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 Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu)

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marileine
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marileine


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MessageSujet: Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu)   Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) Icon_minitimeVen 16 Oct - 13:47

Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) Ee324e2c
 
Etre soi meme
 
Des gens uniques, de par le monde,
Il en nait à chaque seconde.
Chacun de nous porte en soi
Une chose que les autres n'ont pas.
Les défauts et les qualités
Font un cocktail à mélanger
pour obtenir ce petit gout
Celui qui n'appartient qu'à nous.
 
Les etres humains sont si divers
Qu'il y aura toujours sur la terre
Quelqu'un qui trouvera en nous
Ce qui lui manque par dessus tout
 
Certains recherchent leurs contraires,
D'autres c'est leurs semblables qu'ils préfèrent
Mais l'important c'est d'arriver
A s'accepter tel que l'on est.
 
Et chercher à s'améliorer
n'est pas forcément tout changer
Quand on commence à s'apprécier,
L'entourage l'a vite remarqué
Il essaie de savoir pourquoi
On est tellement sur de soi.
 
Et tous ces gens qu'on admirait,
Finissent par nous envier,
Car eux aussi ils cherchent ailleurs,
Ceux qu'ils possèdent à l'intérieur.
 
(auteur inconnu)
 
[size=16]Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) Bonne-journ-e-rose-6c6994[/size]


Le petit chemin
 
Citation :

C'est un petit chemin tout triste, 
il longe une falaise et personne ne l'emprunte.

 
Les gens ont peur de tomber
et préfèrent les routes plus fréquentées.

 
Pour le consoler de sa tristesse, 
la mer lui raconte son histoire d'amour avec le ciel.

Elle lui dit la magie des rencontres merveilleuses.
 
Le petit chemin se dit qu'il faut garder l'espoir et sourire.
 
Qui sait, peut-être qu'un passant posera son regard sur lui et s'y engagera?
 
Il est si beau ce petit chemin!
 
Il suffirait d'y poser juste un pied pour être envahi par sa luminosité,
 
son odeur, ses couleurs, ses fleurs, ses papillons.
 
La mer qui n'arrête pas de chanter pour le ciel charme les oreilles.
 
Et le ciel quant à lui revêt ses plus beaux nuages, son plus bel arc-en-ciel.
 
Le petit chemin ravirait le cœur, l'âme, les sens de ceux qui l'emprunteraient.
 
(Fabi)
 
Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) Mini_106383
L'enfer et le paradis
 
Citation :
Citation :
Un saint homme tenait un jour une conversation avec Dieu. Il lui dit : 
- Seigneur, j'aimerais savoir comment est le paradis et comment est l'enfer.

  
Dieu conduisit le saint homme vers deux portes. Il ouvrit l'une des portes et lui permit de regarder à l'intérieur. Au milieu de la pièce, il y avait une immense table ronde. Au milieu de cette table, il y avait une grosse marmite contenant un ragoût à l'arôme délicieux. Le saint homme saliva d'envie. Les personnes assises autour de cette table étaient maigres, livides et malades. Elles avaient toutes l'air affamées. Elles tenaient des cuillères aux très longs manches, attachées à leurs bras. Toutes pouvaient atteindre le plat de ragoût et cueillir une cuillerée. Mais, comme le manche de la cuillère était plus long que leurs bras, elles ne pouvaient ramener les cuillères dans leur bouche. Le saint homme frissonna à la vue de leur misère et de leurs souffrances.
 
Dieu dit : 
- Tu viens de voir l'enfer.

 
Dieu et le saint homme se dirigèrent vers la seconde porte. Dieu l'ouvrit. La scène était identique à la précédente. Il y avait la grande table ronde, la marmite de délicieux ragoût qui fit encore saliver le saint homme. Les personnes autour de la table étaient également équipées des cuillères aux longs manches. Cette fois, cependant, les gens étaient bien nourris, replets, souriants et se parlaient les uns aux autres en riant. Le saint homme dit à Dieu :

- Je ne comprends pas ! 
- C'est simple, répondit Dieu. Ils ont appris à se nourrir les uns les autres tandis que les gloutons et les égoïstes ne pensent qu'à eux-mêmes.

 
(auteur inconnu)                                                                 

Ce jardin là....
Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie.  Il avait jailli, un jour d’hiver, au détour d’une rencontre. 
Le papa jardin et la maman jardin avaient fait ce qu’ils croyaient le mieux à faire pour ce petit jardin inattendu.  Ils lui donnèrent de l’engrais, lui apportèrent leur présence, lui proposèrent leurs attentes et leurs demandes.  Ils surveillaient jalousement les pousses.  Si d’aventure quelque herbe folle poussait là, elle était aussitôt arrachée.
Il fallait que tout pousse droit. Sinon, que diraient « les autres » ?
Peu de mots étaient échangés. Pour ces parents là, il n’était pas nécessaire de parler, d’exprimer.  Ils avaient la croyance que tout se vit en silence, à l’intérieur, à l’abri de l’extérieur.
Et le petit jardin avait grandi, comme cela, sans poser de questions, en jardin obéissant, sans repères, sans mots pour se dire, sans être entendu.
Plus tard, devenu grand, le jardin rencontra un jardinier extraordinaire qui avait dans son sac de fabuleux outils. Ces outils s’appelaient : 
- oser se dire, 
- oser dire non, 
- oser recevoir, 
- oser demander, 
- se relier à soi, 
- se relier aux autres, 
- se relier à son histoire, 
- utiliser les symbolisations, 
- ne pas vouloir agir sur l’autre, 
- agir à son bout de la relation, 
- et d’autres encore…
Enfin le jardin sentit la vie venir en lui, belle, possible.
Dans sa terre, il retrouva ses demandes jamais dites, ses désirs jamais dits, ses besoins. Il entendit, derrière les souffrances, les blessures encore ouvertes. C’était tout cela qui faisait mal, qui empêchait les racines d’aller plus loin, vers l’eau, vers la vie.
Les choses changèrent quand le jardin s’autorisa enfin à être « l’auteur » de sa vie… Des fontaines jaillirent et arrosèrent la terre. Cette terre pouvait enfin laisser venir en elle un autre regard, d’autres possibles…
Avec, au plus profond du cœur de ce jardin, une infinie tendresse, claire comme l’eau de la fontaine au printemps, lumineuse comme le soleil d’été, chaude comme l’amour offert une nuit d’hiver, légère comme un vent d’automne quand le soir tombe, une douce tendresse pour le jardinier de la vie.
 
