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| LE "PETIT ENDROIT" DE GEORGES SAND + autres si je trouve???? | |
| | Auteur | Message |
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| | | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: LE "PETIT ENDROIT" DE GEORGES SAND + autres si je trouve???? Lun 2 Oct - 11:29 | |
| BECASSINE EN SCOOTERElle est très moderneLes cent métiers de BécassineComme toute bretonne Bécassine aime la pêche et les bains de mer.Bécassine apprend à piloter. On admire ses exploits d'alpiniste en 1923[size=24]ANNAÏCK LABORNEZ dite BECASSINE[/size] [size] La vie de Bécassine est étroitement liée à celle de son temps : patriote et courageuse, elle soigne les blessés durant la Première Guerre mondiale (Bécassine pendant la Guerre, 1916 ; Bécassine chez les Alliés, 1917 ; Bécassine mobilisée, 1918) ; toujours moderne, elle conduit une motocyclette, une automobile, utilise un téléphone, etc. ; aventurière et sportive (Bécassine alpiniste, 1923), elle visite la Turquie (Bécassine chez les Turcs, 1919) et l’Amérique (Bécassine voyage, 1921), voyage en caravane (Bécassine en roulotte, 1939) ; etc.[/size] [size] Annaïck Labornez naît à Clocher-les-Bécasses, petite bourgade près de Quimper, dans une famille de paysans. À sa naissance, ses parents sont stupéfaits en découvrant que le nez de leur fille est si petit. Mais la petite Annaïck doit son surnom à son oncle Corentin, qui, le jour de son baptême, pose une bécasse à côté du bébé, dont le nez minuscule, presque invisible (ce qui, chez les Labornez, est presque considéré comme une tare) contraste avec le bec de l’oiseau. C’est ce même Corentin qui offre plus tard à Bécassine son célèbre parapluie rouge à tête de canard. Parmi les autres principaux personnages se trouve Marie Quillouch, la cousine (et le faire-valoir), aussi égoïste et grognon que Bécassine a du cœur. Auprès de la marquise Hermine de Grand-Air, particulièrement indulgente vis-à-vis de sa domestique, Bécassine, à l’origine simple servante, devient gouvernante, puis dame de compagnie, chez cette aristocrate qui apprécie en elle l’honnêteté et la franchise.UNE BRETONNE CELEBRE[/size] [size] BECASSINE, née à côté de Quimper , en 1905, par la créatrice jacqueline Rivière et le dessinateur Pinchon.N.P. J'aimais beaucoup les BD de Bécassine quand j'étais petite et j'en ai encore 2 ou 3 ???mais des anciens!!! marileine blog de partage
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| | | marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: LE "PETIT ENDROIT" DE GEORGES SAND + autres si je trouve???? Lun 2 Oct - 14:18 | |
| DES FEES DANS LE PAYS DE ST MICHEL Si on écoute les anciens, il y aurait eu autrefois des fées dans le pays de Saint-Michel. On trouve d'ailleurs dès le XVIème siècle, mention de la croyance populaire en leur existence dans la région. Elles étaient invisibles pendant le jour, tout au moins on les voyait rarement, tandis qu’on les apercevait souvent la nuit. On les disait serviables mais susceptibles et elles se vengeaient quand on les insultait. Leur but, disaient les gens du pays, était de régénérer leur race maudite et c'est pour cela qu'elles cherchaient à s'unir aux hommes. Les nuits de pleine lune, elles sortaient des grottes et des creux d’arbres pour aller danser sur la grève de Saint-Michel. Elles formaient des rondes avec un refrain, toujours le même, répétant en dansant « Lundi, mardi, mercredi, lundi, mardi, mercredi,…. ». Au village, une pauvre petite orpheline en mal d’amour avait entendu dire que les fées danseraient jusqu’à la fin du monde, si elles n’arrivaient pas à trouver la fin de la chanson. Un soir la pauvre petite se cacha dans un bosquet et, prise de compassion, entra dans leur ronde en chantant : « Vendredi, samedi, dimanche, vendredi, samedi, dimanche,… ». Les fées furent si contentes d’apprendre la suite du refrain qu’elles la transformèrent, par une formule magique, en une belle princesse avec des cheveux blonds comme des louis d’or. Epuisée, la petite orpheline s’endormit sur la grève. Au petit matin, quand le