu'elle circule normalement dans le sang pour finir dans l'urine. [/size] Attention : les yeux ou la peau qui vire(nt) au jaune doivent faire l'objet d'une consultation médicale. |
[size] La transpiration : un mécanisme de défense en faveur de la santéLa transpiration est un phénomène totalement naturel et bénéfique pour l'organisme. Un corps qui transpire, c'est un corps qui respire. Un corps qui transpire, c'est tout simplement un corps qui réagit ! En situation de stress, de forte émotion, suite à une activité physique ou lorsqu'on est exposé à une forte chaleur : nous transpirons tous, certaines personnes, plus que d'autres.La transpiration participe à l'élimination des déchets et des toxines organiques qui circulent dans le sang. Sauf cas exceptionnel, si la transpiration n'existait pas, l'élimination d'une partie des mauvaises bactéries du corps ne serait pas possible.La transpiration et plus précisément les glandes sudoripares régulent la température du corps. En temps normal, cette dernière doit être de 37°C en moyenne. Ces glandes avoisinent le nombre de 3 millions et se localisent surtout au niveau des aisselles, des pieds et des paumes de mains, des zones qui transpirent le plus. Les glandes sudoripares produisent la sueur qui, par évaporation, agit sur la température du corps. Quand l'organisme s'expose à la chaleur (liée à environnement, à une situation de stress, à la pratique d'un sport ou autres), les glandes sudoripares aident le corps à se refroidir. La transpiration agit comme un mécanisme de défense contre l'attaque d'une chaleur excessive, néfaste pour l'organisme. L'hypothalamus (= zone du système nerveux) est à l'origine du phénomène car lorsqu'il détecte que la chaleur du sang est trop élevée, il commande aux glandes sudoripares de sécréter la sueur. Sans cette climatisation naturelle, la température du corps ne cesserait d'augmenter ! [/size] A savoir : Un excès de transpiration chez certaines personnes peut devenir très gênant : mains moites, traces d'auréoles sur les vêtements, pieds trempés : il s'agit de l'hyperhidrose. Pour en savoir plus cliquer ici. |
Attention : Lorsque l'organisme transpire, il perd beaucoup d'eau. Il est donc vital de se réhydrater. |
[size] Uriner, c'est bon pour la santé !Ce sont les reins qui filtrent le sang et qui assurent l'élaboration de l'urine. Grâce à l'appareil urinaire, une partie des déchets du corps (= toxines) sont éliminés. Le processus est simple : le sang est filtré afin d'en extraire les toxines qui vont ensuite être éliminées dans l'urine. De plus, l'eau évacuée dans l'urine permet également de réguler la pression sanguine.L'action d'uriner permet de vider la vessie lorsqu'elle est pleine. Il existe des cas de rétentions aigûes d'urine, cela se manifeste par une impossibilité d'uriner même si l'envie est là. Une douleur dans le bas ventre se fait ressentir. Cette impossibilité peut avoir différentes causes, chez l'homme par exemple ce peut être du à une hypertrophie de la prostate (= augmentation du volume de la prostate).En général, la couleur de l'urine est jaune. Le jaune de l'urine est obtenu par l'urée qui se constitue lors de la dégradation de l'hémoglobine rouge. Mais il peut arriver, au cours d'une même journée, que la coloration de l'urine change, à cause de certains colorants alimentaires ou de certains aliments comme les betteraves rouges. La prise de médicaments, la consommation importante en eau ou une anémie sont des facteurs qui agissent également sur la coloration de l'urine.[/size] L'urine doit également être surveillée car il s'agit d'un indicateur d'éventuels troubles de l'appareil urinaire. Le sang dans les urines (hématurie) révélerait différentes pathologies en fonction de sa position, ainsi on note : - Une hématurie initiale : c'est la présence de sang visible (urine rouge) en début de miction, le sang proviendrait de la prostate - Une hématurie terminale : c'est la présence de sang visible en fin de miction, le sang proviendrait de la vessie - Une hématurie totale : c'est la présence de sang visible tout au long de la miction, le sang proviendrait des reins. Plus difficile à retenir que les selles, la miction qui fait suite à l'envie d'uriner se fait presque instantanément. Dans tous les cas, si vous observez la présence de gouttes de sang ou de coloration rouge dans les urines, n'hésitez pas à vous rendre auprès de votre médecin. |