(auteur inconnu)
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[size=18]Le porteur d'eau      
 
[/size]

Auteur inconnu
  

En Chine, un porteur d'eau possédait deux grosses cruches, chacune d'elle pendante aux extrémités d'une solide perche qu'il portait sur ses épaules.
L'une des cruches était fêlée, tandis que l'autre était parfaite et livrait toujours une pleine portion d'eau.
 
À la fin de la longue marche du ruisseau à la maison, la cruche fêlée arrivait toujours à moitié pleine. Tout se passa ainsi, jour après jour, pendant deux années entières où le Porteur livrait seulement une cruche et demi d'eau à sa maison.
 
Évidemment, la cruche qui était sans faille se montrait très fière de son travail parfaitement accompli. Mais la pauvre cruche fêlée était honteuse de son imperfection, et misérable du fait qu'elle ne pouvait accomplir que la moitié de ce qu'elle était supposée produire.
 
Après ces 2 années de ce qu'elle percevait comme étant une faillite totale de sa part, un jour, près du ruisseau, elle s'adressa au Porteur d'eau, " J'ai honte de moi-même, et à cause de cette fêlure à mon côté qui laisse fuir l'eau tout au long du parcours lors de notre retour à votre demeure. "
 
Le Porteur s'adressa à la cruche, " As-tu remarqué qu'il y avait des fleurs seulement que de ton côté du sentier, et non sur le côté de l'autre cruche ?
C'est que j'ai toujours été conscient de ta fêlure, et j'ai planté des semences de jolies fleurs seulement de ton côté du sentier, et chaque jour durant notre retour, tu les as arrosées.

Durant ces deux années j'ai pu cueillir ces jolies fleurs pour décorer notre table. Si tu n'avais pas été comme tu l'es, nous n'aurions jamais eu cette beauté qui a égayée notre maison "

La morale :

Chacun de nous avons nos imperfections.
Nous sommes tous des cruches fêlées.
Mais ce sont les failles et les fêlures que chacun de nous avons qui rend notre vie commune plus intéressante et gratifiante.
[size=18]Nous devons accepter chaque personne pour ce qu'elle est, et percevoir ce qu'il y a de bon en elle.   [/size]
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[size=16]Le sourire
 
C'est toujours un cadeau 
Il coûte un peu d 'effort 
Mais donne du réconfort, 
C'est une preuve d'affection, 
Un peu de compréhension

Un sourire n'a pas d'âge 
Si un petit bébé 
Est capable de le donner, 
Vous qui êtes âgés 
Essayez ! Vous verrez 

Un sourire c'est joli ... 
Au lieu d'être déprimé 
De rester enfermé, 
Sortez donc vos fossettes ... 
Voyez l'effet que vous faites.

C'est un rayon de soleil 
Comme un brin de lumière, 
Qui descend sur la Terre, 
Il apporte dans le coeur 
Un instant de bonheur. 

Un sourire fait du bien 
Tiens ! votre sourire revient 
Et il vous fait du bien. 
La vie est plus facile 
Lorsqu'on se sent utile ...

Jean-Claude Brinette

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[/size]
L'ombre sans homme
    Le soir, sur un trottoir trempé, un homme marche d'un pas sûr, avec l'allure d'un train qui passe. Il n'a pas d'ombre.
    Il vient d'une rue, la troisième, en partant derrière lui sur sa gauche.
    Auparavant il a hésité quelques pas sous l'arcade, considérant la pluie, et descendu quatre escaliers, deux paliers, un étage ; fermé la porte, d'abord d'un tour de clé, puis, après réflexion, d'un deuxième, plus rassurant.
    Ne laissant personne après lui, il est parti. Sa tasse de café tiède est restée sur la table.
    Il n'est que sept heures du matin.

    Nous nous demandons bien ce qui a pu lui arriver pendant cette journée.

    Un matin, une femme allant à son travail se trouve dans un bus.
    Son regard fixe un point du carreau, qui, par le mouvement du bus, parcourt le bord du trottoir.
    Cette femme a laissé plus tôt les enfants à l'école ; le conjoint chez elle, la voiture au garage.
Tout ça, c'est à cause des embouteillages.
    Oui, il faut bien le reconnaitre, la voiture, bien que facteur de croissance économique, provoque néanmoins, par son fonctionnement complexe, sa surexploitation et sa terrible ingérence dans les affaires humaines, sur la route, quelques petits problèmes. Comme la mort des parents de la femme. Ils revenaient — faut-il le dire — en bons-chrétiens, du baptême d'un dernier neveu. Sauf que le platane pousse là où il est planté, et que la voiture va là où elle est menée, c'est à dire, parfois, dans le platane. Hasard ou dessein. Peu nous importe ici.
    Mais, les enfants à l'école, ça, ce n'est pas du tout de la faute de la voiture. Ni, à fortiori, de  celle du platane.
    C'est que les enfants doivent toujours aller à l'école, et ce, depuis que cela a été décidé. Par qui, l'Histoire le sait, mais nous, on ne sait pas très bien. Et puis, tant pis s'il n'apprennent plus, au moins ils découvrent, et découvrir, c'est important. Surtout quand on ignore que le monde est si vaste. Car ceux-là qui savent ont seuls la Décision.
    Pour le chaumage du mari, la question est plus complexe : nous n'avons pas envie d'en parler plus avant.
    Toujours est-il que cette femme se trouvait dans un bus, et que, par un hasard sans nom, le bus est passé le long d'un fameux trottoir, que nous reconnaitrons à cette particularité qu'il y passe des hommes aux allures de trains.
    Depuis, cette femme raconte, parfois — à des gens sans valeur pour l'histoire qui nous intéresse — qu'un matin dans le bus, elle a vu, par le point de la vitre que son regard fixait, et qui, par l'allure et la marche du bus, balayait le trottoir opposé au sens de déplacement, un homme qui semblait marcher. Sauf que sa marche était sans pas et qu'il n'avançait pas.
    Aussi, le plus étrange, est que, malgré le jour, cet homme était sans ombre.

