marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: TEXTES.POEMES. DIVERS Mar 15 Déc - 12:50 | |
| Elle avait la douceur dans la voixEt respirait le bonheurElle était la chaleur les jours de froidElle était la tendresse les jours d’ennuiElle avait le regard malicieuxToujours un geste d’affection pour moiElle, c’était la vieEt avec elle je noircissais les pagesEt écrivait chaque jour un autre chapitreEt puis la vie m’a pris dans son tourbillonEt elle s’est mise à passer très viteMais c’était ma vie©B. d'EFFETMERl’enfant demanderaC’est quoi la terreAlors on lui répondra C’était une planèteIl y avait de l’eau et des animauxDes arbres et des forets Des montagnes et des ruisseauxEt l’enfant diraElle est ou cette planèteOn lui répondra L’homme la ravagé et détruitEt l’enfant diraIl sont ou les animauxOn dira disparuComme ces lacs, ces montagnes, ces océansLa planète était fragileLes hommes l’ont pillé Avant de la détruire.©B. d'EFFETMER Elle maquillait son visageComme elle maquillait sa viePour gommer l'absence et la solitudeSeule au bout de la tableElle regardait les heure 'égrenerElle repensait au passéEt a ses enfant qui ne sont pas làElle les entendait rireElle guettait la sonnerie du téléphoneAlors pour oublier, elle s'est mise à danserElle s'est mise à chanterPour tuer le silenceEt elle a encore appris à rêver©B. d'EFFETMER----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Le feu crépitait dans la cheminéOn entendait déjà le bois se craqueléLa buée sur les carreaux accentuait le froid dominantTandis que l enfant était allongé et riantLa grand mère tricotait doucementBalancer par son rock in chairPendant que le souper cuisait doucementRépandant son parfum dans la pièceLa nuit viendrai bientôtIl faudra remettre du bois dans la chemineTandis qu’ un vieux transistor jouait de vielle mélodieLe temps s emblait s être arrêter dans ce petit village perdueOu subsistait encore quelques âmesEn cet hiver rigoureux.©B. d'EFFETMER------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Ils avaient pris des sentiers de terre battuePour fuir l intolérancePour fuir les bombes et la famineLes cailloux avaient eux raison de leurs semellesLes plaies témoignaient sur leurs piedsIls avaient rêve d un monde meilleurEn avançant toujours bon gré mal gréMais las ils se sont endormitEt c est juste deux corps enlacé que l on a retrouveDeux amants oubliés dans l immensité©B. d'EFFETMER--------------------------------------------------------------------------------------------------- Il écrivait sa vie
Comme d autre grave de pierre
Il noircissait du papier
Comme pour ne pas oublié
Comme pour témoigné
De la vie et ses maux
De ses oiseaux qui volent toujours plus haut
Il mettait juste des mots sur sa vie sur la vie
Il décrivait de scène et relatait de fait
Et puis il avait appris a voyagé au travers de ses mots
Et quand la nuit venait
Il se refugiait dans son utopie
©B. d'EFFETMER
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Si j'avais des ailes Je m'envolerais Très haut dans le ciel Si je pouvais voler Je ferais le tour du monde Mes problèmes seraient superficiels Si je pouvais voler Je soufflerais du bonheur Je porterais sur mes ailes Les souffrances, les malheurs Je tendrais mes ailes aux malheureux Si je pouvais rapprocher les familles J'aurais moins de peines au coeur On peut trouver un bonheur dans un malheur Si je pouvais ,tous vous seriez sur mes ailes Et un beau voyage nous ferions
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- La joie de vivre ! C'est un rayon de lumière Qui luit au creux du jour C'est une caresse de rosée Qui rafraîchit nos heures Quand le temps s'enfuit C'est un sourire radieux Qui égaye les coeurs Malgré les soucis C'est un élan vainqueur Face au destin, face au malheur Comme un irrésistible défit C'est une fleur fragile Qui se cueille avec douceur Dans le jardin des envies
Ninnenne blog de partage
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marileine moderateur
Messages : 27475 Date d'inscription : 08/03/2012 Localisation : belgique
| Sujet: Re: TEXTES.POEMES. DIVERS Mar 15 Déc - 13:11 | |
| **** d ou je viens il existe encore des lendemains**** ou je vis je cultive l’amitié à l’infinie****ce que je sais c’est toi qui me l’a appris***** tu as planté la graine de l’amitié**** dans nos coeurs elle a germée**** la fleur a éclos et nous a enivré*****par son parfum et son goût de sincérité***** on l’a partagé pour fleurir aussi d’autres amis*****ils en ont pris soins et l’ont offert eux aussi****** et aujourd’hui ce sont des champs entier qui fleurissent***** pour d’amitié nous enlacer et nous laisser le souvenir***** d’un goût que jamais on ne voudrait oublier*******une leçon d’humilité******* de mots sincérité*******pour voir dans les êtres , la beauté*******que l’on est capable de donner******* et ensemble ces moments partagés*******que cette graine d’amitié*******germe dans le coeur de ceux qui n’ont plus d espoir******* et ensemble partager leurs histoires******* c est le rêve secret que je caresse*******voir sur chaque visage l’espoir*******en des jours meilleurs et vivre au travers leurs sourire(¯`*'¯)..`*.,.*'bonne journée------------------------------------------------------------------------------------------------Aimer..