[size] Les selles sont révélatrices d'une bonne santéLes selles sont, elles aussi, un indicateur de bonne santé. Si vous allez à la selle régulièrement, c'est que votre système digestif et que votre transit intestinal fonctionnent bien. Le système digestif distingue les nutriments favorables à l'organisme, des déchets. Lorsqu'on s'alimente, le système digestif se met en route. Les aliments passent par l'estomac où, à l'aide des sucs digestifs, ils sont broyés et deviennent liquides. Les nutriments sont absorbés au niveau de l'intestin grêle, tandis que l'eau et sels minéraux sont absorbés dans le gros intestin (côlon). C'est dans cet endroit que se forment les déchets qui sont amenés au rectum. Son remplissage amène la défécation. Comme la transpiration ou l'urine, les selles éliminent les déchets de l'organisme.En général, l'évacuation de la matière fécale doit avoir une fréquence qui peut aller de deux fois par jour jusqu'à trois fois par semaine. Au delà ou en deçà, on parle de diarrhée ou de constipation. Il est important d'aller à la selle quand vous en ressentez le besoin et de ne pas vous retenir. Aller à la selle, garantit le maintient de votre transit intestinal et les apports bénéfiques en matières de nutriments, d'eau et de sels minéraux à votre organisme.[/size] Bon à savoir : La présence de sang dans les selles doit faire l'objet d'une consultation chez le médecin même si les raisons sont bénignes. Dans les cas les plus graves, le sang dans les selles est peut être lié aux symptômes d'un cancercolorectal. Le cancer colorectal est l'un des plus fréquents. Il touche à la fois les hommes et les femmes. Le cancer du pancréas touche plus les hommes que les femmes. Il est moins répandu mais il reste très menaçant. Les symptômes du cancer du pancréas se manifestent assez tardivement, les selles deviennent décolorées. Les dépistages de « saignements occultes »1 sont primordiaux car ils permettent de vérifier la présence de sang invisible à l'Å“il nu. Ces dépistages s'effectuent généralement entre 50 ans et 74 ans, à raison d'un contrôle tous les deux ans. |
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout) Ven 25 Nov - 11:39 | |
| 8 erreurs à ne pas commettre après un repasAprès un repas, nombreuses sont les personnes qui ont des petits rituels pour faciliter la digestion : boire un thé, faire une petite sieste, manger un fruit... Et si les gestes que l'on faisait depuis des années sans penser à mal étaient en réalité mauvais pour notre santé ?
N'allez pas dormir après manger Nombreuses sont les personnes qui aiment faire une petite sieste juste après manger pour se requinquer un peu. Et c'est vrai que la sieste, c'est un acte salvateur pour notre corps : une sieste de 10 à 15 minutes pendant la pause-déjeuner nous permet souvent d'entamer l'après-midi du bon pied. Certes, mais en réalité, faire un petit somme juste après le repas ce n'est pas vraiment l'idéal.
Pourquoi ? Tout simplement parce que quand on dort, on s'allonge. Or, quand on s'allonge, on bouleverse complètement le processus de digestion. Les aliments ont plus de mal à descendre dans les intestins, et restent donc plus longtemps dans notre estomac, ce qui ralentit la digestion. De plus, la position allongée peut entraîner une remontée des sucs gastriques (produits par notre estomac pour réduire en bouillie les aliments avalés lors du repas) vers l’œsophage et le pharynx. Ce qui se traduit par une sensation de brûlure dans la gorge et la bouche. Pas très agréable, il faut l'avouer ! Pour toutes ces raisons, il est conseillé d'attendre au moins deux heures après un repas pour tomber dans les bras de Morphée... Et pouvoir ainsi profiter des bienfaits avérés de la sieste.