    Il y a, dans une rue, la troisième sur la droite du passant qui, s'il l'avait fait ce jour-là, aurait marché allant à l'encontre du bus, au premier étage d'un immeuble, après deux paliers et quatre escaliers, un appartement vide. Et sa porte est fermée, vous l'avez deviné, par deux tours de serrure, le deuxième étant beaucoup plus rassurant.
    Mais je vous vois sourire et cela n'est pas drôle. Car celle du lecteur se moque trop souvent des grandes solitudes. Elles sont pourtant cela qui permet la Rencontre.
    
    Et quelque part,
    En quelque part du monde,
    Quelque part est une ombre qui se meut sans source :
    Un jour elle a quitté celui qu'auparavant toujours elle suivait
    Et cherche une autre vie.
 
(auteur inconnu)
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Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) 988fe450
[size=16]Le mois des belles femmes ! 

On est aussi belle et brillante que le soleil de ce jour !!!!  
Bravo à nous autres !!!!! 

Saviez-vous que nous vivons le mois des Belles femmes? 
Eh bien ! Oui ! Et cela veut dire vous et moi ! 
Nous sommes toutes de Belles Femmes ! 

Saviez-vous que: 

Si les mannequins dans les vitrines des boutiques étaient de vraies femmes, elles seraient trop maigres pour avoir un cycle menstruel normal. 

Il y a trois milliards de femmes qui n'ont pas le physique d'une super mannequin et que seulement huit femmes l'ont. 

Marilyn Monroe portait des vêtements de taille 14 ans. 

Si la poupée Barbie était une vraie femme, elle devrait marcher à quatre pattes avec les formes qu'elle a. 

La femme américaine moyenne pèse 144 livres et porte des vêtements de taille entre 12 et 14 ans. 

Une femme sur quatre d'âge collégial a un problème de nutrition: boulimie, anorexie ou autre. 

Les photos des mannequins dans les magazines sont retouchées elles ne sont pas parfaites !!! 

Il y a 20 ans, les mannequins pesaient 8 % de moins que la femme moyenne; aujourd'hui, elles pèsent 23 % de moins. 

La Beauté d'une Femme ne réside pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans sa taille, ni dans la manière dont elle se coiffe.  

La Beauté d'une Femme doit être vue au fond de ses yeux car, c'est la porte de son coeur, l'endroit où réside l'amour. 

La Beauté d'une Femme ne réside pas dans le moule d'un visage, mais la vraie Beauté d'une Femme se reflète dans son âme. 

C'est la compassion qu'elle offre avec amour, la passion qu'elle démontre. 

Et, la Beauté d'une Femme, avec les années, grandit. 

Faites acheminer ceci, aujourd'hui même, à cinq femmes extraordinaires, en célébration du Mois des Belles Femmes. 

Si vous le faites, quelque chose de bien surviendra, vous aurez aidé à remonter l'estime de soi d'une autre femme. 

"T'es belle pour longtemps, t'es belle pour toujours... "

J.-P. Ferland
[/size]
[size=16]-------------------------------------------------------------------------------------------------[/size]
Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) 12fd43bc
Le diamant et la goutte de rosée

 
 
Conte allemand  
 
Un beau diamant, qui avait autrefois brillé au doigt d'une princesse, gisait dans un pré, à côté de pissenlits et de pâquerettes. Juste au-dessus de lui, brillait une goutte de rosée qui s'accrochait timidement à un brin d'herbe. Tout en haut, le brillant soleil du matin dardait ses rayons sur tous les deux, et les faisait étinceler.

La modeste goutte de rosée regardait le diamant, mais sans oser s'adresser à une personne d'aussi noble origine. Un gros scarabée, en promenade à travers les champs aperçut le diamant et reconnut en lui quelque haut personnage. 
- Seigneur, dit-il en faisant une grande révérence, permettez à votre humble serviteur de vous offrir ses hommages. 
- Merci, répondit le diamant avec hauteur.

En relevant la tête, le scarabée aperçut la goutte de rosée. 
- Une de vos parentes, je présume, monseigneur ? demanda-t-il avec affabilité en dirigeant une de ses antennes vers la goutte de rosée.


Le diamant partit d'un éclat de rire méprisant. 
- Quelle absurdité ! déclara-t-il. Mais qu'attendre d'un grossier scarabée ? Passez votre chemin, monsieur. Me mettre, moi, sur le même rang, dans la même famille qu'un être vulgaire, sans valeur ! et le diamant s'esclaffait. 
- Mais, monseigneur, il me semblait. Sa beauté n'est-elle pas égale à la vôtre ? balbutia timidement le scarabée déconfit. 
- Beauté, vraiment ? Imitation, vous voulez dire. En vérité, l'imitation est la plus sincère des flatteries, il y a quelque satisfaction à se le rappeler. Mais cette beauté factice même est ridicule si elle n'est pas accompagnée de la durée. Bateau sans rames, voiture sans chevaux, puits sans eau, voilà ce que c'est que la beauté sans la fortune. Aucune valeur réelle là où il n'y a ni rang ni richesse. Combinez beauté, rang et richesse, et le monde sera à vos pieds. A présent, vous savez pourquoi on m'adore.

Et le diamant lança de tels feux que le scarabée dut en détourner les yeux, pendant que la pauvre goutte de rosée se sentait à peine la force de vivre, 
tant elle était humiliée. 
Juste alors une alouette descendit comme une flèche, et vint donner du bec contre le diamant.
- Ah ! fit-elle désappointée, ce que je prenais pour une goutte d'eau n'est qu'un misérable diamant. Mon gosier est desséché, je vais mourir de soif. 
- En vérité ! Le monde ne s'en consolera jamais, ricana le diamant.