froid la réveilla, elle se trouvait dans les bras d’un prince charmant. Il ne restait du bal qu’un grand rond sur le sable, là où elles avaient dansé, très vite balayé par la marée montante.MELUSINE est une FEE bâtisseuse qui oeuvre au clair de lune. L'origine de Mélusine est royale. En effet, sa mère, la fée Présine, avait charmé son père Elinas, le roi d'Ecosse, non sans lui avoir fait promettre, avant leur mariage, de ne jamais chercher à la voir pendant qu'elle accoucherait. Elinas, oubliant sa promesse, enfreint l'interdit. Présine dut alors se réfugier avec ses trois filles, Mélusine, Mélior, et Palestine, dans l'Ile perdue (Ile d'Avalon). Lorsqu'elles devinrent grandes, celles-ci, usant de leurs pouvoirs de fées, décidèrent d'enfermer leur père dans la montagne magique de Northumberland. Cela parut trop sévère à Présine qui jeta un sort sur ses filles. Elle dit à Mélusine : " Tous les samedis tu seras serpente du nombril au bas du corps. Mais si tu trouves un homme qui veuille bien te prendre pour épouse et promettre de ne jamais te voir le samedi, tu suivras le cours normal de la vie. Toutefois si ton mari vient à percer ton secret, tu seras condamnée à retourner au tourment jusqu'au jugement dernier". Mélusine rencontre Raymondin dans la Forêt de Cé près de Lusignan. Ce dernier, revenant d'une chasse au sanglier aucours de laquelle il a tué par accident son oncle Aimeri, comte de Poitiers tombe amoureux de Mélusine et la demande en mariage. Grâce à ses pouvoirs, Mélusine réussit à faire innocenter Raymondin. La fée, accepte de l'épouser et lui fait promettre de n'avoir aucun doute sur son origine et de ne jamais chercher à la voir le samedi. En échange, elle offre à Raymondin sa fortune ainsi qu'une nombreuse et longue descendance. Durant la première année de leur mariage, Mélusine entreprit la construction de Vouvant, de Mervent et de la tour de Saint-Maixent : autant de places fortes qui contribuèrent à l'immense puissance de la famille Lusignan. Une seule nuit lui suffisaient pour édifier les plus imposantes forteresses (Tiffauge, Talmont, Partenay), des églises comme Saint-Paul-en-Gâtine, surgi au milieu des champs, les tours de la Garde à La Rochelle et celles de Niort, et même la ville de Lusignan. Un samedi poussé par la jalousie de son frère, le comte de Forez, Raymondin transgressa la règle de fit avec la pointe de son épée un trou dans la solide porte en fer qui gardait le chambre de sa femme. Et voici ce qu'il vit: "Mélusine se baignait dans une moult grande cuve de marbre, en signe de femme jusqu'au nombril, et se peignait les cheveux; et, du nombril en bas, en signe de queue d'une serpente, grosse comme une quaque à hareng, et moult longuement débattait sa queue en l'eau tellement qu'elle en faisait jaillir jusqu'à la voûte de sa chambre" Mélusine trahie s'enfuit dans un cri par le fenêtre et plus jamais son mari ne la revit sous forme humaine. Toutefois, la légende nous enseigne que Mélusine revint pendant trois jours, à chaque fois que l'une des forteresses qu'elle avait construites changea de maître, et qu'elle apparut toutes les fois que l'un de ses descendants fut sur le point de mourir. Le chroniqueur Jean d'Arras rédige en1392 l'histoire de Mélusine pour Jean de Berry, récent acquéreur du château des Lusignan, qui désirait donner à sa famille des origines mythiques prestigieuses à l'image des héros grecs ou latins qui tous descendent d'un dieu ou d'une déesse. Par un jeu de mots, Jean d'Arras fait de Mélusine la mère Lusigne, la noble dame dont serait donc issu le lignage des Lusignan en Poitou. C'est là une manière adroite de flatter le seigneur qui le fait vivre : les trouvères du nord de la France comme les troubadours du Sud dépendent, en effet, étroitement des grands seigneurs dont ils célèbrent les exploits. A l'origine, Mélusine était probablement la représentation de la déesse gauloise Lucine qui présidait aux accouchements. Comme d'autres légendes, elle a été reprise par la tradition chrétienne. marileine blog de partage
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