coule ,coule ,coule
Coule, coule, coule,
Ruisseau qui s'écoule
Et saute les rochers
Qui ne sauraient t'empêcher
Te répandre ton bonheur
Dans toute la splendeur.
Saches répandre la joie
En tous ceux qui te voit
Et apaiser les pleurs
De tous nos intérieurs
Empêche la tristesse
De prendre ses aises.
Chante donc ta chanson
Au monde à la ronde.
Coule, coule, coule
Ruisseau qui s'écoule.
Il aimait la forêt
Ces sentiers et ces pins
Le vent soufflant tout en haut des cimes
Et les oiseaux dans le ciel
Il aimait la terre balayé par les vents
Celle ou on entend encore le murmure du vent
Il aimait les bateaux et la mer
Les vagues rugissant sur l’océan
Il rêvait de chevaucher un jour ses vagues
Un jour quand il serait grand
Mais la vie en a décidé autrement
Et a ravagé son sourire d’enfant
Et l’a emporte doucement
Et aujourd’hui, ses rêves d’enfants
Il les vit a l’ombre d’une croix
B. d'EFFETMER ma vision des saisons
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les saisons sont ce qu'une symphonie
devrait être: quatre mouvements parfaits,
en harmonie intime...
avec les uns et les autres...
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*Je t'offre ce beau collier,
* Que pour toi j'ai confectionné
* J y ai mis des Perles de Velours
* Pour t'apporter un peu d'Amour
* Des Perles en Verre Fumé
* Pour que tu sois toujours gai(e)
* De jolies Perles en forme de Fleur
* Pour parfumer ton gentil Coeur
* Par une Perle Irisée j'ai terminé
* Pour que tes journées soient
*!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.toujours colorées..
On est que de passage sur cette terre
Pas pour semer la guerre
Pas pour semer la haine
Pour vivre l’espace d’un instant
Semer la joie et la bonté dans les cœurs
Un mot gentil ne coûte rien
Une parole acerbe
Blesse les gens pour l’éternité
Alors semez l’amour sur votre chemin
Semez la joie en guise d’autrefois et cultivez le jardin de l’amitié
Alors vous le verrez
Grandir et s’épanouir
Et vous verrez que l’amitié est un jardin infini
Semé de bonté
De tolérance et d’aucun après jugé
Vous verrez que l’amitié
C’est entendre sans parler
C’est comprendre sans rien dire
Et quand l’humain aura compris ça
Tout ira bien
Peut-être toi aussi seras tu quelqu'un de bien
Peut-être serais je aussi quelqu’un de bien sur ton chemin
©B. d'EFFETMER
texte du jour
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Je touche de mon pied le bord de l'autre monde,
L'âge m'ôte le goût, la force et le sommeil,
Et l'on verra bientôt naître du sein de l'onde
La première clarté de mon dernier soleil.
François menard
Notre amitié
Elle est sacrée
Il ne faut pas la déchirer
Il ne faut pas la détruire
L'amitié c'est le coeur
L'amitié c'est savoir se donner
C'est-ce qu'il y a de meilleur
Cela fait notre bonheur
Elle fait oublier nos douleurs
Elle apaise nos rancoeurs
L'amitié virtuelle
Il ne faut pas s'en séparer
Ni se lâcher
L'amitié c'est de l'or
L'amitié c'est un coffre-fort
C'est un trésor
Il ne faut surtout pas l'abîmée
L'amitié c'est un seul mot
Le bonheur
L'amitié c'est une belle chaleur
Qui restera a jamais dans nos coeurs
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Les murs ne sont pas toujours au-dehors.
Dans tous les murs, il y a une lézarde,
dans toute lézarde, très vite, il y a un peu de terre,
dans cette terre la promesse d'un germe,
Dans ce germe fragile, il y a l'espoir d'une fleur
et dans cette fleur, la certitude ensoleillée d'un pétale de liberté.
Les murs les plus cachés sont souvent au-dedans
et dans ces murs aussi, il y a des lézardes...
laisse pousser les fleurs,
elles sont les germes de la vie à venir.
Jacques Salomé
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Partir
Partir !
Aller n'importe où, vers le ciel ou vers la mer,
vers la montagne ou vers la plaine !
Partir !
Aller n'importe où, vers le travail, vers la beauté ou vers l'amour !
Mais que ce soit avec une âme pleine de rêves et de lumières,
avec une âme pleine de bonté, de force et de pardon !
S'habiller de courage et d'espoir,
et partir,
malgré les matins glacés, les midis de feu, les soirs sans étoiles.
Raccomoder, s'il le faut, nos coeurs
comme des voiles trouées, arrachées au mât des bateaux.
Mais partir !
Aller n'importe où
et malgré tout !
Mais accomplir une oeuvre !
Et que l'oeuvre choisie soit belle,
et qu'on y mette tout son coeur,
et qu'on lui donne toute sa vie.
Cécile Chabot
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regarde la planète
l’état ou tu l’as mit
juste par profit
on a abattu des forêts à coups de dynamite
on a asséché des rivière pour construire
regarde la planète dans quel état tu l’as mit
tes fumées ont craché la pollution
tes enfants seront malade
des animaux, des fleurs auront disparu
regarde la planète dans quel état tu l’as mit
tu peux encore changer tout ça
en plantant des fleurs
en limitant tes trajets en voiture
en espérant pouvoir tout changer
mais toi, ne me regarde pas
c’est pas moi qui a piller le terre
pour m’enrichir
c’est pas moi qui a polluer
ça a commencé au siècle dernier
des terrains sont pollué
des gens affamé
et toi regarde le terre
elle souffre
ne dit pas que tu l’entends pas
ne dit pas que tu ne vois pas
plante un arbre
une fleur
laisse les abeilles polliniser
peut-être que après la terre pourra respirer
peut-être que les glaciers
ne disparaîtront plus
quand le cycle aura finit
tu diras à tes enfant « regarde la terre , avant c’était ça »
il y avait des bêtes, des oiseaux et des gens
sauf que la terre sera morte
et que il n’y aura plus rien
que des terres dévasté et des chagrins
B. d'EFFETMER
Ils sillonnaient les mers
Pour apporter des marchandises venus d’orient
Des épices venus d’autre continents
La cheminer du vieux rafio
Lâchait sur la mer ses gerbes de fumé
Tandis que des marins exténué par la poussière du charbon
Remontaient un peu respiré
Tantôt bourlingué par la mer en furie
Tantôt sur une mer dompté
Le vieux rafio continuait son chemin
Tandis que sur le pont s’élevait le chant de ces marins
Ils avaient quitté leur port depuis bien des mois déjà
Pour enfin rapporter des marchandises tant convoité
Combien de marin hélas ne sont jamais rentré
Combien de veuve on pleurés en regardant les yeux rivés sur l’horizon
Cette mer tranquille
Qui a emporté les corps et les bateaux avec elle
B. d'EFFETMER Un jour l’enfant demandera
C’est quoi la terre
Alors on lui répondra
C’était une planète
Il y avait de l’eau et des animaux
Des arbres et des forets
Des montagnes et des ruisseaux
Et l’enfant dira
Elle est ou cette planète
On lui répondra
L’homme la ravagé et détruit
Et l’enfant dira
Il sont ou les animaux
On dira disparu
Comme ces lacs, ces montagnes, ces océans
La planète était fragile
Les hommes l’ont pillé
Avant de la détruire.
B. d'EFFETMER Ninnenne blog de partage