Mais la goutte de rosée venait de prendre une soudaine et noble résolution. 
- Puis-je vous être utile, moi ? demanda-t-elle.


L'alouette releva la tête. 
- Oh ! ma précieuse amie, vous me sauverez la vie. 
- Venez, alors. Et la goutte de rosée glissa du brin d'herbe dans le gosier altéré de l'alouette.


- Oh ! oh ! murmura le scarabée en reprenant sa promenade. Voilà une leçon que je n'oublierai pas. Le simple mérite vaut plus que le rang et la richesse sans modestie et sans dévouement ; il ne peut y avoir aucune réelle beauté sans cela.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
La Goutte d'eau
 
Si la note disait:
ce n'est pas une note qui fait une musique...
il n'y aurait pas de symphonie.
 
Si le mot disait:
ce n'est pas un mot qui peut faire une page...
il n'y aurait pas de livre.
 
Si la pierre disait:
ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur...
il n'y aurait pas de maison.
 
Si la goutte disait:
ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière...
il n'y aurait pas d'océan.
 
Si le grain de blé disait:
ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ...
il n'y aurait pas de moisson.
 
Si l'être humain disait:
ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité...
il n'y aurait jamais de justice et de paix,
de dignité,et de bonheur sur la terre.
 
Comme la symphonie a besoin de chaque note.
Comme le livre a besoin de chaque mot.
Comme la maison a besoin de chaque pierre.
Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau.
Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé.
L'humanité tout entière a besoin de toi
là où tu es, unique et donc irremplaçable.

(Michel Quoist)
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Si le monde m'appartenait et
que je pouvais changer les règles
 
Il y aurait plus d'occasions pour se détendre
et pour s'amuser avec les êtres aimés.
 
Il y aurait plus d'heures passées à rire
et moins d'heures passées à s'inquiéter.
 
Il y aurait plus de temps pour
admirer la nature et ses beautés.
 
Si le monde m'appartenait je t'enverrais 
 une foule de moments magiques
 
pour que tu puisses te laisser aller à tes rêves
et poursuivre les projets qui te sont chers.
 
Non seulement aujourd'hui
mais chaque jour de ta vie.
 
(auteur inconnu)
 
je vous souhaite une excellente
journée...
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Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) 1831c8c9
Les bonheurs de l'amitié
 
La véritable amitié
dure toute la vie,
par-delà les plaisirs et les bonheurs,
les contraintes et les malheurs.
Elle fait surgir de doux souvenirs,
d'un clin d'oeil ou d'un sourire.
Elle apporte l'assurance
d'heureux moments
et d'immenses plaisirs
pour les années à venir !
 
(auteur inconnu)
 ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) 6da1bbeb
J'ai appris !
 

[size=16]J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain. J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.[/size]
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper.
Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.
[size=16]Auteur inconnu  [/size]
 -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) O3trkctr
Le conte de l'arc-en-ciel des émotions

Il était une fois une jeune fille qui n'osait jamais dire ses émotions.
A personne, et surtout, surtout pas à ceux qu'elle aimait !
Bien sûr, il n'est pas toujours facile de dire ses émotions car des fois cela déborde. Il y a alors des pleurs, des sanglots ou des rires, des fous rires, des sueurs, du chaud et du froid, bref,plein de choses qui se
bousculent dans le corps.

Il y a aussi les réactions de l'entourage.. qu'elle imaginait:
-Qu'est ce qu'ils vont penser de moi, qu'est ce qu'ils vont dire ?
Et puis un jour, pour oser parler de ses émotions, il faut déjà les connaître. Vous les connaissez, vous, vos émotions ?
Essayez déjà de m'en dire trois pour voir...
Bon, la question n'est pas là, puisque je raconte l'histoire de la jeune fille qui ne savait pas dire ses émotions.

Un jour qu'elle rêvait éveillée dans son lit, en regardant le ciel, à imaginer les bonheurs qu'elle pourrait avoir dans sa vie, elle vit au-dessus d'elle un magnifique arc-en-ciel. Mais ce qu'il y avait d'étonnant dans cet arc-en-ciel, c'est qu'il possédait une huitième couleur, la couleur noire. C'est très rare un arc-en-ciel avec huit couleurs.
Et soudain, elle comprit. Elle comprit tout, elle sut comme cela le nom des émotions qu'elle avait en elle. Grâce aux couleurs de l'arc en ciel. Elle devina que chaque couleur représentait une ou plusieurs émotions. Chaque couleur devenait un mouvement de son coeur, une direction de ses énergies, un élan des sentiments, une vibration du ventre, ou du dos, un scintillement des yeux....

Le rouge par exemple, le rouge était la couleur de la passion, du baiser.

L'orange celle de l'abandon, de l'offrande, du don de soi.

Le jaune celle de la lumière, du jaillissement, du plaisir. Oui, se laisser emporter, confiante, faible comme un sourire de printemps.

Et le vert ? Le vert c'était la couleur du ventre, du mouvement de la vie en elle. De tout ce qu'elle sentait vrai, véritable en elle ! 

Le bleu, couleur de la tendresse, des caresses sans fin, de la douceur et aussi de l'espoir.

Le violet, lui, était une couleur plus inquiétante, fermée, sourde. Il y a de la violance dans le violet, de la menace. C'est important de savoir aussi reconnaître cela en soi. Violence que l'on porte, violence que l'on provoque parfois.. violence qui arrive par des chemins imprévisibles.

Le noir. Ah ! Cette couleur noire, là, présente dans l'arc-en-ciel.Couleur de la peur, du diable, du diablotin qu'il y avait parfois en elle.

Et puis la couleur blanche, couleur du désir. Du désir infini, multiple, qui renaissait en elle, parfois timide,
d'autres fois plus direct, plus osant !

Cette couleur-là est précieuse, indispensable, sans elle les autres couleurs n'existeraient pas. Le blanc est une couleur lumière, qui capte toutes les autres et leur donne plus d'existence.

A partir de ce jour-là, la jeune fille, ah! j'oublié de vous dire son nom : Yanou, sut parler de ses émotions, car il lui suffisait d'en rechercher la couleur. Elle regardait le ciel, imginait un arc-en-ciel et cherchait la couleur de l'émotion qui l'habitait.