Oubliez la cigarette d'après-repas Fumer, c'est très mauvais pour la santé. Mais si la cigarette post-repas est une des préférées des fumeurs, c'est aussi l'une des plus dangereuses, juste après celle du matin1 ! En effet, plusieurs études ont démontré que fumer une cigarette après manger équivaudrait à fumer plusieurs cigarettes en temps normal !
Les raisons invoquées par les experts ? Le fait que la nicotine avalée après le repas va passer dans notre tube digestif et se mélanger à l'oxygène contenu dans notre sang. Ce qui accroîtrait considérablement le risque de cancer... Alors si l'on veut éviter que cette mauvaise habitude ne nous détériore encore plus vite la santé, on attend au moins 1h30 après un repas pour s'allumer une cigarette. Et d'ailleurs, si on en profitait pour essayer d'arrêter pour de bon ? En plus d'éviter les risques accrus de cancer, on dirait du même coup adieu aux dents jaunies, aux ongles abîmés, à la peau terne...
Evitez de boire un thé après manger Après un repas, nombreuses sont les personnes qui préfèrent boire un thé plutôt qu'un café car cela les aiderait à digérer. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette idée est complètement erronée.
Le thé est en effet une boisson qui regorge de vertus pour notre santé et notre silhouette (coupe-faim, anti-oxydant, etc.). Mais pour notre bien, il serait préférable de consommer cette boisson en dehors des repas (toujours une heure avant ou après manger). Il existe deux raisons à cela. La première, c’est que les tanins contenus dans le thé provoqueraient l’inhibition de certaines enzymes digestives. De plus, les tanins que renferme le thé peuvent compliquer l'absorption du fer contenus dans les aliments par notre organisme. Or le fer est un minéral vital pour notre organisme, dont les jeunes femmes et les enfants manquent souvent. Alors si l'on veut éviter une carence en fer, ou réserve le thé vert à d'autres moments de la journée.
Manger un fruit : la fausse bonne idée ? Les fruits représentent une excellente source de vitamines et de minéraux pour notre organisme, c'est incontestable. Mais s'il est conseillé de manger plusieurs fruits par jour, on entend de plus en plus qu'il vaudrait mieux éviter de les croquer juste après un repas. Ceux et celles qui avaient l'habitude de finir leur repas par une petite touche sucrée vont être étonnés...
L'explication fournie est assez simple ; les fruits font partie des aliments que l'estomac digère le plus facilement et rapidement (en moins de 20 minutes). Or si l'on avale un fruit juste après avoir mangé, le fruit risquerait de stagner dans notre estomac avec les autres aliments que l'on vient d'ingérer, le temps que ce dernier réussisse à les digérer. Et comme l'estomac est un endroit chaud et humide, les fruits qui y sont bloqués pourraient fermenter, et libérer leur acidité. Mais que l'on se rassure : si l'on finit notre repas par une banane, on ne risque pas des ballonnements ou des remontées gastriques pour autant ! Ces combinaisons alimentaires restrictives ne se basent en réalité sur aucune étude scientifique1... En réalité, l’estomac est un milieu tellement acide qu’il n’y a à peu près aucun micro-organisme qui peut y survivre. Les aliments ne peuvent y fermenter... Ouf !
Pas de position assise après le repas Pas toujours évident de ne pas rester assis après le repas, surtout quand on travaille et que l'on doit retrouver notre ordinateur. Mais il n'empêche : lorsqu'on reste assis après avoir mangé, on ne facilite pas vraiment le processus de digestion. Logique, quand on y pense, parce que quand on est assis, même si on ne ressent pas d'inconfort, notre estomac est comprimé. Surtout qu'après un repas de pause-déjeuner assez complet, on a plus tendance à s'affaler sur son siège que de s’asseoir bien droit...
Mais si l'on ne peut pas s'allonger après le repas ni rester assis, que peut-on faire pour aider notre organisme à digérer en douceur ? Eh bien une petite marche digestive de dix minutes-un quart d'heure1, tout simplement ! En plus, cette petite balade aura le mérite de nous faire prendre l'air avant une après-midi de boulot. Et si on peut attendre 20 minutes après le repas pour faire cette petite balade, c'est encore mieux.