Vous voudriez qu'on vous aime, vous êtes malheureux parce que vous trouvez qu'on ne vous aime pas, ou pas assez ! Mais comprenez que par cette attitude, vous allez être encore plus malheureux. Comment voulez-vous qu'on aime quelqu'un qui se promène partout avec une mine allongée et qui regarde les autres avec des airs de reproche comme s'ils étaient coupables de son malheur ? Admettons que ce soit vrai : on ne vous aime pas. D'accord, c'est un très grand malheur de ne pas être aimé. Mais le plus grand malheur, c'set de ne pas pouvoir soi-même aimer. Celui qui n'aime pas signe son arrêt de mort. Or, vous, qu'est-ce qui vous empêche d'aimer ? Vous êtes libre. Vous ne pouvez pas obliger les autres à vous aimer, cela dépend d'eux, non de vous. Mais aimer ne dépend que de vous. Efforcez-vous de faire le premier geste vers les autres. N'attendez-pas que ce soit toujours eux qui commencent, parce que vous estimez mériter leur amour. Aimez et vous serez heureux. Et quand ils sentiront en vous ce bonheur d'aimer, ce bonheur qui se manifeste par une lumière, une chaleur, vous verrez, les autres aussi commenceront à vous aimer.
Omraam Mickhaël Aïvanhov----------------------------------------------------------------------Des joyeux sourires Que je veux vous offrir Oh oui en toute [size=16]amitié Avec grande sincérité Cela remonte le moral Car il suffit d’un sourire Oui rien de plus normal Le sourire c’est la joie de vivre Alors oui n’attendez surtout pas demain Offrez votre sourire quelqu’un en a besoin Car ton sourire peut être très efficace Il pourra enlever ainsi toutes les grimaces Puisqu’il embellit vraiment les visages Et cela bien sur c’est vrai à tous âges En apportant ainsi avec joie l’espérance Et surtout il est bénéfique quelle chance Les sourires sont à l’humanité Sans aucune prétention et vanité Ce que le soleil est pour la nature En effaçant surtout toutes blessures.[/size] --------------------------------------------------------------------- Demain, dès l'aube...
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes [size=16]pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.[/size] ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Quand vient le soir Quand vient le soir, Des cygnes noirs, Ou des fées sombres, Sortent des fleurs, des choses, de nous Ce sont nos ombres.
Elles avancent ; le jour recule. Elles vont dans le crépuscule, D'un mouvement glissant et lent. Elles s'assemblent, elles s'appellent, Se cherchent sans bruit, Et toutes ensemble, De leurs petites ailes, Font la grande nuit.
Mais l'Aube dans l'eau S'éveille et prend son grand flambeau. Puis elle monte, En rêve monte, et peu à peu, Sur les ondes elle élève Sa tête blonde, Et ses yeux bleus.
Aussitôt, en fuite furtive, Les ombres s'esquivent, On ne sait où. Est-ce dans l'eau ? Est-ce sous terre ? Dans une fleur ? Dans une pierre ? Est-ce dans nous ? On ne sait pas. Leurs ailes closes Enfin reposent. Et c'est matin. Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Les couleurs de la vie L'arc-en-ciel de la vie Des couleurs à l'infini Bleu,rouge,vert et gris Des couleurs qui m'épanouissent
Rouge,couleur de l'amour Vert,couleur de la peur Bleu couleur de chaque jour Jaune couleur de nos fleurs
Certaines que l'on apprécient D'autre que l'on aurait pas choisis Les couleurs nous différencient Mais ont fait tous partie de la vie!
et que dire de toutes ces couleurs sur ton blog tout simplement ravissent pour mes petits yeux
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[size=24]a l heure des aux revoir[/size] a l heure des aux revoir a l aube des aux revoir ne soyez pas triste je viendrait vous saluer je me ferait vent dans l' olivier tramontane pour te caresser je me cacherait dans les champs de blé pour voir le soleil se levé pour ensuite m envolé vers d autres pays inexploré des pays si lointain que jamais on ne revient et quand ce grand jour sonnera quand pour moi sonnera le glas ne versez pas de larmes dites vous que je n est vécu que pour exister et le bonheur de t 'avoir rencontré alors a l' aube de ma nuit je m en irai au paradis je te ferai un parterre de fleurs pour que tu reconnaisse quand viendra ton heure c 'est mot ne sont que poésie .mais si joliment écris sur l' espoir d un monde meilleur après une vie bien remplie ********************************************** Ninnenne blog de partage
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