Bien des années plus tard, elle fut très étonnée d'entendre sa fille lui dire : -Tu sais, Maman, je suis un arc-en-ciel d'émotions, je les ai toutes quand je danse. J'adore danser. La danse, c'est le chant des émotions...
Des fois j'éclate quand toutes mes couleurs, je veux dire mes émotions, se mettent à vivre ensemble.. oh ! là là . Je vais éclater un jour. !

Je ne sais pas si la fille de Yanou éclatera comme elle le craint, ce que je sais, c'est que sa mère avait fait une grande découverte en associant ses émotions aux couleurs de l'arc-en-ciel.

Jacques Salomé

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Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) Jsopd3j4
Conte traditionnel adapté par Paulo Coelho

Un négociant envoya son fils apprendre le secret du bonheur auprès du plus sage de tous les hommes. Le jeune garçon marcha quarante jours dans le désert avant d'arriver finalement devant un beau château, au sommet d'une montagne. C'était là que vivait le sage dont il était en quête.

Pourtant, au lieu de rencontrer un saint homme, notre héros entra dans une salle où se déployait une activité intense : des marchands entraient et sortaient, des gens bavardaient dans un coin, un petit orchestre jouait de suaves mélodies, et il y avait une table chargée des mets les plus délicieux de cette région du monde. Le sage parlait avec les uns et les autres, et le jeune homme dut patienter deux heures durant avant que ne vînt enfin son tour. 

Le sage écouta attentivement le jeune homme lui expliquer le motif de sa visite, mais lui dit qu'il n'avait alors pas le temps de lui révéler le Secret du Bonheur. Et il lui suggéra de faire un tour de promenade dans le palais et de revenir le voir à deux heures de là. 

"Cependant, je veux vous demander une faveur", ajouta le sage, en remettant au jeune homme une petite cuiller, dans laquelle il versa deux gouttes d'huile. "Tout au long de votre promenade, tenez cette cuillière à la main, en faisant en sorte de ne pas renverser l'huile." 

Le jeune homme commença à monter et descendre les escaliers du palais, en gardant toujours les yeux fixés sur la cuiller. Au bout de deux heures, il revint en présence du sage. 

"Alors, demanda celui-ci, avez-vous vu les tapisseries de Perse qui se trouvent dans ma salle à manger ? Avez-vous vu le parc que le maître des jardiniers a mis dix ans à créer ? Avez-vous remarqué les beaux parchemins de ma bibliothèque ?" 

Le jeune homme, confus, dut avouer qu'il n'avait rien vu du tout. Son seul souci avait été de ne point renverser les gouttes d'huile que le sage lui avait confiées. 

"Eh bien, retournez faire connaissance des merveilles de mon univers, lui dit le sage. On ne peut se fier à un homme si l'on ne connaît pas la maison qu'il habite." 

Plus rassuré maintenant, le jeune homme prit la cuillère et retourna se promener dans le palais, en prêtant attention, cette fois, à toutes les oeuvres d'art qui étaient accrochées aux murs et aux plafonds. Il vit les jardins, les montagnes alentour, la délicatesse des fleurs, le raffinement avec lequel chacune des oeuvres d'art était disposée à la place qui convenait. 

De retour auprès du sage, il relata de façon détaillée tout ce qu'il avait vu. 
"Mais où sont les deux gouttes d'huile que je vous avais confiées ?" demanda le sage. 
Le jeune homme, regardant alors la cuillère, constata qu'il les avait renversées. 
"Eh bien, dit alors le sage des sages, c'est là le seul conseil que j'aie à vous donner : le Secret du Bonheur est de regarder toutes les merveilles du monde, mais sans jamais oublier les deux gouttes d'huile dans la cuillère". 

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Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) Eep6eht3
[Aujourd'hui, je prends le temps de 
découvrir les simples plaisirs de la vie. 

Je surnomme ces plaisirs quotidiens 
les plaisirs de l'âme 
car ce sont des activités 
qui nourrissent mon être et font surgir 
en moi un profond amour de la vie. 

Les plaisirs de l'âme c'est regarder 
un coucher de soleil, 
porter un vêtement soyeux, 
déguster un bon repas. 

Les plaisirs de l'âme, c'est travailler 
dans le jardin parmi les fleurs et les arbres, fabriquer des choses à la main 
ou écouter une musique classique. 

Ces simples plaisirs me permettent 
de communier avec la vie et de redécouvrir l'harmonie dans mon rapport avec 
mon entourage et l'univers tout entier. 

Je suis responsable de mon bonheur quotidien. Je dois prendre le temps pour me ressourcer et pour nourrir mon être. 

Aujourd'hui, je m'arrête pour 
humer le parfum des roses, 
pour écouter le chant des oiseaux 
et pour regarder les enfants qui jouent 
si librement juste à côté de moi.

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Je donnerais une valeur aux choses, pour ce qu'elles signifient.


Je dormirais peu, je rêverais plus, je crois que chaque minute passée les yeux fermés
représentent soixante secondes en moins de lumière.



Je marcherais quand les autres s'arrêtent, je me réveillerais quand les autres dorment.



Je donnerais des ailes à un enfant, mais je le laisserais apprendre à voler seul.
J'enseignerais aux vieux que la mort ne vient pas avec l'âge mais avec l'oubli.



J'ai appris tant de choses des hommes …



J'ai appris que tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans savoir que le
véritable bonheur c'est dans la manière de l'escalader.



J'ai appris que quand un nouveau-né serre fort de son petit poing, pour la première fois, la
main de son père, il le retient pour toujours.



J'ai appris qu'un homme n'a le droit d'en regarder un autre de haut que pour l'aider à se
lever.



Dis toujours ce que tu sens, fais ce que tu penses.



Il y a toujours un lendemain, et la vie nous donne une autre occasion de faire bien des
choses : mais si jamais je n'ai plus que ce jour, j'aimerais dire à tous ceux que j'aime
combien je les aime.



Le lendemain n'est garanti à personne, qu'il soit jeune ou vieux …



Aujourd'hui peut … être le dernier jour où tu vois ceux que tu aimes.



