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| Carences alimentaires : comment les éviter ?(passeportSANTE.net) + autres | |
| | Auteur | Message |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Carences alimentaires : comment les éviter ?(passeportSANTE.net) + autres Mar 27 Juin - 10:00 | |
| Carences alimentaires : comment les éviter ?On parle de carence nutritionnelle (ou alimentaire) lorsque certains nutriments ou vitamines indispensables à l’équilibre et au développement physique sont insuffisants ou absents de l’alimentation, mal absorbés ou mal assimilés. Comment peut-on éviter d’être en carence ?Les symptômes d’une carence nutritionnelleUne alimentation saine et diversifiée suffit normalement à éviter les carences.Mais la grossesse, le cancer du côlon, des troubles gastro-intestinaux ou encore la prise de certains médicaments peuvent aussi être à l’origine de la carence nutritionnelle.Si les symptômes varient en fonction du nutriment manquant, plusieurs signes doivent vous alerter sur la possibilité d’une carence :
- La fatigue ou le fait de se sentir faible ;
- Un changement d’appétit ;
- Le teint pâle ;
- La perte de cheveux ;
- La constipation ;
- Des troubles cardiaques (palpitations) ;
- La dépression ;
- Le manque de concentration.
Ces symptômes n’apparaissent pas forcément ensemble et peuvent avoir d’autres causes. Il est conseillé de consulter un médecin lorsqu’ils durent trop longtemps ou perturbent le quotidien.Les carences les plus courantesParmi les carences les plus courantes en France, ont retrouve les carences en fer, en magnésium, en vitamine D, en calcium et en zinc.
- Également appelée anémie ferriprive, la carence en fer est très courante puisqu’elle toucherait plus de 30 % de la population mondiale selon l’OMS. Lorsqu’une personne est victime d’une insuffisance en fer, ses globules rouges deviennent plus pâles, plus petits et moins nombreux.
- La carence en magnésium toucherait 23 % des femmes et 18 % des hommes en France. La carence en magnésium provoque stress, fatigue, irritabilité, crampes et spasmes musculaires.
- La carence en vitamine D concerne plus de la moitié de la population. Cette vitamine joue un rôle important sur la santé osseuse et la fixation de calcium adapté à l’organisme, notamment pour le développement des os et des dents.
- La carence en calcium n’est pas si courante qu’on a tendance à le croire. Elle touche essentiellement les femmes ménopausées et les personnes âgées. Elle n’est pas forcément visible à court terme, mais peut, en cas de manque prolongé, provoquer une insuffisance de la masse osseuse, des convulsions et de l’ostéoporose.
- Une légère carence en zinc est quelque chose d’assez fréquent. Elle peut causer de la fatigue, des rhumes à répétition, un manque d’appétit ou encore une dépression. Les alcooliques, les diabétiques, les personnes souffrant de troubles rénaux ou de troubles de l’absorption digestive et les personnes atteintes du VIH ont davantage de risques de souffrir de cette carence.
Comment les éviter ?Le meilleur moyen d’éviter les carences est d’adopter un régime alimentaire varié et sain, capable d’apporter à votre organisme les nutriments dont il a besoin. Si cela n’est vraiment pas possible, vous pouvez avoir recours aux compléments alimentaires, mais choisissez-les de préférence naturels. Quels aliments permettent d’éviter les carences les plus fréquentes ?
- La viande rouge, le jaune d’œuf, les légumes verts feuillus, les palourdes, les huitres, les moules ou encore la spiruline sont les aliments les plus riches en fer.
- On retrouve les plus grandes quantités de magnésium dans les fruits de mer, la peau des graines, les poissons, les mollusques, le cacao, les fruits à coque, les légumes verts à feuilles et les algues.
- La vitamine D se trouve dans les produits laitiers, le saumon, la truite et l’huile de foie de morue. De plus, l’exposition au soleil (quelques minutes par jour) permet à la peau de fabriquer de la vitamine D.
- Les aliments les plus riches en calcium sont les produits laitiers, les poissons, les graines de tournesol ou de sésame, les légumineuses, les noix et les légumes verts.
- On trouve du zinc en grande quantité dans les huitres, la viande rouge et les graines de sésame. On en trouve aussi dans les légumineuses et dans les noix.