Evitez les chewing-gums après manger Les publicités tentent souvent de nous vendre le chewing-gum comme l'aliment miracle qui permet de garder les dents propres et l'haleine fraîche après un repas. Avant de succomber au chant des sirènes du marketing, remettons les choses au clair !
Mâcher un chewing-gum après manger, cela peut certes nous aider à masquer les effluves de notre repas... mais cela va surtout nous faire avaler de l'air en grande quantité. Et quand on avale de l'air, ce dernier essaie toujours de ressortir de notre corps, par toutes les issues possibles. Ce qui peut donner lieu au mieux à des éructations, au pire à des flatulences. Et si l'air reste enfermé dans notre estomac, ce n'est pas mieux ; cela se traduira en effet par des ballonnements, un ventre gonflé, et une digestion ralentie.
Attention au sport après manger !Une autre idée reçue serait que faire du sport après un repas serait bénéfique à l'organisme. En réalité, il n'en est rien, et c'est même le contraire.D'une part, faire du sport après manger empêche notre système digestif d'absorber correctement les nutriments que l'on vient de lui fournir en mangeant. Surtout si l'on a fait un repas assez copieux : la, on risque de ressentir des maux d'estomac, de se sentir gêné...D'autre part, quand on fait du sport après un repas, on surcharge complètement notre organisme !Explication : digérer, cela demande un certain effort à notre corps. Et faire du sport aussi. Alors faire les deux en même temps, c'est demander à notre corps de fournir deux gros efforts simultanément.En plus, quand on digère, notre corps envoie du sang oxygéné à notre estomac. Et quand on fait du sport, ce sont nos muscles qui ont besoin de ce sang ! Alors combiner sport et digestion, c'est demander à notre corps de « choisir » entre envoyer du sang vers notre estomac, ou vers nos muscles. Bref, sport et digestion, ce sont vraiment deux activités qui ne vont pas ensemble !Interdiction de se baigner après manger : un mythe ?Nos mères nous l'ont répété durant toute notre enfance (sans doute parce que leurs grand-mères leur avait répété pendant toute leur enfance !) : il est impératif de toujours attendre au moins 2-3 heures après un repas pour aller faire trempette dans une piscine. La double raison invoquée pour expliquer cette crainte de la baignade post-repas ? Tout d'abord, le fait que quand on digère, notre température corporelle augmente. Et un corps très chaud plongé dans une eau très froide, cela peut engendrer un choc thermique et une hydrocution. De plus, comme se baigner est une activité fatigante, il est déconseillé de le faire quand notre organisme digère (et consomme déjà de l'énergie) pour éviter les crampes ou les malaises dans l'eau.Eh bien, en réalité, cette croyance populaire est un peu exagérée ! Déjà, la chaleur générée par la digestion n'est pas assez importante pour créer une hydrocution à elle toute seule. Ensuite, à moins d'avoir mangé un repas particulièrement riche et de nager 15 km, les seules crampes que l'on risque sont des crampes d'estomac. Alors on reste attentif quand on se baigne, mais pas la peine d'attendre des heures après le repas !passeportSANTE.net Ninnenne | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Pensez à votre santé (un peu de tout) Dim 27 Nov - 14:19 | |
| i. | L’effort physique minimal pour rester en bonne santé Chère lectrice, cher lecteur,
Les lecteurs de Santé Nature Innovation le savent : la pratique régulière du sport est indispensable à l’entretien de sa santé. Mais sans chercher à décrocher une médaille d’or aux JO ni à ressembler à Arnold Schwarzenegger, vous vous demandez peut-être bien :
« Quelle est la quantité minimale de sport qui me permettra de rester en bonne santé ? »
Autrement dit : « sans chercher les performances ni à améliorer ma silhouette, que dois-je faire au minimum pour ne pas attraper de maladies provoquées par le manque d’activité physique ? »
Grâce à une nouvelle étude scientifique, nous approchons enfin de la réponse à cette question cruciale et lancinante.
La réponse est, semble-t-il : quatre minutes.
Cette étude, qui a été publiée le mois dernier dans la revue médicale PLos One, a été réalisée par des scientifiques norvégiens, de l’université norvégienne de Science et Technologie, à Trondheim [1].
