Claude Marcel BreaultHommage à la femme Poème de Claude Marcel Breault
Amour, [size=16]Tendresse, Douceur et Charme[/size]
C’est ainsi qu’on a créé la femme
Aimer, Guérir, Consoler et Plaire
Tel était sa destination sur terre
J’aime bien la comparer à une fleur
A une beauté qui rafraichit notre cœur
On le dit beaucoup, la femme est bonne
Elle serait même, le meilleur de l’homme
C’est la femme qui porte en elle l’Avenir
Souvent, on l’associe au mot Sourire
N’est-elle pas celle que l’on admire
Et combien souvent, celle qu’on désire
Il nous faut, rendre hommage à la Femme
A son regard, qui souvent nous désarme
On peut vouloir souvent la câliner
Mais on doit avant tout la respecter
Tout de la femme quand on l’a créée
A été pensé, pour qu’à deux on soit comblés
La femme est pour l’homme un trésor de vie
Une leçon de [size=16]tendresse, une si bonne amie[/size]
A la femme, oui il faut rendre hommage
Elle porte en elle de si beaux messages
Texte Claude Marcel Breault
18-09-12
En illustration, une peinture de Patrick Marquès
[size=13]http://marques-artiste-peintre.fr/?page_id=626[/size]
Un très beau poème pour les femmes...
Le dernier poème ... Poème de Claude Marcel Breault
C’est vrai mon dernier jour de l’été
Fut différent pour bien des choses
Je n’ai pas marché dans les sentiers
On n’a pas fait les mêmes choses
Dehors, tu te souviens il faisait froid
Nous sommes alors restés [size=16]chez toi[/size]
Et dans un trop plein d’émotion
On a eu quelques bonnes discussions
Pourquoi chiale-t-on souvent contre elle
La Vie est pourtant si belle
Je ne vois hélas ! Rien de mieux
Quand j’ouvre grand mes yeux
Avec toutes ces [size=16]fleurs que j’aime tant[/size]
Ou devant le [size=16]sourire d’un enfant[/size]
Devant un si beau levé de soleil
Dans ma petite fenêtre quand je m’éveille
Un jour qu’on marchait dans un sentier
On avait vu deux oiseaux se bécoter
On s’était dit en les apercevant
Ils sont heureux le bonheur les attend
Pourtant un jour, la vie tourna la page
Comme si l’on devait plier bagages
On se questionne, oui mais soudain
C’est le bonheur qui surement revient
On se tourne pour voir notre vie si belle
On en demande si peu, comme la tourterelle.
Feu Claude Marcel Breault
Écrit le 21 octobre 2012.
Ninnenne