[size] Si l'alimentation ne suffit pas, il se peut que le problème vienne d'une difficulté d'absorption ou d'assimilation, parlez-en à votre médecin.Marie DesbonnetpasseportSANTE.net Ninnenne [/size] | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Carences alimentaires : comment les éviter ?(passeportSANTE.net) + autres Mer 28 Juin - 17:26 | |
| 8 habitudes à prendre pour éviter d'avoir mal au dosLombalgies, lumbagos, sciatiques… Les maux de dos sont divers et les gens qui en souffrent, nombreux. Pourtant, la douleur pourrait souvent être évitée en modifiant nos habitudes…Dire non à la sédentaritéLa sédentarité est une catastrophe pour nos dos !Et aujourd’hui, nous sommes nombreux à passer 8 h, voire plus, assis devant un écran, ce qui nous fait perdre une partie de notre masse musculaire. Notre dos est donc moins bien maintenu.Une activité physique régulière est donc le meilleur traitement préventif contre le mal de dos.Si vous souffrez déjà du dos, privilégiez des activités douces comme la natation, la marche ou le yoga.Bien se tenirBeaucoup de personnes souffrent du dos tout simplement parce qu’ils se tiennent mal, c’est dommage !Pensez toujours à votre posture :
- Agrandissez-vous lorsque vous êtes debout ou assis ;
- En position assise, veillez à poser les pieds à plat au sol ;
- Gardez toujours le dos bien droit ;
- Fléchissez les jambes pour ramasser quelque chose au lieu de vous pencher, surtout quelque chose de lourd ;
- Limitez le port de talons hauts.
Optimiser son poste de travailS’il y a un endroit où l’on se tient mal, c’est bien le poste de travail ! Lorsqu’on travaille dans un bureau, il faut bien choisir son siège et surtout se tenir bien droit, l’écran face aux yeux et pas plus bas, pour que le cou reste dans l’axe de la colonne vertébrale. Pour les métiers physiques, les maux de dos sont plus souvent liés au port de charges lourdes, veillez donc à plier les genoux pour vous baisser, faites des pauses lorsque vous effectuez des gestes répétés et n’hésitez pas à parler à votre médecin si vous commencez à avoir mal au dos.
Perdre du poids si nécessaire
L’obésité est une cause fréquente de mal de dos. En effet, la graisse du ventre tire sur le dos, ce qui use le disque intervertébral et aggrave les douleurs ligamentaires. Pour éviter cela, il faut donc perdre du poids lorsque le surpoids est surtout localisé au niveau du ventre. En douceur, on mange mieux : plus de fruits et de légumes, notamment des fruits et légumes brule-graisse et moins de viande, de gras et de sucre. Et on n’oublie pas le sport, car la perte de poids ne doit pas s’accompagner de perte de muscle, sous peine de provoquer l’effet inverse : avoir mal au dos ! Arrêter de fumer
On n’y pense pas forcément, mais fumer, parmi tous les problèmes que cela apporte, rend notre dos vulnérable.
En effet, les disques situés entre les vertèbres obtiennent moins de nutriments nécessaires à leur fonctionnement. D’autre part, selon de récentes études[1], on constate chez de nombreuses personnes que l’arrêt de la cigarette est lié à une diminution de la douleur dorsale. Changer de position pour dormir
Comme vous, votre colonne vertébrale doit se reposer la nuit ! Elle ne doit donc pas supporter tout votre poids ni être malmenée dans une position inconfortable. On recommande donc de dormir en position fœtale, sur le dos ou sur le côté. Il ne faut en revanche pas dormir sur le ventre, car cette position modifie la courbure de la colonne vertébrale.
S’offrir un matelas et des oreillers adéquats
Pour être dans une bonne position pour votre colonne vertébrale, il faut avoir les bons outils. Un bon matelas et de bons oreillers, ça a un coût, mais c’est important pour votre santé ! Le matelas doit être suffisamment souple pour respecter la courbure naturelle de votre dos, plus souple si vous êtes léger(e) et moins si vous êtes lourd(e). Pour l’oreiller, le choix est très personnel, mais le mieux est de s’offrir un oreiller à mémoire de forme. Sinon, choisissez un oreiller ferme si vous dormez sur le dos et moelleux si vous dormez sur le côté. Éliminer le stress
Beaucoup de nos problèmes physiques et psychiques sont dus au stress.