Elle a établi que la façon la plus profitable de se maintenir en bonne santé était de faire des « intervalles d’exercice à haute intensité ».
Un nouvel OVNI dans le paysage : « les intervalles d’exercice à haute intensité »Cette expression bizarre est tirée de l’anglais : High Intensity Interval Training (HITT).
C’est une méthode d’entraînement qui consiste à alterner des périodes courtes d’effort intense avec des temps de récupération également très brefs.
Vous pouvez monter des marches, courir, sauter à la corde, nager, pédaler, aussi vite que vous le pouvez, pendant un temps très court (quelques minutes au maximum) puis vous reposer le même temps.
(la suite ci-dessous)
Annonce spéciale
Pour soigner votre mal de dos... changez votre alimentation !
Si vous souffrez régulièrement de mal de dos, adoptez les bons réflexes alimentaires comme celui d'arrêter le café et les produits laitiers. C'est ce que dévoile le Dr Curtay dans son tout nouveau dossier "Les incroyables avancées de la nutrithérapie pour soigner le mal de dos".
Ce numéro exceptionnel des Dossiers de Santé & Nutrition sera mis sous presse mardi prochain. Pour vous le procurer,demandez votre exemplaire avant lundi 28 novembre en cliquant ici.
Suite de la lettre de ce jour :
Il faut répéter cette séquence quatre à sept fois, ce qui ne fait en tout qu’une très courte période totale d’exercice.
Ces dernières années, un grand nombre d’études sur le sujet ont montré que s’entraîner de cette façon pouvait être aussi efficace, sur le plan physiologique, que les longues séances d’endurance. La vie privée des singesMais quand on y réfléchit, est-ce si étonnant ?
L’homme appartient à l’ordre des primates, qui regroupe les grands et les petits singes (ainsi que les lémuriens mais, désolé pour eux, ils sont hors sujet aujourd’hui).
Or, vous souvenez-vous de votre dernière visite au zoo ?
Contrairement aux singes que l’on voit dans les documentaires animaliers à la télévision, et qui sont filmés actifs, car c’est à ce moment-là que c’est intéressant, les singes dans les zoos ou dans la nature sont pratiquement toujours assis, couchés, ou encore vautrés ou suspendus, à se balancer tout doucement…
Vous êtes là, vous les observez… Rien ne se passe.
Vos enfants s’impatientent.
Ils crient pour les faire bouger. Ils tapent contre les vitres, lancent des cailloux ou un bout de sandwich (plus rarement des bananes : s’ils en ont, ils préfèrent les manger eux-mêmes).
Mais le brave chimpanzé, l’orang-outang ou le gorille, s’en moque. Il a l’air d’estimer qu’il n’est pas payé pour faire le singe, justement.
Après quelques minutes, vous décidez de continuer votre chemin vers l’enclos des castors où, espérez-vous, il y aura plus d’action.
Mais à peine avez-vous tourné le dos qu’une clameur s’élève. Des cris stridents, des oh et des ah !
C’est le singe qui, on ne sait pourquoi, s’est réveillé.
Tout est allé très vite. En quelques secondes, il est monté à dix mètres de hauteur. Vous n’avez que le temps de l’apercevoir se rattraper à une corde, faire deux pas en équilibre sur une branche vertigineuse… puis s’accroupir à nouveau dans un coin.
La foule est traversée d’un frisson de joie. Tous les visages se sont éclairés. Mais le spectacle est déjà fini.
L’épisode vous a toutefois remotivé pour attendre. Les enfants sont à nouveau intéressés par les singes. Tout le monde espère que l’événement va se reproduire sous peu.
Une minute passe. Puis deux. Puis cinq.
Toujours rien. Vous commencez à vous demander si, par hasard, vous ne seriez pas tombé sur le seul moment de la journée où le singe aura bougé…
Vous reprenez votre visite du zoo.
Les êtres humains sont pareilsCertes, certains de nos ancêtres ont développé des techniques de chasse consistant à « courser » des animaux pendant des heures et des heures dans la savane, jusqu’à épuisement de la bête. Les Hottentots de Namibie et d’Afrique du Sud (désert du Kalahari) ont ainsi développé des capacités incroyables d’endurance.