N'attends pas, fais-le aujourd'hui, car, si demain ne vient pas, tu regretteras de n'avoir
pas pris le temps d'un sourire, d'une caresse, d'un baiser, trop occupé que tu étais.



Garde près de toi ceux que tu aimes, dis-leur à l'oreille combien tu as besoin d'eux, aime-
les et traite-les bien, prends le temps de dire "je regrette", "pardonne-moi, s'il te
plaît", "merci", et tous les mots d'amour que tu connais.



Demande au Seigneur la force et la sagesse de les exprimer.



Car personne ne se souviendra de tes pensées secrètes.



Il faut qu'elles soit dites … avant que tout soit consommé …


(Gabriel Garcia Marquez)
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MessageSujet: Re: Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu)   Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) Icon_minitimeVen 16 Oct - 14:00

La vie...
 
La vie, c’est la pluie…
C’est le beau temps…
C’est la rosée du matin
Et la douceur d’un coucher de soleil.


C’est un sourire,
Une larme…
Des souvenirs, des espoirs…
Des Jours noirs et des Jours bleus.


La Vie, c’est toi, c’est moi…
C’est nous, c’est tout.
C’est le souffle divin…
C’est le plus beau, le plus précieux…
C’est sacré, respecté.


La vie… c’est un changement
Perpétuel et continuel.
C’est s’adapter,
Essayer..tomber… échouer…
Se relever et gagner.
C’est un Jeu qui suit les caprices
des vagues et du vent.


La Vie, n’essaie pas de la prévoir,
De la deviner,
De la comprendre
Ou de la changer.


La vie, vis-la, au jour le jour…
Avec confiance, courage, optimisme et amour.
Accroche un sourire à tes lèvres :
Regarde bien droit devant toi
Et suis ton étoile.


Des jours merveilleux t’attendent !
 
[size=16](auteur inconnu)[/size]
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Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) 8fd0dea7
Le temps est ce que tu en fais...


 
Tu ne peux retenir le temps.
Il passe.
Il coule entre tes doigts
Comme l’eau de la fontaine.
Il glisse dans ta main
Comme le sable de la mer.
Tu ne peux rattraper le passé.
Il n’est plus.
Il s’en est allé
Comme le couchant d’hier.
Il est disparu
Comme un souvenir perdu.
Tu ne peux emprisonner le futur.
Il n’est pas encore.
Il viendra à son heure
Comme le levant de demain.
Il te rejoindra
Comme la vague qui s’approche
Du rivage.
Mais tu peux toujours cueillir le présent
Comme un beau présent du ciel.
Ce présent est comme un arbre.
Il plonge ses profondes racines
Dans ton passé tout plein
De souvenir et d’expérience,
Comme une sagesse accumulée.
Et il lance ses longues branches
Vers ton futur tout plein
De promesse et d’espérance,
Comme un projet emballant.
Le présent est fait
De ton passé qui n’est plus
Et de ton futur qui n’est pas encore.
Prends le temps qui t’est donné
À chaque instant qui passe.
Cueille-le précieusement
Comme l’eau du ruisseau
Qui t’est toujours disponible.
Ne gaspille pas ton temps.
C’est un cadeau divin.
Ne passe pas ton temps
À courir après le temps.
Prends ton temps.
Ne dis pas : je n’ai pas le temps
Dis plutôt : mon temps est à moi
Ne sois pas avare de ton temps.
Donne ton temps aux autres
Comme il t’est donné à toi.
Ne cours pas tout le temps.
Prends ton temps...
 
[size=16](auteur inconnu)[/size]
[size=16]---------------------------------------------------------------------[/size]
Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) 667571af
 
 
La vie...
 
La vie, c’est la pluie…
C’est le beau temps…
C’est la rosée du matin
Et la douceur d’un coucher de soleil.


C’est un sourire,
Une larme…
Des souvenirs, des espoirs…
Des Jours noirs et des Jours bleus.


La Vie, c’est toi, c’est moi…
C’est nous, c’est tout.
C’est le souffle divin…
C’est le plus beau, le plus précieux…
C’est sacré, respecté.


La vie… c’est un changement
Perpétuel et continuel.
C’est s’adapter,
Essayer..tomber… échouer…
Se relever et gagner.
C’est un Jeu qui suit les caprices
des vagues et du vent.


La Vie, n’essaie pas de la prévoir,
De la deviner,
De la comprendre
Ou de la changer.


La vie, vis-la, au jour le jour…
Avec confiance, courage, optimisme et amour.
Accroche un sourire à tes lèvres :
Regarde bien droit devant toi
Et suis ton étoile.


Des jours merveilleux t’attendent !


 
[size=16](auteur inconnu)[/size]
 
 
 
 
Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) 5850382221108
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Roses d’automne
 
Aux branches que l’air rouille et que le gel mordore,
Comme par un prodige inouï du soleil,
Avec plus de langueur et plus de charme encore,
Les roses du parterre ouvrent leur coeur vermeil.
 
Dans sa corbeille d’or, août cueillit les dernières :
Les pétales de pourpre ont jonché le gazon.
Mais voici que, soudain, les touffes printanières
Embaument les matins de l’arrière-saison.
 
Les bosquets sont ravis, le ciel même s’étonne
De voir, sur le rosier qui ne veut pas mourir,
Malgré le vent, la pluie et le givre d’automne,
Les boutons, tout gonflés d’un sang rouge, fleurir.
 
En ces fleurs que le soir mélancolique étale,
C’est l’âme des printemps fanés qui, pour un jour,
Remonte, et de corolle en corolle s’exhale,
Comme soupirs de rêve et sourires d’amour.
 
Tardives floraisons du jardin qui décline,
Vous avez la douceur exquise et le parfum
Des anciens souvenirs, si doux, malgré l’épine
De l’illusion morte et du bonheur défunt.
 
Nérée Beauchemin
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Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) 0e84c10e
 
Il était une fois dans un verger...
 