Parmi eux, le mal de dos. Pour éviter les douleurs dorsales dues au stress, c’est donc au stress lui-même qu’il faut s’attaquer en pratiquant une activité sportive et/ou artistique, en faisant des pauses, en pratiquant la méditation et le yoga, en mangeant mieux, en passant plus de temps en nature voire en changeant de travail si c’est là le problème ! Lire aussi : Comment réduire votre stress ? 10 conseils scientifiquement prouvés Marie Desbonnet passeportSANTE.net suite demain!!! Ninnenne | |
| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: Carences alimentaires : comment les éviter ?(passeportSANTE.net) + autres Mer 28 Juin - 17:33 | |
| Diabète et vacances : des conseils pour voyager sereinement“Qui veut voyager loin ménage sa monture" : une maxime qui prend une tout autre ampleur quand on est diabétique. Comment organiser son voyage ? Que faut-il emporter dans ses bagages ? PasseportSanté vous donne quelques conseils simples qui vous permettront de partir en vacances l'esprit serein.
Avant le départ : consultez votre médecin
Avant de vous envoler pour des horizons lointains, pensez à rendre visite à votre médecin traitant et/ou diabétologue : Pour adapter votre traitement.Entre le type de voyage et la destination choisie, il se peut que votre traitement doive être adapté, que vous preniez des médicaments ou de l'insuline. L’équilibre de votre diabète qui passe par la vérification du taux d’hémoglobine glyquée, déterminera s'il est prudent ou non de partir en vacances. Pour vous constituer une trousse de secours complète.Anti-diarrhéiques, antiémétiques (antivomitifs) et éventuellement antibiotiques ; elle est nécessaire pour faire face aux petits désagréments du voyage ! Selon votre destination, un traitement antipaludéen ou une vaccination pourront également être prescrits. Si ces traitements préventifs ne sont pas contre-indiqués chez le diabétique, pensez cependant à consulter suffisamment en amont de votre départ pour qu’ils soient efficaces ! Pour disposer des ordonnances et certificats nécessaires.Afin de pouvoir faire face à tous les imprévus (vol/perte d’un bagage…) mieux vaut se munir d’une ordonnance de secours, comprenant si possible le nom de la molécule (DCI = Dénomination Commune Internationale, nom que l’on retrouve habituellement sur les médicaments génériques). De même, disposer d’un compte-rendu d’hospitalisation ou d’un document reprenant vos antécédents médicaux peut-être pratique lorsqu’on part à l’aventure. Enfin, on ne le répétera jamais assez, votre carte de diabétique (et de porteur de pompe, le cas échéant) doit vous accompagner, où que vous soyez ! Avant le départ : anticipez l'urgence !
Êtes-vous bien assuré(e) ? Pensez à vérifier les clauses de votre contrat ! En effet, certaines assurances ne prennent pas en charge les « maladies préexistantes ». Souscrire à une assurance rapatriement adaptée prenant en charge le diabète est gage de tranquillité. Si vous voyagez dans un pays européen, vous pouvez être pris en charge par les services publics de santé du pays concerné plus facilement grâce à votre carte européenne d’assurance maladie. Obtenez-là gratuitement auprès de votre caisse primaire d’assurance maladie, deux semaines minimum avant le départ De même, se renseigner en amont du voyage sur les dispositifs de soins du pays visité peut-être rassurant. En cas d’urgence, ambassades et consulats peuvent vous fournir toutes les informations nécessaires pour être pris en charge rapidement. Des numéros de téléphone à toujours avoir avec soi. Voyage et traitement du diabète
Voyage en avion : montrer patte blanche Si vous prévoyez de prendre l’avion, sachez que le transport de médicaments comme de matériel médical (seringues, pompes à insuline…) est soumis à un contrôle douanier très strict. Pour pouvoir embarquer sereinement, il vous faudra présenter l’ordonnance du médecin consignant tous les traitements emportés et autorisant le transport d’insuline. Si elle est en anglais, c’est encore mieux ! Pour plus d'informations, téléchargez gratuitement le Guide du diabète à l’aéroport réalisé par la Fédération Française des Diabétiques en collaboration avec la Direction Générale de l’Aviation Civile. Le matériel à emporter Prévoir une quantité suffisante de traitement et de matériel pour toute la durée du séjour est vital pour un diabétique. Mais ce n’est pas la seule règle à suivre :
- Prendre une petite quantité de traitement en plus, en cas d’imprévus
- Séparer votre réserve dans deux bagages distincts (en cas de vol/perte)
- Prévoir deux lecteurs glycémiques
[size] En ce qui concerne le réapprovisionnement, pour les voyages au long cours… tout dépend de la destination. Si vous procurer votre traitement dans les pharmacies des pays occidentaux ne devrait pas poser de problème, l’opération risque d’être plus compliquée dans les pays en voie de développement. L’ambassade du pays concerné pourra vous fournir des renseignements utiles. Êtes-vous sûr de n'avoir rien oublié ? La Fédération Française des Diabétique propose une check-list complète pour vous en assurer. Diabète insulino-dépendant : quelques conseils simples [/size]
- Sur la route : emporter des collations et sucres rapides pour parer à d’éventuelles hypoglycémies … et boire beaucoup !