Mais en général, l’homme n’est pas comme ça. Lui aussi, il aime surtout traîner, faire la sieste. Assis dans un café, il fume, joue plus au moins aux cartes, attend que le temps passe…
C’est dans ses gènes !
Si vous lui en donnez le choix, il préfère (en général) s’asseoir dans son canapé devant la télé… prendre sa voiture, plutôt que de marcher… s’asseoir sur un télésiège plutôt que de remonter la piste les skis sur le dos…
On peut trouver ça triste, mais c’est comme ça.
D’un autre côté, l’homme est capable de réagir au quart de tour en cas de danger ou s’il est motivé. Annoncez-lui qu’il a gagné au loto et il se dresse comme un ressort.
Criez « Au feu ! » ou expliquez-lui qu’un trésor est caché en haut d’un réverbère, il partira en courant et réalisera peut-être d’étonnantes prouesses physiques.
La semaine dernière, mon petit dernier, Lucien, 2 ans, s’est réveillé à 5 h 30 du matin. Alors que tout le monde dormait, il a escaladé la barrière que nous avions posée pour l’empêcher de tomber dans l’escalier, et il est descendu vers la cuisine (ou plutôt vers le frigo).
Malheureusement pour lui, le rez-de-chaussée de la maison était sous alarme, pour la nuit.
Elle s’est déclenchée quand il est arrivé en bas des marches. Toute la famille a été réveillée d’un coup et nous nous sommes tous retrouvés sur le palier du premier étage. Nous n’avons eu que le temps de voir arriver Lucien qui littéralement volait sur les marches, puis franchir d’un bond la barrière (un mètre de haut !), tant il était terrorisé par la sirène qui hurlait derrière lui.
Jamais nous n’aurions pensé que ce petit bonhomme fût capable d’un tel saut. Un champion !
Mais nous connaissons tous des mères de famille qui ont surpassé les exploits des rugbymen pour rattraper un petit en train de basculer dans le vide ou de traverser une route passante.
Tout cela pour dire que nous, êtres humains, sommes faits pour les efforts brefs et violents.
Et il n’est pas étonnant que, finalement, la science découvre que c’est ce qu’il y a de meilleur pour nous maintenir en bonne santé.
Se remettre au sport sans douleurLes exercices à haute intensité ne sont pas recommandés si vous n’avez plus fait de sport depuis des années, surtout si vous êtes cardiaque. Allez-y doucement au début. Reprenez une activité physique douce.
Mais dans un second temps, quand vous commencerez à retrouver votre forme, ces exercices seront plus efficaces que l’endurance pour maintenir et améliorer votre santé.
« Une des principales raisons pour renoncer au sport est que les gens pensent ne pas avoir le temps », explique Arnt Erik Tjonna, en post-doctorat à l’université norvégienne de Science et Technologie, qui a dirigé l’étude [2].
Avec ses collègues, il a rassemblé vingt-six personnes en surpoids et sédentaires, afin de tester sur elles les exercices d’intervalles à haute intensité de quatre minutes.
Après un bref échauffement, ils leur ont demandé de courir à 90 % de leur rythme cardiaque maximal – un effort intense, où « vous ne pouvez pas prononcer des phrases entières, mais seulement des mots » –, pendant quatre fois quatre minutes, avec trois minutes de repos en marchant doucement, et ce trois fois par semaine pendant dix semaines.
À la fin du programme, les hommes avaient augmenté leur capacité d’endurance de 10 % de plus que ceux qui avaient fait de simples exercices d’endurance, beaucoup plus longs et pénibles.
Leur métabolisme et leur santé cardio-vasculaire s’étaient améliorés : moins de sucre dans le sang (glycémie), une pression artérielle moindre, même s’ils n’avaient pas beaucoup perdu de graisse corporelle.
« Il ne s’agit pas d’un régime amincissant », a expliqué le Dr Tjonna. « Le but est d’être en meilleure santé lorsque vous n’avez pas le temps de faire plus. »
Une bonne nouvelle, en somme.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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