 
Un magnifique verger s'étendait voluptueusement sur le bord de notre beau fleuve Saint-Laurent.  Les racines de ses nombreux pommiers s'enfonçaient dans cette belle terre riche de l'Ile d'Orléans...
 
En mai, une floraison abondante ressemblant à un affriolant voile de mariée...  avait attiré une multitude d'abeilles à la Noce du Printemps...  Celles-ci, s'étant gavées de doux pollen avaient sautillé de fleur en fleur y déposant délicatement une poussière fertilisante.  Les chauds rayons du soleil et la pluie bienfaisante avaient fait éclore des milliers de petites pommettes, promesses d'une récolte abondante, l'automne venu...
 
Le pommiculteur qui veillait amoureusement sur son verger, découvrit en se promenant de bon matin, qu'un de ses pommiers avait bien triste mine.  Celui-ci se tenait piteusement dans son petit coin et n'était garni que de petits grelots verts tandis qu'autour de lui, ses nombreux compagnons rougissaient de fierté.
 
 
 
-  Que se passe-t-il mon bon ami?  Je prends pourtant un soin jaloux de toi !
 
Une goutte de sève s'écoula alors tout doucement du tronc du petit pommier.  Et, d'une voix étouffée, l'arbre lui confia son gros chagrin...
 
-  Je ne veux pas que mes pommettes rougissent, grossissent et me quittent à l'automne...  De si belles fleurs sont sorties de mes bourgeons.  J'étais si fier de les tenir dans mes bras !  Ma vie ressemblait à un poème floral.  Le vent jouait du violon entre mes branches, les abeilles giguaient et l'odeur me saoûlait!  Là, je suis habillé de tendres feuilles mais je ne veux surtout pas perdre aucun de mes fruits !  J'en suis si fier et amoureux !  De plus, je me sentirai si coupable de les voir s'échoir à mes pieds ou cueillis par n'importe qui!  La tristesse m'envahit déjà et je suis certain que la solitude de l'hiver m'assèchera !
 
 
Le pommiculteur qui était un GRAND SAGE, écouta et partagea avec empathie "l'État d'être" que ce chagrin immense causait à son arbre.  Il prit le temps de réfléchir pour lui communiquer la "bonne parole"...  enfin, il lui chuchota ceci :
 
-  Pommier, mon beau pommier, tes sentiments t'honorent et je t'admire.  Cependant, n'abandonne jamais le sens de ta mission qui est celle de rendre à maturité tous les fruits que tu as engendrés...  Ceux-ci feront la joie de nombreux bambins qui croqueront à belles dents dans leur chair juteuse!  Une grand-mère les pèlera avec tendresse pour confectionner de délicieuses tartes...  Ta gelée reluira sur la tartine du travailleur et que dire des nombreux pots de compote qui orneront les tablettes de plusieurs garde-manger ?  Bien sûr, tu ne verras plus tes fruits mais ils continueront d'une autre façon à te donner la fierté du devoir accompli !
 
Rassuré, l'arbre lui répondit après quelques minutes de réflexion...
 
-  Toi, je le sais que tu es mon ami et mon protecteur.  Ne m'as-tu pas transplanté alors que je n'étais pas plus haut que "trois pommes"?  Je ne demande donc qu'à te croire puisque tu m'as permis d'évoluer dans ce champs que je considère comme un paradis sur Terre !
 
 
 
Oui, il faut croire à cette histoire...  Ce pommier fait maintenant la fierté de son protecteur et il a traversé depuis ce temps à travers de nombreuses saisons.  Son écorce continue à protéger son "coeur de pomme" et il est si fier d'avoir LÂCHÉ PRISE face aux cycles perpétuels de la Vie qui ne regarde que par devant !
 
Moi aussi, je laisse tomber les pommes de mon arbre...  surtout celles de la "culpabilité" et de la "possession"!!!  Après tout, n'est-il pas véridique que le pépin contient le pommier de demain ?


 
[size=16](Jovette Mimeault)[/size]
[size=16]-----------------------------------------------------------------[/size]
Le petit garçon
 
Il était une fois un petit garçon
Qui allait à l'école pour la première fois.
C'était un tout petit garçon
Et l'école était plutôt grande.
Mais quand le petit garçon apprit 
Qu'il y avait une porte
Par laquelle il pouvait passer directement
De l'extérieur de l'école à l'intérieur de la classe,
Il fut très heureux.
Et l'école ne lui paraissait plus
Aussi grande qu'avant.


Le petit garçon allait à l'école depuis quelque temps
Quand un beau matin
La maîtresse dit:


«Aujourd'hui nous allons faire un dessin.»
«Bien !» pensa le petit garçon.
Il aimait beaucoup dessiner.
Il pouvait faire toutes sortes de dessins:
Des lions et des tigres,
Des poules et des vaches,
Des trains et des bateaux.
Alors il ouvrit sa boîte de crayons
Et se mit à dessiner.


Mais la maîtresse dit:
«Attendez ! Je n'ai pas dit de commencer !»
Et elle attendit que tout le monde soit prêt.
«Maintenant, dit la maîtresse,
Nous allons dessiner des fleurs.»
«Bien !» pensa le petit garçon,
Car il aimait faire des fleurs,
Et il en dessina de très belles
Avec ses crayons roses, orange et bleus.


Mais la maîtresse dit:
«Attendez ! Je vais vous montrer comment.»
Et elle dessina une fleur sur le tableau noir.
Elle était rouge, avec une tige verte.
«Voilà, dit la maîtresse,
Maintenant vous pouvez commencer.»


Le petit garçon regarda la fleur de la maîtresse
Puis il regarda sa propre fleur.
Il aimait mieux sa fleur que celle de la maîtresse
Mais il ne dit rien,
Il retourna sa feuille et de l'autre côté
Dessina une fleur comme celle de la maîtresse.
Elle était rouge avec une tige verte.


Un jour que le petit garçon
Avait ouvert la porte d'entrée
Sans l'aide de personne
La maîtresse dit:
«Aujourd'hui nous allons faire quelque chose avec de la glaise !»
«Bien !» pensa le petit garçon.
Il aimait beaucoup la glaise.