- Voyage en avion : ne pas mettre votre réserve d’insuline en soute ! Elle ne supporte ni congélation, ni températures au-delà de 30°.
- Sur place : anticiper les activités physiques inhabituelles et adapter son traitement en fonction
[size] En ce qui concerne le décalage horaire : l’adaptation de l’insulino-thérapie doit se faire dès l’arrivée, à l’heure locale. Si avec un décalage de moins de 3 heures on peut aisément garder le même protocole, il convient au-delà d’ajuster le traitement avec un médecin. Sur place : évitez les complications ! Que manger ? En vacances, concilier découvertes culinaires et équilibre du diabète relève parfois du casse-tête. Si se faire plaisir n’est pas interdit, mieux vaut conserver de bonnes habitudes alimentaires : 3 repas par jour, des sucres lents et beaucoup de légumes. (Pour tout savoir sur les aliments à privilégier, consultez notre fiche : Diabète de type 2 : diète spéciale) On se méfiera donc des lipides et glucides cachés dans les buffets mais aussi des fruits délicieux que l’on trouve dans les pays exotiques : consommés en trop grande quantité, ils peuvent vite faire grimper la glycémie ! Pratiquer l’ auto surveillance glycémique plus souvent est le moyen le plus simple pour adapter votre mode de vie durant le séjour. Diarrhée du voyageur (turista) Redoutée par les tous les voyageurs, c’est l’ennemie numéro 1 du diabétique en raison des risques de décompensation du diabète qu’elle présente. La diarrhée déshydrate et empêche d’assimiler les aliments, ce qui entraîne une hypoglycémie, alors que l’infection en elle-même induit une hyperglycémie… Attention à ce que vous consommez : En ce qui concerne la nourriture, l’aventure dans des pays en voie de développement peut vite tourner au cauchemar. Se fier à la règle suivante : les aliments doivent être bouillis, cuits, épluchés ou laissés sur le coin de l’assiette. Dans les restaurants, on évite donc les crudités, les salades, les aliments crus ou fruits non pelés. Consultez notre fiche spéciale "l'Alimentation des Voyageurs" pour plus de détails sur les règles alimentaires à suivre à l'étranger. En ce qui concerne l’ eau, toujours la consommer en bouteille capsulée ou bouillie (prenez plutôt un thé) et bannir glaçons et eau du robinet. En cas de diarrhée : [/size]
- Boire en abondance (sodas, thés sucrés et bouillons)
- Continuer à s’alimenter le plus possible
- Contrôler glycémie capillaire et acétone dans l’urine
- Ne pas stopper son traitement
- En cas d’hyperglycémie, augmenter l’insuline, surtout si il y a présence d’acétone dans les urines.
[size] Quand consulter ? La turista ne dure généralement pas plus de 48h. Si votre état persiste ou empire ou que vous présentez de la fièvre, du sang dans les selles ou une forte douleur abdominale, consultez un médecin. Si vous souhaitez prendre un antidiarrhéique : évitez les ralentisseurs du transit (Lopéramide) qui à terme pérennisent la situation, privilégiez plutôt les antisécrétoires (Tiorfan ). Activité physique et diabète Attention à l’ hypoglycémie ! Pour l'éviter : anticipez l’effort et adaptez régime alimentaire et traitement. A contrario, en cas d’ hyperglycémie avec acétone à la bandelette urinaire, veillez à stabiliser votre glycémie avant de commencer l’activité physique. Enfin, et surtout sous de fortes chaleurs, pensez à boire abondamment. Prenez soin de vos pieds1 ! Entre longues marches, plage et chaleur excessive, nos pieds sont soumis à rude épreuve en voyage. Quand on est diabétique, la moindre infection du pied peut s’aggraver très rapidement. Il est donc conseillé de prendre de bonnes habitudes : [/size]
- Ne pas marcher pieds nus
- Chaussures fermées et ajustées (éviter les frottements)
- Bains de pied quotidiens
[size] En cas de petites blessures ou de mycose, assurez-vous d’une prise en charge immédiate pour éviter les complications. Marie-Aymeline Caron - Passeportsanté.net Ninnenne[/size] | |
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