Il pouvait faire un tas de choses avec de la glaise:
Des serpents et des bonhommes de neige,
Des éléphants et des souris, 
Des voitures et des camions.
Et il se mit à pétrir sa boule de glaise.


Mais la maîtresse dit:
«Attendez ! Je n'ai pas dit de commencer!»
Et elle attendit que tout le monde soit prêt.


«Maintenant, dit la maîtresse,
Nous allons faire une assiette.»
«Bien !» pensa le petit garçon,
Car il aimait faire des assiettes.
Et il en fit quelques unes
De toutes les formes et de toutes les grosseurs.


Mais la maîtresse dit:
«Attendez ! je vais vous montrer comment.»
Et elle leur montra comment faire une assiette profonde.
«Voilà, dit la maîtresse,
Maintenant vous pouvez commencer.»


Le petit garçon regarda l'assiette de la maîtresse
Puis il regarda les siennes.
Il aimait mieux ses assiettes que celles de la maîtresse
Mais il ne dit rien, 
Il prit sa glaise et la remit en boule, 
Puis, il fit une assiette comme celle de la maîtresse.
C'était une assiette profonde.


Le petit garçon eut bientôt fait d'apprendre,
À attendre
Et à regarder,
Et à faire les choses comme la maîtresse.
Et bientôt après,
Il ne faisait plus rien à sa manière à lui.


Puis il arriva que
Le petit garçon et sa famille
Déménagèrent dans une autre maison,
Dans une autre ville,
Et le petit garçon 
Se retrouva dans une autre école.


L'école était encore plus grosse
Que la précédente,
Et il n'y avait pas de porte qui s'ouvrait 
Directement sur sa classe.
Il devait gravir de grands escaliers,
Et traverser un long corridor
Pour se rendre à sa classe.
Et dès le premier jour,
La maîtresse dit:
«Aujourd'hui nous allons faire un dessin !»


«Bien !» pensa le petit garçon,
Et il attendit que la maîtresse
Lui dise quoi faire
Mais elle ne disait rien.
Elle se promenait simplement dans la classe.


Quand elle arriva près du petit garçon,
Elle dit: «Tu ne veux pas faire un dessin ?»
«Oui, dit le petit garçon,
Mais le dessin de quoi ?»
«Je ne peux pas savoir tant que tu ne l'as pas fait», dit la maîtresse.
«Comment dois-je dessiner?» demanda le petit garçon.
«Mais comme tu veux», dit-elle.
«Avec quelles couleurs ?» demanda-t-il.
«N'importe quelle couleur, répondit la maîtresse.
Si tout le monde faisait le même dessin,
En prenant les mêmes couleurs,
Comment pourrais-je les différencier,
Et savoir qui a fait quoi ?»
«Je ne sais pas», dit le petit garçon.
Et il se mit à dessiner des fleurs
Roses, orange et bleues.


Il aimait sa nouvelle école,
Même s'il n'y avait pas de porte
Qui s'ouvrait sur sa classe !
 

(Helen E. Buckley)
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Poèmes et textes de différents auteurs (y compris inconnu) Ea1688d3
 
 
J'aurais pu...


 
J’aurais pu devenir riche si j’avais choisi l’or plutôt que mes amitiés.

J’aurais pu être célèbre si j’avais cherché la renommée pendant les heures où je m’appliquais à jouer.

Et me voici, assis à l’extrémité de ma vie, jetant un coup d’œil derrière moi pour voir tout ce que j’ai fait avec ces jours et ces années qui étaient miens et tout ce qui m’est arrivé.

Je n’ai pas vraiment de fortune à léguer à ceux qui porteront mon nom. Et je n’ai rien fait qui soit susceptible de m’assurer une place sur les registres de la renommée. Mais j’ai adoré le ciel et ses grands espaces bleus; j’ai vécu avec les arbres et les oiseaux; j’ai dédaigné l’or et l’argent pour partager des plaisirs comme ceux-là.

J’ai donné mon temps aux enfants qui sont venus; nous avons joué ensemble bruyamment. Et je n’échangerais pas les heures heureuses passées avec eux pour tout l’argent que j’aurais pu faire.

J’ai choisi d’être connu et aimé par quelques personnes, et j’ai fait la sourde oreille aux applaudissements des hommes; et je referais les mêmes choix si la chance m’était donnée de revivre ma vie.

J’ai vécu avec mes amis et j’ai partagé leurs joies, connu leurs peines avec toutes leurs larmes; j’ai fait une belle récolte avec les quelques arpents de ma vie, même si certains prétendent que j’ai gaspillé mon temps.

J’ai été à même de bien profiter de mes belles choses, et je crois avoir ainsi rempli ma vie de mon mieux. Et au crépuscule de ma vie, je ne regrette pas tout l’or que j’aurais pu posséder.


 
(auteur inconnu)
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ÊTRE OPTIMISTE


Promettez-vous à vous-même :


D’être si fort que rien ne puisse déranger votre paix intérieure.


De parler de santé, de bonheur, et de prospérité
à toutes les personnes que vous rencontrez.


De faire sentir à tous vos amis qu’ils ont quelque chose
de valeur en eux.


De regarder le coté ensoleillé des choses
et de rendre votre optimisme réel.


De penser seulement le meilleur, de travailler seulement
pour le meilleur, et d’attendre seulement le meilleur.


D’être aussi enthousiaste par rapport au succès des autres
que par rapport aux votres.




D’oublier les erreurs du passé et de continuer
vers les grands accomplissements du futur.


D’afficher une expression joyeuse tout le temps et de sourire
à toutes les créatures vivantes que vous rencontrez.


De passer tellement de temps à vous améliorer que vous n’avez plus de temps pour critiquer les autres.


D’être trop grand pour l’inquiétude, trop noble pourla rage,
trop fort pour la peur, et trop joyeux pour permettre
la présence de la peine.


De penser du bien de vous et de proclamer ce fait au monde,
non pas avec des mots mais avec de grandes actions.


De vivre dans la foi que le monde est à vos coté
aussi longtemps que vous êtes en harmonie
avec le meilleur qui est en vous.
 
 
(Christian D. Larson)
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